Je ne pensais jamais vivre une aventure aussi intense à l’hiver de ma vie. Je suis bisexuel depuis mon adolescence, je suis marié à une femme ouverte étant, elle aussi, bisexuelle. Mais voilà , on vieillit et ma femme, n’a plus cette libido qui faisait d’elle une bombe sexuelle.À l’aube de devenir septuagénaire, me voilà veuf de sexe. J’ai encore une libido débordante, je me masturbe fréquemment, je lèche encore mon sperme, histoire de me rappeler ce goût étrange. Je regarde des films, des clips pornos, des images de belles femmes comme des images de beaux hommes. J’ai des jouets érotiques, comme des dildos de bonnes pointures pour me faire jouir de la prostate. Évidemment, je fais cela quand je suis seul.À mon avis, et sans me vanter, je suis encore un bel homme avec tous mes cheveux argent. J’ai pris un peu de poids certes, mais je me maintiens avec des exercices. J’ai encore un corps presque imberbe, et j’ai encore mes belles cuisses et mes belles fesses. Mais voilà , je m’ennuie sexuellement et, étant donné que j’ai vieilli, il n’est pas question que j’aille dans des bars gays ou autres pour faire des conquêtes.J’ai eu d’innombrables aventures homosexuelles, surtout entre 30 et 60 ans, et je dois avouer que cela me manque. Avec ma femme, on avait un amant qui était plus jeune que nous, il était bisexuel, ce qui comblait nos désirs et nos plaisirs. Mais hélas, il n’est plus disponible. Me voilà abonné à un chat room, je converse avec des hommes, des gais et des bisexuels. Parfois, c’est stimulant, nous sommes tous un peu voyeurs, je me masturbe devant une caméra et mon interlocuteur aussi, c’est jouissif, mais c’est virtuel.Voilà que je fais la rencontre de Jacques, il n’a pas de caméra et la mienne est en panne, faute de corruption de logiciel. C’est un homme qui me dit avoir 68 ans, marié et grand-père plusieurs fois. Comme avatar, j’expose ma queue comme font plusieurs hommes, sauf que Jacques n’a pas d’avatar. Il m’invite en privé :— Salut !— Hello ! que je réponds.— C’est ta queue ?— Oui !— Bien jolie.— Merci, tu es gai ou bi ?— Je ne sais pas, je suis marié et grand-père, hétéro mais curieux.— Tu as quel âge ?— 68, et toi— 69, on n’est plus des jeunesses, lol !— Non en effet !— Tu cherches quoi ?— Je ne sais pas trop, j’ai une vie sexuelle plate !— Tout comme moi, tu as déjà été avec un homme ?— Adolescent oui, et j’en garde un très bon souvenir, toi ?— Oui très souvent, j’ai toujours aimé sucer des queues !— Oui je me souviens que c’était bon et excitant !— Moi, j’avale !— Mmm ! Jamais fait ça, mais j’aimerais bien essayer !— Tu as déjà léché ton sperme ?— Oui et je le fais parfois encore.— Tu aimes l’anal ?— Non.— Même pas te faire lécher l’anus ?— Oui, mais ça m’est arrivé il y a fort longtemps.— J’adore sucer un bel anus !— Arrête, tu vas me faire jouir !— Tu te masturbes là  ?— Oui, je suis tout nu et seul à la maison.— Moi aussi, nu, seul et je me masturbe, j’aimerais bien te sucer, elle fait combien ta queue ?— 19 centimètres.— Tu me niaises ?— Non, je mesure 1,90 m.— Wow, tout un homme ! Ton poids ?— 95 kilos, je me tiens en forme, mais j’ai quelques bourrelets, lol !— Moi 1,55 m, queue 16,5 centimètres et 88 kilos, et pas poilu avec quelques bourrelets aussi.— Moi non plus, pas très poilu, sauf une barbichette, pas beaucoup de cheveux sur la tête, mais je me fais une tresse.— Moi, j’ai mes cheveux, mais argent !Je reçois une photo de lui nu, sauf la tête. Je suis obnubilé, c’est homme costaud et je vois un long sexe pendouiller. Je lui envoie moi aussi ma photo, nu du devant et du dos.— On n’est pas si mal pour des petits vieux, lol !