Recit X : Dressage intensif d’une esclave sexuelle CorrigĂ© et rĂ©sumĂ© par Dialogue69 le 02/10/2022PubliĂ© le 02/10/2022Voici une histoire sexy… pleine d’orgasmes, de pipes, de plaisirs Ă©rotiques, de sexe, de sextoy, de sodomies, de soumissions…
C’est l’histoire du long cheminement d’une femme, qui après s’être fait piĂ©ger, restera sans rĂ©sistance et se laissera mener vers toutes les transgressions et donnera libre cours Ă tous ses fantasmes. Elle sombrera peu Ă peu dans les plaisirs, que certains trouveront sombres, que son sexe lui impose, jusqu’à devenir une indĂ©cente addict.
Encadrée, esclave dressée par une jeune fille, puis par toute sa famille, père, mère, frère, elle subira tous les outrages, toutes les souillures… fouet, fessées, exhibée et pour finir vendue et mise sur le trottoir… Le piège
Mme Blanche est assise à son bureau et corrige les devoirs de ses élèves de prépa. En cette fin de semaine, plutôt douce, elle n’est pas pressée de rentrer chez elle et lambine un peu dans la correction des copies. Mme Blanche est une femme mariée depuis 10 ans à Gabriel, un militaire de carrière qui est très souvent absent pour de longues périodes et cette fin de mois, en mission, il sera absent pour plusieurs semaines.
Cette situation lui permet de disposer de beaucoup de temps libre et sans enfant, elle se retrouve frĂ©quemment Ă flâner seule le week-end. C’est une jeune femme vraiment sensuelle et magnĂ©tique. Avec des cheveux blonds qui lui tombent sur les Ă©paules, des yeux scintillants, quelques taches de rousseurs discrètes, une bouche bien dessinĂ©e, de jolis seins fermes en forme de joli fruit, montre une poitrine Ă©panouie et gĂ©nĂ©reuse, elle attire inĂ©vitablement le regard, l’attention. Sa taille fine met en met valeur ses fesses et ses hanches remuantes toujours moulĂ©es dans une jupe Ă©lĂ©gante. MĂŞme si elle s’en dĂ©fend, Mme Blanche avec ses airs bourgeois est bon chic bon genre.
Elle porte ce jour-là , un chemisier blanc décolleté en tissu légèrement transparent qui laisse deviner le sillon de la naissance de ses seins, une jupe courte plissée accompagnée de très élégants escarpins à petits talons sur des bas couleur chair.
Ă€ 35 ans elle entretient son corps avec rĂ©gularitĂ©. Elle est fière de ses 45 kg pour 1 m 68, mince, sa superbe poitrine (95 C) attire les regards, mĂŞme si elle ne fait rien pour cela. Ses jambes longues sont bien galbĂ©es et lorsqu’elle marche, ses hanches harmonieuses roulent, dĂ©plaçant la croupe en un balancement rythmique.
Mme Blanche sort de ses pensĂ©es en entendant frapper Ă la porte. Elle voit entrer LĂ©a Fournier, l’une de ses Ă©lèves de classes terminales. Ă€ 19 ans LĂ©a est une Ă©lève intellectuellement brillante, un beau brin de fille, très grande, gratifiĂ© d’un très joli corps aux formes Ă©panouies. LĂ©a est aussi une jeune fille qui ne s’intĂ©resse qu’Ă ses propres objectifs, son plaisir, sa satisfaction personnelle. Tranchante, capricieuse, elle est souvent brutale.
– Rentre LĂ©a, mais je n’ai pas encore fini la correction de vos copies.
– Ce n’est pas ce pour quoi je suis lĂ Mme Blanche. Il y a quelque chose que je veux vous montrer.
– Bien entendu LĂ©a, qu’est-ce ?
– Regardez ce que j’ai trouvĂ© chez un marchand de livres et revues anciennes,
LĂ©a cherche dans son sac et tend un vieux magazine Ă sa prof. Mme Blanche est suffoquĂ©, elle reconnaĂ®t le journal vulgaire… un journal de nus de la fin des annĂ©es 90 et Mme Blanche a toujours pensĂ© que les traces de ce mauvais souvenir avaient disparu.
Léa ouvre le magazine à la page central, on y voit Mme Blanche dévoilant complètement ses charmes, sans aucune pudeur. Mme Blanche a posé nue pour ce journal, il y a des années pour des photos bien plus qu’érotiques. Elle avait alors de gros besoins d’argent et avait espéré que personne ne le saurait. Mme Blanche essaye de se calmer et avale sa salive.
– C’est bien vieux LĂ©a et je ne suis pas fière de ce que j’ai fait, j’avais besoin d’argent pour terminer mes Ă©tudes, laissons cela, laissons le passĂ© oĂą il est. LĂ©a reprit le magazine.
– Non, non Mme Blanche. Il faut que nous en parlions sĂ©rieusement. Allez fermer la porte de cette classe, c’est un ordre ! dit-elle sèchement.
Un peu agacée par le ton de son élève, Mme Blanche se lève et va fermer la porte le plus calmement possible.
– Ă€ clef Mme Blanche, je ne veux pas ĂŞtre dĂ©rangĂ©e ! Dit LĂ©a d’une voix forte avec autoritĂ© en s’asseyant derrière le bureau.
Dès la porte close Mme Blanche se retourne et voit Léa à sa place. Elle va donc s’asseoir au premier rang des élèves. Ce qu’elle voit sur le visage de Léa ne semble pas encourageant.
– Venez devant le tableau Mme Blanche !
– Je peux m’asseoir ici LĂ©a,
– J’ai dit devant le tableau Mme Blanche ! Dit-elle d’un ton ferme.
En prise aux doutes, Mme Blanche se dirige sur l’estrade, fait face Ă son Ă©lève assise dans le fauteuil de l’enseignante… ces rĂ´les inversĂ©s sont inconfortables…
– Aimez-vous enseigner ici Mme Blanche ?
– Oui LĂ©a, j’aime enseigner ici, mais que veux-tu ?
– Vous comprenez ce qui arriverait si ces photos Ă©taient connues de tous ?
– C’est très improbable quand mĂŞme,
– Voulez-vous que votre mari les voie ? Demanda LĂ©a en montrant les photos.
– Non, bien entendu dit Mme Blanche prenant conscience de sa situation extrĂŞmement vulnĂ©rable.
– Mme Blanche, voilĂ , Ă©coutez bien ce que je vais vous dire,
– Nous allons faire un arrangement, dĂ©sormais tu m’obĂ©is, tu satisfais Ă tout ce que je te dis et je dis bien TOUT. Mes dĂ©sirs sont prioritaires et impĂ©rieux. Si tu refuses ou si tu braves mes ordres, demande-toi ce qu’il peut se passer ? Plus de travail, ton couple en perdition… Je te laisse imaginer la suite…
– Que voulez-vous LĂ©a ? Demande Mme Blanche blafarde et d’une voix tremblante.
– Toi, rĂ©pliqua calmement LĂ©a.
Contre mon silence, je veux que tu m’appartiennes, je veux que tu sois mon jouet sexuel, ma femelle docile, ma chose, ma pute, ma traĂ®nĂ©e, mais pas n’importe laquelle, MA pute, compris ? Je veux que tu m’obĂ©isses, que tu fasses tout ce que je t’ordonne sans poser de questions ! DĂ©sormais tu es mon animal de compagnie. Je vais te dresser pour cela Blanche. Je veux aussi une obĂ©issante totale et sans condition ou nĂ©gociation !
Tu seras la femelle qui satisfait mes plaisirs, la petite chienne que je peux caresser quand il me plaĂ®t. Ta place est Ă mes pieds, au bout de la queue des hommes, dans un bordel, dans une dĂ©charge, dans un caniveau, dans un chenil pour te faire prendre Ă la chaine par tout ce qui a des couilles. Tu vas connaĂ®tre le fouet, la trique et la cravache, je vais te fesser, t’exhiber, te domestiquer.
J’aurais toute autoritĂ© sur toi et ton joli corps, sur tous tes orifices, bouche, anus et ton sexe, ton corps sera offert Ă la vue de tous, tes jambes Ă©cartĂ©es montreront Ă quel point tu as envie de sexe, de pĂ©nĂ©trations et de jouissances. Tu seras abusĂ©e, car tu ne demande que cela ! Avec moi tu vas te redĂ©couvrir, avec moi, tu vas jouir.
Si un jour je suis fatiguĂ©e de toi, comme tu seras Ă©duquĂ©e, formĂ©e en salope soumise obĂ©issante et surtout disponible… je te vendrai… en Afrique du nord pour t’amĂ©liorer et faire tes « classes » dans un bordel. LĂ , c’est certain, tu devras supporter les assauts d’au moins cinquante hommes par jour, mais c’est le meilleur moyen pour apprendre.
Après quelques années de ce régime, je te ferai revenir en France chez mon frère, complètement formées, soumises, sans autre désir que de bien faire ton travail.
Si tu refuses ou si tu résistes, ce magazine sera rendu public et largement diffusé, à tes amis, tes parents, ton mari et à ses supérieurs. Représente-toi leur tête à la vue de ces photos… Mais si tu acceptes, cela restera notre secret.
