J’avais dix-huit ans lorsque cette histoire se passa. Ma copine d’alors, seize ans et quelques mois, avait une maman plutôt cool pour l’époque car j’ai maintenant 60 ans. En effet, dès le début de nos relations, sentant sa fille amoureuse, elle n’avait pas hésité à lui faire prescrire la fameuse pilule afin qu’aucune surprise ne vienne contrarier nos études respectives.Cet été-là , nous avions projeté de faire un tour de l’île avec un groupe de copains. Le périple devait durer une semaine entière. Trois d’entre nous avaient la chance d’avoir des véhicules, aussi ce fut par groupe de trois qu’on embarqua pour débuter nos vacances.Celui qui était avec nous s’appelait José. Il était sur le point de quitter définitivement le territoire pour regagner l’hexagone après deux ans passés ici pendant lesquels nous étions devenus inséparables, jusqu’à ce qu’Angélique fasse son apparition dans ma vie.Angélique et moi passions le plus clair de notre temps à faire l’amour. Matin, midi et soir, quel que soit le moment de la journée, tous les prétextes étaient bons pour s’isoler et se faire du bien.Nous commencions à bien nous connaître. J’avais déjà connu les plaisirs du sexe mais avec elle, c’était dément. Angélique était vraiment douée et me fit découvrir les capacités de jouissance du sexe opposé. Elle m’apprit vite à la faire jouir car depuis son plus jeune âge elle pratiquait la masturbation. Elle connaissait son corps comme personne, aussi ce fut facile pour elle de me transmettre son savoir de la jouissance féminine.Avant Angélique, je n’avais jamais vu une fille jouir. Je pensais leur donner du plaisir en les secouant aussi fort et aussi longtemps que possible, mais en fait je me rendis compte avec elle que je ne savais pas si les autres filles que j’avais connues avaient vraiment pris leur pied avec moi.Ce fut elle qui me fit connaître la première jouissance féminine, du moins la 1re pour laquelle j’en étais sûr. La voir ainsi exploser, ses yeux révulsés par la puissance de l’orgasme qui la submergeait, m’avait rendu fou de joie. Mon seul souci, depuis ce jour, était d’arriver à la mener à l’orgasme pour avoir l’incommensurable bonheur de la voir se ramasser sur elle-même, ou au contraire se tendre comme un arc avec un tremblement impressionnant des cuisses en poussant un long râle expulsé du plus profond de sa gorge, le regard voilé ou carrément révulsé.C’était et ça l’est toujours, un instant privilégié, magique pour tout homme aimant les femmes.Ce fut dans ce contexte que nous nous retrouvâmes H24 avec mon copain qui n’avait pas de petite amie. Il était vrai qu’il n’était pas gâté par la nature, mais son humour et sa disponibilité plaisait à ma copine, qui ne fit aucune difficulté lorsqu’elle apprit que nous allions devoir passer une semaine entière avec lui.Le soir, il était prévu de dormir par affinité dans les quatre ou cinq tentes que nous avions apportées. Tout naturellement, José, nous demanda de dormir avec nous.Le 1er soir, il ne se passa rien. Crevés par la route, après un repas passé autour du feu de camp avec les autres, on s’endormit comme des souches. Ce fut le lendemain que la situation commença à se compliquer car notre envie de faire l’amour se faisait de plus en plus sentir. Le moindre contact avec son corps me donnait des bouffées de chaleur au niveau de la ceinture, si vous voyez ce que je veux dire… Impossible de s’arrêter et d’abandonner la caravane pour faire ce qui nous manquait de plus en plus.Le soir, après le repas pris ensemble, on s’empressa de regagner notre tente, mais José, mort de fatigue, nous emboîta le pas. Impossible de faire l’amour devant lui, il nous fallait attendre qu’il s’endorme aussi. Angélique se mit à me branler aussi discrètement que possible à l’intérieur de notre duvet deux places. Je faisais de même en lui triturant le bouton. Au bout d’un moment, Angélique n’en pouvant plus me demanda de la prendre. À bout moi aussi, j’obtempérais volontiers mais pour prendre place entre ses jambes, nous dûmes ouvrir complètement notre couchage ce qui lui permit d’écarter largement ses cuisses en posant l’une d’elles sur notre ami endormi. En deux secondes, je m’enfonçai en elle, lui arrachant à chacun de mes