— En effet, tu as un sexe comme mon ami étant jeune.— Sur ta photo tu n’es pas bandé et je suis impressionné.Je reçois une autre photo, c’est sa queue bandée. Je suis troublé, c’est le genre de queue que j’aime, gros gland, queue lisse, épaisse et longue.— Wow ! C’est vraiment toi ?— Oui.— Je bande et je te sucerais à te sécher les couilles !Je lui envoie à mon tour la photo de mon appareil en érection.— J’aime ça un gland couvert de son prépuce, ça me rappelle vraiment mon ami quand j’étais ado. Laisse-moi te dire que tu as un beau cul.— Merci, tu te masturbes là  ?— Oui.— Moi aussi, tu m’as vraiment excité.— C’est réciproque, je vais jouir !Je suis excité moi aussi et je jouis. Je vais à la toilette pour m’essuyer, j’en ai plein les cuisses et la main. Je retourne au clavier, je lui demande s’il est là . J’attends et je me dis qu’il est peut-être parti.— Tu es là  ? me demande-t-il.— Oui, j’ai fait un gros dégât lol !— Moi aussi, ça fait du bien.— Mon nom est Jacques.— Moi Lionel.— Enchanté.— Moi aussi très enchanté.— Tu es très intéressant en tout cas.Je tente ma chance.— J’accepterais bien de te rencontrer.— Je ne sais pas, je n’ai jamais trompé ma femme.— Tu as l’impression que tu as trompé ta femme en te masturbant avec un autre homme, même si c’est en clavardant ?— Pas vraiment non.— Avoir du sexe avec un homme, ce n’est pas pareil, c’est du cul.— C’est tiré par les cheveux !— Tu ne pourras jamais tomber en amour avec moi et moi non plus.— Ça, je le sais.— Tu as des remords là  ?— Non.— Tu habites quelle région ?Il me dit quelle région il habite.— Wow ! On est à moins de 40 kilomètres l’un de l’autre.— C’est vrai.— Un rendez-vous pour un café, juste pour jaser et faire connaissance, ça n’oblige à rien.— Je t’avoue que je suis curieux.— Faisons-le, la vie passe trop vite.— Tu as bien raison. Où qu’on se rencontre ?— Tu connais la halte routière Esso, il y a un resto et un motel.— Oui, je connais.— Moi, je suis libre samedi matin prochain.— Les planètes sont alignées, moi aussi.— 9 h au resto, je vais porter une veste de cuir noir, j’ai les cheveux tout blancs.— D’accord, moi j’ai une veste brune et je suis assez grand pour que tu me reconnaisses.— Dac ! À samedi, alors, si tu changes d’idée, laisse-moi un message.On se quitte et je me demande si cet homme va me rencontrer, ça m’excite ce genre d’aventure. La semaine passe et le vendredi j’ai un message et je me dis qu’il va me dire qu’il cancelle. Eh non, il veut savoir si le rendez-vous tient toujours, je lui réponds que oui avec empressement. Là , je commence à avoir des papillons au ventre. Je n’en reviens pas qu’il soit sérieux.Me voilà au resto, je suis assis au fond dans une banquette, il est 8 h 45 et le temps me semble si long. Je rigole en dedans, je me revois adolescent à mes premières expériences sexuelles. Puis, je le vois, c’est un grand homme, avec une barbichette poivre et sel, il me remarque, il sourit, il a un visage ridé, plus que moi, un nez large et les yeux bleus. Il me fait penser à un bûcheron.Il me tend la main, une main large, moite et froide, il est nerveux et moi aussi.— Salut ! Me dit-il.— Salut !Il s’assoit en face de moi, il a des épaules larges, il ressemble peut-être plus à un motard. On se regarde sans rien dire et la serveuse arrive et met une tasse devant Jacques.— Un café monsieur ?Elle verse le café et il me dit :— Je n’en reviens pas que je sois ici.— Déçu ?— Non… non… ça m’a juste pris tout mon courage.— Pareil pour moi !— Mais toi, tu as l’habitude ?— Non… première fois dans un chat room.— Ah… je croyais…— Non… avant j’allais dans des clubs gais… des spas… mais ça fait longtemps, très longtemps.