Ni l’un ni l’autre n’avons oublié cette incroyable nuit, première expérience candauliste (voir « Première expérience candauliste »), au cours de laquelle, après avoir fait sa connaissance dans une soirée en dansant, tu avais accepté les avances d’un certain Rob, le laissant te serrer de près, te caresser, t’embrasser puis te déshabiller dans un coin à l’abri des regards avant de le sucer et de finir à la maison où, avec mon total assentiment, il t’avait baisée sous mes yeux avant que nous t’ayons prise en sandwich dans une séance de sexe digne des meilleurs films pornos qui nous laissa l’un comme l’autre abasourdis : toi pour avoir tout accepté de cet inconnu, et moi pour avoir tout fait pour le voir te posséder sous mes yeux. Expérience d’autant plus étonnante qu’elle fut complètement improvisée, rien dans notre relation ne laissant un jour présager un tel scénario. Malgré son caractère exceptionnel, cette soirée torride n’a pourtant rien changé dans notre vie de couple : notre amour réciproque est resté intact ainsi que notre activité sexuelle qui était redevenue « normale » mais toujours très active. Bien que la seule évocation de cette fameuse nuit avait le don de nous exciter et d’attiser nos ébats, l’un comme l’autre, nous n’avions rien fait pendant des années pour renouveler ce genre d’expérience, jusqu’à ces vacances au Mexique.Nous n’en étions pas à notre premier voyage et, pour découvrir les pays que nous visitions, nous avions pour habitude d’alterner les hôtels bas de gamme du guide du Routard avec les étoilés du Michelin, utilisant l’avion, le car, le train ou la voiture de location pour sillonner le pays tout en trimbalant nos sacs à dos. Ces pérégrinations nous ont permis de vivre des aventures assez cocasses et de faire quelques belles rencontres qui s’inscrivent dans la longue liste de nos bons souvenirs : celle, très particulière, que je m’apprête à raconter se situe donc au Mexique, à Oaxaca, ville touristique réputée pour sa belle architecture coloniale.Le voyage en carLe voyage en car entre Mexico et Oaxaca dure entre six et sept heures. Dans le bus ont pris place une majorité d’autochtones et quelques touristes, dont un jeune couple francophone qui se trouve assis sur le même rang que nous dans l’autre travée. Après avoir échangé quelques sourires et politesses, nous apprenons que leur destination est la même que la nôtre. Jim est un métis franco-américain de mère française ayant surtout vécu en France où il a poursuivi ses études à Paris. Il parle parfaitement le français. Sa compagne Adriana, une « yougoslave », fille d’un diplomate récemment nommé à Paris et profitant de l’aubaine pour fuir le communisme, balbutie quelques mots en français avec un accent qui contribue à son charme. Ils s’étaient rencontrés il y a quelques mois, ils filent depuis le parfait amour et ont décidé de faire ce voyage au Mexique ensemble. Ils forment ce qu’il est convenu d’appeler un beau couple ; chacun doit avoir environ 25 ans. Jim mesure environ 1,80 m avec un corps d’athlète, comme il se doit pour un étudiant en éducation physique qui vient de terminer ses études. Adriana est une jolie fille, grande blonde, souriante, plutôt extravertie, de type slave, de belles jambes longues, une belle poitrine plutôt volumineuse par rapport au reste de son corps et qui ne manque pas d’attirer les regards de la gent masculine. Elle profite de son « exil » à Paris pour étudier le français. Le hasard a voulu que les deux seuls couples francophones du car se retrouvent côte à côte et c’est donc tout naturellement que nous avons sympathisé, échangeant nos impressions sur notre périple mexicain. Au bout de quelques minutes de voyage nous commençons à ressentir le froid car, d’une part, nous sommes très légèrement vêtus dans ce pays chaud, et que la clim du car envoie un air froid dont le conducteur semble incapable de baisser la température malgré