Elle devait faire un mètre cinquante tout au plus, et elle était énorme ; une véritable petite boule aux épaules râblées et au popotin XXL. Comble de tout, son visage rougeaud, triste et bovin. Je l’ai regardée sortir de sa voiture avec difficulté, j’ai même failli éclater de rire… Je suis tout sauf charitable !Machinalement, j’ai regardé sa main, un vieux réflexe de célibataire, elle portait une alliance. Je me suis demandé quel être aviné pouvait avoir ça dans son lit, et comment il la baisait. Je n’aurais pas aimé me réveiller avec ce genre de donzelle à mes côtés !La voiture n’avait cessé de toussoter en gravissant la pente, une espèce d’Ami-6 à bout de souffle, rouillée qui plus est. J’étais dans mon jardinet à me prélasser sous le parasol. Je me souviens avoir fait le pari qu’elle ne dépasserait pas la maison. Gagné ! Elle s’était arrêtée pile-poil devant le portail. Et, après s’être excitée quelque instants sur le démarreur, la dame s’était résolue à sortir de sa caisse, visiblement ennuyée. Je me suis approché du portillon en essayant de cacher mon amusement, j’ai toujours été un parfait salaud sous mes airs de gentillesse.Elle a tourné autour de la voiture sans oser me regarder, je devais l’impressionner, je la laissai venir sans aucun geste pour l’encourager. Elle devait être fort timide car elle s’est mise à rougir un peu plus encore.— Bonjour Monsieur, excusez-moi, ma voiture est en panne, est-ce que je pourrais téléphoner ?— Hélas non, Madame, je n’ai pas le téléphone. Vous avez un problème ? (comme si je ne le voyais pas !)— Mais, comment faîtes-vous… (visiblement elle ne me croyait qu’à moitié.)Et pourtant c’était vrai ! Je n’avais pas le téléphone. Je n’avais plus rien d’ailleurs. J’avais perdu mon job, et quelque temps après, ma femme, et ensuite mes dernières illusions. J’avais aussi perdu mon divorce, elle m’avait fait passer pour un ivrogne, limite violent, moi qui n’avais jamais levé la main sur elle ! Seulement, la voisine avait témoigné en sa faveur car il y avait eu quand même cette fois où je l’avais envoyée balader avec son caddie, un simple geste d’humeur mais devant témoins. Le pire peut-être, c’était la gifle que j’avais donnée à mon fils Fabien, au sortir de l’école, ce jour-là il m’exaspérait. J’y étais allé un peu fort, sa tête avait heurté la grille et il s’était mis à saigner du nez : acte impardonnable, mais sincèrement, je n’avais pas fait exprès…Expulsé du domicile conjugal, condamné à verser une pension, avec un droit de visite restreint sous contrôle judiciaire… Ma femme était heureuse ; à peine un mois plus tard, son amant prenait ma place à la maison.Je m’étais retrouvé du jour au lendemain à la rue. J’avais certes quelques économies, mais pas de quoi vivre très longtemps sans rien faire. J’avais besoin de faire le point. J’avais hérité d’une petite bicoque en pleine cambrousse, cette petite baraque perdue au bord d’une route vicinale. J’étais tranquille, il ne passait pas un chat. Je n’avais pas trop de confort non plus, la maison était vétuste, pas de douche, pas de téléphone, une installation électrique d’avant-guerre et les chiottes de l’autre côté de la cour, vous savez le style siège en bois avec un trou au milieu… appétissant à souhait, heureusement que j’étais tout seul à vivre là .Pour le reste, je passais mes journées à ne rien faire. J’avais un instant eu l’idée d’écrire un roman mais je crois que je n’ai jamais été doué pour l’écriture et n’avais guère de suite dans les idées. Je me baladais en forêt, je rêvassais… la belle vie, quoi ! Lorsque l’envie me prenait de voir du monde, je faisais les six kilomètres qui me séparaient du village à pied et j’allais au troquet m’en jeter un avec les poivrots du village. Ma voiture était en panne depuis deux mois et je n’avais fait aucune démarche pour essayer de la réparer. Je me laissais vraiment aller !Je dus presque lui faire faire le tour du propriétaire pour qu’elle consente à croire que je n’avais effectivement pas de bigophone. Ça l’a laissée sur le cul. Comment pouvait-on, à notre époque, vivre sans moyen de communication (C’était au début des années 90) ?