Préface
Un roman époustouflant, d´un érotisme fou. Germaine devenue sexy au diable., Et un brin demoniaque, la nouvelle Germaine parcourt les route du désir et de la jouissance. Elle était une femme magnifique. A cause de son manque de confiance en elle. Germaine ne prêtait aucune attention aux regards équivoque, Des cheveux blonds cendrés assez longs et naturellemeny bouclés, grande et élancée, son corps escuitural était mis en valeur par petite robe, saavec une silhouette zéro défaut.
1
Le banlieuse de Buzios est déchiré par la violence, la corruption, le pouvoir du crime organisé que ne cesse d´augmenter. Deux individus auc classes sont séduits par la perspective d obtenir facilement l´argent et davantage de pouvoir. Ils sont prêt à tout pour proteger leurs intéres. La Police devra trouver un moyen d´éliminer à la source. Le jours et les mois, les saisons s´écoulaient ainsi avec une rapidité folle. Les soirs ils se retrouvaient rarement seules. Germaine a une vue parfaite. Une maison magnifique, la meilleure familie qu´on puísse imaginer. Son mari est le rêve de toute femme. Riche et beau. Il etait un homme d´affaire brillant. Il controlait tout qu´il touche. Il savait comme il acheter les gens, il n´avait pas de choix. Elle mené la vie idéale. Pour l’occasion Elle porte une robe noire courte et très décolletée avec de jolis talons aiguilles rouges carmin. Dès qu’ elle se penche le tissu s’écarte largement dévoilant ses deux seins jusqu’aux tétons. Après avoir bien mangé et bien bu, Elle lui dit vouloir “s’amuser un peu. – On est fous mais ça m’excite. Le couple célébres sirotaient des coquetails dans les plus grands hôtels, beaucoup d´argent et une maison à bord de la mer. Parfois, seule ou avec son homme, elle aime s’exhiber quelque peu. tout endroit est bon pour attirer les regards d’hommes curieux. Ça a pour effet de se calmer et s’exciter dans le même temps. Une relation passionnée au debut, puis ensuite beaucoup de complicité. Mais depuis d´un certain temps, elle ressent quelque chose d´étrange, c´était difficile d´expliquer. Son mari adore quand les autres hommes la regardent, la désirent. Il va peut-être en choquer quelques-uns qui penseront que ce n’est pas normal, maisil adore aussi quand sa femme s’offre à d’autres. Donc, on peut dire que il est un cocu heureux. Elle avait envie de s´amuser plus intènsement. Elle avait l´impression que rien d´intéressant se passe. Elle s´est dit que c´est la saison. Alors, avait commencer en elle des désirs étranges. Ils deviennent plus forts, plus pressants de jour en jour. La femme est… Une bombe. Des formes, de la sensualité! Et elle aime le sexe avec des amants d’un soir pour exciter leur mari avide de confessions torrides. Elles´est mise à jouer un rôle pour lui faire plaisir et l’exciter à peu de frais son mari. C’était devenu un désir aussi réel qu’ardent. Il désirait qu´elle le fasse ‘cocu’ avec un homme et qu´elle lui raconte en détail avec preuves tangibles. – Tu aimes ca te faire baiser, hein! – Oui mon chéri. – Tu aimes ca exciter les hommes comme un peite salope… Avoue. Avoue que tu aimes exhiber ta petite culotte et voir des hommes te regarder. Hein, salope. Avoue que tu aimes l’exciter. C’est un de tes fantasmes de te faire baiser par un autre homme, un inconnu. – Ça t’excite de savoir que je me fais prendre par d’autre mec avoue. – Oui j’aime te regarder te faire défoncer, – Tu es un petit cochon, un petit vicieux, mais moi je veux juste ton sexe et rien d’autre. – Tu es vraiment un démon c’est sûrement pour ça que je t’aime.
Le soleil venait à peine de se lever. Il enflammait de ses rayons flamboyants les collines environnantes. Le massif d´étoile au nord de la ville decoupaient les crêtes sombres dans un ciel bleu azuré aux touches nuances, jaune orangés ou rouge écarlate à la lisière des sommets. Le dégradé celeste tapissait ainsi l´immensité pour satisfaire le seul plaisir des yeux comme une brise naissante. Voici qu´une nouvelle journée se profilait, pleine de vie et de bruits. La poluittion planait sur la metrópole dangereuse et surnoise avec son cortège de maux et de maladies fatales. Chaque bruit… Parfois la seul odeur de son eau de toilette et de son maquillage bon marché lorsqu´elle passait la porte d´entrée, suffisait à mettre ses nerfs a fleur de la peau. – C´est impressinant. C´est genial. – Ça te fais de l´effet? – Très seduisante. J´ai lsine de choses à faire. – Tu es occupes je te laisse. Ça t’excite donc de savoir qu’on me désire ou que je désire un autre homme? - Oui, c’est vrai, je suis terriblement excité de t’imaginer dans les bras d’une autre. Mais moi aussi je t’aime et j’ai découvert que te voir heureuse dans les bras d’un autre, sans que je sois exclu, m’excite. C’est directement lié au fait que je t’aime.
Elle avait mis un mini robe provoquante. La belle blonde auriait presque pu entendre le bruit metalique de ses talons aux sol, et cette aura palpable de gens que ont les moyens d´être beaux. Elle lutte contre son envie de mettre sa main contre ses cuisses pour assouvir ses désirs et qui s´oblige à faire bonne figure. Elle portait sa courte robe noire moulante et décolletée, et des escarpins. Elle était bien maquillée, coiffée et paraissait survoltée. Il l’avait avoué que c’était son point faible et il aimait lui aussi se faire enculer. Sa femme fait le même scénario. La nuit est à present totalement tombée. L´obscurité est suave et tiède. Le soleil avait sombré à l horizont près d´une heure auparavant nimbant les vagues d´un pourpre fambloyant, un silence a envahi le trottoir presque parfait, le soir, le vent lèger qui soufflre depuis l´Atlantic fait fremir. Elle traverse le parking au pied de l´édifice. Quelques voitures occupaient certaines veillottes, d´autres d´aspect futuristes. Une commionette aux couleurs de l´hôtel était garée derrière un angle du batiment. Le marbre noir était ponctué des colonnes carrés de briques rouge. La blonde marqua un temp d´arrêt afin d´admirer de melange d´opulence et mauvais goût Son moteur ronflaitet on entendait les bruits de marchandises qu´on décharge. Germaine se dirige d´un pas decide vers l´entrée en remettent l´ordre dans sa tênue. Germaine se promenait dans le centre commercial en scrutant, régulièrement, les regards des passants. En effet, sa tenue ne pouvait passer inaperçue. Elle attirait les regards émoustillés des hommes tout autant que les sourires sarcastiques des filles. La blonde se surprit à regarder les hommes différemment. Elle s´est aperçut dans le reflet des vitrines du regard de certains mâles qui lui déshabillaient des yeux, son excitation se fit pressante, mais comment faire pour aborder un homme? Elle avoue q´elle aime être forcée dans des moments intenses…
– Je crois que mon grand moment est arrivé.