En entendant ce discours, les qualificatifs humiliants, Mme Blanche sentit ses genoux flĂ©chir. Elle ne peut pas permettre que ces photos soient rendues publiques, elle ne veut pas voir ce passĂ© dĂ©gradant, ce journal apparaĂ®tre au grand jour. Ses pensĂ©es sont en vrac dans sa tĂŞte ne sachant comment s’en sortir, il lui faut obĂ©ir… pour le moment pense-t-elle…
La voix de Mlle Fournier est douce et catĂ©gorique en mĂŞme temps, elle marque son territoire. Mme Blanche comprend qu’elle n’a pas d’autres choix que de cĂ©der Ă LĂ©a.
– Blanche ! Ici ! Approche ton cul !
Mme Blanche veut protester, mais ses protestations restent dans sa tête. Décontenancée, désemparée, humiliée, elle s’avance vers Léa.
LĂ©a a compris que le corps de Mme Blanche, lui, est dĂ©jĂ soumis. LĂ©a a ouvert toutes les portes… D’un geste vif, elle soulève la jupe, descend le collant et le slip Ă mis mollets et glisse Ă l’intĂ©rieur des cuisses des doigts inquisiteurs. Docile, Mme Blanche spontanĂ©ment Ă©carte les jambes pour permettre Ă la main et l’index de chercher et pĂ©nĂ©trer son sexe. C’est la première fois qu’elle se fait flatter le sexe par une femme.
Les caresses de la main Ă l’intĂ©rieur de ses cuisses l’excitent, la sentent trempĂ©e, la tiennent proche de l’orgasme, mais la brident… La fouille dure… Le doigt glisse avec facilitĂ© dans son intimitĂ© humide, cajole le clito. Mme Blanche pantèle… son souffle s’accĂ©lère… haletante, elle ne peut plus cacher son dĂ©sir.
Léa maîtrise les signes annonciateurs de la jouissance de Mme Blanche.
– Tu vois Blanche, avec moi ce sera que du plaisir et pour cela, tu dois te maintenir ouverte, en permanence, ton sexe toujours Ă ma disposition pour ĂŞtre travaillĂ©, fouillĂ©, trifouillĂ©, comme ton cul et ta bouche… Tu dois ĂŞtre Ă la disposition de ceux qui veulent se servir de toi… dit LĂ©a, la main enveloppant toujours fermement le sexe de Mme Blanche.
– Ai-je Ă©tĂ© assez clair Blanche ?
– Je ne comprends pas, dis une Mme Blanche dĂ©routĂ©e, tu ne peux pas agir comme cela.
– Écoute Blanche, je me fous de ce que tu penses, c’est très simple, si tu n’acceptes pas, tu ne seras plus la prof de personne, ni une Ă©pouse d’ailleurs. Tu comprends ?
– Combien de temps cela durera-t-il ? demande Mme Blanche effondrĂ©e, anĂ©antie,
– Autant que je le veux Blanche… le temps de mon plaisir, le temps de ton Ă©ducation, le temps de te discipliner, le temps de faire de toi une bonne jouisseuse, une bonne chienne car je veux te donner Ă d’autres chiens…
Bien ma jolie salope, dorénavant tu dois toujours m’appeler Mlle Fournier et me vouvoyer et je te tutoie. Sommes-nous d’accord ?
– Oui Mlle Fournier, je comprends.
Ne voulant surtout pas contrarier son Ă©lève, Mme Blanche, le plaisir en suspens, la main de LĂ©a caresse toujours son sexe, acquiesce. LĂ©a dĂ©laisse le sexe, se lève, lui tourne autour… Mme Blanche est Ă©branlĂ©e,
– Tu comprends bien que si tu me dĂ©sobĂ©is, tu es perdue ? Lui dit LĂ©a en la regardant dans les yeux… des yeux en pleurs.
– Oui LĂ©a,
Mme Blanche, prise au piège de son passĂ© sait qu’elle est perdue et se doute bien que se n’est qu’un dĂ©but… Elle allais ĂŞtre la soumise de LĂ©a… est-elle destinĂ©e Ă devenir une femme docile, asservie et craintive ?
– Mauvaise rĂ©ponse Blanche, c’est Mlle Fournier pour toi ! «Mains sur la tĂŞte!» ordonne-t-elle. Ă€ peine avait-elle posĂ© ses mains sur la nuque que la première baffe cinglante marque son visage des doigts de la main de son Ă©lève sur toute la largeur de la joue, puis une autre Ă gauche. La tĂŞte de Mme Blanche bat sous les baffes. Elle gĂ©mis, implore,
– PitiĂ© !
– ObĂ©is alors, salope !
– Ouvre ton chemisier et dĂ©shabille-toi, je veux voir comment tu es foutue ! Je veux te voir Ă poil !
LĂ©a savourait par avance l’idĂ©e d’en faire sa pute soumise, docile et fidèle…
Mme Blanche hésite.
– S’il vous plaĂ®t LĂ©a, non, pas cela,
Sautant de son siège, Léa la gifle de nouveau d’un violent aller et retour,
– Il y en a encore d’autres Ă ton service ! C’est cela, ou je fais des dizaines de photocopies et tes photos seront diffusĂ©es ! Blanche, Ă©coute-moi bien, tu es ma putain, tu fais ce que je dis et maintenant ! DĂ©pĂŞche-toi salope !
Mme Blanche se sent comme gelĂ©e, par la situation, par la violence des mots utilisĂ©s, par l’attitude de son Ă©lève. Elle est tĂ©tanisĂ©e.
– C’est bien, puisque tu refuses d’obĂ©ir, dès lundi les photos seront distribuĂ©es. LĂ©a se dirigea vers la porte.
– Attends LĂ©a !
Léa s’arrêta, se tourne devant sa prof tremblante.
– Oui ?
– S’il te plaĂ®t, LĂ©a tu ne peux pas faire cela, je vais te donner l’argent, celui de mes Ă©conomies, s’il te plaĂ®t LĂ©a, larmoie-t-elle en larmes.
– Eh bien au revoir Blanche, dit LĂ©a calmement en se dirigeant vers la porte.
– S’il te plaĂ®t, LĂ©a… Mlle Fournier, excusez-moi, je vais le faire, ne partez pas, glapit-elle terrifiĂ©e.
Léa s’arrête, se retourne devant Mme Blanche qui s’inclinait.
– Eh bien ?
Les mains de Mme Blanche se dirigent vers les boutons de son chemisier. Elle commence à les défaire et se tient droite devant son élève, le visage en feu, rouge de honte, rouge de cette humiliation,
– Enlève-le, dit Mlle Fournier en retournant au bureau.
Mme Blanche enlève son chemisier et le pose sur le bureau. Elle se tient devant son élève et se demande jusqu’où cela irait.
– Maintenant le soutien-gorge Blanche !
Mme Blanche fait sauter les agrafes du soutien-gorge et dévoile une poitrine généreuse avec de jolis seins, hauts, fermes et opulents avec de jolis tétons.
– Allez, tu mets ton soutien-gorge dans la poubelle, c’est un cadeau pour l’homme de mĂ©nage, c’est bon pour ses fantasmes !
Nue jusqu’à la ceinture, Mme Blanche se tient droite, les seins excités, instinctivement elle met les mains en cache sur ses seins,
– Blanche, j’ai dit que je veux te voir Ă poil ! Retire tes mains, montre-moi tes pis,
Le visage rouge, Mme Blanche s’exĂ©cute et met les bras le long du corps devant sa jeune Ă©lève. Elle est horriblement embarrassĂ©e, comment a-t-elle pu se retrouver dans cette situation… pourquoi a-t-elle acceptĂ© de poser pour ces photos ? Uniquement pour l’argent ?
– Maintenant, Blanche, tu poses ta jupe sur le bureau.
Sans plus réfléchir, Mme Blanche ouvre sa jupe, la laisse glisser sur le sol, puis la pose sur le bureau.
– C’est bien Blanche, enlève immĂ©diatement ces saloperies, collants, culotte et hop poubelle !
Mme Blanche Ă´te son collant et sa culotte et de nouveau ses mains viennent cacher son sexe. Elle se tient debout, nue, devant cette fille de 19 ans… Elle cherche, mais ne voit pas comment se sortir de ce piège et pour quelle suite ?
– Met tes mains dans le dos, tiens-toi droite, tu as une belle poitrine, il faut mettre tes mamelles en valeur ma salope !
LĂ©a se lève et effleure les tĂ©tons de sa prof et Mme Blanche, la tĂŞte en arrière ne peut se retenir de prĂ©senter son buste Ă l’appel de la main. LĂ©a sourit en voyant la rĂ©action et sort son tĂ©lĂ©phone !
Photo !
LĂ©a fait le tour de Mme Blanche pĂ©trifiĂ©e par cette dĂ©chĂ©ance et lui saisit un tĂ©ton entre le pouce et l’index lui pince et commence Ă le faire rouler de plus en plus vite tout en le pressant de plus en plus durement,
– Ils sont en Ă©rection, c’est bien ma petite pouffe, offre-moi tes seins avec tes deux mains dessous, en les relevant doucement, comme il faut… offre les bien, tu aimes cela Blanche ?
Mme Blanche garde le silence, elle est très excitée mais ne veut pas l’admettre. Léa pince plus fort la pointe des seins jusqu’à ce que Mme Blanche râle.
– Blanche, tu es vraiment une grosse pute sous tes airs de bourgeoise,
– RĂ©ponds-moi, Blanche,
– Non, je n’aime pas cela, rĂ©pondit-elle en rougissant.
Bien qu’elle dise ne pas aimer cela, elle se sent inexplicablement troublée, électrisée, par ce traitement et son sexe suinte, s’humidifie. Léa lui relâche les seins.
Photo !
