Docteur
Suite Ă une relation anale avec son mari, Margot ressent des douleurs. Elle va consulter son gĂ©nĂ©raliste assistĂ© d’un interne en fin de stage.
Proposée le 24/12/2018 par Margot45 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: MasturbationPersonnages: FHHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
Il était près de dix-neuf heures lorsque Margot entra dans la salle d’attente du cabinet médicale, où par chance seul deux patients attendaient leur tour. Margot un peu penaude de ce qui lui arrivait, avait attendu quelques jours supplémentaires pour consulter son vieux médecin de famille, qui repoussait sans cesse son départ à la retraite du haut de ses soixante-six ans. Elle le connaissait depuis ses dix ans lorsqu’il s’était installé dans sa petite ville, jeune médecin promut de la faculté de Tours.Jean Prioux avait perdu sa femme depuis quelques années, la retraite qu’il envisageait avec elle s’était effondrée, alors le temps ne comptait plus pour lui, il soignait, c’est ce qui l’importait comme un leitmotiv, un but dans sa vie.La salle d’attente sentait un peu le renfermé où le seul bruit qui cassait le silence était une toux ou un grincement de chaise en bois lorsqu’un patient changeait de position tant elles étaient inconfortable. Margot s’était décidée au dernier moment pour consulter, aussi n’était-elle pas repassée par chez elle changer de vêtements, elle arborait ceux qui seyaient le mieux à son emploi et qui d’après sa patronne donnait à la gente masculine une raison de plus de pousser la porte du magasin. A quarante-six ans, les hommes se retournaient sur son passage, elle en était fière, sa jupe de laine moulante finissant à mi-cuisses, portée sur son chemisier échancré jusqu’à la naissance de sa poitrine y était pour quelque chose, elle faisait bourgeoise et les mâles appréciaient.Son attente s’éternisait. Au bout de près d’une heure, la porte laissa entrevoir le visage du docteur Prioux dans l’embrasure.
– Bonsoir, viens, entre Margot.
La connaissant depuis de si nombreuses années, le toubib poursuivait son tutoiement du premier jour, alors que Margot gardait les mêmes distance et révérence que depuis son enfance.
– Bonsoir docteur.
Il la laissa passer devant lui, et entrèrent dans son cabinet qui restait le même depuis toujours. Un vieux et grand bureau dont on ne voyait la table tant il était couvert de calepin, ordonnance, livre, ordinateur… Sur le côté une pharmacie fermée à clé, dont les boites n’étaient guère mieux rangées que le bureau. Un éclairage digne d’une cave, qui donnait plus mal aux yeux qu’illuminer la pièce. Un jeune homme d’environ vingt-sept vingt-huit ans se tenait debout près d’un fauteuil.
– Margot, je te prĂ©sente ThĂ©o qui est en fin de cycle en mĂ©decine, et qui est dans mon cabinet pour un stage de deux mois. Ils se saluèrent d’un signe de tĂŞte. Je te pose la question comme Ă tout patient, est-ce que ça te dĂ©range que ThĂ©o soit prĂ©sent pour la consultation ? Sachant que d’y participer assurera ses connaissances, et que peut-ĂŞtre dans peu de temps c’est lui qui te soignera.
Ils la fixèrent dans l’attente de sa réponse. Prise au dépourvu, Margot ne pu que balbutier un « non, hum, ça va ».
– Je connais Margot et je la suis mĂ©dicalement depuis toute petite, voilĂ pourquoi je la tutoie, dit-il Ă l’intention du jeune homme. Puis il fit signe Ă tous de s’assoir.
– Que me vaut ta visite Margot ?
A cette question tout se brouilla en elle, elle voyait sans voir le docteur ni le stagiaire, ne se posant même pas la question de comment aborder le sujet, bien qu’elle se le fût répétée plusieurs fois dans la salle d’attente, mais il y avait cet inconnu, ce jeune qui aurait pu être son fils, qui n’était pas médecin, tout au moins sur le papier. Elle voulait se lever et partir, « non ce n’est rien, un peu mal à la tête c’est tout, au revoir docteur ! ».
Mais non, elle restait assise tétanisée, les mains posées sur ses genoux le regard dans le vide.
– Ça va Margot.
– Oui, oui, dit-elle machinalement.- Bien, alors dis-moi la raison pour laquelle tu es venue me voir ?
Elle prit une profonde inspiration et expira lentement la goulée d’air en relevant le visage vers le médecin.
– Jai, euh… Comment dire des douleurs Ă l’intestin.
