Douche Mélodie…Comme à mon habitude je me rends à mon cours de zouk. Après avoir gravit l’escalier jusqu’au premier étage, j’ouvre la porte est rentre dans la salle de danse. Tout le monde est déjà arrivé et je fais la bise à toutes mes copines du cours et LES bises aux garçons !!! Je me précipite dans le vestiaire qui se trouve à côté pour me changer rapidement. Je pousse la porte et, à ma surprise une autre demoiselle est assise et réajuste son débardeur. La surprise étant que je ne l’ai jamais vu au cours auparavant et participant à ce cours depuis 5ans on peut dire que je connais tout le monde !— Bonsoir ! Ca va ? Moi, c’est Sofie. Tu es nouvelle, non ? Dis-je pour faire les présentations bêtement, tout en posant mon sac.— Heu…oui, moi c’est Ourama. C’est mon premier cours ici, j’viens d’emménager à Lille. Dit-elle, timidement.— Ok, ok tu verras c’est sympa ici, l’ambiance est cool. Mais faut qu’on se dépêche de m’habiller sinon tout le monde va nous attendre !!Je me déshabille rapidement et mets des vêtements plus adaptés pour ce genre de pratique. C’est à dire body rouge vif, moulant ma belle poitrine ferme et une robe aussi volante que légère. Me voilà enfin prête et je rejoins le groupe à côté dans la salle de danse. Le cours se déroule comme d’habitude, dans une ambiance décontractée, bonne enfant et peu à peu plus chaude et électrique ; on danse le zouk quand même ! Mais tout le monde est habitué à cela. Quant à Ourama, impossible de la manquer. Non, seulement elle danse à merveille mais surtout elle dégage une énergie attirant tous les regards. Si l’érotisme devait être défini, il le serait à cet instant. Son corps épouse parfaitement le rythme, toute son anatomie transpire le zouk… Et les garçons sont d’accord, d’après leurs regards axés sur elle ! Le cours passe très vite et tout le monde à bien mérité de se reposer et de prendre une bonne douche. Quant à moi, je ne peux que venir auprès d’Ourama afin de la féliciter :— Ouuua tu danses super bien ! J’aimerais être à ton niveau !! Moi j’étais la meilleure dans ce groupe, j’crois que je vais être deuxième maintenant ! Dis-je tout en lui souriant et l’accompagnant vers les vestiaires.— Merci, c’est gentil, mais tu sais, je danse depuis toute petite, alors… Puis, j’suis d’origine africaine, de Côte d’Ivoire, alors même si c’est pas le pays du zouk, le rythme c’est un devoir chez nous !!! Puis tu danses bien aussi… Un plaisir à voir…»Dans les vestiaires nous continuons à sympathiser, Ourama et très gentille et drôle. On peut dire que le courant passe entre nous, et elle est pipelette comme moi !!! Après, nous être détendues sous le jet de la douche et s’être rhabillées, nous quittons les lieux. En bas de l’immeuble, on se fait la bise et elle conclut en me confiant :— T’avais raison, tout à l’heure, c’est sympa comme endroit, j’vais y revenir, j’espère qu’on deviendra bonne copine…Et d’un geste de la main elle s’éloigne vers la gauche et moi vers la droite.Et en effet ; elle est revenue. Nous nous entendons de mieux en mieux. Les cours se passent super bien et l’on se voit régulièrement en dehors. Une véritable amitié se crée entre nous ; d’ailleurs elle m’a bien remonté le moral quand mon petit copain m’a plaqué. Durant les cours de zouk, elle devient une autre, la musique la transcende, une sorte de folie l’envoûte, la rendant divine, splendide, irrésistible. Je dois l’avouer, je me suis surprise parfois à ressentir une attirance envers elle quand elle danse. Ourama dégage tant d’érotisme sans être jamais vulgaire, juste sensuelle… Il faut absolument que je la décrive, pour mieux comprendre, même si tout est dans l’émotion qu’elle dégage son corps joue un rôle. Ourama est donc noire de peau, en grand contraste avec la blancheur qu’est la mienne. Elle aussi est petite, plus que moi, je dirais 1m50 voire un peu plus. Des lèvres pulpeuses, des formes la où il faut. Une poitrine imposante, lourde et ferme, des fesses bien rebondies comme la plupart des noires. Des hanches magiques ondulant à merveille sur tous les rythmes. Et des yeux noirs, brillant et étincelant. Surtout, elle dégage une sensibilité, une joie de vivre et une force inexplicable qui attire nos regards et frôle nos idées…Comme à l’accoutumée, le cours se passe à merveille et se termine. Ourama et moi discutons en nous réhydratant. On traîne largement et lorsque nous arrivons dans le vestiaire, toutes les autres filles sont déjà