Le mercredi matin, je suis le plus matinal, et je jouis du bonheur de me réveiller entre deux femmes : c’est quelque chose à connaître, croyez-moi! C’est fou j’ai 35 ans et j’en découvre plus qu’à la puberté! C’est douillet d’avoir la chaleur des deux corps autour de soi, nous sommes nus, tout mélangés, bras, jambes et hanches sont entremêlés … Je les aime toutes deux …Il est six heures. Je les embrasse alors qu’elles dorment encore, passe un bas de pyjama et vais préparer le café et du pain grillé, je pense aussi que notre fille va bientôt se réveiller; elle a dix ans et je ne souhaite pas qu’elle nous trouve ensemble! Hum, j’aurais du mal à lui expliquer.Je suis dans la cuisine et Nat apparaît toute nue, ’nature’ comme toujours. Je revois la soirée et je la trouve désirable. « Je meurs de faim, C’est chou tu as fait le café! » Alexandra nous rejoint en pyjama : « Je sens … comme une ambiance dans l’air », nous rions, nous nous embrassons tous les trois, puis nous nous asseyons et dévorons le petit déjeuner. Nous rions et plaisantons, nos mains se caressent sur la table. C’est câlin et coquin. « Je vous aime, mes chéries!— Nous aussi on t’aime! » Rient-elles en cœur. Je leur rappelle Elodie qui va se réveiller. Natacha fait « Oh! » et court se vêtir dans la chambre d’amis qui n’a pas servi cette nuit.Un peu plus tard, j’entends les rires de Nat et Alexandra dans notre chambre. J’y vais et je les vois se passer de main en main nos accessoires de plaisir : les boules de geisha, le vibreur et le dong.Une heure après nous nous quittons, Alexandra vers sa voiture, Natacha allons au lycée et rentrerons ce soir ensemble. « Bonne journée, mes chéris », nous lance Alexandra, « ne vous ennuyez pas trop sans moi ce soir! Je rentre tard.». Et de rire aux éclats! C’est géant que nous arrivions à cette entente entre nous!Dans la voiture, Natacha et moi sommes hilares, la joie nous remplit. Il se passe cinq minutes où nous ne parlons pas, n’échangeant que regards et sourires. C’est en arrivant au lycée que je m’écrie : « Et Didier? ». Natacha me pose la main sur le bras : « Ne t’inquiète pas! Didier est ton ami.— Oui, mais quand même!— N’aie pas peur, nous avons déjà connu ça.— Ça me gêne vraiment beaucoup, faut-il lui cacher, comment lui parler?— Je te dis : nous connaissons ça.— Oh, tu veux dire, vous êtres très ’libres’ chacun de votre coté?— Oui, Patrick, et plus encore, tu verras.— C’est … si c’est comme ça, c’est plus facile alors.— Oui, mon grand détend-toi! »Nous ne voyons plus jusqu’au soir. Natacha et moi rentrons, passons la soirée dans la maison à faire le repas. Je passe du temps avec ma fille, surveillant ses devoirs. Elodie s’entend bien avec sa ’Tatie Nat’. Natacha, la conseille pour un devoir. Elles sont adorables! Nous dînons dans la cuisine et c’est l’heure du dodo pour Elodie.Il est 21 heures. Alexandra ne rentrera pas avant minuit. Je le dis à Natacha. Elle est dans le salon sur le canapé. Elle me regarde sans répondre, puis : «Veux-tu que je dorme dans la chambre d’amis? » Avec un sourire en coin. Une bouffée de chaleur me monte au visage : c’est que la veille il y avait l’alcool et je le sais maintenant complot des deux femmes! Là c’est autre chose; ce tête à tête dans le calme de la soirée, c’est comme un adultère! « Comme il est mignon : il rougit ! Alors mon beau, je dors où ça?— Dans mes bras!