– Je pense que tu me mens Blanche et ce soir, tu seras battue pour ce mensonge. Tu me dois une obĂ©issance absolue et surtout ne jamais me mentir.
Ce weekend, sans ton mari, j’ai tout le temps pour te faire comprendre !
Mme Blanche est terrifiée parce qu’elle entend.
– Maintenant allonge toi, le dos sur le bureau mon animal et ouvre-moi en grand tes cuisses que je vois tes trous.
Ne voulant pas provoquer la colère de Mlle Fournier, dĂ©semparĂ©e par cet ordre, Mme Blanche, nue, s’allonge sur le dos, Ă©carte ses cuisses qu’elle tient de ses mains pour qu’elles soient bien relevĂ©es… elle dĂ©voile ainsi son cul et son sexe accueillant. Elle s’arrĂŞte de respirer quand la main de Mlle Fournier se met Ă glisser sur ses cuisses, remontant imperceptiblement vers le sexe ouvert. La pointe de ses seins est dure et tendue. Elle ne sait plus qui elle est… d’habitude si rĂ©servĂ©e rĂ©vèle-t-elle sa vraie nature ?… en se soumettant sans retenue aux dĂ©sirs les plus obscènes de Mlle Fournier.
– Je vais t’apprendre Ă obĂ©ir aux règles que tu dois observer en privĂ©. Tu seras nue en permanence. Devant moi, ou tout autre de mes amis, tu dois montrer que tu es accessible et accessible, cela signifie que tu es disponible pour ĂŞtre baisĂ©e.
Ă€ chaque fois que l’on s’approche de toi, tu te mets Ă genoux, bouche ouverte avec la langue sortie, les mains sur la nuque, les cuisses largement Ă©cartĂ©es pour montrer que tu offres l’ensemble de ton corps au plaisir de tes visiteurs et qu’ils peuvent te fouiller au plus profond de leurs dĂ©sirs.
– Cela fait longtemps que je veux te voir jouir… alors, j’ai apportĂ© le matĂ©riel nĂ©cessaire, tu vas aimer, je vais mettre dans ta chatte de salope que tu vas devenir une belle tige vibrante…
LĂ©a sort de son sac un vibro, le graisse avec du gel et l’emboite sur un long manche, elle tend sa main pour mettre le vibreur en marche avant de le pousser pour bien l’enfourner sans façon dans le sexe de Mme Blanche dĂ©jĂ luisant. LĂ©a regarde Mme Blanche trembler, se trĂ©mousser, son bassin virevolte en proie Ă cet orgasme forcĂ©, son ventre bouillonnant tangue, en quelques minutes, transportĂ©e, elle explose de jouissance, sa mouille dĂ©gouline sur ses cuisses agitĂ©es de soubresauts…
Mais qu’est-ce que je suis en train de faire ! se dit-elle dans un sursaut de luciditĂ©… avant de jouir intensĂ©ment. Couverte de sueur, abattue, elle est terrifiĂ©e de s’ĂŞtre livrĂ©e, abandonnĂ©e, offerte ainsi au regarde Mlle Fournier.
– C’est bien, tu es un bon animal, c’est une jolie performance, tu es une rapide, tu promets, les hommes vont aimer,
Bon, maintenant je vais t’enfiler un plug dans le cul et quand tu l’auras portĂ© un moment, nous le changerons pour un de plus grosse taille. Tu verras, c’est utile, tu as besoin d’ĂŞtre Ă©largie ! Approche-toi, donne ton cul !
et LĂ©a attrape son tube de vaseline, enduit gĂ©nĂ©reusement le trou qu’elle dĂ©ride d’un coup sec Mme Blanche sursaute et proteste furieusement pendant l’introduction. LĂ©a lui claque violemment les fesses,
– Ta gueule salope, ou je t’attache ! Dans l’Ă©tat, ton trou est inutilisable !
LĂ©a fait progresser l’introduction du plug, le sphincter se dilate sous la pression, c’est douloureux, le visage Mme Blanche n’est plus qu’un masque de souffrance. Le plug bien en place, elle est plantĂ©e jusqu’à la garde.
– Je ne veux plus t’entendre, tu serres les fesses, tu remets ton chemisier, ta jupe et tes chaussures, tu dĂ©boutonnes ton chemisier, juste deux boutons, tes seins doivent toujours ĂŞtre libres pour que l’on puisse les voir, les peloter si l’envie vient… et tu me suis !
Voilà , très bien comme ça complimente Léa, tu es super bandante !
Sans soutien-gorge la pointe des tétons est érigée sous l’étoffe.
HabillĂ©e ainsi, Mme Blanche se sent encore plus vulnĂ©rable. Nue sous son chemisier, ses tĂ©tons dansent sous le tissu, cela l’agace, l’aguiche, l’agite. Le courant d’air qui caresse ses cuisses, son cul rempli et son sexe nu sous sa jupe la dĂ©route, l’Ă©moustille… Elle est excitĂ©e…
Mme Blanche regarde, les copies abandonnées, sur son bureau. Les deux femmes se dirigèrent vers la sortie…
Elles commencent une nouvelle aventure… Prise en main
LĂ©a se dirige vers la porte, se retourne et dit Ă Mme Blanche,
– Tu me suis Ă deux pas derrière et tu es normale,
Comment peut-elle être normale ? À chaque pas, ses tétons sont excités par le tissu de son chemisier, sa chatte nue sous sa jupe commence à devenir humide pour sa plus grande humiliation. Avec les boutons ouverts de son chemisier, elle en montre plus qu’elle ne l’a jamais fait et que la respectabilité n’autorise.
– Oui Mlle Fournier, rĂ©pondit-elle soumise.
Léa ouvre la porte et précède sa prof dans le hall de l’école vers le parking.
– Tes clefs ! demande LĂ©a.
LĂ©a s’assoit derrière le volant et Mme Blanche sur le siège passager.
– Remonte ta jupe !
Sans discuter, Mme Blanche remonte sa jupe Ă mi-cuisse.
– Plus haut salope ! dĂ©fense de resserrer les cuisses. C’est bien, Ă©carte davantage les genoux, tu n’es qu’une pute ! Tu dois montrer la marchandise !
Mme Blanche remonte si haut sa jupe qu’elle ne couvre plus sa chatte humide. Elle ne cache plus rien de son intimitĂ©… de son beau triangle dorĂ©. On peut voir ses cuisses blanches, bien ouvertes, exhibant son sexe, son pubis avec sa fente recouverte de bouclettes.
Léa démarre la voiture et se dirige vers la maison des Blanche.
– Nous allons faire des courses sur le chemin.
Le cœur de Mme Blanche se serre en espérant que Léa ne l’oblige pas à courir dans les magasins, sans soutien-gorge et sans culotte.
– Dites-moi Blanche. Qu’as-tu comme sextoys chez toi ?
Mme Blanche ne peut croire que Léa ose lui poser cette question et pourtant elle répond,
– J’ai un gode vibrant, Mlle Fournier.
– C’est tout ?
– Oui, C’est tout, Mlle Fournier.
– Tu aimes la bite Blanche ?
– Tu te branles ?
– Oui Mlle Fournier, quelques fois dans les toilettes du lycĂ©e et le soir dans mon lit.
Léa gara la voiture sur le parking, c’était un super marché avec un rayon bricolage.
– Viens, nous avons des achats Ă faire, des bas, des porte-jarretelles pour mettre ton cul en valeur et plein d’autres choses, n’oublie pas, tu marches deux pas derrière moi !
Mme Blanche abaisse sa jupe sur ses cuisses, l’air frais agresse ses tétons en érection et lorsqu’elle écarte les cuisses pour sortir de la voiture, son sexe dénudé s’ouvre en dévoilant des lèvres luisantes et roses.
LĂ©a veut qu’elle montre sa poitrine et ne l’autorise pas Ă mettre sa veste. Mme Blanche court pour la suivre et le ballotement, le frottement met les seins de la jeune femme Ă la torture.
– As-tu une carte de crĂ©dit et de l’argent sur toi ?
– Oui LĂ©a, j’ai les deux.
Léa s’arrêta et la fixa.
– Je te l’ai dit deux fois! Qu’as-tu dit ? Comment m’as-tu appelĂ©e ?
– LĂ©… Je suis dĂ©solĂ©e Mlle Fournier.
– Ouvre un autre bouton !
– S’il vous plaĂ®t Mlle Fournier, je suis vraiment dĂ©solĂ©e.
– Tu ne veux pas ouvrir trois boutons ?
– Si ! Si ! cria presque Mme Blanche en ouvrant le troisième bouton de son chemisier.
Si elle bouge trop, Mme Blanche sait qu’elle va dévoiler entièrement sa généreuse poitrine. Elle va devoir faire attention, ses seins dardés ballottent en marchant,.
– Prends un chariot animal ! commande LĂ©a,
Mme Blanche fait ce que Léa lui ordonne et la suit dans les rayons jusqu’au département des animaux.
– Trouvons un collier pour toi mon bel animal. Essaye celui-ci, dit LĂ©a en lui tendant un collier de chien en cuir blanc, un peu vulgaire, avec des pierres de couleurs, des pics en mĂ©tal et quatre anneaux tout autour.
– Ici ! ?
– Blanche, je n’aime pas avoir Ă me rĂ©pĂ©ter, si tu ne fais pas ce que je te demande, je te le rĂ©pète une dernière fois, tu peux rentrer chez toi, mais dès lundi matin toutes les photos, les anciennes, mais aussi les nouvelles seront distribuĂ©es, maintenant veux-tu essayer ce collier ?
