C’est l’histoire originale que j’ai traduis dans la langue de Shakespeare (Dotoress). Vous la trouverez dans la section « Lesbian Sex ». Je vais dĂ©sormais mettre les deux textes afin que ceux qui aiment la langue de Molière en profitent Ă©galement.DOCTORESSECela fait deux ans que je me suis installĂ©e Ă mon compte dans une petite ville du sud de la France. J’eus 2 Ă 3 mois de difficile le temps de me faire une clientèle et le bouche Ă oreille aidant…Je suis cĂ©libataire et je sais que les gens se demandent ce que peu bien faire une femme, la trentaine, seule dans une si petit village. Afin de ne pas faire jaser, je me rends quelques samedi en boite dans la ville la plus proche et lĂ je trouve de quoi me satisfaire. Je ramène de temps en temps mes amants, le temps d’un week-end afin que mes patients et concitoyens ne se pose pas trop de question sur mes mĹ“urs. Mais j’aime mon cĂ©libat. J’ai d’autre aventures et c’est ce que je vais vous raconter.Pour les vacances estivales, je prends de jeunes infirmières, encore Ă©tudiantes, comme assistantes et secrĂ©taires. Cette annĂ©e lĂ , j’avais pris une jeune fille ravissante, brune, le corps bien fait. Elle travaillait bien.On sortait ensemble en boite de nuit le samedi soir et pour mon plus grand plaisir, on nous prenait pour deux sĹ“urs jumelles bien que je sois blonde et que ma poitrine soi plus menu que la sienne. Elle claquait du doigt et elle avait plusieurs chevaliers servant Ă ses pieds. Elle semblait aimer le sexe et les cernes qu’elle arborait certain matin, me faisait deviner une nuit assez mouvementĂ©e. Je rentrais souvent sans elle. Je la taquinais toujours sur ses nuits agitĂ©es, mais dès que l’on se retrouvait dans mon cabinet, je redevenais la patronne.Je m’adonnais de temps en temps au saphisme, si je trouvais la fille attirante. Cette fille me plaisait beaucoup, mais je ne savais comment faire pour goĂ»ter moi aussi Ă ces charmes.Le contrat arrivait de plus en plus Ă son terme. Il y avait de moins en moins de patients parce que les vacances se terminaient. Elle allait bientĂ´t partir et cela me chagrinais beaucoup.Un jour, alors qu’il y avait un trou de deux heures, je l’appelais dans mon cabinet.-Marie? »-Oui docteur! »-On a un trou de deux heures. Pouvez vous venir me donner un coup de main afin de faire l’inventaire? »-Pas de problème docteur! »Elle arriva dans le cabinet et on se mit on travail. La belle portais une paire de bas ce jours trouvant que le temps Ă©tait frais. Moi j’étais en Ă©bullition avec elle dans mon cabinet. Je regardais Ă la sauvette ses fesses et sa poitrine nue Ă travers l’échancrure de la blouse. De temps en temps, je profitais qu’elle regarde dans un placard en hauteur afin de me coller Ă son corps dans son dos. Elle fut surprise la première fois, mais après elle poussait le vice Ă dodeliner des fesses et Ă accentuer la pression sur mon bas ventre quand j’étais dans son dos.On attaqua l’inventaire des tiroir sous la table de consultation. Elle comptait les compresses, les flacons de dĂ©sinfectant. Elle ouvrit alors le dernier tiroir et ce fut le silence. Je souris en sachant ce qu’elle avait dĂ©couvert.-Dans quel catĂ©gorie dois je rentrer ceci, docteur? » dit elle en montrant le godemichĂ© ceinture qu’elle tenait en main.-Ben dans les instruments thĂ©rapeutiques comme le bistouri. »-Ha bon. Instrument thĂ©rapeutique. Je le note. »Elle regardait un peu surprise l’objet.-On vit dans une petit ville Marie, et certaine personnes Ă©prouvent le besoin de discuter Ă parfois d’assouvir certain fantasme. Il y a des hĂ©tĂ©rosexuelles, comme des homosexuelles. En temps que docteur, je dois ĂŞtre Ă l’écoute, comme conseiller conjugal et parfois sexologue. »-Il vous arrive d’utiliser cet engin, docteur? »-Comme la plupart des homosexuelles dans une si petite ville, prĂ©fèrent vivre cacher, je leur fournis gadgets et autre pour Ă©panouir leur existence. Celui-ci me permet de leur en faire la dĂ©monstration. Je leur indique comment le fixer Ă la taille et leur montre les diffĂ©rentes utilisations. Donc instrument thĂ©rapeutique ma chère Marie. »Je devinais sous son crâne le cinĂ©ma qu’elle pouvait se faire. Elle me regardait d’une autre façon. J’ouvris une autre armoire. Il y avait toute sorte de godemichĂ©s, de vibromasseurs et de boules chinoises. Je crus que ses yeux allaient lui quitter les orbites.