— Tu es chou, Patrick. Vraiment!» Je sens qu’elle est touchée.Nous sommes debout enlacés, je l’embrasse et je trouve beau son visage aux yeux clos. Nous allons vers la chambre. Je suis étrangement calme, pas détaché, calme, attentif à l’instant qui se cisèle. Je ressens un étrange sensation envers Natacha. Elle est passée du rôle de copine un peu énervante à celui de complice érotique, je suis un peu désorienté. Je suis aussi excité à l’idée de ce que je vais découvrir avec elle – et Alexandra bien sûr, à cet instant c’est surtout Natacha qui mobilise mon attention.Au bord du lit je la dénude, elle se laisse faire, je suis lent, très lent, comme si le temps était infini. Je veux connaître ce corps! Je suis rempli d’une étrange tendresse reconnaissante pour Natacha amie de toujours qui s’offre ce soir. Tout paraît naturel à notre Natacha! Je suce ses seins roses admire ses larges aréoles, fait dresser les petits bouts vers le ciel. Nous sommes toujours debout. Elle m’observe, semble apprécier. Je m’agenouille et bécote son ventre pour venir placer mon nez au creux de ses cuisses. J’aime son odeur intime et je le lui dis : « Tu sens bon! » Elle déplace une de ses jambes, et je peux lécher son clitoris, le reste de sa chatte reste un peu hors d’atteinte de ma langue. Je trouve son goût délicieux et insiste sur le petit bouton. Je ne suis pas pressé et ça dure longtemps. Natacha : « C’est bien ce que tu fais, Patrick, tu lèche très bien … pour un homme. On sent que tu aimes les femmes.» Puis elle s’éloigne de ma bouche, s’assoie sur le lit, s’y allonge et : « Prends-moi, maintenant, j’ai envie de toi ». Sa voix est grave, elle parle lentement, détache chaque mot. Je me déshabille doucement devant elle. Elle me considère sans parler. Je bande fort et viens m’étendre sur elle. Elle saisit ma verge, j’aime sentir sa main. Elle me guide vers son vagin et comme hier soir je m’y enfonce jusqu’à la garde. Nous nous regardons et savourons le moment. Elle est un peu moqueuse, je prends cela pour une forme de protection. Moi je suis plus tendre, ravi de l’aubaine, reconnaissant.Je pense aux plaisirs saphiques et je lui demande si elle veut que je lui titille le clitoris pendant l’acte. Elle : « Quel entrain! Oui, tu peux faire ça, j’aimerais assez ».J’envoie ma main entre nous et trouve le petit organe. Je place mon doigt de telle façon que mon pubis vienne presser dessus quand je suis à fond. Et je démarre ma danse d’amour. Il faut trouver le rythme qui va bien à ma nouvelle compagne. Elle a une manière différente d’Alexandra. Elle est plus active : elle se met en suspension sur ses pieds et fait coulisser ses reins musclés à ma rencontre. Je la cherche afin d’harmoniser nos mouvements. Elle comprend ce que je fais et me guide : « Là , là , oui je sens bien … bien mieux comme ça, devant là , au fond, j’aime ça! » Je la sens très sensuelle mais aussi qu’elle ne se lâche pas, veut contrôler. Je décide de ne pas m’en inquiéter et continue mon mouvement. Je crois savoir lui plaire et j’amplifie ma course. « C’est bien mon grand, tu me fais du bien, tu es vaillant et doué! » Apprécie-t-elle. « Encore! Encore! Va fort, plus fort! » Je me démène de mon mieux et nous continuons ainsi sans relâche. Natacha finit par remonter ses jambes derrière mon dos et je la sens se contracter au tour de moi, elle jouit sobrement « Oh! Ah!» et m’enserre très fort avec les cuisses et les bras. Je continue mon va-et-vient : « Que tu es endurant, Alexandra me l’avait dit, mais je ne croyais pas que tu résisterais autant, chapeau mon grand !» J’en apprends encore! Je suis flatté car je pense à ses ébats interminables avec Didier. Je redouble de vigueur sous le compliment mais n’arrive toujours pas à éjaculer.Je suis en sueur, nous durons ainsi depuis plus d’une demie heure. Natacha qui a joui une seconde fois est souriante, bienveillante, câline, elle m’accompagne dans ma cavalcade. L’idée de la sodomiser pour finir me vient. Je passe une main derrière ses cuisses, sous ma bite et sens qu’un flot de mouille a coulé en arrière sur son anus.Alors que je me retire, je m’extrais et me dirige vers son petit trou sur lequel je m’appuie en la regardant pour vérifier qu’elle est d’accord. « Mais c’est qu’il voudrait m’enculer le petit fripon!