— Oh, pardonnez-moi, j’ai les chevilles atrocement enflées, je peux m’asseoir une seconde ?Sans attendre ma réponse, elle s’était posée sur une chaise sous la véranda ; de toute façon, je ne lui aurais jamais refusé l’hospitalité, je ne suis pas un monstre. Elle s’était penchée en avant et avait caressé ses mollets, effectivement énormes et boursouflés. Décidément, elle était mal foutue de partout !Elle reçut le coup de grâce lorsque je l’informai que j’avais bien un véhicule mais qu’il était en panne à une dizaine de kilomètres de là … Et pas un chat ne passait sur la petite route ce jour-là et la nuit allait bientôt tomber, le scénario catastrophe en somme.Elle n’était pas bien méchante, je peux même dire gentille comme tout, avec une petite voix fluette, presque effacée, qui jurait avec son physique de lourdaude. Gentille, oui, mais tout de même un peu chieuse. Résumant la situation, elle n’avait pas tardé à conclure que, pour sortir de la panade, compte tenu de l’état de ses chevilles et de la désertification ambiante, la seule chose qui me restait à faire était d’aller à pied au village voisin pour m’enquérir de quelqu’un pour la dépanner… Et moi, bonne poire, j’ai accepté de suite, alors que c’était bientôt l’heure de l’apéro et que je me demandais qui j’allais bien pouvoir trouver pour aider cette enquiquineuse.Me voici donc parti sur la petite route, laissant ma maison grande ouverte et ma visiteuse sous la tonnelle. Quelques kilomètres plus loin, premier arrêt chez le père Matthieu. Mais personne ne répondit, il devait être parti quelque part braconner. Du coup, je poussai jusqu’au village. Évidemment, tout était fermé. Je frappai comme un dératé à la porte du garagiste sans aucun résultat… Je fis le tour du village pour arriver à trouver quelqu’un. Le café allait bientôt fermer mais, par chance, j’y trouvai un petit mécano chevelu en train de siroter une mousse. Visiblement je l’emmerdais au plus haut point, il avait prévu de rentrer chez lui pour regarder un match de foot. Devant mon insistance, il consentit néanmoins à faire le déplacement pour étudier mon problème.Le temps d’un aller-retour, c’était juste le carbu qui était salement encrassé, il a fait redémarrer le moteur en bougonnant comme un beau diable, et est reparti après avoir encaissé 400 balles, tarif de nuit oblige ! Du coup, ma visiteuse est repartie presque de suite, pour ne pas prendre le risque de voir le moteur à nouveau s’arrêter, et je suis resté planté là , tout seul comme un con sous la tonnelle. Je n’avais même plus envie de boire un verre, cette aventure m’avait épuisé.Le lendemain matin à la première heure, coups de klaxon, branle-bas de combat. Et merde, je n’ai jamais été matinal et j’ai toujours eu du mal à émerger. Je me suis levé bon gré, mal gré, j’étais dans le coltard, qu’est-ce que c’était encore que ce bordel ?Ma visiteuse était de retour, toute pimpante dans une petite robe à fleurs. Elle empestait le parfum bon marché la bougresse, et la voilà qui me tendait les croissants avec un grand sourire enjôleur :— Euh, pardonnez-moi pour hier soir, j’ai été malpolie, je n’ai même pas pris la peine de vous remercier. Mais vous m’avez sauvé la vie, vous êtes mon sauveur.Un peu d’exagération quand même. Elle était enjouée, excitée comme une puce, admirative. Elle proposa même de me faire un café, mais comme elle ne savait pas où étaient rangées les ustensiles :— Ne bougez pas, asseyez-vous, je vais m’en occuper.Bien sûr qu’elle me dérangeait. J’avais l’habitude d’être seul, et m’occuper de quelqu’un d’autre ça me cassait les pieds. Je ne lui demandais rien, à cette conasse ! Je ne fus pas très aimable, limite poli, de quoi décourager un témoin de Jéhovah ! Et puis merde, elle s’incrustait, déjà presque une heure que nous bavassions ensemble, de tout, de rien, surtout de rien, je ne supportais plus les autres, je devenais acariâtre, c’est certain !Et puis tout d’un coup, alors que rien ne le laissait présager et que nos conversations étaient jusqu’alors anodines, la voici qui me demanda de but en blanc :— Seriez-vous attiré par une femme comme moi ?C’était tellement soudain et inattendu que je ne trouvais rien à répondre. Je la regardai sans comprendre. Son visage avec sa couperose et son double menton était assez inexpressif, il s’agissait peut-être d’une question purement technique. Cette froideur me laissa sans voix : comment pourrais-je avoir envie d’elle, elle n’avait rien d’attirant, rien de sensuel, c’était une petite grosse sans aucun charme. Elle me débectait carrément, si on peut dire, et j’allais devoir déployer des trésors d’ingéniosité pour répondre avec tact et diplomatie, rien que ça, ça m’emmerdait !