– Oui, tout de suite Mlle Fournier.
Regardant autour d’elle Mme Fournier plaça rapidement le collier autour de son cou.
– Cela semble aller Mlle Fournier.
– Mieux vaut s’en assurer, après tout c’est toi qui le porteras, ferme-le !
– Maintenant, une laisse… attrape la longue rouge.
Mme Blanche veut enlever le collier avant d’ĂŞtre vue, mais LĂ©a lui tape durement sur les doigts.
– Tu ne touches pas Ă TON collier de chienne ! C’est ton signe d’appartenance et de soumission !
Mme Blanche leva les bras pour attraper la laisse qui Ă©tait en hauteur, elle comprend qu’en faisant cela elle dĂ©voile presque entièrement sa poitrine ! Mme Blanche prend la laisse d’une main, l’autre ferme son chemisier pour cacher ses seins exposĂ©s, une claque sur sa main. Ne touche pas Ă ce chemisier… et le chemisier s’ouvre laissant apparaĂ®tre la poitrine et les superbes avantages de Mme Blanche, elle chouine.
LĂ©a accrocha la laisse au collier.
– Cela te va Ă merveille. Met-le dans le panier, dit LĂ©a en partant.
Mme Blanche se dépêcha d’enlever le collier avant qu’on ne la voit et court pour rattraper Léa, pour ne pas la mettre en colère parce qu’elle ne suit pas à la distance requise.
LĂ©a va dans le rayon bricolage et achète des chaines, des barres de fer, des cadenas… LĂ©a lui dit d’aller payer Ă la caisse et de ne pas traĂ®ner. Mme Blanche est gĂŞnĂ©e, car bien que ces objets semblent innocents, elle se doute de leur usage et de leur destination… et puis se prĂ©senter Ă la caisse avec son chemisier si ouvert… Elle paye le visage en feu, la chatte incroyablement humide et les tĂ©tons que l’on voit sous l’étoffe du corsage ont la pointe dure.
Mme Blanche prend les achats et se dirige vers la voiture où l’attend Léa.
– Soulève ta jupe et pose ton cul directement sur le siège, dit LĂ©a et Mme Blanche remonte vite sa jupe au ras de son volcan et au-dessus des fesses.
– Nous allons dĂ®ner, que veux-tu manger ?
– Je n’ai pas faim.
Une claque.
– Mlle Fournier ! ! ! Oh, je suis dĂ©solĂ©e Mlle Fournier…
– Lève bien tes fesses, je veux ta jupe autour de la taille,
Blanche, tu dois comprendre que tu y perdras toujours quelque chose lorsque tu ne me feras pas plaisir et bien sûr, tu sais ce qui t’arrivera si tu refuses complètement de m’obéir. Léa quitta le parking pendant que Mme Blanche remontait sa jupe si haut qu’elle dévoilait complètement son sexe nu, son visage était rouge brique. Elle se sentait comme une enfant punie pour avoir mal agit.
Elle commence à paniquer en voyant Léa entrer dans le parc de stationnement d’un « drive in ».
– Ne touche pas Ă cette jupe Blanche, que veux-tu manger ?
– Rien Mlle Fournier.
La prof morte de honte plonge dans son siège pendant que Léa commande un sandwich, des frites et deux glaces au chocolat. En arrivant au guichet de paiement, Léa tend sa main vers Mme Blanche pour avoir de l’argent, Mme Blanche ouvre vite son sac et donne à Léa l’argent demandé en espérant que personne ne la reconnaisse. Il fait noir et l’employé ne doit pas y voir grand-chose, mais elle veut mourir en l’entendant dire :
– Bonjour Mme Blanche,
Le type reconnaît la voiture,
– Bonjour, rĂ©pondit Mme Blanche. Elle aurait voulu disparaĂ®tre.
Léa gara la voiture dans un coin sombre et commença à manger son sandwich.
– Ouvre complètement ton chemisier.
Mme Blanche ouvre avec appréhension son chemisier et dévoile sa poitrine nue.
– Pendant que je mange, je veux que tu me distraies, tu couvres tes seins avec cette glace au chocolat. Fais attention de ne pas salir ton chemisier…
Humiliée, assise dans la voiture sur un emplacement de parking, le chemisier grand ouvert, elle obéit à Léa et commence à se frotter la glace sur la poitrine. Mme Blanche ne veut pas contrarier l’adolescente, elle sait que celle-ci peut lui imposer encore pire, le froid de la glace sur les seins gonfle les tétons.
– Tu en mets aussi sur ta chatte.
Les doigts de Mme Blanche pleins de chocolat posèrent le bâton de glace sur son sexe.
– Rentre le dedans !
Son cĹ“ur se serre lorsque le chocolat glacĂ© stimule sa chatte brĂ»lante, ses doigts semblent Ă©chapper Ă son contrĂ´le… cela dure dix minutes, le temps que LĂ©a termine son repas, Mme Blanche joue avec elle-mĂŞme, se masturbe et elle se sent de plus en plus chaude, malgrĂ© elle, elle arrive au point de jouissance… mais LĂ©a lui dit d’arrĂŞter et de lĂ©cher ses doigts pour les nettoyer.
– Ne touchez plus Ă rien ! dit LĂ©a en remettant la voiture en route.
Mme Blanche est lĂ , torse nu, sa chatte exposĂ©e, bien visible et son corps couvert de chocolat… Elle lèche ses doigts pour les nettoyer comme lui a ordonnĂ© son Ă©tudiante et le goĂ»t du chocolat et de sa jouissance la trouble, son sexe est en feu, sa chatte veut ĂŞtre satisfaite ! Elle veut du sexe, elle veut ĂŞtre saillie.
La maison des Blanche est un peu en retrait de la route, le jardin est derrière, avec un jardinet sur le devant. Léa sort de la voiture et jette un regard et dit,
– Pas de chocolat sur tes vĂŞtements ma salope, sinon c’est le fouet !
Léa rentre dans la maison et laisse Mme Blanche, la poitrine à l’air, la jupe retroussée et le corps couvert de chocolat…
Ne voulant pas ĂŞtre châtiĂ©e, Mme Blanche sait qu’elle ne peut pas s’habiller et comme elle ne veut pas contrarier de nouveau LĂ©a, elle regarde autour d’elle, il n’y a personne dans la rue, elle ouvre la portière et se prĂ©cipite nue vers la maison sous le porche, elle essaye d’ouvrir la porte…
Fermée !
Mme Blanche, sonne et frappe, un vent glacial court sur son corps nu, elle commence Ă paniquer.
– S’il vous plaĂ®t Mlle Fournier, laissez-moi entrer !
LĂ©a se tient derrière la porte et quand elle l’ouvre enfin…
Photo
– Tu as pris tes paquets Blanche ? Passe par derrière, par la porte de service !
Et LĂ©a lui claque la porte au nez.
Mme Blanche court pratiquement nue vers la voiture. Elle prend son sac et les achats, une voiture s’approche, de justesse elle peut atteindre la porte de service avec ses bras surchargés. La porte est ouverte et elle trouve Léa confortablement installée dans le salon.
– LĂ©a, je ne veux plus que vous preniez de photos !
Léa se lève et la gifle magistralement,
– Combien de fois, faudra-t-il te dire d’appeler ta maitresse par son nom de famille ! Et je n’ai rien Ă faire de ce que tu peux vouloir ! Tu va recevoir la trique ma salope,
– Maintenant va dĂ©poser ton barda dans la chambre et viens me rejoindre dans la salle de bains, vite fait ! Tu n’es qu’un tas de merde Blanche !
Mme Blanche, toujours pratiquement nue, court dans l’escalier jusqu’à sa chambre, dépose les achats sur le lit et rejoint Léa dans la salle de bains. Là , coule déjà une eau chaude…
– DĂ©shabille-toi mon animal et file dans le bain rapidement.
– Laisse la porte ouverte !
Mme Blanche se déshabille et se glisse avec délice sous l’eau,
– Pour ĂŞtre sĂ»r que tu ne profites pas de cet instant pour te toucher, je t’attache.
LĂ©a prend la ceinture d’un peignoir et ligote les mains de Mme Blanche au robinet puis quitte la salle de bain en l’abandonnant dans l’eau un bon moment. Ă€ son retour, elle vide la baignoire, la dĂ©tache puis ouvre le robinet d’eau froide pour la rincer. Mme Blanche bĂŞle au contact de l’eau glacĂ©e. LĂ©a la gifle et lui rappel, « c’est pour t’ĂŞtre caressĂ©e sans mon autorisation », tu n’as pas le droit de jouir sans mon accord, tu dois ĂŞtre en manque de jouissance pour ĂŞtre toujours chaude… pour les queues qui passent… puis incrĂ©dule, elle voit LĂ©a s’approcher, baisser la puissance du jet d’eau, dĂ©monter le pommeau de douche, lui demander d’Ă©carter largement les jambes, puis fait remonter l’embout du tuyau verticalement pour lui nettoyer les orifices. Avec la main enduite de savon, elle lui lubrifie la rondelle et d’une main ferme, la penche pour qu’elle prĂ©sente son cul en l’air, ses fesses bien rondes, bien Ă©cartĂ©es. LĂ©a enfonce l’embout du tuyau au plus profond de l’anus… Mme Blanche geint, LĂ©a la prĂ©pare pour la sodomie en lui nettoyant le cul.
Photo !