Il prend son portefeuille, ses clés de voiture et se dirige vers le garage en sous-sol. En arrivant au coin de la bâtisse, elle voit l’homme entrer juste derrière elle. Ce type qui ne décroche pas les yeux de la femme. Une silhoette attira son attention. Le visage de Germaine a une expression extatique. De grosses fesses et des hanches larges, une taille très marquée et une opulente poitrine. Ele est l´incarnation de l attraction revée. Un objet sexuel que sait lire. Son corps est resté ferme même si le poids des ans et la gravité ont fait leurs œuvres. Tes seins te le permettent, apparemment. On devine deux auréoles d’un beau mat, deux tétons pas trop petits qui pointent bien… Germaine a enfin rencontré un homme plutôt bien fait, que cultivé et qui aimait dévergonder les femmes mariées. Il faut savoir assumer les conséquences de ses actes.
– J´aimerais te baiser sans te toucher, et que ma langue vagabonde se promene nonchalemment dans la toison de son cul, j´aimerais offrir à ta bouche mon miel savoureux, dit l´homme. – J´aimerais sucer ta bite entiere, – N´aie peur de moi. Tu es super sexy dans ta robe. – Je n´as peur de personne. Je veux juste un peu de liberte sexuelle. – Cette soirée est mortelle. – Comme tu veux. Mais je suis une femme mariée. Je sais seulement que si je ne fais pas, je vais crier. Ce n´est pas facile à expliquer. – Un mari cocu avec une épouse aussi belle que vous. Tout devient clair. – C´est une forme de thérapie conjugale. Mon mari est merveilleux, mais me baise bien peu. Depuis que nous sommes mariées, jê ne peux pas atteindre l´orgasme avec lui. – Pourquoi? Qu´est-ce qui ne va pas? C´est un rêve à moi. – Tous nous avons des surprises inexploites. Les choses paraissent ennuyeuses, fades et banales tous les jours. La surprise les plaisirs et la folie.
Au entend ça elle presque eut un orgasme. Maintenant, elle avait un autre amant. Il est si doué pour lui faire amour, longuement et lentement et laisser monter la jouissance em elle par degrés imperceptible. Elle adore tellement ça, leurs deux corps soudés l´un à l´autre dans une fusion absolue. Elle n´a jamais connu un pareil paroxysme avant lui. Quel étalon! Il l’avait baisée, sans répit, sans lui laisser le choix. Elle s’était mise à quatre pattes sur le banc derrière de la voiture, la croupe tendue, la chatte offerte, ouverte à ses assauts. Elle aimait son odeur, il aimait son cul offert et sa chatte brûlante… Il éjacule enfin, de puissants jets de sperme viennent s’écraser sur le bas de son ventre, sur ton pubis, les derniers finissent sur ses lèvres écartées. Son sperme chaud est brûlant sur sa peau. Cela te semble durer une éternité tant il y en a.Elle avait léché le sperme qui sortait encore de son membre tendu, gonflé de désir, insatiable. C’était une femme libre, libertine, fêtarde. Ils avaient commis ensemble un crime de luxure parfait, complices… Elle a accepté de lui raconter et son mari était très excité. Aussi ils avaientt faites sexe en trio qui a surpris tout le monde, Ce sont les plus gros orgasmes qu´il eut de sa vie. - Ah, tu es rentré, chérie? - Oui, je viens d’arriver. - Tu aimerais faire l’amour avec un autre homme? - Pourquoi tu me demandes ça? Tu aimerais que je te trompe? Qu’un autre homme vienne en moi à ta place?
Julio sentait l’odeur caractéristique, il devinait le foutre encore dans son ventre. Il ressentait vraiment le plaisir du cocu qui, au plus profond de sa femme, sent les traces du passage de l’autre.
- Comme ça! C’était dans mon rêve. - Ton rêve ou ton fantasme? Ajourd´hui, un mec m´avait baisé dans une garage au centre-ville. Il m’a séduite peu à peu. Il a une queue plus épaisse que la sienne mais moins longue, et étant sportif, il est super endurant. Il m’a bien baisé et J´ai eu un orgasme. - Je sais, moi aussi je t’adore. Alors, tu m’as donné la plus forte preuve d’amour, ma chérie! - Tu as aimé alors? - Bien sûr! J’ai même adoré! – Tu es déjà un mari cocu. - Et tu aurais envie de le refaire? - Ben…, ça dépend de toi! Si tu es toujours d’accord, bien sûr. Dis, mon chéri, ça ne te dérange pas si je sors ce soir? Il m’a proposé de me sortir en boîte… - Ben, c’est à dire… Mais bien sûr ! Pas de problème, je t’attendrai la maison.
Il habite dans une petite rue, liaison entre une artère passante et une autre rue très peu fréquentée. Quatre demeures de chaque côté donnent sur cette voie dont tous les habitants se connaissent et savent tout de chacun.
– J´aimerais que tu me fasses cocu. Je te crois pas que tu l´as fait . Comment ça s´est passé? – Ton fantasme est réalisé, tu es cocu! Je suis en train d’expliquer que tu as des belles cornes! Je t’ai fait cocu.
2
Elle ne pouvait rêver de meilleures preuves de son réel plaisir à être cocu. Mais son épouse était en train de se maquiller les yeux face au miroir, Elle était habillée top sexy. Il paraît que le rouge est aphrodisiaque pour les hommes, alors elle choisit des sous vêtements et une petite robe de cette couleur. Et elle sait que son mari adore cette tenue. Elle l’arrive à mi-cuisses et propose un joli décolleté. Ele complète cette tenue avec des escarpins noir à talons fins. Elle sait combien elle peut séduire, puis partager ses envies de libertine assumée, jusqu’à s’abandonner à la luxure sans tomber dans la vulgarité. Germaine lui disait de bien veiller à fermer les volets parce que apparement une tempête venue du nord-est allait souffler cette nuit. L´époux est allé à la fenêtre et à regarder dehors. Tout était calme. Alors qu´elle poussait le loquer des persiennes de bois, Elle a vite retiré sa main afin de ne pas se faire pincer les doigts, et ce geste lui a faire penser à une souris maligne dérobant le fromage d´une sourcière. – Ne sors pas cette nuit, dit le mari. – Ne t´inquite pas pour moi, chéri. Je ne crais rien. Je suis littéralemnt folle de lui.