— Depuis hier soir, je n’ai fait que penser à vous. J’ai envie de vous, de me donner à vous, enchérit-elle pour clarifier sa pensée.La proposition était on ne peut plus claire. Moi qui allais répondre quelque chose de sympa, je fus coupé dans mon élan. Maintenant j’étais dans la merde. Je parvins difficilement à articuler :— Je vous trouve très genti… lle…Merde, gentille, le mot qui fâche, même si elle l’entendit à peine, j’allais me faire arracher les yeux. Mais non, pas du tout, elle poursuivit même sur son idée :— Je dois même vous avouer que je me suis caressée cette nuit et que ça ne m’était pas arrivé depuis bientôt dix ans, insista-t-elle en rougissant.— Mais… vous êtes mariée !— Oui, mais ça ne m’empêche pas d’avoir des envies. J’ai très envie que vous me preniez, là , maintenant.Ca me laissa sans voix et, devant mon peu d’entrain, son enthousiasme retomba :— … mais je comprends aussi que je ne vous inspire pas. Je me suis peut-être fait des idées, je m’en excuse.Pour une fois qu’une femme désirait se donner à moi (ça ne m’était arrivé qu’une fois, il y a très longtemps, une copine du lycée), je n’avais qu’une envie, celle de prendre mes jambes à mon cou. Plus je la regardais et moins je bandais, déjà que je ne bandais pas, mais là , j’avais carrément l’impression que ma bite allait tomber à imaginer ce gros tas de viande nu dans mon lit. D’ailleurs, je ne l’imaginais pas, en plus elle avait de gros grains de beauté noirs dans le cou, rien que ça me coupait toute envie. J’essayai de m’en sortir en expliquant que… j’avais déjà une petite amie (ce qui était faux), que je la trouvais certes attirante (ce qui était faux), mais que c’était sa proposition était si inattendue qu’il me fallait du temps pour me faire à cette idée (beaucoup de temps, style années-lumière), que ç’aurait été avec plaisir, mais que je venais juste d’être opéré (de quoi, je ne le savais pas trop, j’ai presque failli dire qu’on venait de me couper la bite !)… Enfin, que des conneries pour essayer de ne pas passer pour un goujat.Et c’en était resté là pour ce jour-là . Nous nous quittâmes bons amis, la preuve en est qu’elle me serra chaleureusement la main en partant, même si elle repartit déçue et dépitée. Je comptais bien ne plus jamais entendre parler d’elle et je fus soulagé lorsque je la vis remonter dans sa voiture.Je l’avais presque oubliée quand mes pérégrinations – je faisais beaucoup de marche dans les bois à l’époque – me conduisirent par hasard aux abords du hameau des Bousquets. Fichtre, ce nom-là me disait bien quelque chose, je pense qu’elle l’avait évoqué dans notre conversation, mais je n’avais pas trop fait gaffe.C’est ainsi que je suis tombé incidemment sur Éliane, elle vivait dans une petite maisonnette engoncée dans les bois. Elle était devant son pas-de-porte en train de taper un tapis poussiéreux…Je l’ai tout de suite reconnue. Plusieurs mois sans la voir, mais il est des personnages que l’on n’oublie pas ! Pendant tout ce temps, pas une seule fois, je n’avais pensé à elle, et encore moins érotiquement. Elle était partie, bon débarras ! Elle était penchée en avant, sa main appuyée sur le mur et frappait la carpette contre la pierre, provoquant chaque fois un nuage de poussière malsain. Machinalement, j’ai maté son gros cul dodeliner, attendant le moment propice pour me manifester. Mon Dieu, ce qu’elle était large, presque aussi large que haute (non, là , j’exagère un peu !). J’ai presque failli partir sans rien dire, elle ne m’avait pas vu et n’en aurait rien su. Mais au dernier moment, je me suis ravisé. Après tout, je venais de faire un long trekking dans les bois, j’étais assoiffé et je me suis dit qu’un verre d’eau bien fraîche me ferait du bien.