ta demande dans ton meilleur espagnol. Fort heureusement nous avons deux grands ponchos en laine achetés récemment que nous nous sommes empressés de sortir de nos sacs à dos. Notre jeune voisine, juste vêtue d’un tee-shirt et d’un mini short en jean, semble frigorifiée et se blottit dans les bras de Jim un peu plus habillé dans un jean long et une chemisette. Tu me suggères à l’oreille de leur proposer un de nos ponchos en guise de couverture, ce que je fais volontiers, un seul poncho déployé suffisant à couvrir deux personnes. Afin de se reposer au cours de ce long et pénible voyage, les passagers ont baissé les stores prévus à cet effet et l’intérieur du car baigne dans une douce pénombre propice à l’endormissement. Après quelques lectures nous avons ainsi tous deux sombré dans un doux sommeil réparateur avec sur les yeux des bandeaux récupérés dans l’avion. Un ralentissement suivi des cahots d’une route en réparation me réveille. Tu dors blottie contre moi avec (comme souvent…) une main posée sur mon entrejambe. Relevant mon bandeau, mon regard se pose sur nos voisins : ils ne dorment pas et semblent profiter du sommeil dans lequel la plupart des passagers semblent plongés pour se faire un petit plaisir. Nos amoureux s’embrassent tendrement tandis que, sous le poncho, je devine la main de Jim caressant les seins de sa compagne. Craignant d’être vue, je remets le bandeau partiellement sur mon visage, laissant le bas légèrement relevé pour continuer à « voir sans être vu ». Abandonnant ses seins, la main de Jim se dirige vers le bas-ventre d’Adriana qui montre son approbation en écartant les jambes faisant remonter le poncho au niveau de sa taille. Jim défait le bouton du mini short et baisse la fermeture éclair avant de la glisser sa main dans la culotte d’Adriana dont j’aperçois un bout de tissus noir. Je vois sa main bouger et entends Adriana pousser des petits gémissements retenus. Cette vision me provoque un début d’érection et je bouge pour trouver une meilleure position, ce qui te réveille. Je te murmure à l’oreille de ne pas faire de bruit et de regarder discrètement du côté de nos voisins. Cachée derrière ma tête, tu les observes et me glisses à l’oreille qu’ils sont « gonflés », mais que tu trouves ça amusant. On continue à jouer les voyeurs et, remarquant que je suis en érection, tu me glisses à l’oreille :— Dis-moi mon cochon, je vois que ce spectacle te fait de l’effet. Rien ne nous empêche d’en faire autant ! Joignant le geste à la parole, tu déboucles ma ceinture.— Non, tu ne vas pas faire ça ? Pas ici !— Mais bien sûr mon chéri, que je vais le faire !Tu m’as toujours étonné par ton côté un peu exhibitionniste et ce goût prononcé pour faire l’amour dans des lieux insolites, la peur que nous soyons surpris en pleine action semblant décupler ton envie. Tu déboutonnes donc mon jean, tu baisses la braguette et tu écartes mon boxer pour te saisir de ma verge déjà bien dressée. Je n’ose pas bouger de peur d’attirer l’attention. De son côté, Adriana ne reste pas inactive et je devine sa main qui s’active sur le sexe de Jim sous le poncho. Les banquettes sont larges, alors tu te laisses glisser de ton côté, faisant semblant de poser ta tête sur mes genoux comme pour t’y endormir mais, sous le poncho, ta main fait habilement passer mon sexe à travers l’ouverture consacrée normalement au passage de la tête, tu disposes ta tête afin de « faire écran » et « en toute discrétion » tu parviens à prendre mon gland dans ta bouche et commences à entamer une lente succion tout en me branlant avec ta main. Je crains qu’on nous remarque mais je sais que tu iras jusqu’au bout. À côté, Adriana s’active elle aussi, et après avoir jeté un coup d’œil pour vérifier qu’on ne les verra pas, elle dégage elle aussi le pénis de Jim et continue à le masturber tandis qu’il continue de fouiller sa chatte avec ses doigts. Au bout d’un moment, probablement