Myriam avait encore le goĂ»t du sperme de Sigismond dans la bouche. La gorge profonde qu’elle venait d’effectuer sur son patron lui avait donnĂ© un grand sentiment de puissance. Elle abordait LunaSex avec un grand appĂ©tit de conquĂŞte. D’ici une semaine ou deux, elle deviendrait la vraie reine de cette planète.Sigismond sauta de son fauteuil capitonnĂ© dans le sable lunaire. Il portait un simple jogging bleu azur, des tongs, un tee-shirt blanc et des lunettes de soleil. Son seul bagage consistait en un mini GPS attachĂ© au cou. Un vrai touriste, se dit Myriam, et les couilles dĂ©jĂ vides, satisfait de lui-mĂŞme. Il s’étira et huma l’atmosphère irrĂ©elle de la Lune. Myriam, quant Ă elle, portait un bikini orange qui mettait en valeur sa silhouette de jeune nymphette.— C’est ici qu’on se sĂ©pare, dit Sigismond, vous infiltrerez les femmes pendant que je m’occupe des hommes. Gare Ă vous si je vous rencontre, je ne ferai pas de quartier.Myriam se contenta d’enlacer Sigismond, qu’elle savait secrètement amoureux, et dont la rudesse signifiait en fait « Prenez soin de vous, poulette ».— Ne vous inquiĂ©tez pas, Sigismond, je ne baiserai qu’avec ceux qui me plaisent. Et je penserai Ă vous Ă chaque orgasme.— Salope, murmura-t-il en grommelant et il s’éloigna.Myriam pĂ©nĂ©tra dans un vaste jardin de fleurs oĂą des arbres fruitiers rĂ©pandaient leurs branches gorgĂ©es de fruits. Visiblement les jardiniers avaient voulu recrĂ©er une image de l’Éden. De nombreuses jeunes filles Ă©taient Ă©tendues sur l’herbe, ne portant qu’une culotte de satin. Myriam retira le top de son bikini pour les imiter et ne fut pas remarquĂ©e. En vraie bisexuelle, elle adorait mater les poitrines, les cuisses, les fesses, les jambes et les beaux visages de ces belles plantes. Mais l’éthique professionnelle ne la quitta pas et elle rĂ©solut aussitĂ´t de tester le caractère bisexuel des femmes-robots, mĂŞme si le lien avec l’enquĂŞte ne lui apparaissait pas clairement. Elle jeta son dĂ©volu sur une brune de dix-neuf ans Ă peine, au visage grĂ©co-romain d’une grande puretĂ©, dont les seins en obus bien dressĂ©s, le fessier et les bras musclĂ©s indiquaient qu’elle pratiquait le sport de façon intense. C’est par ce genre de femmes que les hommes rĂŞvent d’être malmenĂ©s, avant de reprendre le dessus et de les baiser sauvagement.— Bonjour, dit Myriam, je te trouve très belle et je voudrais te baiser.— Je ne suis pas conçue pour ce type d’accouplement, passe ton chemin, humaine.— Je ne peux pas, je suis tombĂ©e amoureuse de toi, qui que tu sois, robot-pute pour homme ou quoi que ce soit, contente-toi d’obĂ©ir, c’est tout.— Soit, mais tu dois tout me montrer car on ne m’a pas appris Ă faire jouir une femme.— Je vais te montrer et tu verras, tu ne vas pas le regretter. Tiens, commence par sucer mes seins.Le programme de la femme-robot se mit en marche et ne trouva disponible que la catĂ©gorie « fellation » en face du mot « suce » : elle assimila le tĂ©ton Ă un pĂ©nis et se mit Ă le tĂ©ter goulĂ»ment. Le sein dans la bouche de la femme-robot, Myriam Ă©tait aux anges, rarement on le lui avait si bien sucĂ©.La femme qui avait dit s’appeler Clio avait enfournĂ© la totalitĂ© du petit bonnet A et par contraste son ferme bonnet C ballottait toujours libre. Ces rondeurs ballantes mĂ©riteraient un cours de physique, que dis-je, d’aĂ©ronautique, tellement ce genre de fuselage en mouvement dans l’air nous fait dresser la queue au garde-Ă -vous.La petite blonde, dont les tĂ©tons pointaient, elle, comme des fruits verts, prĂŞts Ă Ă©clore, se baissa ensuite et tendit ses lèvres carmin vers la vulve de la brune. Elle la lĂ©cha longuement et celle-ci mouilla abondamment. Autour d’elles, une centaine de femmes les regardaient, intriguĂ©es et commencèrent Ă les imiter. BientĂ´t le jardin rĂ©sonna d’un immense gĂ©missement.C’est alors que Christina dĂ©boula avec son 4×4 : elle renversa un arbre qui s’écroula après un grand crissement de pneu. Elle ouvrit la portière, fit amener sa proie : Jack. Celui-ci Ă©tait attachĂ© Ă une laisse au cou et ses mains Ă©taient ligotĂ©es.