— Bonjour Éliane !Elle s’est retournée en sursautant et son visage s’est tout de suite illuminé. Sous le soleil de printemps, je l’ai trouvée radieuse, enjouée …— Oh, Paul, quelle bonne surprise, cette visite ! Comment allez-vous ? Mais allez-y, entrez donc. Ça, c’est une beau cadeau que vous me faites là , je suis vraiment heureuse de vous voir. Vous prendrez bien un petit café.— Je préférerais un verre d’eau, si cela ne vous dérange pas.Je me suis finalement retrouvé assis à la table de la cuisine, une mousse face à moi, par moment je suis un sacré sportif ! Et la grosse Éliane avait un bagou formidable. Ma visite la rendait toute guillerette, elle chantonnait, elle était alerte et rieuse, elle en devenait presque belle… Ca faisait plaisir de voir quelqu’un d’aussi bonne humeur.À la troisième bière, j’ai commencé à me dire qu’il allait falloir que je m’arrache, c’est que j’avais encore du trajet à faire pour retourner chez moi. Le retour serait d’ailleurs probablement éprouvant, avec l’estomac plein de bulles et des volutes alcoolisées dans la tête ! Mais je n’ai fait aucun geste pour me relever. J’étais scotché à ma chaise et me contentais de regarder la grosse femme déblatérer. Je buvais ses paroles en même temps que son opulence.Je ne sais si c’est dû à l’alcool ou simplement si, après dix-huit mois d’abstinence, ça commençait sérieusement à me démanger, mais le fait est que je me suis mis à bander en la regardant s’ébrouer devant moi. J’ai bien essayé de me raisonner en me disant : « Regarde comme elle est moche, regarde comme elle est large, tu ne vas pas te taper ce gros tas ? » Pourtant, rien n’y faisait, plus le temps passait et plus je bandais, de façon irrationnelle, presque contre mon gré. Je me suis dit : « Pourvu qu’elle ne le remarque pas, que ça ne lui donne pas envie de me sauter dessus ».Mais le pire, c’est que, même si je le craignais, j’en avais envie malgré tout. Elle était à ce moment-là debout devant l’évier, bien en évidence dans sa robe de vieille fille et j’avais tout le loisir de l’observer et de détailler son corps et, mon sexe demeurait dur et dressé. Pour sûr que je devenais maboul ! Quel érotisme que de regarder des avant-bras gros comme des cuisses et un bassin énorme, ou de deviner des bourrelets sous sa robe ! Ça m’en faisait mal de bander ainsi, j’essayais de n’en rien laisser paraître mais mon regard me trahissait sans doute. Elle se faisait plus avenante, plus enjôleuse, c’est du moins l’impression que je ressentais. Elle m’aspirait comme le vide. Je me sentais comme au bord d’une falaise, prêt à tomber dans le précipice, et je devais résister pour ne pas sombrer, pour ne pas me lever et lui pétrir les miches, trousser sa robe et la prendre contre l’évier.J’ai senti des sueurs froides perler sur mon front, je n’étais vraiment pas dans mon assiette. J’ai profité du fait qu’elle allait dans la buanderie chercher d’autres bières pour me lever en quête des toilettes. Je me suis retrouvé par hasard dans sa chambre sans trop savoir pourquoi, je ne savais plus bien où j’en étais, je voulais m’en aller. Putain ces toilettes, où étaient-elles ? Dans la chambre régnait un bazar indescriptible. Le lit n’était pas fait et du linge sale traînait un peu partout. Une espèce d’odeur d’humidité stagnait, pas vraiment l’odeur de moisi, mais une vieille humidité stagnante et malsaine.Je me suis retourné, elle était derrière moi, me barrant toute retraite :— Vous avez un problème Paul ? Vous cherchez quelque chose ?— Euhhh, oui… les toi… lettes !Mais en même temps que je disais ces mots, je regardais cette femme, aspiré par ses rondeurs. Je me mis à chanceler. Je suis littéralement tombé sur elle, , je me suis raccroché à sa taille, à ses seins, à son cou. Je ne sais plus trop bien mais ça a été ma perdition et tout de suite une orgie mammaire, une orgie graisseuse, une orgie de chair. J’avais envie de la toucher, de la pétrir, de la palper… partout. Et plus je le faisais, plus j’en avais envie… Debout contre le chambranle de la porte, elle se laissait entièrement faire, entièrement offerte à mes caresses grossières et vicieuses, elle y prenait même manifestement