— Je ne finirais jamais, sinon! Alexandra adore ça! » Expliquais-je niaisement. « Je sais elle m’a raconté. Mais je vais t’aider, mon biquet! » Natacha, me repousse sur le dos et vient sur mon ventre prendre ma bite en bouche. Elle est de profil, et je vois sa bouche coulisser sur mon engin. Elle avale bien, quoique un petit peu moins que ma femme qui est devenue une championne depuis notre escapade avec Fabrice!C’est bien agréable, je me laisse dorloter en silence. Je regarde Natacha monter et descendre. C’est très jouissif, pourtant je sais que je ne finirai pas comme ça.Elle finit par s’en douter : « Il t’en faut davantage! » Elle suce son index et l’infiltre entre mes cuisses allant chercher mon anus. C’est une caresse que je n’ai jamais eue. Ça me fait un drôle d’effet que ce soit Nat qui m’y initie. Elle insiste : « Ecarte-toi bien tu vas aimer! » Je trouve ça trop bizarre, j’hésite, et puis je cède devant son sourire narquois. Elle introduit toute sa longueur, la salive fait que ce n’est pas douloureux. Je la sens à l’anneau, c’est plutôt agréable, mais rapidement elle trouve ma prostate, et ça devient sérieux. La pression de cet organe déclenche une ondée de plaisir dans mes reins. Natacha est attentive à mes réactions. Elle appuie de nouveau, c’est très … prégnant! Elle masse en cercle. Je laisse échapper un soupir. Elle lâche mon dard et rit. « C’est bon, n’est-ce pas?— Oui … délicieux!» Elle reprend ma verge en bouche et harmonise les mouvements de son index avec sa fellation de haut en bas. Je suis littéralement transporté par la sensation nouvelle. J’ai l’impression de découvrir que mon bas ventre, à l’intérieur, ne fait qu’un avec ma bite. Mon anus se contracte autour du doigt de Natacha à chaque pression qu’elle exerce, je souffle comme un phoque et essaie de ne pas perdre ’ma dignité’. Je ne jouis toujours pas, Natacha s’arrête : « Ce n’est pas assez! » Elle rit : « Je vais, vraiment, te faire du bien! Patrick, mais pour cela je dois t’attacher et te masquer.— Euh, quoi?— Allez, Patrick, détend-toi, il ne va t’arriver que du plaisir!»Elle se lève, cours nue à la cuisine, revient une minute après avec une cordelette et une serviette, qu’elle noue autour de mes yeux. Ça va un peu trop vite pour moi, je me laisse faire, je bande toujours aussi fort. Nat gratifie ma bite d’un gros bisou : « Il est toujours d’attaque ce petit coquin! » Elle saisit mes poignets l’un après l’autre et les attache à la tête du lit, c’est ensuite au tour de mes chevilles. Elle me laisse un instant, fait le tour du lit et reviens sur moi : «Tu es beau!», je sens sa bouche reprendre mon gland. De la main elle me fait écarter les cuisses, glisse entre mes fesses. Mais ce n’est pas son doigt, je me contracte, mais ne peux beaucoup bouger, attaché et la bite dans la bouche de Natacha, qui ne la lâche pas. Je comprends soudain que c’est le bout du vibreur que je sens sur mon anus. Natacha a dû le graisser, car je sens que ça glisse aisément. C’est étrange, étrange et fort. Mon anneau se dilate au point de faire mal, mais c’est plaisant en même temps. Le vibreur n’est pas très gros, il a une forme de tige à cinq renflements et autant de rétrécissements les suivent. À chaque fois que passe un renflement, je déguste. Je sens que je suis douloureusement étiré, puis vient le rétrécissement et je ressens une impatience que ça revienne me dilater : j’ai mal mais j’en veux encore. Natacha joue avec moi. Je suis dans le noir, elle se tait et je suis concentré sur mes