Deuxième partieVoilà 3 jours que nous crapahutons, Sophie et moi, dans le massif du Vercors, d’auberges en refuges et de refuges en gîtes…C’est très beau, mais plutôt crevant…Sacs à dos de 10 kg, marches de 6 h par jour en moyenne…Le moral est au beau fixe, comme la météo, d’ailleurs…Enfin, j’ai sans doute parlé trop vite, voilà des nuages qui s’accumulent au-dessus de nous…Ca y est, on a droit à un orage du « tonnerre » ! il pleut des cordes et, comme nous sommes sur le plateau, pas un arbre, par une cabane pour nous abriter ! Pas d’autre solution que de continuer à marcher, bientôt complètement trempées car on a oublié les K-way à Paris… Oh, qu’est-ce qu’il tombe ! Et le tonnerre qui se rapproche ! Sophie, d’habitude optimiste et rassurante, presse le pas en serrant les dents…— Allez, dépêche-toi, Anne, ça ne me plait pas du tous ces éclairs… Le refuge ne doit pas être loin…Au détour du chemin, on aperçoit le refuge qui porte particulièrement bien son nom. On se jette sur la porte au moment précis où un coup de tonnerre éclate juste au-dessus de nos têtes ! Je manque de pisser dans ma culotte !Dans le refuge, au début, on ne voit pratiquement rien, seulement un superbe feu de bois qui flambe dans la grande cheminée… Deux silhouettes confuses se redressent soudainement et s’enfuient dans la pièce attenante… On a quand même le temps d’entrevoir deux mecs, à poil !Sophie et moi on se regarde, interloquées, puis, au bout de quelques secondes, on commence à comprendre : on vient de déloger deux pédés qui, se croyant seuls, se donnaient du plaisir devant le feu de bois ! Ils s’étaient installés confortablement plein de couvertures face à la cheminée et en profitaient pour faire sécher leurs vêtements, eux aussi trempés par l’orage…— Hé les mecs, vous frappez pas, on n’est plus des communiantes, même si on est bien « tombées de la dernière pluie » !…Venez, pas la peine de vous cacher !Nos deux héros reviennent, vêtus d’un seul slip (chacun…) plutôt gênés… Sophie et moi, on se retient de rigoler. Mais, rapidement, Sophie commence à mieux les regarder, les évaluer comme elle a la détestable habitude de faire dès qu’elle voit quelque chose qui porte un pantalon (enfin, susceptible d’en porter un…). Un petit sourire égrillard sur les lèvres :— Ça vous ennuie qu’on profite de votre feu, on est trempées de la tête aux pieds, tout le contenu des sacs aussi, on n’a plus rien à se mettre de sec ! Si ça vous gêne, regardez de l’autre côté…Et la voilà qui se fout à poil et qui suspend des affaires de rechange sur la corde tendue devant le feu ! Moi, je ne sais pas où me mettre !— Allez, Anne, fais comme moi, sinon tu vas attraper la crève, y a plus rien de sec dans les sacs !Il n’y a vraiment qu’à nous que ce genre de choses arrive ! On dirait qu’on attire ces situations scabreuses, Sophie et moi quand on est ensemble ! Je suis horriblement gênée, vous pensez bien ! Me déshabiller devant des inconnus ! Pourtant, elle a raison Sophie, je ne peux pas rester comme ça… Je conserve quand même mon slip et mon soutif… Vous imaginez, montrer mes gros seins à tout le monde !— Mais enfin Anne, tu t’imagines que ça va sécher sur toi ? Allez, enlève-moi ça, nos amis comprennent très bien ! A la guerre comme à la guerre ! Tenez, mon amie est très pudique, vous voulez bien regarder ailleurs s’il vous plait ?Les deux types se sont assis sur un banc, devant le feu et nous reluquent, à leur tour goguenards… C’est Sophie qui vient elle-même me dégrafer mon soutien-gorge. Mes seins ont l’air de jaillir, enfin libérés… j’ai tellement honte ! Je tente, assez inutilement, de les cacher avec mes bras… Quand elle descend mon slip, les deux types se mettent à applaudir en ricanant bêtement…— N’est-ce pas qu’elle est belle mon amie ? Dites-le-lui ! Elle trouve qu’elle a de trop gros seins ! C’est stupide, non ?