— Tu as une belle gueule ! Me dit-il, promptement.Je n’étais pas pour lui raconter que ma femme et moi on avait un amant. On prend une gorgée de café et je demande :— On fait quoi… on discute… je ne veux rien brusquer…— Je… suis nerveux… tout tremble en moi…— On n’est pas obligé… si tu veux…— Non… je veux… je suis tanné de cette vie plate… famille… enfants… et rien de sexuel… je veux vivre autre chose ! me dit-il à voix basse.— Bon… je vais aller au motel pour prendre une chambre !— D’accord… je t’attends !Je suis anxieux et excité, je vais au bureau de location et je prends une chambre et je demande deux clefs. Je m’assois devant Jacques et je lui donne discrètement une clef. Je me lève et je sors. J’entre dans la chambre de motel qui est propre avec un grand lit, deux chaises, une petite table ronde, un bureau avec une télé à écran plat. Au fond, c’est la salle de bain, lavabo, bain et douche.Je m’assois sur le lit et j’attends. Ça me semble long, puis il ouvre la porte. Il me dit :— On est deux vieux fous !Je ris, je me lève et j’enlève ma veste que je dépose sur une des chaises. Je suis sur le côté du lit qui donne sur la fenêtre et je tire les rideaux. Je me déshabille et lui aussi, il n’ose pas regarder, mais il me dit :— Je suis plus nerveux qu’à ma nuit de noces !— Moi aussi je suis nerveux, mais pas autant ! que je dis en riant.Nous voilà en sous-vêtements, lui en caleçon de coton blanc et moi en boxer mais ajusté. Il vient pour embarquer dans le lit et je lui fais signe d’attendre et je retire la couverture.— Tu ne veux pas te coucher là -dessus… ce n’est jamais nettoyé !Il me regarde en souriant et il se couche sur le dos. Je vais le rejoindre et on regarde le plafond, au bout de quelques minutes je lui demande :— Tu veux que je te touche ? que je demande.— Oui… si tu veux !Je me couche sur mon flanc droit et je mets ma main gauche sur son ventre. Il n’est pas poilu ou très peu, doucement je caresse son ventre et je monte à son torse. Je caresse son mamelon gauche, il ferme les yeux et je sens qu’il frissonne.— Si tu n’aimes pas… tu me le dis !Il ne me répond pas. Je bécote son mamelon tout brun et il pointe. Je le suçote, il a le souffle saccadé, avec ma main, je passe sur son sexe qui me semble avoir grossi, ça m’encourage. Je saisis le cylindre de sa queue que je caresse et malaxe.— J’ai… j’ai pris une pilule viagra juste avant…— Bien… moi aussi !Je glisse ma main dans son caleçon et je couche sa queue sur son pubis.— Tu bandes… c’est mieux ça que l’ordinateur non ? que je dis, en masturbant sa queue.— Mmmm oui !Je baisse son caleçon et il m’aide à l’enlever. Son sexe est à la verticale dans toute sa splendeur. Je prends sa queue en main et je bécote son ventre.— Tu as vraiment une belle queue !— Merci… j’en suis assez fier !Je me lève debout dans le lit et je retire devant lui mon boxer. Je suis nu et très bandé. Je me couche à côté de lui et pense reprendre sa queue, mais c’est lui qui prend ma queue en main. Il masturbe ma queue et il la regarde.— Ça me fait tout drôle… ça fait si longtemps… je peux te sucer ?— Mais oui… ne te gêne pas !Je suis surpris de son audace. Il met ma queue dans sa bouche et il me suce, mais rapidement.