– Tes ouvertures doivent ĂŞtre, en permanence, irrĂ©prochables ! VoilĂ de cette façon tu es prĂŞte pour te faire enculer par des mâles bien Ă©pais qui te dilateront ton tendre et joli cul !
Quelle humiliation d’ĂŞtre ainsi traitĂ©e.
Après le nettoyage des trous de Mme Blanche, Léa lui dit en lui détachant les mains,
– Maintenant, assure-toi que ta moule est aussi propre mon animal !
Les mains de Mme Blanche savonnent son pubis en insistant sur le vagin. Elle passe une main dans son sexe pour s’assurer d’avoir bien enlevé tout le savon.
Photo !
Une sorte de choc électrique la parcourt lorsqu’elle effleure son clitoris. Qu’est-ce qui m’arrive, je deviens folle ! pense-t-elle en retirant vite son doigt de sa chatte.
LĂ©a sourit et lui ordonne de sortir de la douche.
– La trique Ă Â prĂ©sent, trois coups pour t’apprendre Ă rĂ©pondre !
LĂ©a frappe les fesses de Mme Blanche qui se marquent de stries rouges, elle pleure…
– Maintenant, lubrifie-toi le trou du cul avec ce gel et changes ton plug anal. Tu prends le gros, tu dois ĂŞtre aussi large qu’une porte de garage pour laisser la voie aux bites des clients.
Mme Blanche comprend sa dĂ©chĂ©ance et que son avenir est celui d’une prostituĂ©e…
– Pose tes fesses sur le lavabo !
Mme Blanche s’assoit sur le lavabo, le plug bien enfoncé et se demande pourquoi,
– Écarte tes cuisses, aussi grand que tu peux,
Mme Blanche fut choquée, mais obéissante, elle écarte les cuisses.
Blanche je te dis d’ouvrir tes cuisses, le plus grand possible ! Écarte plus… Ouvre-toi plus chienne ! La voix Ă©tait calme, directe, pĂ©remptoire…
– Tu veux encore goĂ»ter de la trique ?
Bien sûr, Mme Blanche obéit immédiatement, elle a peur de se faire battre et en tremblant, écarte au plus grand ses cuisses…
Photo !
LĂ©a pose une chaise entre les jambes ouverte de Mme Blanche, s’assoit et avec dans les mains le rasoir et la crème Ă raser de monsieur Blanche…
– S’il vous plaĂ®t Mlle Fournier, ne faites pas cela, bafouille la pauvre prof.
– Silence Blanche, dit LĂ©a en couvrant avec insistance la chatte de Mme Blanche avec de la crème Ă raser.
Cette caresse la fit tressaillir, Mme Blanche sent de nouveau ses tĂ©tons se dresser et une Ă©trange sensation dĂ©licieuse l’envahir pendant que LĂ©a, fait courir le rasoir sur son pubis, Ă mesure que la mousse disparaĂ®t, Mme Blanche distingue ses lèvres vaginales complètement nues. LĂ©a lui demande de se retourner, elle lui enlève le plug et c’est le rasage au tour de la raie, entre les fesses. Lorsque tous les poils sont coupĂ©s, LĂ©a passe une lingette tiède sur le sexe de Mme Blanche et lui replante l’Ă©carteur de trou.
Mme Blanche se regarde, elle est toute lisse. LĂ©a s’approche d’elle et lui passe la main entre les cuisses et lui caressant le sexe, Mme Blanche Ă©carte automatiquement les cuisses, LĂ©a remarque que Mme Blanche est fendue très haut, elle frĂ©mit sous la caresse… Que m’arrive-t-il, suis-je folle ?
LĂ©a se recule et lui dit,
– Sourire Blanche,
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– Ouvre ta chatte, Ă©carte tes lèvres,
Mme Blanche sait qu’elle n’avait pas le choix, elle ouvre son sexe rasé comme le lui demande son étudiante.
En fait, elle est surprise de désirer d’être ainsi offerte.
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– Blanche, ta chatte coule… dit LĂ©a en lui montrant la mouille qui s’écoule du sexe rasĂ© de sa prof. La mouille fait briller les lèvres.
Léa tend un miroir à sa prof humiliée.
– Regarde bien Blanche.
Mme Blanche regarda et voit son sexe rasé et étouffe un sanglot d’humiliation. Son corps lui semble étranger et ne plus lui appartenir.
– Ă€ partir de maintenant, en permanence, c’est un ordre, tu dois toujours avoir le sexe parfaitement lisse. Compris ?
– Oui, Mlle Fournier.
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LĂ©a lui tend la laisse et le collier de chien,
– Met le Blanche, tu dois le garder toujours avec toi, c’est ta marque de soumission. Lorsque tu es seule ou avec moi, tu le portes avec la laisse, c’est un ordre et dans le cas contraire, garde le dans ton sac, c’est un bon moyen d’avoir la main sur toi et te rappeler ta condition d’animal !
– Oui Mlle Fournier, rĂ©pond la prof confuse en mettant le collier autour de son cou.
Photo !
LĂ©a attacha la laisse au collier.
– Faisons le tour de la maison Blanche,
– Oui Mlle Fournier, rĂ©pond la prof en laisse, en se levant pour aller Ă la porte. Elle est arrĂŞtĂ©e rapidement par un coup sec sur le collier.
– Ă€ genoux devant moi petite traĂ®nĂ©e,
Mme Blanche se met Ă genoux et regarde respectueusement LĂ©a,
– Maintenant faisons la visite,
– Oui Mlle Fournier,
– Oui! C’est bien, chienne!… Allez, on va descendre. Reste Ă quatre pattes.
– Commençons par la cave. La descente est pĂ©nible pour la pauvre prof. C’est un endroit froid et dĂ©sagrĂ©able. Mme Blanche nue, les genoux sur le bĂ©ton, tremble, elle suit LĂ©a sur le cĂ´tĂ© et LĂ©a souriante admire la poitrine qui danse et les fesses qui se tordent dans l’escalier.
– Tu as un beau cul et il te faut apprendre Ă bien le mettre en mouvement pour tes admirateurs mon animal,
– Remontons maintenant et visitons les chambres.
Mme Blanche rampe jusqu’au premier étage, toujours tenu en laisse par son élève. Elle sent le regard de Léa sur ses fesses, ses seins qui ballotent avec ses tétons dressés… Léa examine les chambres d’amis et ordonne de voir celle de Mme Blanche.
En entrant, Léa ordonne à sa prof, vêtue du seul collier de chien, de venir au pied du lit pour être attachée, de rester à genoux, cuisses ouvertes et de mettre les mains sur la tête.
LĂ©a ouvre les armoires, elle ne fait pas attention aux vĂŞtements d’homme, mais trouve les sous-vĂŞtements de Mme Blanche, ses slips, ses soutiens-gorge, tous sont jetĂ©s au milieu de la pièce.
– Comme tu es faite pour vivre nue, tu n’as pas besoin de tout cela !
LĂ©a s’intĂ©resse Ă l’autre tiroir qui contient des bas, des porte-jarretelles et des collants. Les collants sont jetĂ©s sur le sol, le reste remis en place dans l’armoire. Le dernier tiroir, est celui des chemises de nuits et des dĂ©shabillĂ©s, mĂŞme sort, jetĂ©, exceptĂ© un petit ensemble, haut et string. LĂ©a, lui ordonne de le passer et dans cette tenue… Mme Blanche est encore plus nue…
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Léa la détache et lui ordonne de marcher autour de la pièce. C’est un petit ensemble en dentelle noire, le haut est très moulant et contient avec peine son 95 C, ses tétons pointent au travers du fin tissu. L’ensemble s’arrête juste au-dessus de sa chatte épilée. Le string très serré disparaît dans ses fesses en leur donnant encore plus de galbe. Le devant dans un tissu trop fin, moule son sexe et ne laisse rien ignorer de ses lèvres nues…
LĂ©a s’intĂ©resse ensuite aux chaussures de sa prof, elle Ă©carte ballerines et autres chaussures du mĂŞme type, pour s’intĂ©resser Ă une paire de sandales Ă talon haut… ainsi qu’à des chaussures de soirĂ©e noire au talon vertigineux…
– Dis-moi Blanche ces talons ?
– Je ne les ai mis qu’une fois, mais ils m’ont fait si mal aux pieds que je ne les ai plus jamais portĂ©s, dit la prof, Ă genoux.
Léa lui ordonna de se lever et de les mettre. Son étudiante, tourne autour d’elle en la regardant attentivement.
– Ils sont très jolis, ils te font de jolies et grandes jambes et tes fesses sont encore plus rebondies, ton cul devient bien plus tentant, marche un peu !
LĂ©a prend la laisse et fait tourner en rond sa prof, comme lorsque l’on mène un cheval dans un manège,
Mme Blanche se met à marcher. Animal montré, elle essaye de faire attention, mais ses fesses se balancent en un mouvement dansant, sa poitrine nue ballotte à chaque pas. Ses pieds la font souffrir immédiatement et pour sa grande honte, elle sent que son sexe rasé commence à mouiller… Mais que m’arrive-t-il ? se demandait-elle. Qu’est ce qui se passe ! Suis-je faite pour être traitée ainsi ?
– Mlle Fournier, je ne peux pas marcher avec ces chaussures…
– Ne t’inquiète pas mon animal, tu vas prendre l’habitude !
Il ne reste sur le lit que quelques jupes et chemisiers ainsi que son vibromasseur tĂ©lĂ©commandĂ© dĂ©couvert dans un tiroir. Personne ne l’avait jamais vu, personne, pas mĂŞme son mari.