sur le départ. Ourama et moi, nous ôtons nos vêtements et ainsi nues passons sous la douche. Le jet de la douche jaillit et nous rafraîchit à notre grande satisfaction. Nos conversations vont bon train et dorénavant nous sommes seules sous la douche et dans le vestiaire. Soudain, on entend un air de zouk envahir l’espace. La musique vient de la salle de danse mais on l’entend distinctement. On se regarde en souriant et Ourama dans un clin d’œil me lance « Tiens j’croyais que le cours était fini, cool y’a un extra » et pour suivre ses paroles, elle commence à zoukker seule tout en étant asperger par le jet de la douche. Son corps s’agite et je la regarde captivée par son aura. Elle s’agite dans tous les sens, ses hanches serpentent sous la musique, son cul tourbillonne devant mes yeux ébahis. Comme à l’accoutumée la musique l’emporte dans une frénésie séduisante et de plus en plus sensuelle ! Nue, elle danse sans complexe. L’eau ruisselle sur sa peau brillante, sa sensualité se dégage dans l’air ambiant. Ses seins semblent me provoquer, ses hanches me troublent. J’avoue ressentir une attirance. Mon corps est emporté vers une sensation jusque là inconnue ; le désir d’une autre femme…Je me mets à danser moi aussi sans doute ensorcelée par le tourbillon d’Ourama. Nos corps rentrent dans une ode à l’érotisme. Ses yeux noirs plongent dans mes yeux bleus, nos jambes se croisent sans jamais se toucher. Soudain, nos tétons s’effleurent, un courant électrique me parcoure, un frisson envahit mon ventre puis mon bas-ventre… Je goûte ses lèvres, sa bouche pulpeuse glisse sur la mienne. Ma langue enlace la sienne. Tout est si chaud, si bon. Sans m’en rendre compte, je ne sais comment, si c’est elle ou bien moi mais on s’embrasse à pleine bouche, à pleine langue et nos mains commencent à prendre le relais…Je sais que nous ne dansons plus ou alors une danse interdite. Mes mains saisissent ses fesses, je les serre. Je touche son dos, j’ai besoin du contact de sa peau, de la connaître. Son cou, ses hanches, son cul, son ventre, ses seins, TOUT, je veux la redessiner. Ourama, ne reste pas passive à mes caresses. Son souffle m’encourage, ses soupirs me captivent. Elle aussi explore mes formes comme une aveugle, au toucher, à l’odeur, toutes ses sens sont en éveil. Ses doigts câlinent mon fessier, osant parfois atteindre mon petit trou et flirter avec mes lèvres secrètes. On se tâte chaque endroit et on se donne mille baisers. Sa langue s’aventure sur ma poitrine, Ourama tète mes tétons, elle les fait rouler entre sa langue. Au même moment, je pose ma main sur sa chatte garnie d’une toison pubienne très noire. Elle est humide tant par l’eau de la douche que par nos séances d’effleurements. De la paume, je joue avec sa toison fournie. Puis, je commence à sentir bourgeonner son petit clitoris, je le masse en douceur. Mon index explore ses lèvres et pénètre dans sa chair. Je la doigte d’un puis deux doigts. Comme pour me remercier, Ourama me roule une pelle, mélangeant nos salives, nos chairs.Nous n’entendons plus que la musique de nos soupirs, de nos gémissements. Mes doigts vont et viennent dans son antre. Nos baisers se multiplient, Ourama sillonne mon corps par ses mains agiles, ses caresses délicates. Nos corps sont moites, l’eau nous rend plus douce, plus sensuelle. Je ne cesse de la doigter, Ourama gémis de plus en plus, je la sens fragiles par mes caresses. Elle semble prise de spasmes, elle emprisonne mes hanches puis mes fesses pour coller nos corps l’un à l’autre. Soudain, elle serre plus fort mes petites fesses, les griffant presque ; ses lèvres se posent sur les miennes, elle tremble… de plaisir. Ourama resserre ses jambes pour emprisonner mes doigts dans son être. Je la pénètre ardemment, nos bouches sont irrésistiblement attirées, nos langues se mélangent. À un moment, mes doigts se retirent de son sexe et je goûte sa sève. C’est la première fois que je savoure la mouille d’une autre femme. Ourama me prend par la main et m’entraîne vers le vestiaire. Elle s’assoit sur un banc, écarte ses jambes se dévoilant sans aucune pudeur face à mes yeux ébahis. Sans hésitation, je me rue à sa source, ma langue effleure ses lèvres puis elle atteint son clitoris. Je le suce, le titille du bout de la langue. Je sais ce qu’elle ressent. Son minou de plus en plus humide, ses soupirs vainement contenus, ses mains caressant mon visage ; tout cela m’indique qu’Ourama apprécie ce