avertie par Jim, Adriana vient se pencher sur lui pour récupérer le foutre de Jim dans sa bouche et l’avaler, évitant ainsi d’asperger les fauteuils du car. Excité par cette vision, je maintiens ta tête pour enfoncer ma verge et jouir à mon tour au fond de ta gorge. Tout le monde se calme et fait semblant de se rendormir… Le chauffeur annonce que nous ne sommes qu’à quelques minutes de notre destination. Les stores se relèvent et tout le monde se réveille. Avec un petit sourire en coin, tu demandes à nos voisins s’ils ont bien dormi, ils répondent que oui et nous retournent la question avec le même sourire plein de sous-entendus ? Nous leur demandons s’ils ont réservé un hôtel et ils nous répondent que non.L’hôtelNous tombons sur une période de fête à Oaxaca, tous les bons hôtels sont pleins, et malgré plusieurs coups de téléphone depuis Mexico, nous n’avons pu réserver une chambre, espérant pouvoir trouver sur place même s’il faut se replier sur les « routards ». Nos sacs sur le dos, le guide à la main et accompagnés de nos compagnons de route, grâce à ta maîtrise de la langue espagnole nous trouvons assez facilement notre chemin et allons d’un hôtel à l’autre, mais hélas sans succès, tous affichant complet. Au bord du désespoir après avoir essuyé une demi-douzaine d’échecs, nous arrivons devant un hôtel même pas répertorié sur le routard et indiqué par un passant. Ce vieil établissement ne devait pas recevoir beaucoup de touristes mais une Mexicaine rondouillarde et souriante nous accueille chaleureusement visiblement peu habituée à recevoir des clients étrangers. Elle nous apprend qu’il lui reste une seule chambre, ce qui pose problème pour deux couples. Elle nous dit que c’est une grande chambre avec deux lits. Après avoir traduit cela à nos compagnons et en avoir discuté chacun de notre côté, d’un commun accord, nous acceptons cette proposition, estimant que nous avions déjà suffisamment galéré pour trouver un hôtel.La chambre est située au premier étage : deux lits de 140 s’y trouvent séparés par une table de nuit, deux fauteuils un peu « avachis » et une table basse forment un « coin salon ». Côté sanitaire, un lavabo et une douche donnant directement sur la chambre avec pour toute séparation un rideau en plastique transparent glissant sur une tringle. Une petite fenêtre donnant sur la rue. On est loin du Mercure de Mexico où nous avions dormi la nuit précédente ; c’est rudimentaire mais les draps et les serviettes sont propres, et la pièce, bien entretenue. Pour une nuit, ça ira (surtout pour un prix dérisoire) ! Nous prenons tous cette « mésaventure » avec le sourire et, comme il est déjà assez tard, après avoir déposé nos sacs, fait un brin de toilette et s’être changé, nous décidons d’aller manger ensemble puis de découvrir la ville. Les garçons ont opté pour le traditionnel jean et teeshirt ; Adriana, pour une minijupe en jean, un teeshirt décolleté mettant en valeur ses jolis seins, d’autant plus qu’elle ne porte pas de soutien-gorge ; quant à toi, tu as enfilé la robe aux couleurs vives achetée à Mexico qui dévoile tes épaules avec une petite ceinture qui marque la taille et qui te va à ravir. Après quelques bières et un bon repas de cuisine locale bien épicée, on se retrouve dans une ville en fête et nous nous laissons porter par l’ambiance. Déambulant d’un bar à un autre, nous sympathisons avec les autochtones, partageons quelques verres et apprenons à apprécier la tequila avant de nous retrouver dans une boîte de nuit où nous finissons la soirée. Nous trouvons Jim et Adriana très sympas et, favorisé par les vapeurs d’alcool, le courant passe très bien. Nous nous éclatons tous les quatre sur la piste, nous déhanchant sur des salsas ou autres rythmes sud-américains, dansant au début avec nos compagnes, puis en les échangeant. Après avoir chauffé l’ambiance, le DJ enchaîne une série de slows : à cet instant, tu danses