coups de reins des petits cris qu’elle essayait d’étouffer en se mordant la paume de la main.J’étais arc-bouté au-dessus d’Angélique, nos ventres ne se touchaient pratiquement pas, soudés l’un à l’autre par nos sexes et nos pubis. J’avais le plus grand mal à me retenir de gémir tant les sensations dans ce ventre accueillant étaient fortes. Il fallait que je change de position pour ne pas jouir trop vite. Je me retirai en demandant à Angélique de se retourner pour que je puisse la pénétrer en levrette, ce petit subterfuge me permit de faire retomber la tension en profitant du temps nécessaire pour qu’elle se retourne et se mette à quatre pattes afin de m’offrir son adorable fessier. J’adorais la prendre ainsi, mes deux mains solidement accrochées à ses hanches, ses belles fesses bien en évidence et j’en profitais toujours pour lui ouvrir l’anus avec mes doigts, chose qu’elle adora dès mes premières approches.Tout à mes sensations, les yeux fermés, j’entendis ma copine murmurer :— Oh, ouiiiiii ! Caresse-moi le clito en même temps. Tu vas me faire jouir.Je sursautai à ces mots car, la tenant aux hanches, ça ne pouvait être moi. Je baissai les yeux pour m’apercevoir qu’un bras s’était faufilé sous son ventre, lui donnant ce plaisir qu’elle appréciait tant.José était en train de la branler. Il devait bien s’y prendre car Angélique avait de plus en plus de mal à étouffer ses gémissements.— Je vais jouir. Branle-moi encore. T’arrête pas mon amour.La tête et la queue en feu, incapable de réfléchir, je laissai mon ami poursuivre son œuvre, jusqu’à ce que quelques secondes plus tard :— Oh, ouiiiiiiii. Je jouiiiiiiiiis. Ouiiiiiii !!!Angélique explosait littéralement. Alertant certainement les copains des autres tentes de sa jouissance.Elle se laissa alors choir en avant, la poitrine contre le matelas, le cul en l’air avec ma queue toujours profondément enfoncée dans sa petite chatte. José en profita pour dégager son bras, cherchant dans la pénombre mon regard en quête du plaisir suprême.Je la secouai sans ménagement tandis qu’elle récupérait doucement de sa puissante jouissance, tant et si bien qu’en quelques allers et retours, j’explosai à mon tour en silence, histoire de ne pas en rajouter pour les copains d’à côté.Je me dégageai rapidement pour me laisser retomber à ses côtés.— Tu m’as fait jouir fort mon amour en me caressant le bouton en même temps.Je n’hésitai que quelques secondes avant de lui dire :— Ce n’est pas moi qui t’ai caressée, ma chérie. C’est José.— Je sais mon amour, je sais qui m’a caressée. Je voulais que tu saches ce qu’il était en train de me faire et s’il fallait que je le laisse continuer.— T’as eu ta réponse ?— C’était clair, et ce qui est clair aussi c’est que t’es qu’un sale gros vicieux, mais j’aime çà et c’est pour ça que je l’ai laissé me faire jouir… d’autant qu’il s’y prenait drôlement bien, le salaud.Angélique, au lieu de se retourner pour s’allonger à mes côtés, était restée en levrette, les fesses surélevées comme dans l’attente de quelque chose.Je lui soufflai à l’oreille :— Il t’a bien fait jouir mais il n’a pas joui, lui. Tu veux bien ?— C’est toi qui décides, mon amour. Je suis ta petite salope maintenant.José qui n’avait pas perdu une miette de ce que nous disions n’attendait que ça pour se redresser et se placer derrière ma chérie. Il n’aurait pas beaucoup d’occasions de faire l’amour à une aussi jolie fille qu’Angélique.Je le laissai faire, sachant parfaitement qu’il s’apprêtait à glisser sa queue dans la chatte de mon amour. Bizarrement, malgré l’inévitable petite pointe de jalousie, l’excitation de la situation l’emporta sur tout le reste. Je demandai à Angélique :— Raconte-moi !— Oui, mon amour. Il vient de poser sa queue devant ma petite chatte. Il a posé ses deux mains sur mon dos. Il me caresse les reins, le dos. Il m’empoigne maintenant aux hanches. Il va me prendre mon amour. Oh ouiiiiiiiiiii, il commence à s’enfoncer dans mon ventre. C’est bon, mon amour, c’est trop bon. Ça t’excite, hein ! Mon chéri, dis-le-moi ! Oui. Dis-moi tout. Dis-moi si tu aimes. Oui, mon amour. Aaaaaahhhh ! J’aime ça ! Il est en moi maintenant. Je sens sa queue qui m’ouvre le ventre. Il est gros, tu sais. Ça me fait un peu mal mais j’aime ça. Ouaaaaaah ! Putain, qu’il est gros !