un plaisir évident. Elle était pleine de bourrelets, pleine de graisse, j’ai glissé mes mains sous ses vêtements pour ressentir le contact de sa peau moite.Un peu plus tard, elle est allée s’allonger d’elle-même sur le lit. Mes attouchements commençaient à lui faire tellement d’effet qu’elle ne pouvait plus tenir debout. Je l’ai faite se relever, le temps de retirer sa robe et elle s’est retrouvée en sous-vêtements ordinaires devant moi, vous savez, culotte et soutien-gorge bon marché style la Redoute ou les 3 Suisses, le truc pas bien bandant. Mais ce qu’il y avait dedans me donnait cependant une sacrée trique.J’ai pris mon temps pour bien l’observer tout en continuant de la caresser un peu partout. Des épaules larges, des seins mous et graisseux d’une taille relativement modeste eu égard à son poids, un gros bide plein de bourrelets et de vergetures et des cuisses énormes en rapport avec son impressionnant fessier. Un gros tas de viande, en somme, que je trouvai pourtant agréable à pétrir et à malaxer. Moi qui étais plutôt habitué à sortir plutôt des petites minettes, c’est sûr que ça me changeait. Et pourtant je triquais comme un malade, je ne m’étais jamais senti aussi en forme et d’attaque pour des heures de baise effrénée.J’ai libéré ses mamelles et les ai tétées un instant mais elles ne paraissaient pas trop réceptives. Alors je me suis occupé de ses bourrelets graisseux avant de glisser entre ses cuisses. J’ai retiré sa culotte pour démasquer une chatte noire très poilue avec de longs poils frisés qui remontaient presque jusqu’au nombril. Et je me suis jeté sur sa touffe et lui ai fait écarter ses grosses cuisses pour humer une moule à l’odeur particulièrement enivrante. Je me suis mis à lui lécher la chatte en pétrissant son gros cul. J’y allais à pleine bouche dans son con déjà juteux et ses essoufflements me montraient qu’elle appréciait. J’y suis allé plus fort, cela m’excitait, passant alternativement d’un clito relativement modeste à son trou juteux et alternant ma façon de la bouffer. Elle s’est mise à couler abondamment, je ne sais pas si elle venait de jouir ou quoi, mais désormais c’était une vraie fontaine dont j’aspirais goulûment toute sa mouille. J’ai encore accéléré la cadence, elle s’est mise à couiner, à haleter, écartant encore plus les cuisses pour que je la lèche encore mieux.Je me suis déchaîné sur son con avec fougue. J’en bavais d’envie, du jus dégoulinait sur ses grosses cuisses sur le couvre-lit et la tache grandissait sous son cul. Plus vite, plus fort, plus loin, plus avant… jusqu’à ce qu’elle explose en hurlant comme une folle, les jambes et le corps tout entier agité de spasmes. Impressionnant, j’avais rarement vu une femme prendre son pied avec autant de conviction. Mais je continuais à la bouffer, à la lécher, à la sucer, elle n’en pouvait plus, elle jouissait à répétition, à en avoir mal, sans parvenir à calmer ses mouvements incontrôlés.La fièvre est retombée lentement, elle était avachie sur le lit sans bouger, entièrement offerte à mon bon vouloir. J’ai malaxé un instant ses nichons toujours aussi mous pour m’apercevoir que ses gros tétons bruns étaient désormais tout durs. Je les lui ai mordillés un instant, elle a hurlé… de plaisir, alors j’ai continué à les lui mordre, à les lui téter, à les lui étirer. Ça la mettait visiblement dans tous ses états, elle n’en pouvait plus… Elle a crié :— Prends-moi, Paul. Prends-moi, j’ai très envie que tu me mettes ta grosse queue… cria-t-elle en astiquant ma pine avec ses doigts boudinés.Et comme je tardais, prenant mon temps pour me déshabiller, la faisant encore languir, la pauvre insista :— Oh, Paul, vite, viens en moi, baise-moi, fourre-moi, défonce-moi, j’ai tellement envie de toi.Je bandais toujours aussi fort et n’ai eu aucun mal à m’enfoncer dans son con large et détrempé.Je ne dis pas que nous étions faits l’un pour l’autre… Elle était vraiment large et profonde, la bougresse, et moi je ne suis pas un super mâle. C’est certain que je flottais un peu dans son con, et pourtant j’avais des sensations très agréables, presque parfaites. Ma bite flic-flaquait dans ce trou juteux que je défonçais avec ardeur. Et