D’une rive… l’autre…D’une rive… l’autre…J’ai revu Caro… et j’ai revu Kevin… et cela a duré toute l’année universitaire.Kevin venait me voir régulièrement, en général le jeudi soir après son entraînement de hand. En fait, il profitait de ma douche.J’adorais ces moments avec lui. Je l’attendais impatiemment. Il débarquait, trempé de sueur, puis me racontait son match en se déshabillant. Je ne perdais pas une miette de ce qu’il me disait et de ce que je voyais. Une fois nu, avant de se diriger vers la douche, il s’approchait de moi en exhibant fièrement ses attributs. Sa verge à moitié bandée déjà et ses magnifiques testicules qui se balançaient doucement.Je prenais alors ces magnifiques fruits dans la main, serrant doucement, puis plus fortement, le faisant ainsi gémir jusqu’au point de rupture… il savourait mes caresses en fermant les yeux, et moi j’humais son corps odorant. Je faisais rouler les testicules dans les bourses. Pinçais l’un puis l’autre. Je tirais sur la peau des bourses. Assez fort parfois comme il me le demandait lorsqu’il était très excité. Je me gardais bien cependant de toucher sa verge, qui se tendait alors fortement. Il adorait que je le regarde bander, me suppliait de prendre sa verge mais je refusais. C’était un jeu, il savait que je le ferai après sa douche. Mais, avant la douche, mon jeu avec ses couilles pleines était devenu un véritable rituel entre nous. Lui nu, le ventre en avant, à ma merci, impudique. Moi habillé, souffrant de bander si dur, si dur… mais l’attente était plaisir…Ainsi, quoique attiré par la goutte translucide qui perlait au bout de son gland, je me concentrais sur les testicules. Le prenant par les fesses, je l’approchais de mon visage. J’étais assis sur le lit, et lui debout. Puis je commençais par mordiller ses belles boules, tout en serrant son cul. Parfois, il écartait les jambes pour que puisse accéder à son petit trou plissé. Après lui avoir fait sucer mon doigt, je « patinais » son trou du cul tout en léchant ses bourses. Jamais je ne prenais son gland en bouche malgré notre envie à tous les deux. Il poussait son ventre en avant, sa verge reposait sur ma tête où se déposait les traces de son excitation, mais je me retenais. C’était le jeu.Après avoir bien léché et mordillé ses couilles, je le laissais prendre sa douche en l’attendant sur mon lit. Parfois je reprenais la lecture d’un bon policier afin de faire retomber l’excitation pour être certain de « tenir » le plus longtemps possible.S’il m’appelait, alors j’allais le rejoindre sous la douche pour le savonner. J’en profitais pour masser longuement son dos. Puis je savonnais ses fesses en m’attardant sur son anus. J’enfonçais un doigts ou deux dans son fondement tout en me saisissant de sa verge. Il fallait tout laver !Une fois revenus sur le lit, nous nous y allongions nus. Parfois, avant de poursuivre nos caresses, nous discutions de choses et d’autres. De la vie à la fac, des cours, des filles même car je lui avais parlé de Caro. Il n’était pas jaloux, juste curieux de ce que j’éprouvais, sentimentalement et physiquement lorsque j’étais avec elle.Chacun tripotait les couilles de l’autre. J’aimais les tenir dans ma main et les sentir frémir, bouger dans leur enveloppe de chair.À un moment, ni tenant plus, nous nous couchions tête-bêche et la valse des langues pouvait commencer. Je me suis rendu compte progressivement que je n’étais pas un grand fan des «69». J’ai toujours préféré me concentrer sur les caresses que je prodiguais ou que je recevais.Mais le 69 permet à chaque partenaire de prendre du plaisir avec la bouche sans attendre… or nous étions trop impatients au début pour rester passifs, soumis aux caresses de l’autre. Nous étions avides du corps de l’autre. Je léchais la verge de Kevin, ses bourses, son périnée puis son anus que j’atteignais en écartant ses fesses.Je dardais ma langue dans son méat pour capter sa liqueur puis j’enveloppais le gland de mes lèvres. Sensation divine. Sentir le membre gonflé glisser dans la bouche. Sucer le gland jusqu’à plus soif tout en tirant fortement la peau en arrière, Kevin n’étant pas circoncis contrairement à moi. Lécher le frein tout en étirant les couilles, doucement mais fermement le plus possible…Chacun avait son vocabulaire spécifique. Kevin adorait « prendre la tétée », quand pour moi, il s’agissait de le « traire » !D’ailleurs, je finissais toujours par interrompre le 69 pour lui demander de se mettre à quatre pattes. La tête posée sur ses bras afin de bien faire ressortir le cul. J’écartais ses cuisses pour pouvoir accéder à ses bourses pendantes.Dieu