— Si gros que ça ?— Ouaaaaaaahh ! Énorme ! Oh, doucement, José, doucement, t’es trop gros.José ne prononçait aucun mot, aucun son ne sortait de sa bouche. Il avait les yeux fermés et les mains posées sur les hanches de ma chérie. L’effleurant à peine, il était concentré sur les sensations en provenance de son sexe caressé par les parois vaginales.— C’est trop bon. J’ai envie qu’il me fasse jouir avec sa queue.— Demande-le-lui. Pas trop fort, que les autres n’entendent pas.— Oui, José, baise-moi ! Fais-moi jouir ! Tu veux bien me faire jouir encore une fois ?— Oh oui, Angélique. J’ai encore envie de t’entendre jouir.— Doucement tous les deux, j’ai pas envie que tout le monde sache ce qui se passe ici.— Yes my friend— Oui mon amour.— Raconte ma chérie.— Il coulisse dans mon chaton. C’est fou d’être remplie comme ça. J’ai l’impression qu’il occupe tout mon ventre. J’aime bien sentir ses mains sur mes hanches quand il s’enfonce dans ma chatte en me tirant vers lui.Son souffle commençait à changer de rythme. De plus en plus court, entrecoupé par de petits gémissements qui en disaient long sur le plaisir qu’elle ressentait.— Il me fait du bien mon amour.— Plus que moi ?— Oh oui ! Pardon mon amour, mais oui, plus que toi.José commençait à la prendre plus fermement. Augmentant imperceptiblement la puissance et l’amplitude de ses coups de reins. Ma chérie commençait à avoir du mal à parler, poussant fréquemment des « aaaaaaaahhh » ou encore des « oh, ouiiiiiiii ».Je lui susurrai dans le creux de l’oreille :— J’ai envie de t’entendre jouir. Jouis pour moi, ma chérie. Laisse-toi aller.— Oui, mon amour, ça vient. N’arrête pas José, ça vient. C’est trop bon.José la besognait alors à pleine puissance, la faisant trembler à chaque impact de son ventre et ses cuisses sur son fessier. Dans un dernier souffle, Angélique m’annonça :— Ça y est ! Ça y est mon amour, Je jouiiiiiiiis. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii !Complètement ramassée sur elle-même, Angélique se mit à jouir aussi discrètement que possible. Mordant à pleines dents dans mon avant-bras pour étouffer ses gémissements.Presque en même temps, José s’immobilisa entre ses fesses, la maintenant fermement par les hanches pour laisser son sexe expulser aussi profondément que possible sa semence dans cette accueillante petite chatte.— Je jouiiiiiiiis. Je jouis moi aussi. C’est trop bonnnnnn !Je les regardai tous les deux accouplés dans la pénombre, lui encastré dans son dos et les mains encore soudées à ses hanches, elle, le nez dans l’oreiller et sa bouche mordant encore ma peau.— Je t’aime ma chérie, merci ! C’était trop bon de t’entendre jouir comme ça.Angélique n’était pas en état de me répondre, encore dans les vapes, elle se contenta de me serrer le bras dans sa main. Elle avait l’air d’être bien, d’avoir apprécié cette petite séance improvisée.Je lui caressai les flancs puis le dos et enfin les fesses. José en profita pour se dégager et s’allonger sur son couchage à côté d’Angélique, et lui aussi se mit à lui caresser le dos, les fesses, les cuisses, les caresses qu’elle adorait après l’amour. Elle se mit à glousser de satisfaction.— Vous êtes trop gentils tous les deux. N’arrêtez surtout pas, j’adore ça.Elle s’endormit rapidement. Épuisé par toutes ces émotions, je ne mis pas longtemps à la rejoindre dans les bras de Morphée, abandonnant son corps aux mains caressantes de José, tout heureux que je le laisse profiter seul de ce cadeau du ciel.Le lendemain au réveil, nous étions tous les trois mal à l’aise, n’osant pas parler de ce qui s’était passé, évitant même de croiser le regard d’un des deux autres. Le malaise perdura durant tout le petit déjeuner pris avec les autres, jusqu’au retour dans la tente où, à nouveau seuls, il nous apparut évident qu’il fallait que l’un de nous mette les pieds dans le plat afin que nous puissions en parler.Ce fut Angélique qui, s’approchant de moi en cherchant à ce que je la prenne dans mes bras, me dit :— Je t’aime mon amour. Tu es fâché, tu ne m’aimes plus après ce qui s’est passé ?Non, je n’étais pas fâché. Je n’étais pas à l’aise, ça, c’était sûr, mais je n’étais pas fâché. D’ailleurs, en