– Dites-moi Blanche, tu t’en sers souvent… ?
– Uniquement lorsque mon mari est absent.
– Et encore ?
– Toutes les nuits, dit la pauvre Mme Blanche cramoisie…
– Allez file sur le lit et montre-moi comment tu t’en sers…
Les mains de Mme Blanche refusent de lui obéir, elle tremble !
– Allez animal, allonge-toi ! Vite fait !
– Branle-toi, chienne ! Montre ton cul. Oui, Ă©carte !
– S’il vous plaĂ®t Mlle Fournier, je ne peux pas faire cela…
-Tu ne veux pas, ou tu ne peux pas ? Tu veux la trique ? Tu le fais, ou bien je pars d’ici et tu connais les conséquences…
Tremblante, Mme Blanche saisit le gode télécommandé et les cuisses serrées, le posa sur le sexe.
– Allons Blanche, ouvre-moi ces jambes, je veux te voir en action, je suis sĂ»re que tu sais y faire… une bonne jouisseuse comme toi !
Elle écarte les jambes et l’introduit dans son intimité devenue si nue…
Photo !
La prof qui se masturbe comprend en un instant que son destin est scellé ! Elle commence à faire entrer et sortir le sexe de plastique, une onde de plaisir la parcourt. Avec son autre main, elle se caresse la poitrine, ses tétons sont en érection… Elle les pince…
Photo !
Son sexe rasé lui semble réagir différemment, les sensations sont plus fortes. Sa respiration se fait plus intense à mesure qu’elle se masturbe plus fort, que le gode vibrant entre de plus en plus loin dans sa chatte.
Photo !
Son corps se couvre de transpiration, elle oublie tout, plus rien ne compte que la jouissance de son corps que lui apporte ce jouet de plastique.
Photo !
Soudain Léa se lève et arrache le sexe factice de la chatte détrempée de sa prof.
– Aaaaarrh ?
– Blanche, je veux que tu comprennes vraiment la situation, tu es dĂ©sormais sous mon contrĂ´le, jouir, chier, pisser, tout ce que tu fais, tout est sous mon contrĂ´le ! Je dĂ©cide de ta jouissance, cela t’est interdit sans mon accord ! Je suis la propriĂ©taire de tes trous, chatte, bouche, cul ! Tu me comprends bien ? Si je te dis, suce, tu suces, va le baiser, tu exĂ©cutes ! Tu ne sers qu’à te faire pĂ©nĂ©trer et baiser pour faire jouir !
– Je veux que tu deviennes une bonne et dĂ©vouĂ©e salope pour moi, compris ? Ă€ tout instant du jour et de la nuit, tu es disponible, avec n’importe qui !
– Oui Mlle Fournier !
Répond hâtivement Mme Blanche craignant une nouvelle dérouillée.
– Ta bouche est faite pour satisfaire les passions de chacun et de chacune, tu dois sucer une queue bien Ă fond, malaxer, lĂ©cher les couilles du mâle qui te prend pour le faire bander… lui lustrer le gland en y mettant de la salive… tu le suces longtemps et bien fort pour qu’il rentre dans ta bouche, tu dois le prendre entièrement dans ta gorge goulument… baver pour encore lui astiquer la bite… Et s’il te bloque la tĂŞte, tu auras mal, c’est normal, tu es son jouet et s’il veut s’enfoncer et jouir au fond de ton gosier, laisse le venir et ouvre la gueule, le plus grand possible… pour qu’il gicle au fond, les hommes aiment dĂ©foncer les amygdales, Ă©jaculer directement dans l’estomac de leur suceuse. La place de ton visage se situe exclusivement entre les cuisses de tes partenaires. Lorsqu’il a joui, tu lui nettoies la queue et avales tout le sperme pour ne rien laisser perdre… cela excite Ă©normĂ©ment un homme après s’être fait sucer de voir la langue de sa pute laper le sol pour ne pas laisser de traces… Toujours Ă genoux devant ton amant, sois souriante et heureuse d’avoir sucĂ© comme une chienne, frotte tes miches sur sa jambe, laisse-le te flatter les seins, te caresser la tĂŞte en preuve de remerciement d’avoir Ă©tĂ© une bonne fille.
Mme Blanche comprend soudain qu’elle doit oublier sa vie prĂ©cĂ©dente… Tous ces mots l’excitent, les situations imaginĂ©es l’Ă©lectrisent, attisent son dĂ©sir bouillonnant, elle ne s’appartient plus, son corps veut jouir, elle veut branler son sexe en feu, sans prendre le risque de contrarier LĂ©a, de la mettre en colère, car LĂ©a n’est jamais compatissante. Elle fouette bien.
– Allons, ne sois pas en peine Blanche, fais ce que j’ordonne et tout ira bien entre nous. Évidemment si tu ne m’Ă©coutes pas, je serai contrainte de sĂ©vir… fouet… photos…
– Je suis Ă vous Mlle Fournier, vous avez fait de moi votre propriĂ©tĂ©, je suis votre pute, s’il vous plait, ne laissez personne voir ces photos, sanglote la prof vaincue.
– Approche-toi ma petite chienne, il ne faut pas pleurer,
et LĂ©a d’une main lui frĂ´le doucement l’entre jambe, elle est trempĂ©e de plaisir et s’offre Ă la main en recherche de caresses plus appuyĂ©es, LĂ©a lui bichonne la joue, Mme Blanche frisonne, se plaque au corps de LĂ©a et offre ses seins Ă la caresse.
– Je verrai mon animal, mais pour l’instant Blanche, je veux que tu nettoies la salle de bains et que tu jettes tous ces vĂŞtements dans la cave avec ces pantalons, je ne veux plus les voir, ils te sont interdits. Tu restes nue, en talon et tu me fais Ă manger lorsque tu remontes. Tu ne mets qu’un seul couvert et une Ă©cuelle Ă cĂ´tĂ© de ma chaise,
– Oui Mlle Fournier.
– Encore une chose Blanche, n’essaie pas de te toucher en cachette ! Si tu dĂ©sobĂ©is tu es fouettĂ©e ! Tu seras matĂ©e ! Tu as compris je l’espère.
Léa descend dans le salon, s’installe confortablement et allume la télévision. Mme Blanche, nettoie la salle de bains, va dans la chambre et ramasse tous ses vêtements jetés sur le sol et les descend à la cave. Elle fait plusieurs voyages et comme elle n’a rien pour les ranger les vêtements, elle les jette à même le sol.
– Blanche ! Je commence Ă avoir faim !
– Oui Mlle Fournier, je fais au plus vite pour vous servir,
Après tous ces voyages en talons, les pieds de Mme Blanche sont en feu, mais elle se précipite quand même vers la cuisine, que peut bien vouloir manger Léa, se demande-t-elle ? Tous les jeunes aiment les hamburgers et les frites… Elle prépare deux hamburgers, des frites et se rend compte qu’elle a faim, elle aussi.
Elle met la table, obĂ©issante, ne met qu’un seul couvert et pose une gamelle près de la chaise de LĂ©a,
Lorsque le dîner est prêt, elle appelle Léa.
– Mlle Fournier, votre repas est prĂŞt.
Lorsque Léa entre dans la cuisine, elle voit, debout près de la table, celle qui a été une prof respectable, désormais nue, en hauts talons, bas et porte-jarretelles, avec un collier de chien autour du cou et une laisse qui pend entre les seins, les jambes écartées, le sexe bien visible… Cela la fit sourire, Léa est ravi du spectacle.
– Devant moi, Ă genoux, les mains sur la tĂŞte pendant que je mange,
Affamée, assoiffée se met à genoux devant son élève et la regarde manger.
– Tu as soif Blanche ? Tiens,
LĂ©a verse le contenu d’un verre dans la gamelle et dit,
– tu lapes comme une chienne,
Accroupie, Mme Blanche, le cul en l’air, lape,
– Lape davantage, je veux voir ta langue,
– C’est très bien, veux-tu des frites ?
– Oui, s’il vous plait Mlle Fournier.
– Ouvre tes jambes Blanche,
Mme Blanche, sans comprendre, Ă©carte les cuisses. LĂ©a prend une frite et la fait tourner autour, puis dans la chatte de Mme Blanche… et la porte Ă hauteur de sa bouche,
– On ouvre grand la gueule mon animal ! Allons, fais la belle !
Mme Blanche commence Ă replier les bras, les mains, bomber le torse et lever la tĂŞte, pour mĂ©riter la faveur de LĂ©a…
– Maintenant mâche !
Mme Blanche est morte de honte, elle essaye de ne pas recracher pendant qu’elle mâchonne la frite, trempée de sa mouille…
– Maintenant Blanche, c’est Ă toi de continuer.
Dans un Ă©tat second, Mme Blanche, saisit une frite, la frotte sur sa chatte.
Photo !
Et la porte Ă sa bouche.
Photo !
– Tu veux du hamburger, Blanche ?
DĂ©faite, elle secoue la tĂŞte.
– Non merci Mlle Fournier,
– On le fait quand mĂŞme ! dit LĂ©a en lui tendant un gros morceau de hamburger.
– Et on trempe avant, bien entendu.
– Mme Blanche obĂ©it mais elle est vraiment sur le point de vomir, le goĂ»t… et l’humiliation de la situation.
– Allons, assez jouĂ©, nettoie la cuisine et ne traĂ®ne pas !
Lorsque la cuisine est propre, Mme Blanche rejoint LĂ©a dans le salon.