avec Jim et moi avec Adriana. Nous apprécions ce moment d’apaisement et, un peu grisés, nous nous laissons aller. Dès l’entame du premier slow, Adriana passe ses bras autour de mon cou et se colle à moi, je sens son souffle dans mon cou, les pointes de ses seins nus sous son tee-shirt effleurent mon torse, j’ai passé mes bras derrière son dos et le bas de son ventre vient à la rencontre de mon sexe que je sens se dresser peu à peu. Sous l’emprise de l’alcool, nous sommes tous un peu dans un état second, les barrières tombent, les corps se rapprochent et se frottent les uns aux autres. Autour de nous des couples s’embrassent et nous nous sentons gagnés par une atmosphère de plus en plus chargée d’érotisme. Vous n’êtes pas de reste avec Jim et je remarque ses mains baladeuses posées sur tes fesses tandis que tu as, toi aussi, passé tes bras autour de son cou, ta poitrine venant se coller à la sienne, ta tête s’est posée sur son épaule. Je ne sais ce qu’il susurre à ton oreille mais il provoque chez toi un petit sourire malicieux qui en dit long… Après la série de slows, nous nous retrouvons tous les quatre au bar un peu gênés, puis, constatant l’heure avancée, d’un commun accord, nous décidons de rentrer à l’hôtel. Un peu chancelants, riant sans cesse, nous tenant par la taille comme pour mieux nous soutenir, nous retrouvons tant bien que mal notre chemin. Enfin arrivés à destination, j’ai de grandes difficultés à rentrer la clé dans la serrure de la chambre, provoquant le fou rire de mes trois comparses. Nous nous asseyons sur les fauteuils et les lits, et partageons une dernière bière prise au distributeur dans l’entrée de l’hôtel tout en évoquant la chance que nous avions eue de nous rencontrer et de passer ensemble une si belle soirée. Une certaine intimité s’est créée entre nous et, toujours sous l’effet euphorisant de l’alcool, nous nous confions sans tabou sur nos vies de couple évoquant les uns et les autres quelques souvenirs très intimes, installant peu à peu une atmosphère chargée d’érotisme. Au beau milieu de nos échanges, c’est le moment que tu choisis pour lâcher : — Et la sieste dans le car, c’était bon ? Tu crées, sur le coup, une certaine gêne mais Adriana répond du tac au tac avec son petit accent slave : — Oh oui, c’était super, et toi tu as bien sucé ? Nos regards se croisent et, de nouveau, nous partons dans un éclat de rire : ainsi, l’air de rien, chaque couple avait parfaitement vu ce que faisait l’autre. Cette révélation réciproque ajoute encore un peu plus de complicité entre nous, ce qui va impacter la suite des événements… Avec ton culot et ta dose d’inconscience habituelle, tu oses alors ajouter : — Maintenant qu’on se connaît mieux, si vous avez envie, vous pouvez continuer, ici vous serez plus à votre aise que dans le bus. Considérant sûrement ta proposition comme un défi Adriana dit : — OK, si Jim est d’accord, moi je veux bien, mais d’abord la douche ! Puis elle se lève, enlève son tee-shirt, dévoilant ses seins, dézippe sa mini jupe qui tombe à ses pieds puis fait glisser sa culotte nous dévoilant entièrement son joli corps sans le moindre complexe. Elle ajoute :— Quelqu’un vient avec moi ? Tu surenchéris en disant : — Pourquoi pas ? Ça va nous faire du bien. Et en bonne adepte du naturisme que tu es, sans hésitation, à ton tour, tu défais la ceinture de ta robe et tu me tournes le dos en me demandant de baisser la fermeture éclair de ta robe. C’est la première fois que tu me demandes de t’aider à te déshabiller devant d’autres personnes. J’hésite quelques secondes et m’exécute. Tu écartes le haut de ta robe qui tombe à tes pieds, tu te retrouves en culotte mini et soutien-gorge. Jim qu’on avait peu entendu jusqu’alors s’exprime enfin en s’adressant à moi : — Je sens que tu hésites à aller plus loin alors, si tu permets, je vais vous aider. Puis il s’approche de toi, te sourit, passe ses mains derrière