y réfléchissant, j’avais aimé et apprécié tout ce qui était arrivé. Je la pris dans mes bras en la serrant très fort et :— Je t’aime moi aussi, ma chérie. Non, je ne suis pas fâché mais je ne sais pas comment gérer ce qui s’est passé.José sentit d’instinct qu’il était plus sage pour lui, de ne pas intervenir. Il savait que le malaise provenait du fait que nous nous aimions et qu’en principe je n’aurais pas dû permettre qu’il se passe quelque chose entre elle et lui. De même, Angélique aurait dû réagir en se rendant compte que c’était lui qui lui procurait du plaisir avec ses doigts, mais le contexte si particulier avait fait que personne n’était dans son état normal.J’essayai de réfléchir à toute vitesse à ce qui s’était passé, à ce j’aurais dû faire ou ne pas faire, mais tout se bousculait dans ma tête et, finalement, me rendant à l’évidence, je finis par leur dire :— De toute manière, quoi qu’on fasse, quoi qu’on dise, c’est fait maintenant. On ne pourra jamais rien y changer et il faudra bien qu’on vive avec. Ça ne sert à rien de faire l’autruche, moi j’ai adoré te voir et t’entendre jouir en faisant l’amour avec José. Je suis sûr que pour José ça sera le meilleur souvenir qu’il emportera avec lui en métropole. Il ne reste qu’à savoir pour toi, ma chérie.Après un court silence. Angélique prit la parole et :— Moi, je t’aime mon amour. Je suis prête à faire tout ce que tu me demanderas… y compris me donner à un autre si ça te fait plaisir. Pour hier, j’ai adoré… c’était géant.Rajoutant immédiatement :— Si tu veux, pendant tout le reste des vacances, je veux bien devenir votre petite salope à tous les deux et ensuite, on oubliera tout ça.À ces mots, José chercha à accrocher mon regard, les yeux pleins d’espoir. Je ne savais trop que penser ni trop quoi dire… C’était déjà beaucoup d’émotion et on était passé pas loin de la cata. Je restais évasif :— On verra… Laissons faire le destin !Le voyage reprit. Nous étions bien ensemble. Le malaise avait disparu. Nous agissions de nouveau comme avant, comme s’il ne s’était rien passé, riant de bon cœur de tout et de rien, sans perdre une occasion de se chahuter les uns les autres.Le soir arriva vite. Le repas avec les copains, puis la rentrée sous la tente que nous avions installée, peut-être pas tout à fait par hasard, mais sans même en parler, à l’écart des autres.Angélique se prépara pour la nuit mais au lieu de s’abriter du regard de notre ami comme les soirs précédents, elle se déshabilla entièrement devant nous, comme si c’était une chose naturelle.Les dés étaient jetés. Nous l’observions sans rien dire, admirant ses petits seins fermes dont les pointes dardaient outrageusement, sa chute de reins parfaite, ses fesses tellement appétissantes et les lèvres de son sexe surmontées d’une fine bande de poils blonds comme les blés.— Je vous plais, les garçons ?— T’es la plus belle fille que j’ai jamais vue, dit José, les yeux rivés sur son sexe blond aux lèvres proéminentes.— Merci, José, t’es gentil.Elle resta encore un moment agenouillée devant nous, tourna sur elle-même pour nous laisser admirer ses fesses puis s’allongea sur le dos en nous annonçant :— J’aimerais bien que vous me caressiez tous les deux. Un de chaque côté, que vous me caressiez partout. Avec les mains d’abord, puis avec la bouche pour celui qui m’aura fait le plus de bien.Comme un seul homme, on se retrouva allongé à ses côtés, les mains parcourant son corps jusque dans ses moindres replis, forçant Angélique à ramener ses chevilles contre ses fesses pour écarter ses jambes d’une manière impudique et nous permettre d’accéder à la face interne de ses cuisses.J’adorais quand elle prenait cette position, offerte, la chatte légèrement entrouverte à mes caresses sauf que là , je n’étais pas tout seul. Pour l’heure, il s’agissait de deux hommes et ses gémissements en disaient long sur le plaisir qu’elle en retirait de sentir quatre mains parcourir tantôt ses seins, tantôt son ventre, l’intérieur de ses cuisses sans oublier de s’infiltrer délicatement dans le sillon de ses lèvres intimes.Elle commença à nous diriger grâce à ses gémissements plus spécifiquement vers son bas-ventre.José prit possession de la fourche de ses jambes tandis que je m’occupais de son ventre jusqu’à descendre jusqu’à la naissance de sa petite fente. José se mit à commenter ce qu’il découvrait.