— Vous êtes toutes les deux de vrais canons ! C’est vrai qu’on tuait le temps en se faisant du bien, quand vous êtes entrées, mais un beau cul et une belle paire de nibards ne nous laissent pas indifférents !C’est le grand brun qui a parlé. Très athlétique, assez poilu du torse, il a maintenant l’air sûr de lui et arbore un sourire franc, ma foi assez séduisant, je dois dire… L’autre, blond, plus petit, sec, du genre grimpeur d’escalade, reste silencieux. Il n’arrête pas de me regarder… fasciné par mes seins, évidemment ! Je n’ose pas le regarder, de peur qu’il ne comprenne ça comme une invite… Il commence à s’installer plus à l’aise sur son banc, étend ses jambes et nous montre maintenant, sous son mini-slip, une érection tout ce qu’il y a de manifeste ! Allons bon, je me disais aussi que ces vacances étaient bien calmes !Ah la la, mes amis, quelle aubaine ! Deux mecs à poil qu’on a surpris dans ce refuge ! et deux pédés en plus ! mais pas exclusivement, à en juger pas la superbe érection qu’ils n’ont pas tardé à se payer l’un et l’autre en nous voyant nous mettre nues ! Bon, eh bien une fois de plus, c’est à moi de prendre les choses en main, si j’ose dire, cette Anne est si godiche qu’elle serait capable de repartir trempée sous la pluie plutôt que d’aller apprécier la fermeté des deux belles bites qui se dressent pour nous !Moi, c’est pour le grand brun que je commence à mouiller… Des muscles ! des poils sur le torse ! Je m’approche de lui et m’assieds sur le banc à côté… Je le regarde bien dans les yeux… Il me répond par un gentil sourire et se penche pour m’embrasser. Oh, quel régal, des lèvres douces, une langue entreprenante. Je lui donne la mienne à sucer… ça à l’air de l’exciter… Je descends voir ce qui se passe plus bas : une fort belle queue ma foi : très large, longue, 20 cm au moins, dure comme du bois, voilà qui promet de multiples plaisirs… Anne reste, comme on pouvait le prévoir, coincée, les fesses rentrées, les bras sur les seins… Quelle pitié !Pendant que je m’occupe avec le membre de mon grand brun, son ami se lève, fait glisser son slip et révèle ainsi une bite fine et longue, cambrée, qui remonte à la verticale pour toucher quasiment son nombril. Je regarde ça avec gourmandise : la bite idéale pour se faire enculer.Ce n’est pas vers moi qu’il se dirige, mais vers Anne, toujours pétrifiée de honte. Il s’approche d’elle, lui décroise de force les bras qu’elle gardait toujours sur ses gros seins, et commence à lui sucer les pointes (pourtant bien durcies, je trouve, pour quelqu’un qui est sensé avoir la honte de sa vie.). Evidemment, ça, pour Anne, c’est la caresse qui tue ! Elle est capable de jouir rien que par les seins, j’en ai fait plusieurs fois l’expérience ! Je l’entends qui commence à gémir pendant que le mec lui pétrit les mamelles, les lèche, mords les tétons. Alors je vois les mains d’Anne se poser sur le corps de son amant, sur son dos, descendre vers ses fesses qu’elle caresse maintenant sans retenue, se diriger vers la queue pour la caresser sur toute sa longueur. Ouf, ça y’est, elle est partie ! On va pouvoir passer aux choses sérieuses ! Une partie carrée, on n’avait plus connu ça depuis Val d’Isère !Oh la la ! quelle situation ! Me voilà toute nue devant des inconnus ! Et qui n’ont pas les yeux