— Hé ! Prends ton temps… rien ne presse… oui comme ça… savoure-la… caresse-la de ta langue… oui comme ça… attend… je te montre !Je vais entre ses cuisses, je me penche et je prends sa queue en bouche. Quel bonheur de sucer un gland aussi gros et beau. Je lèche et je suce son gland, mon bout de langue fait le tour de la collerette de son gland, je plonge le bout de ma langue dans son méat, je lèche le corps de sa queue de bas en haut, je mets son gland au fond de ma gorge et je donne trois ou quatre coups de tête. C’est très agréable. Comme moi, il s’est taillé le poil pubien. Je tiens sa queue et je suce chacune de ses couilles amoureusement. Il gémit de plaisir et il dit :— Wow ! Jamais qu’on ne m’a sucé comme ça… !— Tu vois… il ne s’agit pas de faire jouir l’autre trop vite… les femmes sucent à nous faire jouir… d’ailleurs, elles sucent pour nous faire plaisir… les hommes sucent pour le plaisir de sucer une queue !Je recommence à lui lécher les couilles et il ouvre les cuisses encore plus, je le sens plus détendu.— Tu sembles aimer ça ?— Ouiii, c’est bon… personne ne m’a fait ça avant… je veux essayer… je peux ?Je me couche et il met son torse entre mes cuisses, il prend ma queue qu’il décalotte et lèche, suce, lèche ma queue de tout son long, et le voilà qu’il suce et lèche mes couilles.— Mmmmouiiii ! Comme ça… pas trop fort… mmmm c’est bon !Je me caresse les cuisses en soupirant fort, puis je glisse ma main sous ma fesse et je me caresse l’anus. Il voit ce que je fais et il lèche mon doigt en passant sa langue sous mes couilles. J’entre mon doigt dans mon rectum, il se redresse, il est à genoux entre mes cuisses.— Ça va ?— Oui… j’ai failli jouir !Sa queue a des spasmes et elle coule d’un long étirement de jus clair. Je me déplace et je lèche d’un coup de langue son gland. Je suis assis, cuisses ouvertes, et je tiens mes chevilles.— Ça va ? que je demande.— Oui… je n’ai jamais été aussi bandé… ma queue va exploser !— Tu veux jouir ?— Non… pas tout de suite… c’est trop bon… et un coup que j’aurai joui… je ne sais pas si je pourrai continuer ?— Avec une femme… une éjaculation… parfois deux… mais avec un homme c’est deux assurées et parfois trois fois !— Je ne le sais pas… mais j’aime beaucoup ce qui m’arrive !— Viens… couche-toi à côté… on va parler !Il se couche, je prends sa queue et je l’astique lentement, il prend la mienne et me fait la même chose.— J’aime bien prendre ta queue… j’aime ça… je t’avoue que quand j’ai vu ton doigt entrer dans ton cul… ça m’a excité… moi je ne me touche pas là … quand je vais chez l’urologue… c’est un supplice !— Pas moi… tu veux t’amuser ?Je me lève et je prends un tube qui était dans ma veste. Je me couche et j’écarte les cuisses et je me mets du lubrifiant.— Tu vas me faire jouir de la prostate !— Quoi ? J’ai vu ça sur internet… c’est vrai ?— Tout à fait… tu as de gros et de longs doigts… c’est parfait !Je suis couché sur le dos, les cuisses relevées et écartelées.— Mets ton doigt… le majeur… pousse… hannnnn !Il est à genoux à côté de moi et il regarde son doigt disparaître entre mes fesses. Sa queue est à ma portée de main et je la prends, elle est dure comme un barreau. Son doigt est bien au fond et je soulève mes fesses et j’ondule un peu du bassin.— Tu sens une petite boule au bout de ton doigt ?— Oui !— C’est ma prostate… fais comme si ton doigt était dans un vagin… oui comme ça… hannn ! Oui… plus fort… Hannnnn ! Ouiiiiiiiiiii !Je jouis facilement de la prostate.— Mmm ! Tu vois… tu m’as fait jouir… regarde ce n’est pas du sperme… du liquide prostatique !Je trempe mon doigt dans le liquide sur mon ventre et je le goûte.— Tu peux goûter… c’est salé… c’est comme du liquide de vagin !Il met le bout de sa langue dans le liquide.— C’est vrai… c’est comme du précum !— Exacte ! Tu goûtes à ton précum, toi ?— Oui… j’aime ça !Il continue à aller et venir dans mon rectum, je soulève encore les fesses. Puis, sans que je le demande, il prend ma queue en bouche et il suce mon prépuce.