qu’elles étaient belles comme cela ! Puis, tout en branlant sa verge, d’une main, je malaxais son sac de l’autre. Je prenais un grand plaisir à faire coulisser son prépuce, à tirer au maximum dans un sens puis dans l’autre. Je soupesais ses boules dans le même temps, les tapotant parfois pour les faire bouger.Puis je me penchais, et sans cesser mes caresses manuelles – la « traite » – je léchais son trou du cul. D’abord, je passais et repassais ma langue sur la raie, puis je tournais sur les plis de l’anus. Doucement, très doucement. Il gémissait, il adorait. Je pouvais alors enfoncer ma langue dans le rectum de Kevin.Une fois son trou bien humecté, je pouvais y enfoncer un doigt, puis deux, puis trois lorsqu’il était particulièrement détendu. Je m’aidais parfois de crème Nivea. Ainsi, je me retrouvais à le traire d’une main tout en le sodomisant avec mes doigts. Il gémissait très fort. Je sentais ses contractions dans l’anus, le meilleur endroit pour sentir la venue de l’orgasme, que ce soit chez un homme ou une femme. Alors je tirais encore plus sur la peau de la verge, tendue à bloc, j’enfonçais mes doigts au maximum… et il jaillissait. Je sentais le sperme passer à travers la verge. Sensation exquise. Je l’aidais à expulser tout à fond. J’étalais le sperme sur sa verge et ses couilles le plus doucement possible car il était hyper sensible dans ces moments là .Nous prenions alors le temps du repos en dînant comme le font les étudiants : boîtes de conserve, les congélos étant trop chers, baguette et bière.Après, nous poursuivions nos jeux. Kevin me réclamait sa « tétée ». Je m’installais alors sur le lit et lui se mettait entre mes jambes. Il commençait par lécher l’intérieur de mes cuisses. Puis je sentais sa langue sur mes bourses. Il les léchait longuement, prenant son temps. Il aimait attraper un testicule entre ses lèvres pour ensuite, l’absorber lentement. Je gémissais, plaisir et douleur, légère, mêlés…Après m’avoir bien mangé les couilles, il posait alors sa tête sur mon ventre et la tétée pouvait commençait. Il adorait me sucer longtemps, les yeux fermés, alternant succions sur le gland et absorption d’une partie de la verge. Il me malaxait tendrement les boules ou caressais mon anus avec ses doigts mais sans les enfoncer. Je n’ai jamais aimé cela.Lorsqu’il sentait mon plaisir monter, il adoptait un rythme régulier de succion du gland tout en griffant légèrement les bourses car il savait que c’est cela qui faisait monter le jus. Puis, lorsque je venais enfin, il avalait tout en gémissant tellement son plaisir était grand. Il me serrait fortement les couilles et tétait à fond, bien à fond, pour boire jusqu’à la dernière goutte.Parfois, il arrêtait de me sucer et me demandait de le prendre. Kevin adorait être sodomisé, être « pris » par moi comme il disait. Moi, je n’ai même jamais tenté la chose, car le moindre doigt dans l’anus me faisait mal. Mais finalement, Kevin ne s’en plaignait jamais, il aimait avant tout que je le pénètre.Au début, ce ne fut pas facile malgré une longue préparation avec ma langue et l’usage de crème hydratante, sans doute pas la bonne solution d’ailleurs, et ma verge, courte mais épaisse, lui faisait mal.Par la suite, son anus est devenu étonnamment souple. Je pouvais y enfoncer facilement mes doigts, ma langue puis ma queue.Je le prenais « fort », la plupart du temps en levrette ou en « petite cuillère » en le tenant par les hanches. Lui se caressait ou m’attrapait les couilles. Il aimait à ce que je vienne en lui pour sentir mon jus couler en lui puis entre ses fesses.Parfois, je ne venais pas en lui. Il me reprenait en bouche pour me boire et « nettoyer » ma verge et mes couilles avec sa langue sans aucune gêne. Je crois que j’étais le plus gêné des deux la première fois qu’il m’a ainsi « fait la toilette ». Mais petit à petit, nos inhibitions tombaient et nous inventions de nouveaux jeux, de plus en plus obscènes…Avec Caro, nos relations évoluèrent aussi vers de plus en plus d’intimité. Elle était très exhibitionniste et adorait se montrer nue à moi. Elle aimait le goût que j’avais de l’exploration en détail du corps de l’autre. Ainsi, je m’amusais parfois, avant toute forme de préliminaires poussés, à écarter ses fesses puis compter les plis de son anus. Je comptais lentement en la complimentant sur la beauté de son petit trou… ma main empaumant sa chatte… et je pouvais sentir celle-ci se gonfler et se liquéfier littéralement…Par contre, contrairement à Kevin, ce n’est pas Caro qui venait chez moi, c’est moi qui allait chez elle, un studio qu’elle louait chez un particulier.