ton dos et, sous mes yeux éberlués, dégrafe ton soutien-gorge, libérant tes seins généreux, ronds et lourds, qu’il caresse furtivement au passage. Tu le remercies avec un sourire coquin et, en suivant, il baisse ta culotte, laissant ses mains s’attarder sur tes fesses. Le ton est donné ! Entièrement nue, tu vas rejoindre Adriana. La vision des deux filles nues sous la douche dont le rideau transparent ne cache pas grand-chose est assez excitante. Elles nous convient à les rejoindre. Après avoir échangé un regard amusé, Jim et moi nous déshabillons rapidement à notre tour. Comme tous les hommes qui se retrouvent dans cette situation, nous échangeons un regard sur nos verges. Celle de Jim est de très belle taille sans être énorme, bien plus longue et plus grosse que la mienne, il est presque en érection et je commence moi aussi à bander. Nous rejoignons les filles qui ont commencé à faire couler l’eau en essayant de régler la température. L’espace est étroit, mais en se serrant on y trouve place tous les quatre. Tout l’hôtel a déjà dû prendre la douche et le cumulus n’a pas pu se recharger complètement en eau chaude, aussi, la douche met un certain temps à devenir à peine tiède. Nous nous resserrons sous le pommeau. L’eau d’abord un peu fraîche nous fait tous un peu frissonner, faisant pointer les tétons des filles. Bien qu’ayant un peu froid l’excitation provoquée par le contact de nos corps prend le dessus et les sexes des hommes se dressent au contact des filles. Le gel douche passe de main en main. Sans aucune pudeur, Adriana savonne la bite de Jim, alors, en riant, il la savonne aussi : les seins, le dos, le ventre, la chatte, les fesses, la raie du cul. Profitant de la mousse, au passage, son index s’enfonce et elle gémit. Pendant ce temps, nous ne restons pas inactifs : tu m’embrasses, nos langues se mêlent et sous prétexte de nous laver tu caresses ma bite pendant que mes doigts te pénètrent. Sans aucune retenue, tu félicites Jim pour la taille de son membre et tu accompagnes tes paroles en venant remplacer la main d’Adriana, soupesant ses couilles et caressant son membre de taille conséquente bien que n’étant pas encore en complète érection. Adriana qui me tourne le dos vient coller ses fesses contre mon sexe puis me prenant les mains elle les ramène devant elle pour les déposer sur ses seins que je savonne en les caressant, saisissant au passage ses tétons bien dressés. L’eau après s’être légèrement réchauffée pendant quelques instants devient carrément froide aussi après nous être rapidement rincés, nous décidons de retourner à la chambre. Après un rapide séchage, nous nous enveloppons avec les grandes serviettes fournies par l’hôtel puis chacune des filles vient se blottir dans les bras de son compagnon. Bien réchauffés et requinqués par la douche, les couples s’embrassent tendrement mais interrompant cet intermède romantique Adriana se lève, se débarrasse de la serviette et va s’étendre sur le lit. Elle écarte largement les jambes, nous dévoilant son minou entièrement épilé, replie les genoux et commence à se caresser entre les cuisses avec un sourire coquin.— Alors, mon Jim, qu’est-ce que tu attends ? Nous continuer comme dans le bus ? Je très envie maintenant ! dit-elle dans son français approximatif et son charmant accent. Les regards se croisent, on sent que tout peut basculer à partir de maintenant. Jim hésite quelques secondes puis se lève, s’approche d’Adriana, la saisit par les hanches pour ramener ses fesses au bord du lit, il s’agenouille et, après les avoir écartées, vient placer sa tête entre ses cuisses. Assis sur notre lit, nous les observons, un peu décontenancés. Pour la première fois depuis la fameuse soirée de notre expérience candauliste, nous nous retrouvons dans une situation en présence des tierces personnes pour partager nos ébats. Je suis excité et je commence à bander en les regardant. Assise à