— Mmm ! C’est bon ce que tu me fais… Hannnn !Et je jouis encore de la prostate et il prend le liquide dans sa bouche.— Tu peux jouir comme ça souvent ?— Mmmm ! Oui… c’est ça la prostate… mais il va y avoir de moins en moins de liquide et il va avoir plus de sperme… ce n’est pas comme jouir vraiment… c’est comme jouir du cul… c’est difficile à expliquer !Il retire son doigt et il le regarde.— Il n’est pas sale… je me vide le rectum avec une poire !— J’ai vu ça aussi sur internet !Je prends son doigt et je me le mets dans ma bouche et je le suce.— Hé !— Pour te montrer que c’est propre… tu veux que je te le fasse… la prostate ?— Euh ! Non…Je souris.— Tu en connais des choses… tu as couché avec beaucoup de gars ?— Oui… surtout quand j’étais jeune… une vraie putain !J’ai toujours sa queue dans ma main et je suis en admiration devant ce membre de chair.— Tu veux faire un 69 ? que je demande.— Oui… j’ai fait ça une fois avec mon ami dans le temps !Je me couche sur mon flanc gauche et lui sur son flanc droit à l’envers de moi. Ce que j’aime dans un 69, c’est de sentir l’excitation de l’autre et quand mon amant jouit, je jouis aussi. J’espère que dans l’excitation de la jouissance, il va m’avaler. Me voilà avec la tête entre ses cuisses et je bouffe ses couilles et il m’en fait autant. Je suce un peu sa queue et je la lèche de tout son long.Sa main caresse mes fesses et il pétrit ma fesse gauche. Je me dis : « il se dégêne ! » J’ai sous mes yeux, entre ses poils, son anus. Je m’étire un peu le cou et avec mon bout de langue, je touche à son anus. Il fait un soubresaut, j’arrête et je suce ses couilles, mais là , il ouvre encore plus les cuisses. Je retouche à son anus avec ma langue, il se cambre plus et là , il me pénètre de son doigt et il arrête de me sucer. Il m’offre plus son anus, que je lèche et suce. Mon bout de langue pénètre un peu, il aime ça, mais pas trop creux.Il est très excité et il me dévore la queue en me doigtant fortement. Je prends sa queue en bouche, il goûte le sperme et là , je le suce à le faire jouir. Il grogne et moi je me lamente, il serre sur lui, et voilà la sauce, moi aussi j’éjacule, il ne me repousse pas, il m’avale et moi je bois son sperme. Je ne sais pas combien de rasades j’ai avalées, mais il en avait beaucoup. L’intensité fait relâche, il cesse de me sucer et moi aussi, il se couche sur le dos, haletant. Je lèche les dernières gouttes qui coulent de son méat.— Je… j’ai joui comme un cochon ! me dit-il.— Tu as tout avalé ? que je demande.— Oui… et j’en suis surpris… ce n’est pas très bon… mais c’est excitant… et la langue dans mon trou… ouf ! C’était bon… personne ne m’avait fait ça avant… merci !Je remarque que sa queue est un peu penchée, il ramollit.— Tu veux continuer ? que je demande.Il prend sa queue et il l’astique.— Je… je ne sais pas !— Rien ne presse… tu es attendu quelque part ?— Non !— Moi non plus !Je prends sa queue qui est un peu molle et il prend la mienne qui est dans le même état.— C’est là qu’on voit que nous sommes plus des adolescents ! que je dis en riant.— Mais… je crois bien que je vais rebander !En effet, sa queue prend de la vigueur. Je mets ma cuisse gauche sur sa cuisse gauche. Je lui suce un mamelon, ce qui le fait rire. J’embarque sur lui, il me regarde surpris, je suis comme à cheval sur lui, mais couché. Ma tête est à côté de la sienne, je frotte ma queue sur le côté de sa queue. Ses mains glissent sur mon dos, mes fesses et mes côtés de cuisses.— Tu as la peau douce… pour un homme !— Tu aimes ça que je me frotte sur toi ?