— Angie, tu es trempée, tu coules jusque sur le matelas.— Je sais les garçons. Ça m’excite trop ce que vous me faites. J’ai envie…Je descendis un peu plus bas pour me rendre compte qu’effectivement, Angie avait les lèvres couvertes de sa mouille étalée sans doute par les doigts de mon ami et que la mince bande de chair entre son chaton et son anus était elle aussi trempée. Je vis à ce moment-là la main de José revenir vers le con de ma copine et, n’y tenant plus, enfoncer un de ses doigts dans l’entrée de sa vulve. Je ne voyais pas très bien, mais sa main au contact de la mienne ne laissait aucun doute sur la pénétration en cours. Angie s’écria :— Houuuuuuuu ! Tu triches, José, j’avais dit juste des caresses.— Je sais Angie, pardon, mais ton chaton est une vraie fontaine et ça m’excite trop.— D’accord, mais je veux aussi celui de Frank en même temps… Pas de jaloux, comme ça.Je m’exécutai immédiatement, plongeant mon majeur à côté de celui de mon copain et déclenchant aussitôt un soupir de satisfaction d’Angie.— Oh oui, les garçons ! En même temps, vos doigts dans ma chatte, c’est trop bien !Nos doigts coulissaient maintenant sur le même rythme dans le con en émettant des bruits excitants. Presque en même temps, on rajouta chacun un deuxième doigt, ce qui fit pousser un petit cri de surprise à notre chérie :— Waouhhhhhhhhhh ! Doucement, vous m’écartelez le minou, espèce de vicieux. Vous devriez avoir honte de profiter d’une innocente jeune fille comme moi.— On arrête si tu veux ?— Oh non, je m’habitue déjà  ! Continuez, faites de moi ce que vous voulez. Je suis à vous pour toute la nuit et plus encore si vous voulez.Le ton était donné. Nos doigts s’activaient dans sa vulve, écartant les chairs, se croisant, se frôlant dans une folle sarabande.— Oh ouiiiiiiii ! Salauds, vous allez me faire jouir. Ça vient. Je vais jouir, les garçons. Plus fort, tout au fond, prenez-moi fort !En effet, moi qui la connaissais bien, je me rendis compte qu’elle était au bord de l’extase. Je me redressai, les doigts toujours enfoncés dans le ventre d’Angie, admirant le spectacle surréaliste de quatre doigts appartenant à deux mains différentes, en train de coulisser dans cette chatte écartelée au maximum.Je mouillai mes autres doigts dans ma bouche et m’attaquai à son bouton pour le décalotter complètement et le masturber amoureusement. Deux secondes plus tard, Angie explosa littéralement, mordant une nouvelle fois au sang, la paume d’une de ses mains pour étouffer le cri libérateur.— Aaaaaaaaaaahhhhhhhh, je jouiiiiiiis, vous me faites jouiiiiiiir.Comme la nuit dernière, elle fut prise d’impressionnants tremblements dans tout le bas de son corps, puis se laissa retomber à plat dos, inerte, succombant à une puissante et longue jouissance.Nos quatre doigts compressés les uns contre les autres à l’intérieur de la vulve en pleines séries de fortes contractions, aucun de nous ne semblait avoir envie de se dégager.Trop bon de sentir les vagues successives de spasmes sur nos doigts. José me souffla :— Elle jouit fort… C’est géant, mon copain, géant.— T’aimes ça toi aussi, sentir le con d’une fille se refermer sur tes doigts quand elle jouit.— Oh ouiiiii, surtout elle ! J’adore quand elle jouit.Un long moment s’écoula avant qu’Angie n’ouvre les yeux.— Waouuuuuuhhh, les garçons ! Vous allez me tuer, tous les deux. C’est cool d’avoir deux mecs pour moi toute seule.Angie était restée dans la même position, les cuisses grandes ouvertes… Offerte.— J’ai envie maintenant. Qui commence ? Toi José, ou toi, mon amour ?— Tous les deux si tu veux !— Oh non, j’ai trop peur d’avoir mal. Vous me faites peur, les garçons.— Allez, on essaie et on arrête si t’as mal, d’accord.— J’ai trop peur.Je savais qu’elle en avait envie aussi alors, sans plus attendre, je l’attirai sur moi pour qu’elle m’enjambe et s’empale sur ma queue puis, je l’attirai contre moi pour un baiser torride à pleine bouche, langue contre langue. J’en profitai pour lui souffler :— Détends-toi, ma chérie. Tu vas adorer nous sentir tous les deux dans ta petite chatte. Laisse-toi aller, je te promets que tu vas jouir comme une folle.Nous n’avions jamais fait ça, José et moi, mais déjà il trouvait la bonne position, à genoux derrière Angie, ses jambes encadrant les miennes pour bien se caler avant cet assaut délicat.