-Je suis un peu le sexe shop du village, Marie! »-Vous faĂ®tes des dĂ©mo de cela aussi! »-Bien entendu! »On continua l’inventaire, mais elle n’était plus Ă son travail.-Merci Marie pour votre coup de main! Madame Y ne devrait plus tarder! »-De rien docteur! »En quittant la pièce, je vis que les questions devaient se bousculer dans sa tĂŞte.J’arrivais Ă la fin de mes consultations.-Marie? »-Oui docteur! »-Il doit rester madame F. Vous pouvez partir. »-Non docteur. Il y a une patiente de dernière minute. Vous la prenez? »-Bien entendu! Vous partirez après elle. »-Merci docteur. »A la fin de la sĂ©ance de madame F, j’appelais mon assistante.-Marie? »-Oui docteur! »-Faites entrez la dernière patiente! »-Bien docteur. »-A demain Marie? »-A demain docteur! »La porte s’ouvrit et Marie entra dans mon cabinet.-Ben, Marie! Ou est la patiente? »-C’est moi docteur. »-Ha bon, et qu’elle est votre problème? »Elle s’approcha du bureau et je me demandais oĂą ce trouvait la jupe que j’avais remarquĂ© durant l’inventaire. Elle s’assit dans le fauteuil me dĂ©voilant sa jambe gainĂ© de bas.-Je ne sais pas ce que j’ai. Depuis que j’ai quittĂ© votre bureau, dès que je pense Ă vous et que je vois l’engin dans votre tiroir de consultation, j’ai la gorge qui s’assèche, ma poitrine qui gonfle et mon sexe qui mouille. »Elle dit cela très sĂ©rieusement. Je ne vis aucune lueur de blague dans ses yeux. Je pris alors mon air de docteur.-Ha bon! C’est Ă©tonnant votre affaire. Avez vous dĂ©jĂ eu ce symptĂ´me auparavant? »-Oui, mais je ne m’en Ă©tais pas inquiĂ©tĂ©e outre mesure. »-On va voir cela. DĂ©shabillez vous et asseyez vous sur la table de consultation. »-Bien docteur. »Elle s’approcha de la table de consultation, retira sa blouse. Elle avait dĂ©jĂ retirĂ© sa jupe. Elle apparut uniquement en bas et en tanga en dentelle orange. Elle Ă©tait vraiment très « bonne ». Elle posa sa blouse sur une chaise et s’assit sur le bord de la table en me regardant. Sa poitrine Ă©tait tendu Ă tout rompre.Je m’approchais d’elle. Il Ă©manait de son corps une chaleur animale.-Ouvrez donc votre bouche et faĂ®tes « A » ».Elle s’exĂ©cutait et Ă©videmment je ne voyais rien.-Les muqueuses sont Ă©videmment sèches. Vous avez quoi encore? »-Mes seins! Regardez les, ils sont tout dur! »Je pris les tĂ©tons entre mes doigts. Elle gĂ©mit. Ils Ă©taient dur comme du silex. Je les pinçais avant de calmer mon geste par une douce caresse du paume de la main.-Moui! Et votre sexe devient humide? »-Oui docteur! »Je descendis ma main vers son tanga.-C’est le cas en ce moment? »-Oui docteur! »Lorsque j’atteint l’élastique de sa culotte, elle Ă©carta lĂ©gèrement les jambes afin de laisser ma main passer. Effectivement, je recueillis un peu de liqueur sur les tissus de sa culotte. Je mis ensuite mon doigt dans la bouche sans la quitter du regard.-Hummm. » Fis je. C’était divin. « Je pense avoir un remède Ă votre problème.-C’est vrai docteur! » dit elle l’air soulagĂ©.Très bonne comĂ©dienne si elle rate ses Ă©tudes de mĂ©decine. Je posais mon stĂ©thoscope.-DĂ©tendez vous! On va voir vos problème, un Ă un. »Je passais une main derrière sa tĂŞte et l’attirais doucement sur mes lèvres. Elles s’unirent et je glissais ma langue dans sa bouche. Elle ne fit aucune rĂ©sistance, rĂ©pondant plutĂ´t Ă©nergiquement Ă mon baiser. Je quittais sa bouche et descendis vers sa poitrine turgescente. Un Ă un, je lĂ©chais ses tĂ©tons et gobais ses mamelons. La belle gĂ©missait sous ma caresse buccale. Elle posa sa main dans mon coup afin d’accentuer la pression de ma bouche sur ses seins.