— Oui… c’est agréable !Un doigt caresse le fond de ma raie et il caresse mon anus. Je sens la dureté de sa queue sous moi. Je l’embrasse au creux du cou, il ne bouge pas. J’aimerais l’embrasser, mais je n’ose pas, j’ai peur qu’il me jette en bas du lit. Je me redresse et je le regarde dans les yeux.— Tu joues dans mon trou ?— Euh ! Oui… tu aimes ça non ?— Oui… j’ai envie de te frencher !— Quoi ? Non… ça ne se fait pas !— Il n’y a pas de différence… un gars ou une femme… c’est pareil !— Je…Je pose mes lèvres sur les siennes et je pousse ma langue dans sa bouche. Un bref instant, je crois bien qu’il est sur le point de me lancer en bas du lit, mais non, sa langue touche la mienne, sa bouche s’ouvre plus, et on se french la gueule. Je m’enlève et je le regarde.— Alors ? que je fais.— C’est… c’est pareil… et même mieux !Il relève la tête et sa bouche vient se souder à la mienne. Il me caresse les fesses et on bouge tous les deux du bassin.— Wow ! Je ne croyais jamais faire ça… jamais tu entends !Et il me claque une fesse.Je souris et je glisse sur lui, je suce ses mamelons, je lèche son ventre et je prends sa queue en bouche. Il est tout à fait bandé et je le suce à gorge profonde ce qui le fait râler.— Haaaaaa ! Que c’est bon… tu es le roi de la suce toi !Je m’acharne sur ses couilles, je lui fais relever les cuisses et je lèche son anus, ce qui le fait râler encore plus. Je le fais coucher sur le ventre, je prends ses grosses fesses à deux mains et j’ouvre ses fesses et je lèche le fond de sa raie de tout son long aller et revenir. Je me régale, il a une raie poilue et j’adore ça, je darde son anus que je pénètre de ma langue. Il se détend, mes assauts ne lui font plus refermer son anus. Il relève les fesses et je fornique son anus de ma langue drue.J’ai sa queue couchée entre ses cuisses. Je suce son gland, ce qui le fait mettre à quatre pattes. Je suce sa queue et je suce ses couilles, puis je suce longuement son anus. Il se retourne et dit :— Tu n’arrêtes jamais toi ?— Tu veux que j’arrête ?— Non… c’est pour toi… moi je vis le paradis !Je continue à me régaler de son cul et de sa queue qui est si longue et dure.— Ta femme ne te fait pas ça ?— Tu es malade ? Jamais qu’elle ne me ferait une chose semblable… !— Tu aimerais m’enculer ? que je demande.Il se retourne et s’assoit sur ses jambes.— Tu veux te faire enculer par moi ?— Ben… il n’y a pas d’autre homme ici !— Je… je n’ai jamais fait ça !— Il y a toujours une première fois !Je lui donne le tube de lubrifiant.— Euh ! Je n’ai pas de condom ! me dit-il.— Ne t’en fais pas… je ne tomberais pas enceinte !— Mais non… les… les maladies !— Je suis en pleine santé… ne t’en fais pas… et je sais que tu es en santé toi aussi !Je me place à quatre pattes, les fesses offertes. Il hésite, mais il me met du lubrifiant. Il est derrière moi et je sens son gland entre mes fesses. Il pose son gros gland sur mon anus et c’est moi qui pousse pour le faire entrer. Lui, il tient sa queue et il regarde mes fesses engloutir sa queue.— Mmmmm ! C’est gros… mmmm… j’aime ça !Ça faisait longtemps que je ne m’étais pas fait enculer et, en plus, c’est une grosse queue. Je le sens glisser dans mon ventre, et mes fesses touchent son bas-ventre et mes couilles ses couilles.— Tu… tu as tout pris ma queue… c’est comme dans les films… c’est serré… on dirait une bouche qui suce toute ma queue…— Mmmm ! C’est parfait… tu as juste la bonne queue pour moi !Je commence à bouger et lui aussi, il me fornique, c’est magistral. On fait en chœur ; « han ! Han ! Han ! ». Il se retire pour ne pas jouir, je me retourne et je prends sa queue en bouche.— Tu… tu es vraiment cochon !