— Mon amour, je sens son gland qui force ma chatte. J’ai peur, mon cœur. Vous allez me déchirer.— Relâche-toi mon cœur. José va s’y prendre doucement, en plusieurs fois. Pousse quand tu sens qu’il essaie de rentrer et détends tous les muscles de ton chaton. Nos deux bites ne sont pas plus grosses que nos quatre doigts, mon amour.— D’accord, je suis à toi. C’est toi qui décides.— Vas-y, José, prends-la, rejoins-moi dans cette petite chatte d’amour.José avait déjà enfilé son gland tout entier dans la fente. Je le sentais se frotter contre mon propre sexe.— Il est en moi, mon cœur. Aie Aie Aie, ça chauffe, ça chauffe. Pfeuuuuuuuuuu !Millimètre par millimètre, l’intrus s’encastra dans le fourreau, écartant les chairs pour prendre place contre moi. Angie, la bouche grande ouverte, soufflait de plus en plus vite, comme un animal affolé, quand tout à coup, la tige s’enfonça entièrement pour venir buter au fonds de la matrice. Angie était prise complètement par nos deux queues. Les yeux fermés, un rictus de douleur zébrant son adorable minois, elle nous supplia :— Ça y est, ça y est, ne bougez pas ! Attendez que je m’habitue. J’ai l’impression que ma chatte va éclater. Ça me brûle de partout.José comme moi, la respiration bloquée, attendions qu’Angie nous dise ce qu’elle attendait de nous. Je sentais la queue de mon ami, palpiter contre la mienne, raide comme du bois, puissante.Enfin, au bout d’une éternité, Angie se mit à bouger le bassin en tournant de bas en haut et de gauche à droite à la manière d’une danseuse de « tamuré » en roulant des hanches.Ma verge qui avait commencé à se ramollir se redressa aussitôt. Je lançai mes mains vers ses hanches mais celles de mon copain s’y trouvaient déjà . Il la tenait comme j’aimais à le faire, les deux mains bien calées dans le creux du bassin. Sans réfléchir, nos doigts s’entrelacèrent pour se souder comme nos sexes à l’intérieur d’Angie.Elle se mit à pleurer, nous rassurant tout de suite en disant :— Ah, mes amours, je veux mourir maintenant. Ma tête, mon cœur, mon ventre, mon corps tout entier va exploser. Vous me comblez. Prenez-moi maintenant. Je suis à vous. Prenez-moi.Ce fut José qui se mit en mouvement le premier, nous donnant le rythme afin de la posséder comme un seul homme. Angie n’avait même plus la force de répondre, ma langue lui envahissant la bouche, elle se contentait de rester la bouche grande ouverte pour me permettre de la prendre, là , en même temps. Elle n’arrêtait pas de secouer sa tête de gauche à droite en un signe d’impuissance face à ces sensations trop fortes. Ses yeux tournaient en permanence dans leurs orbites, basculant sans cesse vers l’arrière, tandis qu’un son rauque était expulsé de sa gorge par intermittence. J’aurais juré qu’elle était en train de jouir en continu tant son corps me semblait alangui, lourd, sans force. Au bout d’un moment, Angie sembla perdre connaissance, les yeux hagards, un léger filet de bave s’écoulant au coin de ses lèvres. Je lui murmurai à l’oreille :— Ça va mon amour ?À bout de souffle, elle trouva la force de me dire :— Vous allez me tuer. Je jouis en permanence. J’en peux plus. Arrêtez, s’il vous plaît, arrêtez, je meurs.Il était temps d’en finir, d’ailleurs je n’étais pas en état de tenir plus longtemps. José aussi avait augmenté son rythme, avec des coups de reins de plus en plus puissants que je sentais contre mon sexe. D’un seul coup, il annonça :— Frank, ça y est, je jouiiiiiiiis.J’explosai aussitôt en l’entendant jouir. Il s’arrêta de bouger pour s’encastrer dans la vulve aussi profondément que possible. Je sentais sa queue se raidir contre la mienne, expulsant ses jets de foutre en même temps que moi. Nous jouissions de concert dans la chatte d’Angie. Ses doigts emprisonnaient les miens dans un étau tandis que José terminait de jouir en râlant aussi discrètement que possible pour éviter d’alerter les occupants des autres tentes.On resta un bon moment, soudés l’un à l’autre grâce à Angie, jusqu’à ce que mon sexe