— Qu’est-ce que c’est que ce cirque, les filles ? Je vois qu’on se donne du bon temps pendant que les autres travaillent : regardez ce beau joujou Ă roulettes que je vous ai ramenĂ©. Quant Ă cet homme, il va falloir le partager : il Ă©tait tout seul.Myriam regardait cette femme, qui lui ressemblait beaucoup et qui se comportait en chef de bande.Le soir tombant, elle vit que toutes regagnaient une sorte de camping fait de tentes. Elle partagea la sienne avec sa nouvelle conquĂŞte et ne ferma pas beaucoup les yeux. En effet quand on baise, il vaut mieux ouvrir les yeux, sinon on ne sait jamais oĂą on met sa bite, sa langue et des doigts. 69 fĂ©minin, doigtĂ© simultanĂ© des deux trous, fellation de sein, tĂ©ton de sein dans la chatte, contact de deux clitoris et des lèvres. Bref, elles firent tout ce qu’on peut imaginer deux femmes effectuer. Rien que de penser Ă ces deux lesbiennes, j’en ai l’eau Ă la bouche.Non loin de lĂ , Christina se faisait dĂ©monter le cul par Jack. Celui-ci faisait aller et venir son gland dans le petit anus de la blonde depuis plus d’une demi-heure et la chef des femmes-robots ne semblait pas s’en lasser. Enfin il la sentit se raidir et elle eut un orgasme violent qui la laissa toute tremblotante. Il la prit dans ses bras et lui caressa la nuque. Alors vinrent deux gardes d’1m80 chacune qui le saisirent et l’emportèrent, bite dressĂ©e, car il n’avait pas joui, dans une autre tente.LĂ , cinq femmes l’attendaient, nues, visiblement excitĂ©es. Elles lui sourirent. Deux commencèrent Ă le sucer et le branler. Puis il les prit alternativement. Les deux autres lui firent ensuite dĂ©couvrir le septième ciel pour sa deuxième jouissance. Enfin il finit la nuit avec la cinquième, la plus jeune, qu’il initia et dĂ©flora. C’est une action qu’il faut toujours faire avec respect et un grand sens des responsabilitĂ©s. D’ailleurs il faudrait rĂ©server cette tâche aux diplĂ´mĂ©s de supĂ©rieurs, ou aux Ă©crivains de textes Ă©rotiques, ou encore Ă toi lecteur. Mais je m’égare.Au lever du soleil, Christina passa les femmes en revue. Elle portait une cravache de cuir, un pantalon moulant de cuir noir ainsi qu’une veste de velours bleue entrouverte qui laissait voir ses petits seins blancs et pointus. Une centaine de femmes Ă©taient alignĂ©es et une quinzaine de sa garde personnelle passaient avec elle. Il Ă©tait impossible de savoir qui Ă©tait robot et qui ne l’était pas. Myriam se tenait au centre au premier rang, seins nus et ne portant qu’une culotte comme les autres. Quand Christina passa, elle crut se voir en double et dĂ©sira ĂŞtre Ă sa place. La cheftaine la remarqua et fut Ă©galement dĂ©contenancĂ©e de la ressemblance.— Tiens, une nouvelle, dit-elle en effleurant la pointe du sein de Myriam de sa cravache. Quand as-tu Ă©tĂ© prise ?— Ce matin, madame, Ă l’aube.— Comment cela, madame, on ne t’a donc rien dit, ici tout le monde m’appelle maĂ®tresse. Mais tu ne peux pas tout savoir. Pour ta peine tu auras l’honneur d’être celle qui est choisie pour le grand sacrifice.Sans que Myriam pĂ»t rĂ©agir, elle fut aussitĂ´t emmenĂ©e par trois gardes dans une tente, elles lui enlevèrent sa culotte, la lavèrent, la sĂ©chèrent, lui coupèrent les cheveux ras et la parfumèrent. Quand ce fut fait, elles lui passèrent une chemise d’homme, une cravate, un costume trois-pièces de tweed et la firent sortir. La chef des femmes-robots arborait fièrement un grand sexe de plastique noir Ă sa taille. Le soleil tombait, Ă©clatant, du zĂ©nith sur l’assemblĂ©e de filles assises en cercle. Christina l’appela chaleureusement :— Viens, mon minet, tu es si jolie en garçon. Je veux te rouler une pelle.Ce qu’elle fit en pelotant les petits seins de Myriam Ă travers la chemise blanche. Elle dĂ©fit la cravate, retira la veste et dit :— Viens, suce-moi les seins.Myriam s’exĂ©cuta, cachĂ©e dans les pans de la veste de velours bleue. Elle mouillait abondamment d’être ainsi dominĂ©e. Puis la prenant aux Ă©paules, Christina la fit mettre Ă genoux et prĂ©senta sa queue factice Ă la bouche du beau garçon. Myriam la suça langoureusement, tournant sa langue experte autour du gland, faisant un « O » de sa bouche, enfonçant loin la bite dans sa gorge tout en regardant ardemment Christina.Celle-ci admirait le talent de suceuse de Myriam : un paradis pour les hommes. Si les femmes savaient toutes cet art, la vie serait plus belle.