Une voiture a alors klaxonné dehors, Le thermostat de l´ai conditionné a emis un cliquètement, et il a fait plus froid dans la piece. Toute deux savaient que c´était lui. Elle lui réserve une surprise, - Mon chéri, cela ne risque pas. Je t’aime et je t’ai juré fidélité… Je vais avoir une grosse queue dans ma chatte.. – Sale pute, Espèce de salope, sale chienne, vide-couilles, femme infidèle, grosse pute, salope de bourgeoise.. – Lèche-moi cocu! Tu désires que je te domine? Et bien, tu ne vas pas être déçu! Oui mon chéri, je vais te tromper, je vais avoir des amants, ils me baiseront sans arrêt, devant toi et en ton absence. Je vais devenir un vrai garage à bite. en attendant de venir nettoyer ma chatte pleine de sperme, pour son plus grand bonheur et le mien, ça nous excite énormément .
Il secoue la tête incrédule face à son inefficacité dans les situations comme mari, les plus prosaiques. Troublante, la situation se devait évidemment d’évoluer. Fantasmes, jalousie et sentiments ne font pas bon ménage… À trois! Elle sait combien elle peut séduire, puis partager ses envies de libertine assumée, jusqu’à s’abandonner à la luxure sans tomber dans la vulgarité. elle a gardé un besoin de plaisir qui a gonflé ses grandes lèvres et les a rendues très sensibles; de plus, une sensation emplit son ventre et la convainc qu’il lui faut plus, autre chose, pour assouvir ses envies de baise. Encore une chance que cet maison ait ces volets, a dit l´épouse en se redressant pour aller chercher son sac sur la table avant de lui baiser la joue. Plus influence sur le cours du destin. Elle a embrassé son mari sur la tête et elle est sortit. Il a l’air intelligent, cultivé et intéressant. Et en plus, il est plutôt mignon et physiquement il l’attire bien. Ses beaux yeux bleus, rieurs et coquins, fixés sur le regard de son amant du moment. Ils s’embrassèrent et il lui pétrit les fesses. Il lui mit une bonne claque sur les fesses, elle gloussa. Germaine passe ses bras autour du cou de son amant, discute, toujours collée à lui. Il était un spectateur fasciné par le spectacle de sa femme courtisée par un autre homme qui n’hésitait pas à la peloter devant lui car les mains de José étaient de plus en plus caressantes, explorant peu à peu le corps de Germaine, remontant sa robe bien haut sur ses cuisses ou alors lui frôlant les seins. L´effet est à l´opposé du coup prévu. Elle en est capable. J´ai vu de quoi elle est capable. Sa femme était sous le charme de son amant et lui, sous le charme de la scène. Germaine quant à elle riait plus rouge que jamais et lui jetant parfois des regards interrogateurs pour quêter son assentiment. Elle se dirige vers léchelle en tenant par la main un bel homme athlétique, à la chevelure brune ondulée. L’inconnu bombe ses pectoraux, fier de guider cette jolie jeune femme. L´époux rêve! C’est qui ce type? Que fait son épouse avec lui? Elle a entré dans la voiture vêtue d’une petite robe en satin noire, ultra moulante et très courte. De plus, son décolleté était incroyablement plongeant. Le mari ne voyait que la tête de son amant dans la voiture, il lui salua de loin et lui fit signe avec son doigt que sa femme était occupée. cela lui fit bander comme un âne. Elle court vers la voiture Porsche jaune, monte du côté passager, claque sa porte. Que signifie ce départ précipité? Trois heures plus tard Germaine lui propose de poursuivre la journée chez elle dans un amour à trois avec son mari, ce qu’il accepte avec plaisir. Arrivés à la maison, José s’installe lui aussi à côté d´elle, mais sans ce coller.
- Mais, Chéri, je pensais qu’on était d’ac… Chéri, je suis un peu angoissée, je t’aime. ce soir mon amour on va jouir, je vais enfin te voir baiser par un autre homme, tu serais voyeur. – J’adorerais te regarder ma chérie. - Ça t’as plu? - Beaucoup. Elle te plaît ma femme? - Euh… Ben, c’est que… enfin… Tu veux qu on t éxcite? – Oui vas y. Oui fais moi cocu, j aime ça, - Juste au cas où tu aurais un doute, je vais coucher avec lui ce soir, il pourra faire ce qu’il veut de moi, Tu es sûr que rien ne te choquera? - Ça m’excite un max! Ce serait mon plus beau cadeau! Je voudrais te voir faire l’amour avec lui.
Julio s’adresse à José pour lui faire des compliments sur son épouse, Elle sent qu´elle doit rougir. L´épouse sent aussi la chaleur monter dans son bas ventre et son entrejambes qui s’humidifie. C’est bon d’entendre que l’on lui trouve jolie. Et puis son mari demande à son homme de l’enlever sa robe. Elle n´est pas très rassurée pour le moment, mais ele se lève et pivote sur le côté, afin que son chéri ai accès à la fermeture dans son dos. Il la baisse jusqu’à la naissance de ses fesses. le tissu au niveau de ses épaules et fait glisser sa robe jusqu’à ses chevilles. Elle doit inonder sa petite culotte tellement c’est excitant. L´épouse se retrouve quasiment nue debout devant un inconnu. Son époux la regarde dans les yeux et plonge sa main sur son sexe. Il lui caresse la vulve, masturbe le clitoris. Il a les doigts agile qui ce promène sur sa chatte.
- Tu as une queue sacrément bonne… Tu ne vois pas que j’ai encore envie qu’il me baise. - J’adore cette idée… Tes désirs me rendent fou. - Ah, Monsieur ! Tout était à votre goût? - Oui, c’est super, et merci encore!
Germaine ne soutient plus son regard et ferme les yeux. La blonde respire fort, elle gémit et il introduit ses doigts à l’intérieur de son intimité. Il lui farfouille l’intérieur, c’est tellement bon qu´elle l’entend parler à son mari mais ne l’écoute pas. Ses doigts s’agitent au plus profond de son sexe. Tout en lui masturbant, il se reprend les seins en bouche. Il lui lèche les tétons, les mordille doucement, puis plus fort. Il lui mord… Puis, sans rien comprendre et sans s’en rendre compte, on ce retrouve dans les positions inversées .Elle était assise sur le canapé, à côté de José et Julio est debout devant elle. Il défait son pantalon et se fout à poil. Putain, quelle queue. Elle est énorme alors qu’il ne bande pas encore. Et sa paire de couilles, bien grosses et bien lourdes, qui pendent bien bas entre ses cuisses super musclées.