sensations. Maintenant le gode est rentré en entier. Elle l’agite doucement exerçant une pression vers l’avant qui vient stimuler ma prostate. Je ne peux retenir des soupirs : « Ahh, argh… » J’ai honte! Mais elle n’arrête pas. Elle me suce de nouveau et bouge l’engin dans mon cul. Elle le fait entrer et sortir, j’en perds la tête. C’est fou! Natacha va de plus en plus vite de haut en bas sur ma verge et brusquement enclenche les vibrations électriques : ça m’éclate complètement! Les sensations péniennes, anales et prostatiques se rejoignent pour ne faire qu’une grande vague de jouissance. Je ne retiens plus l’expression de ce plaisir ardent, je crie : « Je meurs! » Et c’est la jouissance, je largue une série de giclées dans la bouche de Natacha. Elle avale tout complaisamment puis retire mon bandeau pendant que je continue de me tordre une minute, jouissant du cul, fesses serrées autour du vibreur lancé à fond. Elle l’arrête et le retire enfin : « Voilà , tu connais enfin le plaisir des femmes! ».Je suis effondré! J’ai l’esprit vide un moment, Natacha est assise au pied du lit elle m’a détaché et fume une cigarette en me regardant. « Alors bébé, tu as jouis? Je t’ai trouvé magnifique. » Me nargue-t-elle amicalement. C’est insensé, je viens évidemment de faire la femme et elle l’homme. Quel choc! Je dois la regarder avec un air de chien battu car elle change d’expression et vient m’embrasser gentiment : « N’en fais pas une montagne, ce n’est rien! » Elle voit que je suis loin d’en être convaincu! Natacha est à genoux assise sur ses talons contre mon flanc droit. Soudain elle se retourne, place son popotin devant mon nez, fesses largement écartées, elle rit : « Va : met moi un ou deux doigts dans le cul et astique! Que tu retrouve ta fierté. » Je ris à mon tour et accepte la proposition. Je passe mon index, ça rentre facilement, j’ajoute mon majeur, elle se spasme et dit : « Patrick! » Je sens bien l’anneau intérieur palpiter autour des mes doigts, la muqueuse tendre. Je me redresse dans son dos et lui branle le cul en rond un moment « C’est super! Patrick, tu es un bon. Continue! ». Je bande de nouveau contre son flanc. Natacha : «Qu’attends-tu pour me la mettre? Prend ta revanche! ». Je trouve ça si gentil que je me sens obligé de la lécher d’abord et de saliver sur sa pastille. Je la pénètre en douceur d’un mouvement lent mais appuyé, ça glisse tout seul, et étonnamment Natacha me remercie : « C’est bon! … j’adore … merci, tu es très doux, tu fais ça aussi bien qu’Alexandra me l’a dit. Oh … c’est un pur délice »!Je me lance dans mes allers et retours favoris. Natacha, pour la première fois manifeste ouvertement du plaisir, moins fort qu’Alexandra, mais suffisamment pour m’ôter tout doute à ce sujet : « Ah, Ahhh, Ohh, Ohooo, ooOH! », Je ne peux finir car mon coup précédent est encore trop près. Nous baisons pendant un temps que je ne mesure pas : longtemps! Je suis épuisé, je dois arrêter, je bande encore, il y a longtemps que Natacha a joui plusieurs fois est s’est affalée à plat ventre. Je me contente de m’arrêter en elle. J’aime le contact de ses fesses sous mon ventre, son anus autour de ma bite qui bandouille. Elle se resserre lentement autour de moi et finit par m’expulser. Je me tourne sur le coté. Natacha se redresse, considère ma bite qui s’amollit : « Quel bel éclair au chocolat », dit elle en riant, « Après tout ça vient de moi !», elle l’embouche et la nettoie consciencieusement. Quand elle a fini, elle vient et m’embrasse langue en avant, c’est âcre : « Comme ça tu sauras quel goût ça a! … Je t’aime, Patrick!— Je t’aime Natacha. » Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre, c’est ainsi que ma femme nous trouve en rentrant!A suivre…