— Allez, je dois te baiser maintenant !Myriam se mit Ă quatre pattes, cuisses Ă©cartĂ©es, face contre le sol. Le cul relevĂ© formait un cĹ“ur de chair. Ainsi offert, le vagin n’en fut que plus facilement pĂ©nĂ©trĂ© par la chef des femmes-robots. Sous les coups de boutoir, la petite haletait et gĂ©missait. Christina, tout en tenant fermement sa pine d’une main, pelotait ses propres seins de sa main gantĂ©e.— Tu es une bonne petite, et surtout tu es bonne ! Je vais te prendre comme garde du corps.Elle retira son harnachement et le tendit Ă Clio, la belle brune sportive au visage grĂ©co-romain.— C’est ton tour, sodomise-la un peu. La queue est couverte de mouille et la belle est prĂŞte. Moi, je vais me mettre devant pour me faire lĂ©cher la chatte.Myriam se dit que, dĂ©cidĂ©ment, elle Ă©tait abonnĂ©e aux sandwiches en ce moment. Mais les deux femmes lui plaisaient tellement qu’elle tendit la langue vers les lèvres de Christina, qui se cambra en arrière… progressivement extatique. Myriam sentit le contact dur du gland contre son anus, puis la pĂ©nĂ©tration : elle cria de douleur, puis de plaisir. Clio, la femme-robot, lui glissait en mĂŞme temps un doigt dans le vagin. Myriam se sentit parcourue par un courant Ă©lectrique immense depuis ses lèvres au contact d’une vulve tremblotante et prĂŞte Ă exploser, jusqu’à son cul pilonnĂ© avec ferveur et application par une jolie fille qu’elle dĂ©sirait. Ses petits seins dressĂ©s par le dĂ©sir Ă©taient de plus l’objet de succion de deux filles qui les avaient rejointes. Comme si ce n’était pas assez, Jack, le seul homme de la bande, ne pouvant se retenir Ă ce spectacle, avait glissĂ© son sexe entre les fesses de la belle sportive, qui occupĂ©e Ă enculer se retrouva enculĂ©e Ă son tour. Tant il est vrai que le plaisir d’enculer est un plaisir rĂ©ciproque.Sigismond, cachĂ© dans une colline voisine, scrutait la scène aux jumelles, comme cinq ou six de ses compagnons mâles. Ils avaient tous sorti leur braquemart et se branlaient. Ce n’est pas tous les jours que l’on peut voir cent vingt filles nues, splendides, regardant une des leurs se faire enculer par une copine qui se fait elle-mĂŞme enculer. Rien que pour ça, ils se disaient tous qu’ils n’avaient pas Ă regretter l’argent dĂ©pensĂ© pour ce voyage exceptionnel.Tandis qu’il souriait Ă la vue de sa belle secrĂ©taire et ne perdait pas une miette de ses exploits, Sigismond sentit un contact humide contre son gland : Jude, un garçon de leur groupe, assez effĂ©minĂ©, Ă©tait en train de lui sucer le zob. Du coup, il arrĂŞta de se masturber et se laissa complètement aller Ă la fellation experte du beau jeune homme. Scrutant toujours la scène des femmes, il vit soudain apparaĂ®tre une ombre dans son champ de vision : une Ă©norme bite qu’un autre de ses compagnons, un grand gaillard viril, cette fois-ci, prĂ©sentait Ă sa bouche. Quelle bande de pĂ©dĂ©s, se dit le dĂ©tective, mais il prit la bite en bouche tout en regardant toujours du coin de l’œil le spectacle des filles en contrebas. Pendant qu’il se rinçait l’œil, Myriam et Christina se roulant des pelles intenses couchĂ©es dans le sable, Jack s’enfilant Ă la queue leu leu une dizaine de nanas toutes plus belles que les autres, il sentit alors que deux mains Ă©nergiques lui baissaient son pantalon de jogging et qu’un pĂ©nis doux, Ă©troit et long venait se glisser entre ses fesses. Tout au plaisir du spectacle qu’il contemplait dans les jumelles, Ă la pipe que lui administrait Jude et occupĂ© lui-mĂŞme Ă pomper, il se laissa faire.C’est ainsi que paradoxalement, dans ce paradis aux Ă©lĂ©ments fĂ©minins innombrables, il Ă©tait en train de faire l’amour avec trois mecs.C’est alors que Sigismond vit la belle Ă la veste de velours bleue et aux seins pointus se redresser, prendre des jumelles et regarder droit sur lui : ils Ă©taient repĂ©rĂ©s. Le bras levĂ©, elle donnait l’ordre Ă une trentaine de filles de gravir la colline, toutes portaient des arcs et des flèches et ils seraient bientĂ´t prisonniers. Captif de cent vingt furies, belles comme des dĂ©esses !Il fut soulagĂ© tout de mĂŞme de sentir sa semence monter le long de sa tige et se rĂ©pandre sur la langue de Jude, tandis que lui-mĂŞme recevait la liqueur de John et que Henry commençait Ă le prendre doucement. C’est une bite dans le cul qu’il fut fait prisonnier par trente bombes.(Ă€ suivre)