– Ă€ genoux devant moi, tu baisses la tĂŞte, tes mains dans le dos !
LĂ©a prend les mesures de la prof, nue devant elle. Elle les note soigneusement.
– Nous disons donc, trente centimètres… DĂ©sormais, tu ne porteras que des jupes arrivant trente centimètres au-dessus de tes genoux, d’autre part, tu couperas les trois premiers boutons de tes chemisiers.
– Oui, Mlle Fournier.
– Dites-moi, Blanche, as-tu aimĂ© manger ?
– Non, Mlle Fournier, je ne l’ai pas aimĂ©.
– Dommage,
Puis sautant du coq-Ă -l’âne,
– Dis-moi, ton mari est un bon amant ?
– Oui Mlle Fournier.
Mme Blanche est vraiment embarrassée de devoir parler de ses relations sexuelles avec une étudiante.
– Est-ce qu’il t’encule ?
– Absolument pas, je n’ai jamais eu ce type de relations avec lui.
LĂ©a sourit.
– Est-ce que tu aimes le sexe ?
La prof, nue devant son étudiante habillée, ne peut croire qu’elle répond à ces questions,
– Oui Mlle Fournier.
– As-tu dĂ©jĂ sucĂ© le sexe de ton mari ?
Mme Blanche devint pivoine.
– Oui Mlle Fournier.
– Tu as aimĂ©, cela ?
– Oui Mlle Fournier,
– Tu as avalĂ© son sperme ?
– As-tu dĂ©jĂ trompĂ© ton mari avant ton mariage ? Combien as-tu eu d’amants ?
La prof Ă genoux, nue devant son Ă©lève, a la chatte maintenant très mouillĂ©e, compte mentalement…
– Mlle Fournier, c’est vrai, j’ai toujours aimĂ© le sexe depuis la perte de ma virginitĂ©, mais s’il vous plait, ne me posez plus ce genre de questions.
– Trois,
– Et tu as sucĂ© leur sexe ?
– Oui Mlle Fournier, je n’ai pas aimĂ© mais ils le voulaient, je l’ai fait pour leur faire plaisir.
L’interrogatoire dure plus d’une heure.
– Bon mon animal, tu vas filer faire ta gym, voilĂ mes instructions et LĂ©a lui tend une note,
« Mon animal, tu enlèves ton plug anal, mais tu n’as pas le droit d’aller te cacher dans une salle. Exercices identiques Ă ceux d’hier et en plus quinze minutes pour raffermir ta poitrine. Après la douche, tu lubrifies ton cul et tu remets ton plug. Dehors dans deux heures, c’est un ordre » !
Mme Blanche dans les vestiaires trouve un endroit tranquille et retire le plug, le range dans son casier, puis fait ses exercices dans un Ă©tat de jouissance extrĂŞme ; le maillot trop court que lui a donnĂ© LĂ©a agace sa chatte en feu. Après la douche, elle remet le plug et est heureuse de constater qu’il rentre maintenant sans douleur dans ses fesses. Elle a honte de constater que de le sentir dans ses fesses, lui procure du plaisir… qu’elle aime avoir ce monstre en elle.
Elle sait, que peu Ă peu, elle sombre…
Le temps de se coiffer, de se maquiller, elle rejoint LĂ©a avec quinze minutes de retard. Elle demande de l’excuser, mais le regard noir de LĂ©a, la terrifie. LĂ©a les conduit au centre commercial et gare la voiture et dit Ă Mme Blanche d’aller rĂ©server une table au restaurant. Dès qu’elle est de retour, hors de vue des consommateurs, elle gifle par deux fois, Ă toute volĂ©e, violemment Mme Blanche qui chancèle,
– Salope, tu m’as fait attendre, je ne supporte pas cela, ce soir tu seras punie !
Elles rejoignent le restaurant, Mme Blanche les joues enflammĂ©es, marquĂ©es de la main de LĂ©a, attend qu’elle lui dise de s’asseoir. LĂ©a glisse la tĂ©lĂ©commande des boules de Geisha dans sa poche, puis met en route le vibrateur,
– tu peux t’assoir,
Mme Blanche voit bien que les serveurs se doutent de quelque chose. Elle a passĂ© le temps du repas Ă se trĂ©mousser face Ă LĂ©a souriante et rouge comme une tomate Ă essayer de ne pas jouir. Elle mange tout son repas avec les doigts, sous le regard surpris des clients…
– Et maintenant mon animal, ta surprise, j’ai dĂ©cidĂ© de t’offrir une coupe de cheveux, puisque tu veux changer de look, dit-elle en lui caressant la tĂŞte.
Chez le coiffeur, LĂ©a donne ses instructions, puis quitte le salon. La styliste se met Ă l’œuvre, taille, coupe, modèle la chevelure pour parvenir Ă lui faire un joli toupet sur le sommet du crâne. Lorsqu’elle se regarde dans la glace, Mme Blanche est surprise par cette coupe qui lui dĂ©gage la nuque et les oreilles.
La coiffeuse lui dit que La demoiselle veut aussi que Mme Blanche se fasse aussi percer les oreilles. Mme Blanche qui aime les boucles d’oreilles pense que LĂ©a veut juste un deuxième trou pour une autre boucle et accepte. Mais avant qu’elle puisse comprendre, la styliste lui a mis cinq nouvelles boucles, vulgaires, Ă grands anneaux, le type mĂŞme de boucles de pouffiasses, des boucles Ă©videmment très visibles avec sa coupe courte.
De retour au salon, LĂ©a souriante lui dit,
– VoilĂ qui est très bien mon animal, avec ce toupet tous les hommes que tu suces ou qui te prennent par-derrière pourront facilement te tenir la tĂŞte et te diriger et pour moi, ce sera plus facile de te maintenir et te coincer entre mes jambes et t’administre une correction, pour te fouetter ton cul de salope jouisseuse !
Ce soir je te fixe une autre boucle spécialement faite pour toi mon animal.
Ayant dĂ©cidĂ© d’asservir plus encore sa prof, LĂ©a va identifier Mme Blanche au moyen d’une large boucle en fer qui sera pendante au bout d’une longue chainette Ă l’oreille droite. LĂ©a a fait graver en gros caractères gras « Suceuse » au recto et « Animal » au verso, une boucle facilement visible de tous… Une manière de signaler la pute… une sorte de traçage comme l’on trouve dans les fermes pour le bĂ©tail. Mme Blanche est honteuse d’ĂŞtre ainsi rĂ©duite par ce traitement…
– Paye la facture !
– Oui Mlle Fournier,
et les deux femmes quittent le salon après avoir pris un rendez-vous pour une épilation complète la semaine suivante.
Léa poursuivant ses achats conduit Mme Blanche dans une bijouterie et lui fait acheter un bracelet de cheville, marqué « Animal ».
– Ă€ mettre ce soir, après ta punition lorsque je scellerai ta boucle d’identification.
De retour à la maison Mme Blanche pense qu’elle va se faire punir comme une petite fille prise en faute et elle sait que la punition sera pénible,
– Je vais prendre ma douche, tu attends dans la chambre sans te toucher, sinon je t’attache !
Mme Blanche entre dans la chambre et se dĂ©shabille immĂ©diatement. Nue, elle change de chaussures pour ses très hauts talons. Elle veut ĂŞtre belle pour plaire et ne pas s’attirer plus encore l’ire de sa propriĂ©taire…
Elle a pensĂ© « propriĂ©taire » en bouclant son collier autour de son cou. Elle veut tout faire pour la satisfaire…
Ne jamais mentir Ă LĂ©a, surtout lui obĂ©ir… pourquoi pas se dit-elle…
LĂ©a la rejoint un quart d’heure plus tard et la trouve qui l’attend debout, nue, jambes Ă©cartĂ©es, bouche ouverte, la langue sortie, en très hauts talons et portant son collier, la laisse pendante entre les seins et en main, en offrande, sa boucle d’identification. Heureusement surprise, LĂ©a vĂŞtue d’une grande serviette de bain, se dirige vers sa prof, s’approche, lui passe la main dans les cheveux, puis sur la joue. lui caresse la croupe chaleureusement, passe une main entre les cuisses chaudes et humides, lui pelote l’entrejambe liquĂ©fiĂ©, Mme Blanche la tĂŞte posĂ©e sur l’Ă©paule de LĂ©a, agacĂ©e Ă©touffe un râle, ronronne et se cambre nerveusement en proie Ă un dĂ©sir foudroyant, des picotements dans le creux des reins, la serviette de bain se dĂ©noue et LĂ©a se retrouve nue, la poitrine Ă©crasĂ©e, collĂ©e contre sa prof. La chaleur du corps de LĂ©a et la fermetĂ© de ses seins font frĂ©mir Mme Blanche.
Mais LĂ©a, implacable, saisit les tĂ©tons de sa prof, les tord violemment, la force Ă se mettre Ă genoux devant elle… Le visage de Mme Blanche est couvert de larmes.
– Je vais riveter ta boucle d’identification ma petite grue, tourne la tĂŞte !
et LĂ©a pince sans douceur l’oreille de Mme Blanche enfonce le rivet dans l’un des trous faits dans le lobe par la styliste, le rentre dans l’anneau de la chainette et attrape une pince… LĂ©a fixe dĂ©finitivement la boucle d’identification.
– Te voilĂ marquĂ©e ma salope,
– Tu ne me fais plus jamais attendre, tu as compris ?