dans leur poche ! Mais pourquoi est-ce mes gros seins qui les attirent tant ? Le petit sec, là, qui me reluque avec son air vicelard. Et le voilà qui se lève et qui vient vers moi. Mais il s’est foutu à poil !.Et il bande le salaud ! Et quelle queue ! une vraie trique, longue, dure. Je n’ose pas la regarder, dès fois qu’il s’imaginerait qu’elle m’intéresse.Mais qu’est-ce qu’il fait ? il vient me lécher les seins ! Oh, comme j’ai honte ! Ah, c’est tellement bon ! Le voilà qui passe sa langue sur mes tétons, qui joue avec, qui me lèche sur toute la longueur de mes gros nibards ! Ah, je n’en peux peut déjà plus. Je sens ma vulve qui commence à couler. Pourvu qu’il ne s’en aperçoive pas. Je ne sais pas quoi faire de mes mains. En fait, je fonds tellement lorsqu’on me caresse les seins que je deviens toute tendre, comme malgré moi. Je pose mes mains sur son dos. J’ai tellement envie de le serrer contre moi. Je descends vers ses fesses pour l’attirer vers moi. Et cette queue que je sens battre contre ma cuisse. C’est plus fort que moi, je tends la main pour sentir sa dureté. Ouah ! quel membre ! Une vraie barre d’acier ! Et une peau toute douce pourtant. Je la fais coulisser. Elle dégage une odeur de pisse, pas trop forte. Monsieur doit avoir de l’hygiène.Je vois du coin de l’œil Sophie se lever, abandonner la bite du grand brun, venir derrière moi. Ah la garce ! elle profite de la situation ! Elle s’agenouille, écarte mes fesses et je sens sa petite langue qui se glisse tout le long de ma raie. Ah, c’est trop bon ! Quand elle essaye de m’enfoncer sa langue dans mon petit trou, c’est moi-même qui prends mes fesses à deux mains pour les écarter ! Quelle salope je fais !Le petit blond va s’allonger sur les couvertures devant le feu en m’attirant avec lui. Il s’installe tranquillement sur le dos, appuyé sur ses coudes et écarte ses jambes pour bien mettre en évidence sa bite :— Allez, viens me sucer la bite, salope, tu en meurs d’envie. Et prépare-la convenablement parce ce que tout à l’heure, elle va t’enculer. Vous êtes deux putains de salopes qui ne rêvez que de vous faire sodomiser, hein ? Et bien vous allez être servies !Cette fois, accroupie à genoux sur les couvertures, je n’ai pas besoin d’écarter mes fesses, complètement offertes à la langue de Sophie qui me glisse un, puis deux doigts dans l’anus.— Alors, qu’est-ce que tu attends pour me sucer ? Il faut te faire un dessin ? Dépêche-toi sinon je t’encule à sec !Il est bien capable de tenir parole le salaud ! En tout cas il bande assez fort pour n’avoir aucun mal à mettre sa menace à exécution. Je prends la queue dans ma bouche et je m’applique à l’enduire du plus de salive possible tout en la masturbant. On ne sait jamais, dès fois qu’il partirait tout de suite.— Non mais dis donc, on n’est pas à la course, on a tout notre temps ! Suce-moi ça convenablement s’il te plait ! On ne t’a jamais dit qu’une langue, ça sert à masser le gland. Allez, allez, oui, comme ça. Oh la salope ! putain que c’est bon ! Et mes couilles, tu les oublies ! allez, doucement. Oui, comme ça. Oh la pute, elle me les gobe. Allez, on s’arrête sinon, je vais gicler tout de suite.Il se relève et vient prendre la place de Sophie derrière moi. Je ne le dirais à personne d’autre qu’à vous, mais j’ai le pressentiment que je vais prendre un pied d’enfer ! Rien que l’idée que cette bite mince et longue va m’enculer, ça me rend à moitié dingue.Il commence par m’enfoncer sa queue dans le vagin pour la lubrifier.