côté de moi, tu te débarrasses de ta serviette, tu dénoues la mienne et tu te saisis de ma bite entamant une lente masturbation tandis que ta bouche vient mordiller mon cou et me susurre à l’oreille :— Je crois que ça va être chaud, mon chéri ! Nous sommes tous les deux très excités de voir Adriana se tortiller sous l’effet du cunnilingus de Jim. Cessant ta masturbation tu te mets à genou devant moi, me bascules en arrière, viens frotter tes gros seins contre ma bite puis les resserrer autour pour me branler entre eux. Jim se redresse, il se tourne vers toi ; ton buste est allongé contre moi mais tes genoux sont en appui sur le sol et ta belle paire de fesses s’offre au regard de Jim, il abandonne Adriana et s’agenouille derrière toi, il embrasse tes fesses, les caresses puis les écarte et venant y enfouir son visage. Il te lèche la raie faisant glisser sa langue du cul à la chatte. Tu sens son nez sur ton petit trou tandis que sa langue s’introduit entre tes lèvres. Tu te redresses légèrement pour pouvoir engloutir mon sexe dans ta bouche et commences à me sucer. Adriana s’est levé et a contourné le lit sur lequel je suis allongé, elle vient s’agenouiller juste au-dessus de ma tête ; en gros plan, je la vois se caresser puis introduire deux doigts dans sa chatte pour se masturber à quelques centimètres de mon visage. Je la saisis par les hanches pour attirer son sexe trempé par l’excitation sur ma bouche. Ma langue lèche entre ses lèvres, suce son clitoris, sa cyprine dégouline dans ma bouche ; elle se frotte contre mon visage en gémissant de plaisir.De ton côté, tu continues à me sucer, je sens ta langue s’enrouler sur mon gland pendant que ta main caresse mes couilles. Jim t’a longuement léché et sucé la chatte, il a su trouver ton clitoris qu’il a savamment titillé de sa langue et de ses doigts, il a écarté tes fesses, a humidifié ta raie avec sa salive, et il a maintenant introduit le pouce de sa main dans ton cul tandis que deux autres doigts ont pénétré ton vagin et il te masturbe en double pénétration, provoquant un bruit étrange tant tu mouilles. Emportée par la jouissance, tu délaisses ma verge, tu te tournes vers Jim en le suppliant d’arrêter ! Il retire sa main, se redresse, mais n’a nullement l’intention d’arrêter, juste de passer à autre chose, alors il te soulève, te remet sur tes pieds et plaque vigoureusement une main sur ton dos pour t’allonger face contre le lit, t’obligeant à te cambrer. Il te saisit par les hanches, vient se coller derrière toi. De son genou, il écarte tes jambes et tu sens sa bite glisser entre tes cuisses, elle te paraît vraiment très grosse maintenant qu’il bande. De sa main, il dirige son sexe pour rechercher l’entrée de ta vulve, tu sens maintenant son gland qui se fraie un passage. Tu appréhendes un peu la pénétration, n’ayant jamais été prise par un membre d’un tel diamètre, je te caresse la tête pour te rassurer.Adriana a joui sur ma bouche, elle me contourne pour venir à son tour s’occuper de ma bite, je me redresse sur les coudes pour mieux te regarder, Adriana encourage Jim :— Vas-y, prends-la ! Jim ne se fait pas prier, son gland commence à écarter tes lèvres, mais tu le stoppes de la main et tu caresses sa verge tendue, retardant le moment fatidique où il va te pénétrer, tu sembles hésiter encore un moment, puis lâches la verge de Jim qui a bien compris et qui s’enfonce doucement, très doucement. Sa verge disparaît petit à petit dans la moiteur de ton sexe, tu pousses un petit cri lorsque la couronne du gland force le passage, tu sens les parois de ton vagin s’écarter lentement pour céder le passage à ce sexe de taille bien supérieure au mien, puis il entame un lent va-et-vient, tu n’as jamais était ainsi remplie au point de ressentir les petites contractions de son sexe qui continue à grossir en toi. Peu à peu, tu sens monter le plaisir, son gland vient buter au fond de ton vagin. Tu