– A l’intestin ? Mais plus prĂ©cisĂ©ment, au ventre, des coliques, c’est suite Ă un aliment que tu penses avoir mangĂ© ?
– Non, c’est au niveau de, euh… Au niveau de l’anus. Lâcha-t-elle prĂ©cipitamment.
– Et quel genre de tourment as-tu ? C’est lancinant, des brĂ»lures lorsque tu vas aux toilettes ? As-tu une idĂ©e dont s’est arrivĂ© ?La question qu’elle redoutait venait d’être posĂ©e, et non Ă huis-clos, mais en prĂ©sence d’un jeune freluquet, mĂŞme s’il Ă©tait en dernière annĂ©e de mĂ©decine !
– Lors d’un rapport sexuel, bredouilla-t-elle.
Profitant que la patiente fixait le bout de ses chaussures en signe d’errements, les deux hommes s’échangèrent un sourire de connivence.
– Tu as pratiquĂ© la relation anale Margot. Il faut en tout premier lieu dĂ©mystifier cette pratique, elle est naturelle, beaucoup de femme et d’homme y ont recours. Un homme d’église la condamnera surement, mais je suis un mĂ©decin, ce qui fait que j’en ai une toute autre opinion. N’oublie pas aussi Margot, que dans la dĂ©ontologie du mĂ©decin, c’est comme les trois singes, je ne vois rien, je n’entends rien et je ne dis rien de ce qui se dit ou se passe dans ce cabinet.
Elle hocha la tête en signe d’entendement.
– Alors dis-moi Margot est-ce que ça t’est arrivĂ© ? C’était une première fois, avec un sex-toy ou autre, avec ton mari ou autre ? La voix du docteur Prioux Ă©tait, calme, douce, posĂ©e, presque rassurante afin d’inviter sa patiente Ă s’épancher sur son intimitĂ©.
– C’est… Son regard fixait le stylo posĂ© sur le bureau, n’osant affronter celui du toubib et encore moins celui de l’interne. C’est lors d’une relation avec Mathieu, mon mari, prĂ©cisa-t-elle. Ce n’est pas la première fois que Mathieu me… me sodomise, il aime ça.
– Et toi, tu aimes cette pratique ? Tu prends du plaisir ?
– Oui, j’aime bien. RĂ©pondit-elle d’une petite voix fluette.
– Tu me dis aimer, c’est parce qu’à force que tu l’as subi tu te rĂ©sous Ă ĂŞtre prise ainsi, ou en es-tu demandeuse ?
– Non, non, j’aime bien, Mathieu le fait souvent, mais s’il ne le faisait pas, oui je lui demanderais, j’aime ça.
– Alors si tu pratiques souvent la sodomie, pourquoi cette douleur aujourd’hui, avez-vous changĂ© vos habitudes ? Te mets-tu du lubrifiant Margot ?
– Pas toujours. Peut-ĂŞtre que Mathieu Ă©tait davantage excitĂ© et que…
– Je comprends qu’il puisse ĂŞtre excitĂ©, mais si tu en as l’habitude, Ă moins que ça n’ait durĂ© trop longtemps, sa verge n’est pas devenue plus grosse, hormis la durĂ©e de l’acte je ne vois rien d’autre. Et vous ThĂ©o ? Demanda-t-il au stagiaire.
– Madame, votre mari a-t-il utilisĂ© un godemichĂ© ou introduit plusieurs doigts en vous dans l’intention de vous dilater ? C’est un fantasme très masculin, qui n’est pas dangereux par lui-mĂŞme Ă condition de ne pas ĂŞtre brusque.
– Il m’arrive d’utiliser des ustensiles, mais pas cette fois-ci.
– A-t-il mis ses doigts, interrogea ThĂ©o, combien ?
Il y eut un silence. Margot semblait réfléchir, mais à quoi ? A ce qu’elle allait répondre ou au nombre de doigts qu’elle avait perçu recevoir ?
– Je ne sais pas, peut-ĂŞtre trois ? Quatre ? Non, sincèrement je ne sais pas.
– Allez-y ThĂ©o, expliquez Ă Margot le dĂ©roulement de l’auscultation.
– Hum… Le stagiaire se râcla la gorge avant de se lancer. Madame B., nous allons procĂ©der Ă un examen mĂ©dical, pour voir si vous avez des lĂ©sions ou pas, et si oui, leurs ampleurs, afin de vous prescrire les soins les mieux appropriĂ©s, vous comprenez ? Margot fit un signe de tĂŞte. Le docteur va donc examiner votre anus, ce n’est guère agrĂ©able puisque c’est un acte mĂ©dical.