– C’est comme ça que nous nous sommes retrouvés tous les deux en train de sucer une bite le lendemain et à mélanger nos langues autour de cette verge tendue. – Julio, mon chéri, je sais que ça te manque de te faire baiser par un mâle vigoureux. – Ne t’inquiète pas, ça ne me manque absolument pas. Ce que tu me fais, chérie, en me cassant le cul avec ton gode, me suffit tout à fait pour l’instant. – Je ne te crois pas. Et puis moi j’ai envie de te mater dans une relation avec un mâle. Ça me manque aussi.
Il prend la main de Julio et la pose sur sa queue… Il bande de plus en plus, son époux va être servi! Pendant ce temps, le mec est derrière son mari Julio, se serre contre lui pour bien lui faire sentir combien il bande. Il embrasse Julio dans le cou et lui mordille l’oreille. Son mari ferme les yeux, son érection traduit son excitation. Il est aux anges. Le mari de Germaine passe sa langue dessus et commence à le sucer, lentement, et, en même temps, bouge son cul. De son côté, il commence à se branler. Il vient en face de Julio, qui est toujours à 4 pattes, le cul en attente, la bite dure, gagné par une pulsion soudaine et intense: être sa chienne, et se faire prendre! L´amant de son épouse et enduit copieusement sa raie de vaseline. Il gémit, tend son cul. Le baiser en profite pour lui doigter le cul et l’ouvrir. A une envie, furieuse, incontrôlable. Des spasmes parcourent son corps. Il attend que le sexe du jeune Arabe se frotte contre son sillon. Il le veut et il le redoute. Il a envie et a peur en même temps. Et même s’il connait ma complicité, s’il sait que sans moi il ne serait pas là, il a honte de tendre ainsi ses fesses devant son épouse. Mohamed comprend cela. Il est impatient mais veut rassurer son époux.
– Ne t’inquiète pas, chéri… Je vais y aller doucement… Détends-toi… Ouvre tes fesses… Montre bien à ta femme ton œillet. – Regarde Germaine… Tu voulais le voir se faire niquer… Ca t’excite, hein? – Oh oui, j’adore ça ! j’attends ça depuis des années. Vas-y! Encule-le! – Aïe, doucement, je n’ai plus l’habitude! – Tu crois que tu vas pouvoir lui enfoncer ton sexe jusqu’à la garde? – Ne crains rien, Olga. Regarde comme son trou s’ouvre bien. Je vais niquer jusqu’à l’os ton mari et devant toi, comme tu en rêvais. – Oh, oui, vas-y maintenant, sodomise-le! – Ca y est, cette fois, je suis à fond! J’adore, il est bien serré! Regarde-le, ton mari… Une vraie femelle! – Oui, vas-y, salaud, tu me remplis bien! – Oh, c’est magnifique! Vas-y, baise-le! – Oui, vas-y, mets lui tout. J’aime me faire baiser! – Tu es une chienne, Philippe, une salope qui satisfait un mec. J’aime ça, vous êtes beaux tous les deux.
L´épouse hésite un peu mais Germaine suçait à la perfection, avec une agilité de la langue et des lèvres quasi professionnelle. Il était marié avec une femme qui taillait de belles pipes tout en douceur et qui savait avaler le sperme avec délectation. Elle prend cette queue et commence à la masturber. Elle est si grosse que elle en fait pas le tour avec ses doigts et pourtant, elle est encore au repôs, elle était également sous les couilles comme pour y soupeser le contenu. Germaine le masturbe doucement et regarde son chéri pour essayer de voir ce qu’il pense. Il lui sourit. Ne regrette t’il pas de lui voir avec cet homme? Ou au contraire, est ce que ça l’excite vraiment?
3
La blonde ne sais pas trop à quoi il pense. Mais c’est lui qui veut vivre cette expérience, alors, elle va essayer d’en profiter. Elle a la bite de son mari à quelques centimètres de son visage, elle la prend dans sa bouche. Germaine enroule sa langue autour de son grand, elle l’aspire. Elle est délicieuse. Elle commence à s’allonger, à grossir et à durcir dans sa bouche. La mariée a du mal à accepter plus que son gland tellement elle est énorme. Elle s’applique à lui donner un maximum de plaisir. Germaine le suce, les yeux levés sur lui. Il est en train de finir de ce déshabiller. aussi musclé que ses jambes. Les bras, les abdominaux, les pectoraux, enfin bref, tous les muscles de son corps sont très développés.Un véritable athlète. Il reprend sa conversation avec son chéri. Encore une fois, ces paroles sont assez humiliante, mais José ne répond pas.Il obéi lorsque Hervé lui demande de me masturber pour constater comment je mouille.Il a raison en plus, elle a la chatte trempée. Jose glisse une main sur son sexe et me caresse le clitoris. La caresse de son chéri m’excite encore plus. Julio derrière la tête pour s’introduit le plus loin possible dans ma gorge.Il commence ses vas et vient dans ma bouche, essaie de me faire une gorge profonde… Il connait son gabarit le garçon, il veut l’étouffer ou quoi ? Germaine ne dit rien mais n’en pense pas moins. Elle essaie de contrôler cette fellation avec sa main. Pourtant, il accélère la cadence, il lui baise littéralement la bouche. Jamais José ne l’a baiser la bouche comme ça. D’habitude, c’est elle qui rythme tout quand elle suce. Mais finalement, elle aime beaucoup être traité comme ça, ça l’excite terriblement. De temps en temps, il caresse son sexe sur son visage. La blonde essaie de garder le contrôle tout de même, le masturbe à chaque pénétrations de sa queue dans sa bouche, lui caresse les couilles. Au bout d’un moment, il stop ses vas et vient et profite de se qu´elle lui fait. Elle utilise tout ses pouvoirs et son savoir faire à le faire monter au septième ciel. Mais pour le moment, c’est elle qui était en train de grimper aux rideaux, Car son mari me masturbe toujours et c’est un expert avec ses doigts.Je sent mon plaisir monter, je suis sur le point d’exploser de jouissance, lorsque Hervé se retire de ma bouche et demande à Julien d’arrêter de lui masturber. Merde, il lui fait quoi? Pourquoi il stop tout maintenant? J’allais jouir la, c’était trop