me regardes, je te souris… Le tempo s’est accéléré peu à peu, tu cries tandis que Jim te pilonne sans relâche, je vois sa verge entrer et sortir pendant de longues minutes, t’arrachant des râles de jouissance, ton corps tremble. Jim est un véritable étalon et je t’entends prononcer des mots crus, très inhabituels chez toi : — Oh putain que c’est bon ! C’est gros, oh oui, baise-moi à fond, remplis ma chatte ! Enfin, poussant une sorte de grognement presque bestial, dans un dernier coup de reins il te pénètre au plus profond et je le vois se raidir pendant qu’il éjacule longuement au fond de tes entrailles. Tu t’effondres, haletante et suante. Adriana s’est arrêté de me sucer pour admirer la scène et me dit : — À nous deux maintenant, laissez-nous la place ! Jim et toi allez vous allonger sur l’autre lit. Comme je suis toujours sur le dos, Adriana vient placer sa tête entre mes jambes, elle pose sa bouche sur mes couilles et commence à me lécher la bite très lentement, de bas en haut, puis elle remonte et sa langue pénètre dans mon nombril, ses seins se frottent contre mon sexe et, toujours très lentement, elle continue de remonter en me léchant jusqu’à ce que sa bouche rencontre la mienne et elle plonge sa langue au fond de ma gorge tandis qu’elle fait onduler son corps contre le mien. Je la saisis sous les aisselles et la tire vers moi pour ramener ses seins au niveau de mon visage, depuis la douche j’en ai envie, alors je prends ses gros tétons dans ma bouche, je les suce, les mordille, elle serre ses seins l’un contre l’autre pour que je puisse lécher dans le sillon puis elle se redresse, saisi ma bite, la présente à l’entrée de sa chatte et s’empale dessus en fermant les yeux. Dans une sublime ondulation de son bassin, elle entame des va-et-vient et je sens mon sexe comme englouti par cette grotte aux douces parois, ses seins se balancent au-dessus de moi, je m’en saisis à pleine main, je fais rouler les tétons entre mes doigts. Elle pousse des petits cris de jouissance. Pendant ce temps loin d’être rassasiée, après avoir repris ton souffle, comme obnubilée par cette belle bite qui vient de te faire jouir, tu recommences à caresser le sexe de Jim, et dès qu’il se remet à bander tu ouvres grand la bouche pour le sucer. Je ne te reconnais pas : une vraie nympho ! Adriana se retire juste au moment où je me sentais prêt à partir et elle me dit :— Je ne veux pas que tu jouisses dans ma chatte ! Je suis frustré mais elle se lève et va vers l’autre lit retrouver Jim tout en me tirant par la main. Elle t’écarte gentiment, enjambe Jim et vient directement s’empaler sur cette verge à laquelle tu viens de redonner de la vigueur. Elle recommence ses ondulations et se trémousse autour de ce pieu planté en elle. Frustrée, toi aussi, de t’être vue retirer la belle bite de Jim, tu reprends la mienne en bouche et me suces goulûment comme je ne t’ai jamais vu le faire auparavant ; Adriana t’encourage :— Vas-y, fais-le bien bander, il va en avoir besoin… Et elle parle à l’oreille de Jim. Haletant, il trouve un peu de souffle pour me dire : — Elle a envie que tu l’encules ! Moi, elle ne m’a jamais laissé le faire parce que mon sexe est trop gros. Je te regarde, interloqué. Tu souris et m’encourages : — Allez, vas-y puisqu’elle en a envie ! Adriana s’extrait du pieu de son étalon, elle se décale sur le côté, il l’embrasse et l’encourage en lui tapant sur les fesses alors je passe derrière elle, Jim caresses les fesses d’Adriana dévoilant le petit trou. Il est bien fermé ! Pendant ce temps, une idée te passe par la tête : tu te lèves et tu reviens avec un flacon d’huile de massage que tu as toujours dans ta trousse de toilette. Tu fais couler l’huile entre les fesses d’Adriana et tu commences à lui caresser l’anus en décrivant des petits cercles avant d’y introduire un doigt que tu fais tourner sur lui-même pour agrandir le passage, un deuxième doigt