ramolli se glissa hors du fourreau, libérant une impressante quantité de sperme sur mon ventre, mon sexe et mes bourses. Nous lui avions mis la dose et j’en faisais les frais.Angie complètement affalée, sur moi, me laissa la faire glisser à côté de moi tandis que je me dégageais. Ce faisant, elle échappa aux mains de mon copain qui se retrouva les bras ballants, la bite à l’air, dégoulinante de nos épanchements mélangés. Ce n’était pas la première fois que je voyais son engin, mais après ce que nous venions de vivre, il me semblait encore plus impressionnant que d’habitude avec son gros gland en forme de brugnon haut perché sur cette tige épaisse.Il s’allongea à côté d’Angie pour s’endormir rapidement. Leur respiration régulière m’indiquait qu’ils dormaient déjà profondément. Pour ma part, bien qu’épuisé, j’avais du mal à trouver le sommeil. Pour la 2e fois, je venais de partager ma copine avec mon ami. Il était vrai qu’il n’allait plus jamais se revoir puisqu’en rentrant de notre périple, José s’embarquait définitivement pour la France.Tout se bousculait dans ma tête. Peut-être qu’Angie m’en voudrait de l’avoir partagé avec mon ami. Peut-être que le fait d’avoir fait l’amour leur ferait découvrir des sentiments qu’ils ignoraient. La situation me dépassait. Comment gérer cela ? Je finis par m’endormir en pensant que José aurait au moins un souvenir inoubliable de moi, d’Angie, et des dernières vacances passées sur le Territoire.En plein milieu de la nuit, je fus réveillé par Angie qui me secouait le bras doucement. Elle me demandait de l’embrasser. Je m’exécutai, complètement dans le cirage, en lui faisant un bisou sur la joue mais cette dernière m’embrassa, m’enfonçant sa langue dans ma bouche en gloussant de plaisir. Étonné, je me rendis compte tout à coup que mon ami était couché sur elle, bien calé entre ses jambes largement ouvertes. Il la besognait à grands coups de reins, lui arrachant à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle des petits cris attestant de la violence de l’assaut, jusqu’à ce qu’enfin Angie m’annonça :— Je vais jouir, mon amour, je vais jouir. Oh ouiiiiii !J’approchai mon visage du sien tandis qu’elle se laissait emporter par un nouvel orgasme, entraînant son amant avec elle dans les méandres du plaisir des sens. José dans un dernier souffle annonça à son tour :— Je jouiiiiiiiiis. Prends tout dans ta petite chatte Angie, c’est trop bonnnnnnnn !Épuisés, les deux amants se séparèrent pour reprendre leur place respective. J’entendis une bise échangée puis la voix de mon ami :— Merci, Angie, c’était trop bon.Angélique se tourna vers moi pour m’embrasser, puis prit sa position favorite en chien de fusil pour s’endormir rapidement. Machinalement, je regardai ma montre : deux heures du matin. La pleine lune éclairait l’intérieur de la tente presque comme en plein jour. Je remarquai la main de José, posé sur le fessier d’Angie, ce qui me fila un petit pincement au cœur mais je m’abstins d’intervenir car ce n’était pas bien méchant.Pour la deuxième fois, des gémissements me tirèrent de mon sommeil. J’ouvris les yeux. Angélique, face à moi, toujours en chien de fusil, gémissait doucement en accompagnant les coups de reins que lui infligeait une nouvelle fois son infatigable amant.Bien calé entre ses fesses, la tenant par les hanches, il la possédait encore à nouveau, bien décidé à lui faire prendre son pied une dernière fois avant le lever du jour. Angie se prêtait docilement à la saillie, malgré la fatigue, décidée elle aussi à tirer parti de cette bête de sexe qui partageait notre couche. Elle se mit à me parler comme j’aimais :— Il m’a réveillée en m’enfilant sa grosse queue dans la chatte. Ça m’excite qu’un mec se réveille plusieurs fois dans la nuit pour me sauter. Il sait que j’aime ça. Il sait que j’aime être forcée, qu’on ne me demande pas mon avis pour s’introduire dans mon chaton. Ça me fait peur, mon amour.Il me baise bien, je sens que l’envie de jouir revient.— Tu te sens capable de jouir encore une fois ?