bon. Finalement, elle n’a pas vraiment le temps de reprendre son souffle, Hervé se place entre mes cuisses et commence à lui bouffer la chatte. A la vache, c’est exquis. Les quelques secondes de repos entre l’arrêt de la masturbation de mon homme et le début du cunnilingus de son amant on suffit à faire redoubler le plaisir qu´elle ressent. Sa langue danse à merveille sur son clitoris et sur sa vulve. Elle jette un coup d’œil à son mari et explose dans un orgasme très puissant. Germaine a une drôle de sensation qui se mélange à son orgasme. Elle ne se souvient pas avoir jouie si fort un jour qu´elle en a presque honte. Mais elle n’a pas vraiment le temps d’y penser que Julio, est déjà en train de pointer son gland à l’entrée de sa chatte et d’une poussée, s’introduit entièrement dans son intimité. Elle pousse un cri de satisfaction et de surprise, elle pensait qu’il allait y aller doucement vu la taille de son outil. Mais pas du tout, il y va à fond directement. Il se retire et lui pénètre de la même manière, tout aussi brusquement que la première fois. Nouveau cri mais plus de surprise, juste de satisfaction et de plaisir. Il commence à lui baiser dans un rythme plutôt lent. La blonde ressent bien… La grosseur de sa queue dans sa chatte et savoure ce moment avec délice. Il accélère la cadence et elle crie, hurle quasiment de jouissance à chaque coup de rein de son amant. Elle regarde son mari dans les yeux pendant qu’un inconnu lui baise comme jamais on l’a baiser. Il lui sourit, elle pense qu’il apprécie vraiment la situation. Elle pose une main sur son sexe et constate qu’il a une grosse érection coincée dans son pantalon. C’est dommage qu’il souhaite juste lui regarder baiser avec cet homme, qu’il ne souhaite pas participer. En tous les cas Hervé, lui, lui baise à fond. Le plaisir qu´elle reçoit est incroyable et elle sent qu’un nouvel orgasme est en train de monter. Elle ne tiens plus le regard de son homme, ferme les yeux et elle est emportée dans une jouissance encore plus forte que la première. Cet homme est très doué pour mener une femme dans un monde de plaisir extrême. Et pourtant, Germaine n’arrive pas à se libérer complètement. La mariée a de nouveau honte de jouir si fort devant son mari qui ne l’a jamais emmené aussi loin sur la route du plaisir. Julio se retire de sa chatte et lui demande d´elle placer en position soixante neuf. Il veut que José lui lèche la chatte pendant qu’il va lui baiser. Ça, c’est en rapport à ce qu´il a demandé, son homme va avoir la queue de Julio très proche de lui. Son mari s’allonge sur le canapé et elle se place au dessus. Il plonge directement sa bouche sur sa chatte pour lui lécher. La blonde adore quand il lui fait cette caresse, c’est trop bon. Elle pose son visage sur son sexe. Malheureusement emprisonné dans son pantalon et constate qu’il bande toujours très fort.Pendant ce temps, Hervé c’est placé entre mes cuisses et comme à son habitude, il me pénètre à fond, sans ménagement. Ah putain, que c’est bon, en fait je voudrais pas qu’il le fasse autrement. Aussitôt, il entreprend de lui baiser intensément, lui tire les cheveux, c’est super jouissif. Et quelle sensation exquise que de ce sentir rempli par cette queue inconnue et de ce faire bouffer le clitoris par son mari. La femme espère qu’il va oser donner des petits coups de langue à cette bite qui lui pilonne. Lorsque Julio s’adresse à José pour lui demander s’il aime avoir ses couilles sur son visage, La blonde a son cœur qui fait des bons dans sa poitrine. Comment son chéri gère t’il la situation, est ce que ça le dérange? En tout cas, il continue à lui lécher le clitoris sans broncher. Elle, ça lui rend super heureuse et elle se sent comme une véritable chienne en chaleur, prise en levrette. Germaine ne repousse même pas les doigts qui lui fouillent l’anus. Bien au contraire, elle senst qu´elle ne va pas résister longtemps à ce traitement. La langue experte de José qui lui bouffe le clitoris et le mari qui lui fait une double pénétration avec sa grosse bite et ses doigts, lui font partir dans un nouvel orgasme très puissant. L´épouse est en pleine jouissance lorsque Julio l’annonce qu’il va lui sodomiser. L´épouse a juste le temps de penser que sa bite va lui déchirer, que ça ne va jamais passer, qu’il est déjà en train de forcer son anus. Elle essaie de se détendre, mais le passage du gland lui font pousser un cri, non pas de douleur, mais plutôt d’une sensation de gène. Et sans la moindre hésitation, Julio lui pénètre entièrement. Il l´saisit par les hanches et commence une baise lente. La blonde déjà été sodomisé deux, trois fois par son mari ou ses amants mais c’est pas ce qu´elle préfère. Là, c’est différents. Le contexte déjà, José qui continue de lui lécher la chatte et également la taille de la bite qui lui pénètre, font qu´elle apprécie cette sodomie. Elle crie à chaque va et vient. Mais Julio ne sais pas rester tranquille, il accélère la cadence. Putain, finalement c’est trop bon. Elle hurle son plaisir pour l’encourager.1. Il la sodomise à fond, sort sa queue de son anus, pour la ré introduire entièrement. Il en profite bien le salop. Elle aussi d’ailleurs. L´épouse en profite tellement qu´elle finit par jouir une nouvelle fois. Un orgasme tout aussi puissant que les précédents lui terrasse. Elle est à bout de force, vidé de toutes son énergie. Une fois remise de cet orgasme, Hervé ce retire de son anus et les demande de les assoir sur le canapé. Son sexe est une vraie barre d’acier, et Germaine l’accueille et s’empale dessus férocement, ondulant ses hanches, montant et redescendant pour l’enfoncer encore plus profondément, puis il retire… – Merveilleuse idée Julio. Oooh, chéri, sa queue est… Ahnnnn… elle est si grosse en moi… Le spectacle te plaît, chéri? Lui demande-t-elle.