— Mmm ! C’est bon… c’est chaud…Je me couche sur le dos, cuisses relevées et ouvertes. Je l’invite à se mettre entre mes cuisses, il est à genoux et je mets mes cuisses par-dessus les siennes. Il tient sa queue et je m’encule moi-même sur sa queue. « Hannnnnnnn ! » Que je fais et il pose ses mains sur mes genoux et il me fornique comme ça. Je me masturbe et il me regarde en souriant.— C’est écœurant comme c’est bon !— Mmmm ! Tu fourres bien… Hannnn ! Que c’est bon… viens… couche-toi sur moi !Il est un peu surpris mais il se couche sur moi et moi je relève les cuisses et je pose mes talons sur l’arrière de ses cuisses.— Tu vois… tu vas me fourrer comme si j’étais une femme… ouiiii… comme ça… Mmmmm… vas-y fort, c’est bon, han !Il a le visage au-dessus du mien, il me regarde haletant par les coups de reins qu’il me donne. Je relève la tête et je l’embrasse. Nos langues se caressent dans nos bouches, il se lamente et moi aussi, je le tiens serré entre mes cuisses. Il me défonce le cul à grands coups et il pousse sa queue au fond de moi, il jouit et voilà que moi aussi. Il continue à me fourrer quelques coups, il relève la tête, il me regarde et dit :— Mon Dieu !— Non… moi, c’est Lionel !Il rit et moi aussi. Il est encore en moi, mais je sens sa queue ramollir.— Je… suis venu dans ton cul !— Et moi… entre nos ventres !Il relève un peu son corps et il regarde sous lui.— Oui… en effet !— C’était bon… tu m’as fait jouir !Il veut se relever, mais je lui dis de rouler avec moi sur le côté. Me voilà à cheval sur lui et je monte mes fesses et sa queue tombe.— Alors ? que je demande.— C’est… c’est vraiment… vraiment bon… je comprends plus les gais maintenant !— Et les bisexuels… maintenant tu es un bisexuel !— Tu m’as fait vivre des choses…Je me place à genoux à côté de lui et je prends son gland mou dans ma bouche.— Tu… tu fais quoi ?— Je te suce !— Tu es un cochon… mais là … tu m’as vidé !On va à la douche, on se lave et après on s’habille. Il me promet de revivre ça, si je suis d’accord. Je lui dis oui évidemment, on se laisse en échangeant nos numéros de cellulaires.Dans les jours qui ont suivi, je n’ai pas eu de nouvelles de lui. J’avais peut-être été trop loin ? Je prends une chance et je lui texte un message « hello ! », je n’ai pas de réponse. Je laisse courir, et je me demande bien pourquoi il m’avait donné son numéro. Puis, un matin, j’ai un message en privé dans le chat room.— Salut, excuse-moi, je ne t’ai pas répondu l’autre jour, des trucs familiaux à régler.— Hello, rien de grave ?— Non, mais là ça va, et toi tu vas bien ?— Oui, je vais bien, tu ne m’en veux pas trop ?— Pourquoi ?— J’ai été un peu cochon, j’espère que je ne t’ai pas trop traumatisé, moi quand je commence…— Non, j’ai beaucoup aimé ça et je me demandais quand on pouvait remettre ça ?— Après midi ?— Oui, parfait, je suis libre. Même endroit ? Je vais louer la chambre.— Parfait, texte-moi le numéro de la chambre.— D’accord, bien hâte de te voir mon ami.— Tu sais que nous sommes maintenant des fuck-friends ?— J’aime bien ce terme.— À plus !Me voilà de nouveau avec des papillons au ventre. Je ris en moi, car nous sommes deux vieux fous. Je me prépare pour la rencontre et je me rase les couilles et les poils de raie, je me taille les poils pubiens et je vide mon rectum. Je reçois un message « 39 », je réponds « j’arrive ». Trente minutes plus tard, je cogne discrètement à la porte et il m’ouvre, il a un grand sourire. Il porte une chemise et un jeans comme moi.— Je… je suis encore nerveux ! me dit-il.— Moi aussi… si ça peut te rassurer !Il avait enlevé le couvre-pied sur le lit, ce qui me fait sourire.