-ArrĂŞtez docteur! Vous ne faites que empirez les choses. »Je quittais sa poitrine et descendis vers le nombril. Je pris son tanga et le fis glisser le long de ses jambes gainĂ©es de bas. Elle n’opposa aucune rĂ©sistance. Sa toison Ă©tait merveilleusement Ă©pilĂ© Ă la forme de la marque du string qu’elle portait Ă la plage. Une fois dĂ©barrassĂ©e de sa culotte, elle Ă©carta ses jambes afin de me laisser passer. Une odeur de cyprine envahit mes narines. J’écartais ses lèvres poisseuses et commençais Ă lĂ©cher l’intimitĂ© humide de la belle. Elle me tenait la tĂŞte et poussait des cris Ă chacun de mes coups de langue. Je glissais ma langue agile dans ses chairs, buvant ses liqueurs avec dĂ©lice. Je me caressais la chatte Ă travers mon fuseau et mon string. Je mouillais abondamment.Je quittais sa douce chatte et remontais l’embrasser, lui offrant le goĂ»t de ses liqueurs dans ma bouche. Ses beaux yeux me remerciaient de tant de plaisir.-Alors docteur! C’est grave! » dit elle en respirant profondĂ©ment.-Non, ce n’est pas si grave. Mais … » J’enjambais sa cuisse et frottais langoureusement mon entrecuisse sur son bas.-Mais? »-Mais votre maladie est contagieuse. »-Ha bon! »-J’ai les mĂŞme symptĂ´me que vous. J’ai moi aussi la poitrine qui est dure et mon sexe qui mouille. Regardez par vous mĂŞme. »Elle dĂ©grafa ma blouse qui rejoignit la sienne et mon soutif pris le mĂŞme chemin. Je la bĂ©cotais pendant qu’elle me dĂ©shabillait. Sa bouche se mit Ă dĂ©vorer ma poitrine et je gĂ©mis Ă mon tour.-As tu pensĂ© Ă fermer la porte du cabinet? »-N’est crainte, j’ai tout bouclĂ©. Notre maladie est confinĂ©e Ă prĂ©sent. »-Alors soignons la. »Je m’écartais d’elle, retirais mon fuseau et mon string. Je la laissais regarder mon pubis aussi nue qu’une jeune fille de douze ans. Je retournais entre ses bras. Nos bouches s’unirent en un baiser fougueux. Nos corps ondulaient l’un contre l’autre, mĂ©langeant nos liqueurs intimes. Je retournais boire ses liqueurs avec aviditĂ© pendant que mes mains jouaient avec sa poitrine.-Oh ce que c’est bon. Jamais je n’aurais cru cela si bon. » gĂ©missait elle. « Oh bouffe moi, mange moi, mord moi. Oh, ce que tu me fais bien brĂ»ler la chatte. Continue… »Elle jouit plusieurs fois dans ma bouche. Elle me repoussa doucement.Je remontais tout en continuant Ă la peloter.Sa main descendit et glissa sur mes lèvres intimes.-Je vais voir si j’arrive Ă appliquer le bon traitement Ă mon tour. » dit elle en glissant entre moi et la table.Sa bouche goba mon bouton et se mit Ă le reluire Je criais sous son ardente caresse.-Ne me dit pas que tu fait cela pour la première fois? »Sa bouche me quitta me donnant un petit rĂ©pit.-Si! »-Il faudra que tu penses Ă persĂ©vĂ©rer sur ce type de traitement. Tu es très douĂ©e. »-Merci! » dit elle en souriant, le nez les lèvres blanches de mes liqueurs. « Il faudra que j’y rĂ©flĂ©chisse. »-D’accord, mais pour l’instant, continue Ă me soigner. Je suis très malade»-Bien docteur. »Elle me fit jouir plusieurs fois grâce Ă l’agilitĂ© de sa langue dans mon fourreau. Je la repoussais doucement.-Attends ma belle! On a pas encore fini. »Je pris le godemichĂ© qui l’avait surpris lors de l’inventaire.-J’ai une autre thĂ©rapie pour toi. Veux tu l’essayer? »-Oh oui! ho oui! »Je le fixais Ă ma taille et allais m’asseoir dans le canapĂ©.-Allez! Il faut me lubrifier cela. Viens mon amour! »Elle ne se fit pas prier deux fois. Elle s’agenouilla sur le canapĂ© et entama une superbe fellation sur l’engin en plastique. Je glissais ma main sous son ventre et allais la branler doucement. Son sexe Ă©tait humide Ă souhait.-C’est bon. Je crois que tu peux t’empaler dessus. »Elle se redressa, me tourna le dos et descendit doucement sur le pĂ©nis en plastique alors que je la posais mes mains sur sa taille. Son corps trembla sous l’effet de la pĂ©nĂ©tration. Je l’aidais alors Ă chevaucher et se fut la charge de la cavalerie. Son corps devint dĂ©sarticulĂ© sous les assauts du plaisir. Elle se raidit brusquement et un long cri, gutturale, sortit de sa bouche. Elle s’abandonna au creux de me bras, sans que le godemichĂ© ne quitte sa grotte. Je lui caressais les seins et le clitoris, pendant que je lui lĂ©chais le cou.Elle reprit ses esprits. Je la fis mettre Ă quatre patte et la pris en levrette. Elle jouit encore et encore.Son dĂ©part fut une vĂ©ritable torture. J’eus du mal Ă l’oublier.