Il se place debout devant son épouse et attire sa tête vers son sexe. Elle le prends en bouche, le suce pendant qu’il se masturbe. Il souffle de plus en plus fort, il ne devrait plus tarder à jouir. Elle continue de le sucer, elle a envie qu’il se vide dans sa bouche. Il vient, il va jouir mais, il se retire de sa bouche et éjacule sur son visage. Un premier jet de sperme lui surprend et elle sursaute lorsqu’il s’écrase en pleine. face. Un deuxième puis un troisième jet, finissent sur son front, son nez. Et c’est pas fini, il continue de déverser son sperme, en grosse quantité, sur son visage. José ne m’en a jamais fait. Et elle est plutôt bien arrosé. Il se rapproche un peu plus de moi, un jet s’écrase sur ses lèvres et elle le reprend en bouche. Germaine le pompe, le suce, il déverse encore un peu de son sperme dans ma bouche. Elle enroule sa langue sur son gland. Puis, il se recule, lui regarde et demande à José de la nettoyer avec sa bouche. Elle lui sourit, avale le sperme qu´elle a dans la bouche et tourne la tête vers son mari. Lui, regarde de son mari plutôt furieusement. Puis il tourne la tête vers elle et elle lui sourit pour l’encourager, pour l’inviter à venir la nettoyer. Il hésite et fini par s’approcher. Il l’embrasse. Sa l’excite énormément. Il lui lèche, il respire fort, il ressent que sa lui plaît. Il lui bouffe le visage, nettoie tout le sperme, ne recrache rien. Son homme vient de passer un cap dans sa vie sexuelle et elle était aux anges. Son époux c’est déjà rhabiller et lui regarde. Il remercie son mari pour le moment qu’il vient de passer. Puis, il lui remercie également et lui demande s’il a répondu à ses attentes. Elle lui réponds que c’était très agréable et qu’il a parfaitement répondu à ses attentes. Bien plus qu´elle l’imaginait. Après un dernier petit verre, bien mérité, on ce dit au revoir et son amant d’un soir s’en va.
– Ça a été une formidable soirée, j’ai beaucoup aimé! - Pareil, c’était super! - Je t’aime, mon bébé. - Je t’aime, mon amour. - Tu es sûr que rien n’a changé? - Sûr, tu sais que je t’aime comme un fou depuis le début. - Oui, mais maintenant tu as vraiment une femme adultère. - Est-ce que tu es heureuse? - Je suis heureuse parce que tu es là. - J’ai toujours eu envie de ça. Personne ne doit le savoir. T’es trop incroyable. J’ai toujours envie de toi. On s’aime et se désire, qu’est-ce qui pourrait nous être interdit?
4
C´était samedi juste après neuf heures du matin. Germaine avait acheté une nouvelle voiture. Alors qu´elle était sur le point d’arriver à destination. Germaine voyait aux regards des passants que la robe éveillait beaucoup de curiosités et en retenait les pans quand le vent soufflait un peu plus fort. La BMW noire de sa mère était garée à son endroit habituel donc Germaine savait qu´elle était dans la maison. Elle entendit le bruissement dês feuilles sur le sol ainsi que dals l´arbres tandis que les derniers feuilles tenaces s´accrochaient face à l´été proche. Germaine entendit um trottinement quelque part à as droite et au-dessus d´elle. Probablement un écureuil qui sortait pour verifier le vent. Pourtant malgré le tambourement, sa mère ne répondait pas. La blonde assena un dernier coup violent contre la porte avec son poing et utilize ensuite sa voix “Ma mère” Germaine tenta d´être paciente elle attendit dix secondes entière avant de l´appeler de nouveaux. Quand elle n´y eut toujours pas réponse, il n´y avait un silence, alors elle décrocha l´énorme anneau de clefs qui portait sur la hanche. Elle les fit desfiler d´une main experte jusqu´à celle, sans autre avertissement elle enfonça la clef dans la serrure de la porte d´entrée. “Ma mère, c´est sa fille Germaine”. Mais la blonde immédiatement qu´il n´allait pas avoir de réponse. Il y avait un silence, non pas qu´elle en attendait une. Elle traversa le salonet jeta un coup d´oeil dans la cuisine, pensant que de la nourriture avait peut-être laissée dehors et commençait à pourrir, mais a cuisine était assez propre. Quelque chose lui disait: appelle la Police. Dans une deusième salle, il y avait une trintaine d´engins, de cardio-training: deux velos, des tapis de course, des steppers, des rameurs. Une troisieme était dediée aux cours d´aérobic: le stretching, le spinning. Le pump, la tae-bo… Enfin bien sûr, il y avait une sauna, un bain de vapeur et un jacuzzi. Elle eut un sourire amusé. Elle allume une cigarette et en tire une bouffée. Un lon moment suivit. Elle tirait sur sa cigarette en faisant des ronds de fumée. Ce qu´elle avait vecu était tellement fort et elle ne voulait pas oubliér. Elle faite le syndrome de Stokholm. Mais la curiosité est une sacrée drogue. Elle ne put s´en détourner. Elle commença à descendre le couloir et une intuition malsane dirigea directement ses yeux vers la porte de la chambre. Après quelque pas dans le couloir l´odeur évolua vers quelque chose de plus désagreable et elle sut tout de suíte vers quoi il se dirigeait. Mais malgré cela elle ne pouvait pas arrêter maintenant. Elle devait savoir. Elle devait voir… La chambre de sa mère était dans un léger désordre. Quelques objects étaient tombes de sa table de nuit portefeuille, livre, photo, encadrée.Les stores en platique de la fenêtre étaient légèrement inclines, le plis du bas tordus. Là l´odeur est pire. Elle n´était pas trop puissante, mais ce n´était certainement pas quelque chose que Germaine voulait respirer plus longtemps. Le lit était vide et il n´y avait rien de visible dans l´espace entre la commode et le mur avec une boule dans la gorge. La blonde se torna vers le placar. La porte était fermée et ceci était en quelque sorte pire que l´odeur. Pourtant, sa curiosité morbite l´aiguillonnait et elle se trouva à se diriger vers le placar. Elle tendit la main, toucha la poignée et pendant un instant elle crut pouvoir véritablement ressentir la terrible odeur, collante et chaude. Avant de tourner la poignée la blonde vit quelque chose du coin d´oeil. Elle baissa les yeux vers ses pieds, pensant que ses nerfs étaient juste à vif et jouaient des tours. Mais non… Elle avait vu quelque chose. Deux araignées passèrent précipitamment sous la porte. Elle étaient toutes deux assez grandes, l´une de la taille d´une pièce de vingt-cinq cents et l´autre si grosse qu´elle passait à peine à travers la fente. Germaine bondit de surprise et un petit cri échappa de sa gorge. Les araignées furent sur le lit et quand elle se retourna pour lês regarder, elle vit quelques araignées accrochée au lit. La plus part d´entre elles étaient petites, mais il y en avait une de la taille