vient rejoindre le premier et tu les fais doucement entrer et sortir. Jim et moi regardons la scène tout en nous masturbant pour garder notre vigueur. Quand le moment te semble opportun, tu fais couler une peu d’huile dans ta main, tu l’étales sur mon sexe et me dis : — À toi de jouer, mon chéri ! Excitée par ce que tu viens de faire, tu reprends le sexe de Jim dans ta bouche tout en venant placer ta chatte sur sa bouche en position de 69. De mon côté, je me suis positionné derrière Adriana, j’approche ma bite en érection de ses fesses, les écarte, et la fais glisser de haut en bas le long de sa raie, puis, interrompant le mouvement, je place mon gland juste devant son petit trou et pousse. Grâce à ta préparation, la pénétration dans son cul bien lubrifié s’effectue sans difficulté. Je sens les sphincters d’Adriana se resserrer autour de ma bite et j’entame un lent va-et-vient. Elle m’encourage : — Oh oui, continue ! J’accélère un peu… J’augmente la cadence, son souffle s’accélère, elle bouge son cul afin que je la pénètre encore plus profond, je la tiens fermement par les hanches et pilonne son cul, mes couilles battent contre son minou, sa main est passée entre ses cuisses et pendant que je l’encule, elle se caresse la chatte. La vision de Jim te bouffant la chatte pendant que tu suces goulûment son sexe en rajoute à mon excitation. N’y tenant, plus je déverse mon sperme au fond du cul d’Adriana. Jim te prévient qu’il va éjaculer et tu as juste le temps de retirer son sexe de ta bouche avant de recevoir ses giclées de sperme sur ton visage et sur tes seins. Le visage de Jim est lui aussi maculé par son propre sperme qui s’est écoulé de ta chatte sur son visage. Mon sperme s’écoule du cul d’Adriana le long de sa raie et sur sa chatte. À bout de souffle, nous nous écroulons tous les quatre, repus, vidés, et, ayant regagné nos lits respectifs, nous sombrons dans un sommeil réparateur. Le lendemain, c’est toi qui me réveilles en douceur en me couvrant de petits bisous et de caresses, puis, lorsque j’ouvre les yeux, tu poses un doigt sur ma bouche en me suggérant de me tourner vers nos amis…Incroyable : Adriana est sur le dos, Jim de ses bras puissants maintient ses jambes largement écartées et son sexe en érection pointe devant la chatte d’Adriana. Il croise nos regards et nous fait un clin d’œil, Adriana lui a saisi les fesses des deux mains et l’attire en elle. Il la pénètre d’un coup de reins presque brutal, lui arrachant un petit cri. Rapidement, Jim accélère le mouvement, Adriana gémit, sa tête roule d’un côté et de l’autre, elle écarte les bras en croix, ses mains se crispent sur les draps, parfois elle relève la tête et regarde cette verge qui la laboure et elle pousse des gémissements et des cris incohérents, ses yeux se révulsent, elle hoquette, son corps se tend, elle a plusieurs spasmes. Devant le spectacle, j’ai repris de la vigueur, tu t’en aperçois et, étant toi aussi bien excitée, tu viens te placer au-dessus de moi, prends ma bite dans ta main, la positionnes à l’entrée de ta chatte entre tes lèvres. Tu mouilles abondamment, aussi, tu t’empales sans difficulté sur mon sexe dressé et fais aussitôt onduler ton bassin autour de mon pieu planté au fond de ton corps. Au bout de quelques minutes, les deux couples sont en pleine action et la chambre résonne de cris, de soupirs et de mots crus avant d’atteindre l’orgasme presque simultanément. Puis on s’apaise, on se sourit, on se dit tout le plaisir qu’on a eu d’avoir vécu un moment aussi incroyable, on prend notre deuxième douche « collective » où on échange encore quelques douces caresses, on partage un petit déjeuner ensemble puis vint l’heure des adieux, des embrassades, on a du mal à se séparer, quelques larmes coulent sur les joues, puis chaque couple reprend la route de son côté en se posant la même question : avons-nous vraiment vécu cette folle nuit ou était-ce un rêve ?