— Eh bien dis donc, mais c’est une vraie piscine là-dedans ! Ouah ! je n’ai jamais senti une mouille aussi grasse et épaisse ! Tu dois en avoir une sacrée envie, hein ? Avec tes airs de vierge effarouchée, tu n’es qu’une sale petite pute avide de se faire baiser par tous les trous !Il se retire de mon con et pointe son membre à l’entrée de mon petit trou.— Prête pour le grand saut ?— Mais vas-y, qu’est-ce que tu attends ? C’est pas le moment de faire des discours ! Enfonce-la moi ta queue !Je suis sûre que je l’ai vexé. Tant mieux s’il est brutal. Moi, la sodomie, j’aime quand c’est violent. Il m’enfonce toute sa bite d’un seul coup, jusqu’à la garde ! Hou la la ! qu’est-ce que je prends ! Heureusement que Sophie m’a bien préparée ! Sans attendre, il me lime sans ménagement, des grands coups de queue en déculant complètement à chaque fois. Peu à peu, je sens une chaleur délicieuse se répandre dans mes boyaux. Le membre glisse sans difficulté maintenant, comme une grosse saucisse bien huilée. Comme je suis à présent habituée à son calibre, je resserre mes sphincters pour mieux le sentir, .— Mais elle me tête la bite cette salope ! Ahhhhhh ! je ne peux plus me retenir ! je jouiiiiiiis !Il décule pour envoyer toute sa purée. Je sens les giclées de foutre épais qui jaillissent sur mon dos, mes fesses. Il finit par m’envoyer une grosse rasade en plein sur l’anus avant de rentrer une dernière fois dans mon cul, resté complètement ouvert, pour finir de jouir. On reste comme ça quelques instants et je sens peu à peu sa bite ramollir, encore dans mon rectum, jusqu’au moment où elle sort toute seule, comme un petit étron.Moi, je suis loin d’avoir mon compte, je n’ai pas encore vraiment joui. Je m’apprête à me relever quand je sens un liquide chaud me gicler sur le dos et sur les fesses! Ce salaud est en train de me pisser dessus! Je sens la pisse chaude me dégouliner le long de la raie, inonder la vulve et descendre le long de mes cuisses ! Ca me rend complètement folle ! Cette fois, il suffit que je me touche le clitoris, la main imprégnée de ce mélange de foutre, de mouille et de pisse, pour que je décolle ! Ouah, quel pied ! Et qu’est-ce que je sens ? l’énorme queue du grand brun, qui n’en pouvait sans doute plus du spectacle, vient m’enconner pendant que je continue à jouir ! Alors là, c’est trop ! je repars pour une deuxième vague, d’autant plus que la taille de sa queue est sans commune mesure avec la bite précédente ! Je suis toute remplie, c’est génial ! Je jouis comme une folle !.Je finis par sombrer, à moitié évanouie.Ah, vous auriez vu ma petite Anne jouissant comme une dingue sous les jets de pisse de son enculeur ! Quel spectacle ! Celle-là, une fois que c’est parti, accrochez-vous aux branches si vous voulez la suivre !Et mon beau brun musclé qui se dévoue (façon de parler.)pour qu’elle puisse se finir sur une vraie bite. Mais elle n’en peut plus, elle a trop joui, et quand il sort du con d’Anne (hou, le con d’Anne qui condamne, qu’est-ce que c’est mauvais !.), c’est une superbe queue en plein état de marche, toute huilée des sécrétions de son vagin qui cherche désespérément à présent un endroit pour l’accueillir. C’est une vraie mission de service public qui m’incombe : il faut intervenir sans délai.Je m’allonge sur les couvertures, auprès du feu qui répand sa chaleur bienfaisante, j’entends les bûches qui crépitent dans le silence vespéral des montagnes solitaires. Je m’ouvre toute entière à mon merveilleux amant. J’écarte moi-même les lèvres de ma vulve pour bien lui montrer le chemin (on ne sait jamais.)et je guide son membre. Quel plaisir divin ! qu’est-ce qu’il est