d´un timbre postale qui courait le long de l´oreiller. L´adrenalina la poussait et Germaine attrapa la poignée, tourna et ouvrit. Elle essaya de crier mais ses polmons semblaient paralysés. Rien de plus qu´un bruit sec sortit de sa gorge tandis qu´elle s´éloignait lentementde ce qu´elle contemplait dans le placar. Germaine était étendu contre l´amgle dans le fond. Son corps était pâle et immobile, elle était aussi presque entièrement recouverte d´araignées. Il y avait plusieurs gros filaments de toile sur elle. L´un le long de son bras droit était si épais que Germaine ne pouvait pas voir sa peau. La plus part des arignées étaient petites et semblaient presque inifensives, mais comme celles qu´elle avait vues jusque-là, il y en avait aussi des grosses melangées au reste. Tandis que Germaine observait fixement avec horreur, une araignée de la taille d´une balle de golf passe sur le front de sa mère. Une autre plus petite grimpa sur la lèvre inferieure. As mère était morte à plusieurs jours. Elle commençait vraiment à se regrettaire le fait. Elle essaya de se lever, mais son corps semblait se révolter. Elle commence à pleurer, elle va faire son deuil. Elle gémit et pleura sans rien dire. Elle se découvre une nouvelle facette, l’exhibitionnisme. Dans l’échancrure de la veste très cintrée et épaulée, les poires lourdes de ses seins vibrent à chaque attaque du talon sur le bitume et oscillent, libres de toute retenue. Ses tétons dardent en se frottant contre la soie de la fine robe, envoyant des ondes de désir au creux de ses reins. Et la douce brise qui s’insinue sans difficulté, tant elle est courte, sous la robe moulante comme un gant, caresse son sexe nu et intégralement épilé. Le frottement de ses cuisses, au rythme de la marche, provoque un discret mais explicite crissement électrique dont elle ressent les effets jusqu’au fond de son ventre. Impossible de ne pas lui rendre compte qu´elle était déjà humide. Dans la rue face à une enorme pancarte publicitaire, plus grande qu´une affiche de cinema. Chaussée de lunetes noirs qui font très star, même si elle n´est pas regardant, ds hommes la regarde son corps étalé lascivement sur un tissu en satin. À sa montre, elle se decide enfin à accélérer le pas. Germaine parcour les routes du désir et de la jouissance. La belle blonde allait à une galerie d´art. Alors tout avait commancé au voir le peintre dans la galerie. Il es beau et reste impressionné avec sa beauté.
– Moi, Frederico Casanova. – C´est un plaisir vous rencontrer, monsieur Casanova, dit-elle. – C´est pour moi un honneur, dit-il. Comment tu t´appelle? – Germaine. Je suis Germaine. Mais je suis une femme mariée. – C´est toujour comme ça. Les meilleures sont toujours prise. Mon dieu comme tu es belle. – Oh! Merci.
C´est rencomtrant Casanova qu´elle s´est rendue compte à quel point sa vie manquait d´excitation. Elle avait passe du semtiment à l´acte. Elle avait essayé de revivre ça avec son mari. Et rien… La blonde adorait être désirée, ce qui faisait d’elle une exhibitionniste avérée, de plus, outre le fait d’être l’objet des désirs sexuels des hommes, elle aimait se sentir accessible. À trente six ans elle possédait déjà une belle expérience sexuelle. Il faut dire que la femme était très belle, dans une petite robe blanche, avec dos nus et dessous juste un petit string blanc. Elle était super provoc. De plus bronzée. Se faisant elle était légèrement penchée vers l’avant, l’arrière de sa robe découvrant le haut des bas et le pli fessier. Un ouvrier nord africain qui faisait ses courses se trouva dans le bon angle de vue qu’elle offrait. Germaine fixait sans pouvoir s’interrompre ce grand black taciturne au milieu de sa cour.
- J’adore ta tênue. Tu t’appelles comment? - Germaine, mais mes amis m’appellent Gere. – Vous êtes irresistible, Gere, Tu es exactement le genre de bourgeoise que j’aime soumettre.
Il commença à malaxer sa bite par dessus son pantalon tout en se rapprochant. Arrivé à quelques dizaines de centimètres il sortit son sexe pour se masturber en plein magasin. Il trouvait la scène surréaliste, il se rapprocha, Peau à peu le volcan s´emflamme. Le sexe brûle. Germaine lui murmura “baise moi” tout en gémissant son plaisir. Sa main reparu tenant une tige charnue longue et une tête rouge. Ce désir fut le plaisir plus fort. La blonde caressait cet objet. Elle saisit le sexe pour meilleur introduire. L’ouvrier se colla contre les fesses, se masturbant dans la raie, le gland contre l’anus. Presque extatique et la bouche légèrement ouverte
– Mon dieu! Comme elle est grosse. – T´ as la chatte la plus incroyable de tous les temps. Je vais venir. Remplis-toi de mon sperme, petite salope blanche. – Oh oui, remplis-moi de ton sperme.
5
Elle devient féline. Elle ronrone, elle se cambre. Des frissons l´envahissent que alimente aussitôt un désit vire et impérieux. Elle se laisse faire voluptueuse et perverse, la fièvre au ventre. Le noir lui souriait clairement, la défonçant continuellement avec son énorme bite de nègre. La blonde aurait voulu être sodomisée, le sperme jaillit, innondant la raie des fesses, l’anus, coulant sur les cuisses et tombant au sol. Son sperme chaud est brûlant sur sa peau. Ses yeux d´un bleu intense balaient sur lui une expression reconnessance. L’homme remballa son sexe et s’éloigna. Au arriver chez-elle raconte tout à son cocu de mari.
- Chéri ? Tu es là? J’avais compris que tu devais rentrer tard. - Tu vois bien. Et toi tu étais où ? – Aujourd´hui j´ai te trompé, mon amour. Je suis une adulterine. Chérie j´ai été infidèle. Julio je suis adulterine. – Alors, que disais-tu? – Je voulais te dire… J´ai presque j´été violée aujourd´hui. Je dis que cette belle petite chatte a été transpercée comme um oiseau sur une brochette noire. Énorme… Est-ce que tu as entendu, mon chéri? – J´ai compris. – Tu ne crois pas? J´étais comme une chatte en chaleur qui vouler se frotter en quelque chose. Une indiscriptible tension sexuelle. – Bien sûr que oui, chérie, pour qui? – Un serveur Marroquin d´un hôtel. Ne t’inquiète pas, après deux mois à me contenter de sa petite bite, j’ai accepté d´être baiser pour un noir. – Par un étranger? Si tu as envie de jouer, ne t’en prive pas, ma chérie! - Attends, on va voir si c’est bien le cas. - Continue comme tu veux, mon amour, tu sais tellement bien maîtriser ce genre de situation! Mon ange, tu ne risques pas grand-chose et ça me ferait vraiment plaisir… Rien que d’y penser, j’ai des frissons! - Tu n’es qu’un pervers, Julio! - Tu te comportes comme… Comme une… Vicieuse. - Je suis ta femme. – Fais ce que tu veux.