– Vous l’avez dĂ©jĂ dit ThĂ©o que c’est un acte mĂ©dical. Bien Margot, Je vais procĂ©der Ă ton examen, mais il sera doublĂ© de celui de ThĂ©o Ă qui je laisse carte blanche, mais que je le corrigerais si son analyse est erronĂ©e, d’accord ? Il ne lui laissa pas le temps de rĂ©pondre que le docteur poursuivit, vas dans la salle Ă cĂ´tĂ© Margot, et Ă´tes ta jupe et sous-vĂŞtement.Margot se leva sans croiser le regard des deux hommes et se dirigea dans la pièce voisine. Elle retira sa culotte qu’elle jeta sur une chaise et reposa sa jupe par-dessus pour ne pas dĂ©voiler le genre de lingerie dont elle s’affichait. Les mains croisĂ©es devant son ventre pour cacher son pubis entièrement glabre elle attendit.
– Tu es prĂŞte Margot ? Alors monte sur la table et mets-toi en position genou-pectorale, en levrette si tu prĂ©fères, coude sur la table, tu Ă©cartes un peu tes cuisses et tu te cambres lĂ©gèrement.Autant la position Ă©tait agrĂ©able lors d’une relation sexuelle, autant elle Ă©tait humiliante de se prĂ©senter ainsi devant deux inconnus, fussent-ils mĂ©decin. Margot ferma ses paupières, le visage entre ses mains. Le docteur Prioux interrogea son stagiaire d’un mouvement de tĂŞte sur la physionomie de sa patiente, il lui rĂ©pondit d’un large sourire le pouce levĂ©, Prioux surenchĂ©rit d’un mouvement de bouche se rĂ©galant par avance tout en passant sa langue sur sa lèvre.
– Bien, dit-il en Ă©cartant de ses mains les lobes fessiers, voyons voir l’aspect gĂ©nĂ©ral extĂ©rieur, qu’en pensez-vous ThĂ©o ?
Le stagiaire se pencha au-dessus de l’intimité et huma exagérément. Il toisa le médecin en révulsant ses orbites tout en clignant des paupières.
– Bien, très bien, rĂ©pondit-il en mimant de ses doigts les odeurs qui se volatilisaient des entrailles de la femme.
– Margot, je vais laisser ThĂ©o t’ausculter.
Elle entendit le claquement d’un gant en latex qu’on enfilait, puis le bruissement d’un liquide sortant d’une pipette.
– Je vais vous ausculter madame.
N’ayant jamais subit ce genre d’examen, Margot tendit tous ses sens vers son intimité pour appréhender le moindre attouchement. Elle eut comme un sursaut au contact du lubrifiant froid sur l’œillet fripé de son anus.
– Je vais enduire votre orifice de cet onguent, dit ThĂ©o d’une voix posĂ©e, afin de faciliter l’introduction de mon doigt sans vous blesser. Le bout de son index se fit plus câlin que professionnel, tant il mit de temps Ă lustrer dĂ©licatement cette rosette. D’un mouvement de vrille, toujours aussi posĂ©, sa phalange s’insinua dans l’anus. DĂ©contractez-vous madame, et dites-moi si vous sentez une brĂ»lure ou une douleur.
Le doigt de Théo ausculta les entrailles et confirma rapidement que la patiente devait avoir une fissure à l’entrée du rectum côté dos. Il poursuivit sa consultation en prenant soin de ne pas réveiller cette douleur, mais avec une tout autre intention.
– Alors ? S’enquit Prioux ?
– Je pense qu’il y fissure, l’anuscopie le confirmera et nous dira son Ă©tendue.
– Oui. Je vais aller imprimer l’hygiène de vie et alimentaire, il y en a tant que tu pourrais en oublier la moitiĂ© Margot en partant. Je reviens tout Ă l’heure, ThĂ©o poursuit ton examen, tu m’en feras un compte rendu complet. Il quitta la pièce en lançant Ă l’interne un clin d’œil très complice.
– Vous allez serrez et relâcher vos muscles sur mon doigt madame, je vous dirais d’arrĂŞter.
La phalange bien plongée dans le conduit, se délectait de la pression qu’elle exerçait de ses sphincters. « Continuez » -lui intima-t-il en lui caressant subrepticement sa fesse de sa main libre. Voyant la docilité de cette femme à cet examen, le pouce de la main qui l’auscultait se glissa entre ses cuisses et presqu’à la dérobée, le bout de sa phalange vint se risquer à frôler le capuchon du clitoris tandis que l’index lustrait le rectocèle qui est la paroi séparant le vagin de l’anus. Ne voulant être démasqué sur son intention, Théo lui posa des questions ce qu’elle ressentait.