gros ! Il glisse doucement tout au fond. Je suis toute pleine et je sens l’entrée de mon sexe s’arrondir autour du pieu. Sa bouche descend vers la mienne, nos langues se mélangent. Je suce la sienne comme je lui sucerais la bite. Sans sortir de mon con, il s’assoit sur ses talons et, tout en continuant à me limer puissamment, il me suce les tétons, me lèche les seins. C’est génial ! Le voilà maintenant qui s’occupe de mon clitoris avec le pouce de sa main droite. Mais c’est l’amant idéal que j’ai rencontré là ! je jouis une première fois, longuement. Mes muscles internes se resserrent autour de la grosse queue, je crie mon plaisir :— Ahhhhh !, je jouiiiiiis ! vas-y, plus fort, bourre-moi à fond !Mon bel amant n’a pas joui, lui. Quelle maîtrise !.Après m’avoir laissé récupérer quelques instants, il recommence à me baiser avec douceur. J’entoure voluptueusement son corps de mes longues jambes pour le sentir plus au fond.Son copain nous regarde, fasciné par le spectacle de nos corps unis. Sa bite recommence à bander. Elle ressemble pour l’instant à une grosse saucisse encore molle qui s’allonge le long de sa cuisse. Je le regarde en souriant : il comprend vite et se rapproche de mon visage pour que je puisse le sucer. Dans ma bouche, il ne tarde pas à retrouver toute son ampleur. C’est incroyable comme ce type à la bite dure. Je lui suce le gland, ne pouvant aller beaucoup plus loin dans ma position, et lui masse doucement ses grosses couilles qui ont l’air toujours bien pleines.Ah mais, qu’est-ce qu’il fait ? où est-ce qu’il s’en va ? Le salaud ! il va se placer derrière son copain pour l’enculer ! Je ressens indirectement le moment où la queue lui pénètre le cul : mon amant se raidit, cesse de me limer, fait une grimace de douleur (ah les hommes, quels douillets !).— Eh, vas-y doucement ! je te signale que tu m’encules à sec, personne ne m’a préparé !Pourtant, au bout de quelques instants, ses réactions se transforment :— Oh oui, ça devient bon ! vas-y, tu peux me la mettre complètement ! Ohhhhh ! qu’est-ce que c’est bon ! Allez, bourre-moi ! encule à fond, mais vas-y je te dis, je veux la sentir glisser, allez, plus vite, plus fort !Ca devient du délire ! Je ne suis pas jalouse parce que mon bel amant bande encore plus fort dans mon con dégoulinant et que j’en profite, mais enfin, je vois bien que ce n’est pas à moi qu’il doit d’être aussi excité. En fait, ce sont les mouvements du petit blond qui impriment les va-et-vient de mon baiseur : il me baise par enculé interposé pourrait-on dire !Tout ça c’est bien joli, mais il me faut des sensations un peu plus corsées, à moi ! Je ne vais pas les laisser s’épuiser l’un avec l’autre sans les utiliser à fond !Je me dégage et je leur propose de s’allonger tous les deux côte à côte sur le dos. Puis je m’enconne et je m’encule successivement sur l’un, puis l’autre. La queue du grand brun à plutôt du mal à rentrer dans mon cul, ça je n’en serais doutée. Il me faut un peu de persévérance pour faire franchir au gland, pourtant bien lubrifié par ma mouille, la barrière de ma bague anale. Mais enfin, je finis par y arriver…— Ouah ! quel morceau ! j’adore me faire mettre pourtant, mais j’en ai rarement pris une aussi grosse !Enfin le voilà au fond, je me sens toute remplie. C’est complètement fou !Par contre, la bite du petit blond, si elle rentre à l’aise dans mon anus, je ne la sens pas beaucoup dans mon con, complètement élargi comme après le passage de la grosse queue.Je me sens prise de folie : avoir deux belles bites pour moi toute seule ! (Anne n’est plus dans