Germaine Dias Correia Linderberg, blonde, yeux bleus, mariée, une socialite de 36 ans. À sa silhouette plantureuse, elle ajoutait désormais une coquetterie qui lui semblait un peu déplacée. Elle pouvait rivaliser sans honte avec les stars hollywoodiennes de l’époque. Chemisiers transparents, collants ouverts sur les fesses, culottes fendues, soutien-gorges dépourvus de bonnets, robes fendues ouvertes jusqu’à mi-fesses, mini-robes ultra-courtes, harnais, lanières, cuissardes, loups, colliers, bracelets, fouets, martinets… Le feu aux joues. Sans arrière-pensée incestueuse, mais comme une femme désirable qu’il observait avec attention et qui le guidait en filigrane dans son initiation sexuelle. Elle est mariée avec Julio Bresson Linderberg, un milliardaire de la beer au Brésil et toute l´Amérique du Sud.
Júlio est un mari merveilleux et elle l´aime. Mais depuis qu´ils sont mariés, elle ne peut pas atteindre l´orgasme avec lui. Pourquoi? Qu´est-ce qui ne vas pas? Ça ne fait six móis depuis leur mariage, et lês choses paraissent devenir plus ennyeuses, fades et banales tous les jours. Ce qui est arrivé à tous l´enthousiasme, la surprise, le plaisir et la folie qu´ils avaient avant.
Le bruit discret de ses escarpins scande sa promenade et elle profite des mouvements de son corps presque nu sous le tissu. Le vent chaud pénétrait sous sa robe à plis et caressait son entrejambe d´une libertine assumée. Elle marchait d’un pas assuré vers le Bahama´s, un club libertin. elle est très mince, musclée par le sport et mon 85 B n’a pas besoin de soutif. Germaine a mis une robe bleu ciel à fines bretelles, très courte, elle l’adore car elle a un soutien-néné incorporé, avec un string dentelle, Elle avait failli lui dire que la robe était vraiment trop indécente, mais elle n’en prit pas le risque, il faut dire qu’il fait très chaud. Le parfum de Germaine est diabolique. Et c’est vrai, le club est très élégant, sobre et chic, rien à voir avec ces clubs libertins dont on voit parfois les images à la télé, néons roses inclus. Et si ça ressemble un peu à une boîte de nuit, les clients qui passent ça et là, enroulés dans leur serviette, nous rappellent que l’endroit n’en est pas tout à fait une. Ils sont tous les deux attablés dans de profonds canapés, une bouteille de champagne ouverte, et la musique variée venant d’une salle adjacente, trop assourdissante, permet de discuter tranquillement. Germaine connaît le pouvoir de séduction de ses fines chevilles et de ses jambes que sa robe a découvertes quand elle s’est assise ; aussi, elle évalue l’effet produit sur les quelques hommes présents, avec son regard coquin et un sourire engageant. Des éclairs de couleurs zébraient l’obscurité. La musique assourdissante emplissait la pièce de ses rythmes déchaînés.
– Je ne vois pas de beau mec pour le moment, dit-elle. Je suis inclinée à tenter de nouvelles esperiences sexuelles! – Quelles experiences? – Je ne sais pas! – Mon chéri! Je veux alors que tu ailles aux toilettes et que tu regardes qui est le mieux membré.
Tout en elle est léger. Elle flotte. Ses sourires sont lumineux, ses traits aériens, ses cheveux fluides, et sa démarche semble la déplacer sans effort. Elle regarde son mari comme si elle regardait un Dieu. La tension dans sa voix est évidente. Il a une flûte de champagne à la main et un sourire las. Il se tourne vers le miroir et lève son verre. Tous élégants, certains sont encore en tenue de piscine, serviette autour de la taille pour les hommes, sur les seins et les hanches pour les femmes… Ou pas du tout, mouvements obligent : une belle blonde dans la quarantaine danse lascivement et entièrement nue, les pieds sur sa serviette, avec deux jeunes hommes en costume. Le contraste est saisissant. Au vu de la soirée riche en émotions. Ses beaux yeux bleus rayonnent au récit qu’elle m’en fait et, déjà, l’émotion lui gagne le ventre, le sexe, au souvenir de ses abandons récents par-ci, par là. Peu de gens peuvent se douter que, derrière son aspect de mignonne sexagénaire bourgeoise, se dissimule une libertine expérimentée, toujours prête à tenter l’aventure, le cas échéant. Elle aime jouer sur ce double aspect de sa personnalité et m’en confier les épisodes, toujours excitants.
– Je me découvre voyeuse et j’adore ça! – Tu n’aurais pas envie d’être regardée, comme Christelle sa amie libertine tout à l’heure? Lui demande-t-il. - Vous avez déjà fréquenté un endroit comme ici, avant? - Non, jamais. Tu es mystérieuse et belle. Tout pour plaire.
Son envie d’elle est bestiale. Sa chatte lui est littéralement offerte. Il éjacule enfin, de puissants jets de sperme viennent s’écraser sur le bas de ton ventre, sur ton pubis, les derniers finissent sur tes lèvres écartées.
Il se retire de toi et il voit distinctement un flot de sperme s’échapper de sa chatte. Souillant ta robe et le skaï de sa voiture. Quelle quantité! Elle se maquille soigneusement. Ses cheveux sont soigneusement coiffés et attachés en queue de cheval.Ce qui faisait son charme, c’est que derrière ses pupilles sombres se devinait un homme cultivé, intelligent, raffiné. Autre chose qu’un simple queutard compulsif. Autre chose qu’une libido mal contrôlée. Un certain raffinement, une certaine élégance. Le raffinement de la perversion, a-elle envie de dire à présent.Dans l´après midi elle allait à la maison du peintre. – Germaine? – On ne peut plus se voir. Tu dois m´écouter. – On ne plus se voir, allons… Je m´amusait avec vous. – Ne rends pas les choses plus difficiles qu´elles ne sont, ok? Je ne peux pas me controler.
Fin
Ivan Ribeiro Lagos