— On se fout à poil ? que je demande.Nous voilà en train de nous déshabiller avec un air de gêne. Je suis surpris, il est nu et en érection. Je suis en admiration devant sa sublime queue. Il se couche et il prend sa queue qu’il caresse, il me regarde, je termine de me mettre nu et je bande aussi.— Viagra ? que je demande en pointant sa queue.— Viagra, et toi… j’ai beaucoup pensé à toi… et à ce qu’on a fait !— Pas de remords ?— Oh que non ! C’est juste du cul… pas vrai ?— Juste du cul !Je vais le rejoindre dans le lit et je me couche sur lui. Il me caresse le dos et les fesses.— C’est si bon ce contact ! Me dit-il.Je l’embrasse et il ouvre grand la bouche et il me serre sur lui.— Voici le menu… tu vas m’enculer et quand tu seras sur le point de jouir… je vais te sucer et avaler ton jus…— Cochon !Je me place à quatre pattes à côté de lui le cul bien offert, je lui donne le tube de lubrifiant. Mais, surprise, il me lèche le fond de ma raie et il lèche mes fesses.— Tu as rasé tes poils ?— Oui !— C’est drôle, moi aussi !— Cochon !Il me dévore le cul durant de longues minutes, je ne m’attendais vraiment pas à ça. Il lèche mes couilles et il me suce la queue Il me met du lubrifiant et il me doigte à deux doigts.— C’est… c’est mieux qu’un vagin !— Je sais !Voilà qu’il glisse son gland dans ma raie et il pousse sur mon anus qui s’ouvre sans difficulté, il entre en moi, je fais un long « hannnnnmmmmouiiiiii ! ». Ma queue va fendre tellement que je suis bandé. Le voilà au fond de moi et il commence à me tarabusquer le cul. Je me lamente comme une putain et il se retire pour ne pas jouir, je me retourne et je suce son gland.— Tu es vraiment cochon… mais j’aime ça !Je ne dis rien et je soulève sa lourde queue et je lèche et suce ses couilles.— Tu les as rasées, toi aussi ?— Oui !— Délicieux… n’oublie pas de me prévenir quand tu voudras jouir !Il remet sa queue entre mes fesses et il commence à me fourrer.— Tu as un plus beau cul que ma femme !— Han ! Han ! Tu exagères !Il ne me répond pas, mais il y va à grands coups, son ventre claque sur mes fesses. Puis, il sort de moi en grognant, je me retourne, je prends son gland en bouche juste à temps, c’est la fontaine, un geyser de sperme chaud. J’avale au fur et à mesure, il grogne comme un animal, il tient ma tête et il va et vient dans ma bouche.Il a terminé de jouir et je me couche sur le dos, genoux relevés et cuisses ouvertes.— Viens… fais-moi jouir de la prostate !— Oh oui !Le voilà à deux doigts dans mon rectum et il va et vient profondément dans mon rectum, il me fait jouir une fois de la prostate, il continue, il met ma queue dans sa bouche, il décalotte mon gland, il me suce en me doigtant violemment. Mes fesses ne touchent pas le drap, je beugle mon plaisir, c’est à rendre fou et j’éjacule. Il suce et boit mon sperme et il semble très excité par ce qu’il fait.— Mmmmm ! C’était délicieux cette passe… merci… on continue ? que je demande.Il suce mes mamelons, m’embrasse goulûment.— Et comment que l’on continue !Nous voilà comme deux vieux fous, faisant fi de nos âges, de nos corps vieillissants et des convenances. Nous sommes devenus des amants, des amoureux de sexe. Avec le temps, j’ai réussi à le faire jouir de la prostate avec un doigt, mais pour l’enculade, ça va prendre beaucoup de temps et de la patience. On se voit régulièrement, j’amène aussi des godes et des jouets. Il aime me faire jouir avec un gros gode dans mon cul. Il est fasciné par ce que je peux prendre dans mon cul.Enfin, c’est l’histoire de deux vieux fous qui n’ont pas renoncé au sexe et qui refusent de ne pas jouir jusqu’à la fin…