– Lorsque j’appuie davantage avec mon doigt, diriez-vous que vous ressentez une douleur, mĂŞme infime, du bien-ĂŞtre ou vous ne ressentez rien ?
– Non, je ne ressens pas de douleur.
– Du bien ĂŞtre ?
– Peut-ĂŞtre. RĂ©pondit-elle après avoir analysĂ© et discernĂ© sa palpation.
– Et maintenant ? Demanda-t-il après avoir insistĂ© un peu plus sur la paroi anale qu’il sentait se dĂ©former dans le vagin. Avant qu’elle ne rĂ©ponde, il entendit un gĂ©missement Ă©touffĂ©.
– Ça ne me fait pas mal, au contraire, mais c’est dĂ» Ă votre pouce je pense.
– Oh, excusez-moi, c’est une mĂ©thode qu’on apprend pour dĂ©tourner le cĂ´tĂ© enlaidissant d’un examen anal, mais si ça vous gĂŞne, je peux revenir Ă un examen plus traditionnel.
– Non, ce n’est pas ce que j’ai dit, mais votre examen et votre pouce font que ça tronque euh… Elle cherchait ses mots.
– Je comprends, le bien-ĂŞtre entre guillemets que je vous procure occulte la moindre affliction de votre conduit anal, c’est ça ?
– Oui.
– Bien, nous allons en rester lĂ pour le moment, je vais vĂ©rifier l’élasticitĂ© de vos sphincters, et vous me direz Ă quel moment vous ressentez une douleur. Cambrez-vous bien surtout.Sa main libre caressait une fesse tout en la sĂ©parant de l’autre pour facilitĂ© l’introduction d’un second doigt dans l’anus dans un mouvement de vrille. Il l’encourageait Ă se dĂ©tendre. Un filet de lubrifiant coula entre ses lobes et trois phalanges reliĂ©es vinrent forcer l’anus une nouvelle fois, lentement dans le mĂŞme mouvement giratoire, dilatant au fur et Ă mesure de leur progression les chairs intimes.
– Est-ce que ça va ? Interrogea-t-il alors que ses doigts entièrement en elle l’amadouaient impudiquement.
– Ça commence Ă me bruler.
– C’est normal, savez-vous combien vous avez de doigts en vous ?
– Euh… Trois ?
– Oui, très bien. Vous ressentez un dĂ©but de douleur car vous ĂŞtes trop concentrĂ©e sur ce que je fais, on va refaire la mĂ©thode de tout Ă l’heure, d’accord ?
Sans attendre qu’elle ne réponde, Théo ressorti ses doigts de son anus dans un chuintement dû à l’aspiration du lubrifiant. C’était salace, tant de voir Margot dans cette position d’animal attendant la saillie, que de voir ses doigts gantés de latex blanc, maculés d’huile et souillés de résidus de selle, Théo en avait une grosseur retenue dans son pantalon qu’il aurait aimé se débarrasser en la chevauchant illico sur la table.
Tandis que ses doigts, quatre, commençaient à violer son anus, de son autre main coincée entre ses cuisses, il ne se cacha plus de masturber et d’encenser son clitoris tout en la pénétrant toujours davantage.Margot venait de comprendre que le stagiaire profitait de sa situation, profitait d’elle, mais ce freluquet peu à peu lui donnait du plaisir, elle s’entendait gémir et se surpris à se cambrer davantage pour mieux le recevoir ainsi qu’à écarter ses cuisses qu’elle contractait sur la main branleuse lorsque la jouissance devenait trop forte. Il était parvenu à ses fins, ses quatre phalanges la sodomisaient de toutes leur longueur et elle jouissait.
L’orgasme fit trembler son corps dans des soubresauts incontrôlables, n’essayant même plus de contrôler ses râles de jouissance.A ce tumulte, le docteur Prioux vint constater ce qu’il pensait depuis qu’il avait laissé sa patiente avec Théo, puis se retourna à son bureau.
Théo s’éclipsa en abandonnant Margot qui reprenait difficilement ses esprits.
Un quart d’heure plus tard, le docteur raccompagna sa patiente à la porte du cabinet.
– Je compte sur toi Margot de revenir la semaine prochaine pour vĂ©rifier si tes lĂ©sions se guĂ©rissent, tout ceci se fera dans un climat professionnel et mĂ©dical, d’accord ?
– Oui docteur, merci et bonsoir.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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