— J’sais pas, mais le plaisir revient, je sens des spasmes dans mon ventre. Ouiiiiiiiiiiii. C’est bon, mon amour.De plus en plus excité, José s’était redressé pour plaquer Angélique sur le ventre, un coussin sous son ventre pour surélever son magnifique fessier et, sans perdre de temps, s’enfoncer à nouveau entre les deux globes charnus.Angélique accusa le coup de reins en poussant un : — Wouaaaaaaaahhhhh ! J’aime ça quand tu m’enfiles comme ça. Ça m’excite. Petit salaud, tu profites de la femme de ton copain. Tu devrais avoir honte. Je les regardais forniquer comme deux bêtes assoiffées de sexe. Angélique, les fesses tendues vers l’éperon qui coulissait sans ménagement. José, la queue en avant, balançant en rythme ses puissants coups de reins, en route pour une nouvelle jouissance peut-être partagée.Angélique me tendit sa bouche entre deux grognements de plaisir, me laissant la pénétrer de ma langue, puis me demanda :— Tu veux que je te suce mon amour ?— Je commençais à désespérer que tu t’occupes de moi, mon cœur.— Oh pardon mon cœur. Je manque à tous mes devoirs. Viens vite par ici.Je me levai rapidement pour changer de place et m’asseoir, les jambes écartées, devant ma copine qui, sans perdre de temps, commença à me lécher la queue sur toute sa longueur, n’hésitant pas à s’attaquer à mes couilles également, pour me faire ronronner de plaisir.En quelques secondes, la tente fut envahie d’un concert de gémissements plus ou moins étouffés dans les couvertures et les oreillers.— Plus fort, plus vite, José. Fais-moi jouir, j’ai envie maintenant.José, arc-bouté derrière la croupe d’Angie s’exécuta aux ordres de sa maîtresse, la faisant s’empaler sur ma queue à chacun de ses coups de boutoir. J’étais aux anges, comme elle et comme José d’ailleurs qui n’en finissait pas de louer la beauté du cul, des fesses, et de la chatte dans laquelle il se sentait si bien.— T’es trop bonne Angie, j’le savais, j’en étais sûr dès la première fois que je t’ai vue.— T’aimes ça ma petite chatte, mon José. Dis-le que tu l’aimes.— Oh oui, j’aime ton cul. J’aime ta chatte. J’aime y fourrer ma grosse queue pour te la remplir de tout mon jus… Jusqu’à la dernière goutte.— Oui, c’est ça, mon José, enfile-moi bien. Fais-toi jouir pour me remplir la chatte de ton bon jus bien épais, bien crémeux.— Ah, assez, tu m’excites. Je vais jouir si tu continues. Cochonne !— C’est vous qui m’avez rendu comme ça à profiter d’une jeune fille sans défense, à enfiler vos deux queues dans ma moule jusqu’à l’évanouissement. Petits salauds, profiteurs ! Si ma mère savait ce que vous me faites faire.— Tais-toi, donne-moi ton cul et suce ton homme, fais-le jouir.— T’inquiète pas pour lui. Occupe-toi plutôt de mon petit cul et de ma petite chatte.Les entendre s’exciter ainsi me mit dans un état indescriptible. Angélique le sentait et savait que je n’allais pas résister très longtemps à écouter leur conversation salace.— Mon amour va bientôt jouir. Fais-moi jouir en même temps. Vas-y, José, fais-moi jouir ! Baise-moi fort.— Ouiiiiiiiiiiii… Plus fooooooooort !D’un seul coup, je rendis les armes, annonçant trop tard :— Je jouiiiiiiis ma chérie, je jouiiiiiiiis.Angélique s’empala immédiatement la gorge sur ma tige en râlant de bonheur car, déjà , elle subissait son nième orgasme de la nuit, s’affalant sur moi en couinant de plaisir malgré la barre de chair qu’elle avait engloutie. Je la sentis jouir, contrôlant malgré tout mon propre plaisir en me gardant dans sa bouche jusqu’aux derniers spasmes éjaculateurs.José n’avait pas encore joui. Il se démenait comme un beau diable entre les fesses d’Angie, lui martyrisant la chatte, mais la jouissance n’arrivait pas. Au bout d’un long moment d’une extrême intensité, il dut se rendre à l’évidence et cessa de gesticuler dans la vulve accueillante. Il avait assez joui pour cette nuit. La suite serait pour plus tard. Un peu décontenancé, la mort dans l’âme, il dégagea son sexe en demi-érection de la chatte d’Angie puis s’allongea à ses côtés. Je fis de même tandis qu’Angie se mit sur le dos avant d’annoncer :— Maintenant dodo, les garçons. Et sages jusqu’au lever du jour.Ce faisant, elle attrapa nos deux sexes entre ses doigts pour les caresser doucement, nous rendant la politesse de notre première fois.— C’est bon ça, hein, les garçons ?C’était bien bon et bien vrai. Le reste de la nuit se passa sans nouveau réveil intempestif. Nous étions tous épuisés.