– Oui Mlle Fournier, votre animal ne sera plus jamais en retard. Votre animal est dĂ©solĂ© sanglote l’enseignante.
LĂ©a fut heureuse de voir que son animal de compagnie s’est si bien glissĂ© dans son rĂ´le de soumise. Sa chose apprend vite.
La prochaine fois, dit-elle Ă Mme Blanche, je vais te faire tatouer au-dessus des fesses « Salope Ă enculer » et au dessus des seins « suceuse » en français, mais aussi en arabe, tu vas voir, ce sera fait d’une très belle Ă©criture ! Ce sera très bien pour tes nouveaux clients…
Pleurant, suppliant mĂŞme, toujours en larmes,
– Oh non Mlle Fournier ! Non, je vous en prie, pas de tatouage,
Mme Blanche sait parfaitement qu’un tatouage est irrĂ©versible et confirme, scelle son destin, son Ă©tat Ă vie…
– Silence, enlève ton plug. Il est temps de te fouetter, si tu chougnes encore et je double la dose !
Tremblante, Mme Blanche retire le plug de ses fesses.
– Mets-le dans ta bouche,
Elle lutte pour ne pas vomir. Sa bouche est remplie par son jouet anal
– Baisse la tĂŞte, lève ton cul et Ă©cartes les cuisses et cambre-toi bien, creuse le dos ! Ordonne-t-elle sĂ©vèrement,
– ne sais-tu pas encore qu’écarter les cuisses et cambrer le cul doit ĂŞtre une posture naturelle pour la salope que tu es !
Tu vois, je veux contribuer à l’ouverture de ton trou du cul. Pour qu’il soit bien large et qu’ainsi tu puisses indistinctement être prise par tous tes orifices.
Mme Blanche prit la position demandée.
LĂ©a lui coince la tĂŞte entre ses jambes,
– Tu dois enregistrer une bonne fois ce que tu es et admettre cette position dĂ©finitivement. Vu ma salope !
– Oui Mlle Fournier, je vous le promets, je suis votre chienne et je veux que vous me dressiez.
– Écarte-moi bien ces cuisses… On doit voir que tu t’offres par plaisir… ce ne doit pas ĂŞtre trop difficile comme tu as toujours envie de te branler, toujours envie de jouir, mais tu sais que pour obtenir ce bonheur, il faut te faire baiser, dĂ©foncer tous tes trous ! Il te faut cambrer le cul !
D’une voix Ă©touffĂ©e la tĂŞte coincĂ©e entre les jambes de LĂ©a, Mme Blanche Ă©carte encore plus ses cuisses, encore plus offertes, expose son cul ferme et sa chatte Ă son Ă©lève et rĂ©pond,
– Oui Mlle Fournier, je suis Ă vous,
– Tu vas sentir le fouet animal.
Léa prend sur la table, un martinet aux lanières nombreuses mais courtes et larges, en cuir noir,
– Je vais limiter ta punition, Ă quinze coups. Un coup pour chaque minute de retard,
LĂ©a lui remet le plug, l’autorise aussi Ă se masturber avec le gros gode pendant la correction, mais avec interdiction de jouir dit LĂ©a en regardant sa prof s’enfiler le gros gode vibrant dans la chatte. Mlle Fournier passe derrière elle et assène un premier coup violent en travers du dos. La peau rougit. Elle ne s’arrĂŞte pas. Mme Blanche geint entre chaque coup.
Fuitiiiichh !
Le fouet s’enroule autour de son buste pour venir finir sa course dans son dos, laissant à chaque fois une marque rouge. Le suivant coup claque, les lanières cinglent les fesses et terminent leur course au ras de la vulve.
Mme Blanche pleure, les boursouflures rouges violacées traversent ses fesses. Les coups se suivent et la meurtrissent de sillons d’où perlent, au milieu du dos, quelques gouttes de sang. Le coup suivant vient entre ses cuisses et atteint les lèvres vaginales, elle se trémousse, écartant et refermant tour à tour les fesses, hurlant de douleur à chaque coup. Mme Blanche est larmoyante mais continue à se masturber avec le gode. Dès le début de la correction Mme Blanche a fait entrer en grande partie son jouet sexuel dans sa chatte. Léa la voit qui lutte pour ne pas jouir. Elle applique les autres coups rapidement sans faire de pause. Ils pleuvent à un rythme régulier et sont administrés de manière de plus en plus appuyée. Les téton ne sont pas épargnés.
– AĂŻe !… Oh ! Nooooooon !… ArrĂŞtez !… Je vous en supplie ! Mlle Fournier… Je vais vous obĂ©ir !… PitiĂ© !
Mais LĂ©a ne se laisse pas Ă©mouvoir et redouble de force. Cette fois les fesses sont Ă©carlates et les larmes inondent le visage de Mme Blanche. La tĂŞte bloquĂ©e, Ă genoux son cul danse pour Ă©viter les brĂ»lures, des plaintes s’Ă©chappent de ses lèvres et les grognements se sont transformĂ©s en sanglots.
– Quinze, dit Mme Blanche, dans un souffle.
On peut admirer de belles lacérations, à droite et à gauche de sa raie qui laisse entrevoir une motte déjà bien dégoulinante de jute. Pourtant, ce n’est pas uniquement du fouet que Mme Blanche pousse des grognements sourds,
LĂ©a a corrigĂ© sa soumise arrivĂ©e en retard et Mme Blanche a le dos et les fesses dĂ©chiquetĂ©es et fortement colorĂ©es. Le tapis en dessous a deux taches humides, l’une de ses larmes et l’autre de sa mouille. Nue et Ă genoux Mme Blanche a supportĂ© sa punition et au milieu de sa honte, apparaĂ®t un sentiment de fiertĂ©. Elle a rĂ©ussi Ă subir cette douleur, en faisant honneur Ă sa propriĂ©taire et toujours Ă genoux, elle vient rechercher le rĂ©confort et la douceur de la cuisse de sa maitresse.
Correction donnée, Léa la caresse puis lui lie les mains à son collier afin que la nuit elle ne se branle pas. Attrapant Mme Blanche par le toupet, elle lui ordonne,
– Ouvre-moi grand la gueule animal, montre-moi que tu aimes avoir quelque chose de dur dans la bouche. Montre-moi quelle bonne suceuse tu es,
La bouche est ouverte et LĂ©a lui fixe une muselière gode dont le faux pĂ©nis s’enfonce profondĂ©ment. Elle relie Ă la cheville de Mme Blanche une chaĂ®ne fixĂ©e au pied du lit, règle l’alarme du rĂ©veil et va se coucher.
Le lendemain matin lorsque Mme Blanche se réveille, elle se débat pour se mettre à genoux et pousse sa propriétaire avec le nez pour la réveiller. Elle est épuisée et sa bouche distendue lui fait mal d’avoir porté toute la nuit la muselière gode.
Les jours suivants sont semblables aux jours prĂ©cĂ©dents. Tenue sexy, peu de nourriture et beaucoup d’exercices. LĂ©a n’a pas abusĂ© d’elle et si elle n’est pas fouettĂ©e, torturĂ©e aux seins, ce n’est pas pour autant qu’elle ne porte plus muselière, gode et plug. Le rĂ©gime et les exercices portent leurs fruits, son corps est ferme lĂ oĂą il faut. Elle a pris l’habitude de marcher avec les talons hauts et ses fesses se chaloupent avec bonheur… Pour le principe
– Blanche, demain nous avons Ă faire pour Ă©largir ton expĂ©rience. Monte dans la chambre, il est temps de te coucher, tu te mets Ă poil, Mme Blanche se dĂ©shabille et nue regarde le sac avec les achats de cet après-midi, elle se doute bien que tout cela lui est destinĂ©… LĂ©a arrive,
– Tu dormiras sur la descente de lit…
LĂ©a attrape une chaine, la fixe au pied du lit et Ă la cheville de Mme Blanche, puis lui ordonne de se mettre Ă genoux. LĂ©a lui attache chaque poignet aux chevilles ce qui l’oblige Ă garder ses jambes largement ouvertes, grandes Ă©cartĂ©es, les fesses en l’air. Elle est soumise.
LĂ©a sort d’un sac un joli fouet en cuir noir torsadĂ© au niveau du manche dont la mèche est constituĂ©e de très fines lanières en cuir souple.
– Oh non ! Mlle Fournier, s’il vous plait ! pas le fouet, je ne veux pas ĂŞtre battue, je serai très obĂ©issante,
Blanche, nous avons une punition de retard, comprends-moi bien cette position, Ă deux avantages, elle t’empĂŞche de te tripoter la nuit et me permet de te fouetter le cul pour te rappeler que tu dois toujours m’obĂ©ir sans discuter !
– Oh non Mlle Fournier pas le fouet, je vous en prie ! Je suis toujours obĂ©issante,
LĂ©a prit le fouet, Mme Blanche comprend que LĂ©a va lui faire du mal… Sa MaĂ®tresse va la fouetter, elle l’a vu et elle sait le plaisir Ă©vident que LĂ©a que prend lorsqu’elle fouette Mme Blanche. Elle a peur !
le coup est violent,
– Aie ! Non ! s’il vous plait, Mlle Fournier, je vous en prie, NON !
Ses fesses sont en feu, ses larmes coulent… la douleur est fulgurante, maintenant qu’il est commencé, elle a le sentiment que son calvaire ne s’arrête plus…
LĂ©a sourit en voya Merci d’avoir votĂ©. n’oublie pas de laisser un petit commentaire Ă Tayyip.