petit jeu de langue. Ourama se détend, tout son corps réagit à mes caresses buccales. Elle se caresse sa poitrine, c’est une véritable masturbation de ses seins. Elle pince ses tétons, effleure ses larges auréoles. Elle écarte imperceptiblement ses jambes pour mieux m’accueillir. Son ventre ne cesse d’onduler au rythme de mon cuni. Ma partenaire tremble, fléchit doucement, elle pousse un gémissement doux, profond, long s’arrêtant net. Elle jouie tendrement dans le silence de nos souffles… Nous nous regardons, elle me sourit complice et victime à la fois. Elle me serre dans ses bras comme pour me remercier et m’inviter à mon tour à être sa proie. Elle m’allonge sur une serviette. Ourama embrasse mon cou, mes seins, mon ventre, elle s’attarde sur mon nombril, simulant avec le début d’un cuni…Elle baise délicatement mon aine. Ses doigts chatouillent mon entrejambe, elle écarte mes lèvres ; y place un doigt. C’est chaud, tendre à la fois. Puis un deuxième doigt s’aventure en moi, une lente masturbation débute, sensuelle et pleine de grâce. Elle me branle avec ferveur. Je tremble de partout, ses doigts tel un pénis vont et viennent en moi. Son autre main attise mes seins, mes tétons me chatouillent tant je suis excitée. Elle me fait l’amour merveilleusement on s’embrasse, se lèche, ses doigts ses mains me parcourent intensément, excitant chaque once de mon corps, de mon minou… Elle me doigte de plus en plus fort, vite, c’est si bon. En même temps, je suce ses autres doigts comme un pénis. J’ai chaud, je mouille fortement. Ses cheveux caressent mon ventre, sa langue s’aventure sur mes petites lèvres et le bout de sa langue cajole mon clitoris. Des milliers frissons me parcourent, partant du vagin, longeant toute ma colonne vertébrale. Je frissonne follement, mon corps bouillonne de l’intérieur et mes joues sont rouges. Ourama ne cesse de me prodiguer un florilège de caresses buccales. Ses doigts pénètrent min intimité. Un, deux doigts dans ma chatte humide et si sensible. Sa verge manuelle me rend folle d’excitation, ses doigts vont et viennent en moi. Quand soudain, tout mon corps se contracte, les muscles de mon vagin serrent ses doigts si profondément enfoncées en moi. Je suis secouée de spasmes. Je tremble, je crie et jouie… Ourama joue encore avec mon sexe quelques instants prolongeant mon orgasme.Mes mains prennent son visage, nous nous embrassons tendrement. Assis en tailleur l’une devant l’autre, nos corps se frôlent, nos regards se heurtent. Mes mains descendent le long de son cou, ses épaules pour enserrer sa poitrine. J’effleure le bout de ses seins. Je baise fiévreusement sa bouche, son cou puis ses tétons si fièrement dressés. Elle se laisse faire les bras tombants, comme seul signe de vie son souffle saccadé et désarticulé. Je l’enserre dans mes bras, la positionne sur le dos et repart à l’assaut de son corps ; par le biais de caresses et baisers. Ma compagne écarte les jambes, replies les genoux, son mont de vénus bien évidence n’attend que ma langue. Je lape son sexe avec délectation et cela semble lui procurer le plus grand plaisir à attendre ses gémissements et ses encouragements. Parfois ses cuisses serrent ma tête et mon museau se trouve enfouie dans sa toison pubienne très noire. Mes lèvres et mon nez sont humides par sa liqueur. Ourama gémis de plus en plus et elle tressaille d’ un long mouvement « huiiiii, merciiiii c’est bon !!! » Je remonte le long de son corps, et pose mes lèvres pour l’embrasser tendrement. Nos corps sont moites, chauds et tout tremblant. L’index de ma partenaire s’immisce en moi une dernière fois pour constater que je suis encore fort humide. Ensuite, son doigt joue délicatement avec mon fin duvet blond…Puis, elle se pose à côté de moi ; on se blottit, le corps brûlant, l’esprit embué.Ourama se relève et me tend une serviette de peur que j’aie froid. Je m’en empare et cache mon corps encore humide et flatté par ses caresses. On se regarde mi-gênées mi-heureuse puis je lui dis :— C’était fantastique, si… enfin… Pour moi c’était la première…— …Fois, pour moi aussi mais silence ! Ecoutes, la musique résonne encore, elle est si douce, c’est sans doute grâce à elle…»PS : J’en profite pour dire un grand bravo aux créateurs de ce site, simple, varié, pratique… Merci pour avoir publier plusieurs de mes textes et j’imagine le boulot et le temps pour permettre à ce site de rester actualisé… MERCI (quelle lèche-bottes !!!)