malgré le côté peu romantique de cette situation, je triquais comme un âne et la limais comme un fou. Je ne m’étais jamais senti aussi performant ni alerte.Elle couinait en me regardant. Elle était radieuse, elle était aux anges, elle rayonnait. Elle allait au-devant de mes coups de queue en avançant son large bassin et je sentais à chaque coup son épaisse toison brune chatouiller mon pubis. Quel délice, quelle bonne baiseuse (ou était-ce parce que nous nous entendions à merveille), je regrettais de ne pas en avoir profité plus tôt ! Peu m’importait désormais, son triple menton, ses gros grains de beauté, ses seins flasques ou ses épaules trapues, peu m’importait qu’elle soit moche, ringarde et peu attirante, tout ceci était désormais sans importance, le plaisir que nous prenions ensemble et l’appétit avec lequel nous baisions effaçaient toutes les imperfections.Je l’ai limée ainsi un long moment, et c’est d’elle-même qu’elle prit l’initiative de se retourner à quatre pattes et de présenter son gros cul. Au passage, je me suis aperçu que ses poils étaient gluants de mouille. Je me suis déchaîné sur son derrière, me contentant pour le moment de la prendre par le vagin. Je la défonçais brutalement à grands coups de bite qu’elle encourageait par ses gémissements ; elle était déchaînée, elle aussi, tendait son postérieur vers ma queue et remuait son corps en cadence. Je regardais ballotter ses seins flasques sous son corps et ça m’excitait encore plus. À la fin, nous avons explosé, presque ensemble, elle une fraction de seconde avant moi. Je l’ai entendu hurler sa jouissance comme une bête et ça m’a fait partir, immédiatement, je me suis lâché dans son con et lui ai rempli le vagin de foutre…Encore quelques spasmes, et nous nous sommes effondrés sur le lit, moi sur elle, la bite toujours plantée dans sa chatte poisseuse. Comble de romantisme, j’ai remarqué la veste de pyjama rayé de son mari près de l’oreiller. Elle était toute tachée, pleine de café au lait sur la poche… Je me suis demandé s’il la baisait souvent. Tout en sortant d’entre ses cuisses, je lui ai posé la question. Elle est venue se blottir gentiment contre mon épaule. Je l’ai prise tendrement dans mes bras, car nous avions tous les deux besoin de tendresse, encore plus que de baise…— Une fois par mois environ, parfois deux, parfois il reste deux mois sans me toucher. Ce n’est pas un mauvais bougre, mais il n’y a plus grand chose entre nous depuis longtemps, c’est plus une question d’hygiène, pour vider les tensions. Mais il n’y a pas d’autre femme, sa passion à lui c’est la bouteille et les copains de bistrot, il y passe toute sa vie. Au début, nous nous aimions, moi, du moins, je l’aimais… lui aussi, je pense, malgré ses airs bourrus, mais quelques années plus tard il s’est lassé de moi. En plus, je ne pouvais pas avoir d’enfant. J’ai compensé en prenant du poids. J’étais déjà forte au départ, « la petite grosse » qu’on m’appelait à l’école, mais beaucoup moins grosse qu’aujourd’hui…— Au départ, je n’avais guère envie de toi, c’est vrai…— Je sais, je m’en étais aperçu et pourtant, quelque chose me disait qu’il pourrait se passer quelque chose entre nous. Lorsque je t’ai vu dans ton jardin, j’ai de suite été troublée. Après je me suis dit : « Pauvre fille, qu’est-ce que tu crois, grosse et moche comme tu es, personne ne va s’intéresser à toi ». Et pourtant j’ai quand même tenté le coup, après tout, je n’avais rien à perdre. Mais même dans ta fuite et dans ton refus, j’ai perçu une compatibilité, je me disais qu’un jour peut-être… Et lorsque tu es arrivé tout à l’heure, j’ai été hypercontente de te revoir !Je l’ai serrée un peu plus fort contre moi. J’étais en train de tomber amoureux, pour la première fois de ma vie. J’ai bien essayé de me ressaisir, mais il me fallait bien admettre que cette femme ne m’était pas indifférente et que quelque chose de fort se passait entre nous, peu importait son physique…Alors nous avons refait l’amour, cette fois-ci plus tendrement… Et ça a été divin, magique, une nouvelle fois, encore plus merveilleux que tout ce que j’avais vécu auparavant… Pour une fois, le plaisir était vraiment partagé… entièrement !