les vaps, mais elle se contente de lorgner la scène, pour l’instant.). Je me relève et, inspirée par l’épisode de tout à l’heure :— Attention les mecs, je vous pisse sur la bite !Je me mets en position, le bassin en avant. Un jet puissant sort de mon con avec un chuintement terriblement fort ! j’ai du mal à le diriger sur les queues au début, mais je finis par y parvenir en écartant mes grandes lèvres avec mes doigts et en basculant davantage le bassin ! C’est fantastique ! quelle sensation de puissance ! leurs bites sont copieusement arrosées d’un jet jaune clair. Les mecs sont aux anges et s’étalent ma pisse sur tout le corps. Leurs bites se tendent encore davantage : ma pisse les rend fou de désir et d’excitation ! Je me demande un instant s’ils ne vont pas éjaculer spontanément. Le petit blond (un sacré vicelard celui-là.)ouvre la bouche pour boire : je ne veux pas le priver et finis de me vider au-dessus de son visage, dans sa bouche grande ouverte.Alors là, on devient tous vraiment dingues, c’est de la folie, de la frénésie comme je n’en ai que très rarement connue. Je plonge littéralement sur la queue du grand brun, m’enconne dessus brutalement jusqu’à ses couilles pendant que l’autre, avec encore moins de ménagement, m’encule d’un seul coup. Là, je suis vraiment comblée (heureusement direz-vous !). On n’entend plus que des râles de jouissance :— Oh putain, qu’est-ce qu’elle est bonne cette salope ! Ma bite est toute serrée dans son cul ! Arghhhh, je vais bientôt jouir !— Allez-y ! bourrez-moi avec vos deux queues, je les sens, je les sens, c’est dingue, je deviens folle ! Je veux votre foutre à tous les deux dans mes trous, je veux que ça déborde de partout ! Giclez-moi tout ce que vous avez dans vos putains de couilles !Anne, maintenant super excitée par le spectacle, vient se faire sucer la cramouille par celui qui m’enconne, en se mettant à califourchon au-dessus de sa tête. Je vois la grosse langue qui lape la cyprine dégoulinante du con, qui se glisse entre les grandes lèvres. Elle se retourne pour me faire face, toujours à califourchon sur le visage de mon baiseur pour se faire lécher l’anus, cette fois. Je réussis à me pencher pour lui sucer le clitoris. Elle est la première à partir. J’aspire à mon tour sa mouille grasse et crémeuse pendant que le grand brun lui enfonce deux doigts dans l’anus. Tout son corps se tend comme un arc.Ensuite c’est au tour de mon enculeur de m’envoyer tout son jus dans les entrailles. Je sens alors la grosse saucisse qui coulisse plus facilement, lubrifiée par le sperme.— Allez prend ça, petite salope, prend tout le foutre que je t’envoie dans ton trou à merde !Il reste abuté au fond et je ressens les derniers jets qui finissent d’inonder mon rectum.Moi, je sens un orgasme dément arriver alors que j’ai encore la bite au fond du cul.— Je viens, je viens ! au secours ! je jouiiiiiis, je deviens folle ! c’est trop ! Arghhhh ! je vais t’inonder ta grosse bite de mon jus ! Vas-y, vas-y, viens toi aussi, je veux sentir ton foutre s’il te plait, envoie-moi ta purée maintenant !Mon bel amant ne se fait pas prier deux fois : c’est le dernier à partir et alors là, qu’est-ce qu’il m’envoie ! C’est vrai qu’il n’avait pas encore éjaculé ! il devait y en avoir un sacré paquet ! Mon vagin clapote de tous les jus mélangés, ça lui dégouline sur les couilles, les cuisses, dans la raie des fesses, les draps. !On sombre tous les quatre devant le feu dans l’inconscience, comblés, repus de plaisir. Le jour a laissé place à la nuit et on entend les chouettes dans le silence.FIN