Après plus d’un an d’attente, voici enfin la suite et fin de ce mignon petit conte de fées pour plus de dix-huit ans. Je dédie ce texte aux (rarissimes) fans de la première partie. Régalez-vous, Blanche-Neige ne s’est pas calmée avec le temps… Disney-Porn. Part IIÉloge de la nymphomanie (suite et fin)- 3 -Excitée comme jamais, Blanche-Neige s’allonge sur la table au centre. Elle tremble comme une folle. Grincheux dégrafe son pantalon qui tombe à ses pieds. Son engin à lui est moins extraordinaire que celui de Prof. Pas si grand que ça, il est néanmoins extrêmement épais. Blanche-Neige contemple cette chose saillante ; de multiples veines décorent le phallus érigé et le gland ; celui-ci, d’une courbure parfaite, a un bel aspect fuselé. À la base, une grosse toison noire couvre ses bourses. La lèvre tremblante, Blanche-Neige plonge maintenant son regard noisette dans celui de Grincheux. Comme d’habitude, Grincheux est méprisant, luisant de colère, de rage. Et ça, ça veut dire qu’aujourd’hui il ne va pas faire les choses à moitié, oh que non ! oh, que non… Les yeux de Grincheux s’attardent sur la poitrine gonflée de la grosse folle. Tout le désir de Blanche-Neige, toute son envie et tout le plaisir qu’elle a subi depuis le début se sont accumulés à l’intérieur de ses deux globes, devenus immenses. Leur volume s’est largement amplifié, ils sont maintenant devenus littéralement irrésistibles. Grincheux est soudain assailli par une montée de désir assommante, fulgurante. Cette plantureuse poitrine décuple à l’infini toute son ardeur. Malgré tout, il grogne, prend son temps…— Tire ton coup. Dormeur a ouvert la route, allez… j’en peux plus, ALLEZ ! ! !Le nain ricane. La méchanceté et la plus profonde des luxures sont incarnées dans le personnage. La grosse salope… elle va déguster…— Je peux plus… je peux plus attendre…Grincheux rit encore plus fort. Il est déjà assez énervé que cette malade de sexe lui ait balancé sur un ton impoli de venir détruire sa moule… non mais pour qui elle se prend, cette poufiasse ? Là t’es dans la merde, hein ? C’est plus toi qui commandes, ma pouliche… Et désormais, le grand dresseur de ton envie de démente, c’est moi !— Grin… Grincheux…Hahaha… T’en as envie, hein ? T’as envie de ma verge terrible… et ben, regarde-moi bien, j’pense pas que tu connaîtras un jour un truc pareil… Grincheux se met à se branler à deux mains tout en continuant de ricaner. Ses yeux, encore plus brillants de malveillance, sont posés maintenant sur la chatte inondée de cyprine de Blanche-Neige. Les lèvres sont grandes ouvertes, laissant voir un trou béant, rempli de tonnes de liquides. Depuis le tout début, elle mouille comme une sauvage. Jamais elle n’a autant mouillé depuis aujourd’hui. Déjà que les jours d’avant c’était impressionnant… mais quelle malade…— Alors, t’es prête ?— Oui… oui, Grincheux, oui ! Viens !— J’arrive, ma cochonne, tu vas voir…D’un geste violent, le nain se débarrasse de son pantalon resté à ses pieds. Dans un bruit des plus infects, il ravale une bonne dose de salive, crache sur ses deux mains ouvertes et enduit sa verge de liquide buccal. Dans un geste triomphant, il saisit les deux hanches pleines de Blanche-Neige et la pénètre en une seule fois. Ça glisse et c’est brûlant à l’intérieur. Elle a encore chaud au cul, cette connasse… terrible ! La nymphomane hurle de bonheur… Quelle brutalité ! L’engin est aussi dur que du béton, un véritable canon d’acier qui la laboure joyeusement. Les reins de Grincheux sont d’une force terrible. Blanche-Neige rebondit véritablement sous les assauts comme si elle était sur un trampoline, ses cheveux noirs se décoiffent dans le mouvement rythmé. C’est un véritable festival ! La puissance de Grincheux et son sexe fabuleux lui créent des tourbillons de jouissance terribles qui résonnent partout dans la jeune femme. Elle rayonne de tout son corps, elle rayonne de plaisir. Aaah, Grincheux… le meilleur amant qui existe au monde… Nul n’a son pareil…— Oooooooooooooooooooooooh…La déferlante jouissive monte à sa tête qui tourne, qui tourne. Elle est ivre de ce plaisir infernal qui lui fait perdre peu à peu la raison. Qu’est-ce qu’elle aime ça, mais qu’est-ce qu’elle aime ça ! plus rien n’est meilleur au monde. Sentir ce membre aller et venir, et aller et venir encore en elle ; dans sa chatte qui a envie… Non… Non, rien n’est meilleur… rien…— AAA… AAA… AAA… AAA… DEFONCE-MOI GRINCHEUUUUUUX…Grincheux a accéléré le rythme. Dans sa fureur explosive, il souffle comme un buffle, jouit comme un porc. Cette bonasse est décidément démente. À l’intérieur, elle est chaude comme la braise. La chaleur est effroyable, c’est dingue ! Puis, tout en continuant son va-et-vient, il se met à la regarder… il regarde ses mamelles se balancer sous ses coups de tonnerre, il regarde ses jambes diaboliques s’agiter de manière désordonnée à sa droite et à sa gauche, il regarde sa superbe bouche à pipe grande ouverte pour laisser échapper autant que possible le plaisir qui l’étouffe… Mmmh, cette bonne bouche à pipe… elle a dû en honorer de ses queues… Et Grincheux, il adore ça, les nymphos, ces malades. Il adore les voir s’abandonner de la sorte comme des kamikazes ; au plus profond dans l’excès ! Elle s’en prend plein, elle s’en prend PLEIN !!! Il sent sa colonne de fer augmenter de volume. Il se sent venir… il est prêt à jouir et à se déverser en elle…— Oui ! Oui ! Oui ! Oui ! Aaaahaahaahaahaahaa…— RRRRRAAAAARRRRRGGGGGGGGGGGHHHHHH ! ! ! ! !Le nain s’écrase sur le ventre de Blanche-Neige dans un rugissement fantastique ! La quantité du sperme de Grincheux est tellement grande qu’il en ressort par la chatte éclaboussant les jambes des deux amants qui continuent à crier, qui continuent à baiser pour ressentir les derniers moments, les derniers émois…Timide, Atchoum et Dormeur restent bouche bée devant ce qu’ils viennent de voir. Une baise du feu de Dieu, du jamais vu ! Ce Grincheux venait de propulser Blanche-Neige sur orbite. Elle avait hurlé tout son saoul, elle était vraiment devenue complètement dingue !Les deux amants sont encore très essoufflés, ils ressentent encore les palpitations leur défoncer les tympans. Doucement, le visage de Grincheux, grimaçant de bonheur, se lève. Il la regarde. Elle aussi, l’œil encore fou, le regarde. Un instant. À l’unisson, les visages se tournent vers Simplet, mortifié. Puis ils explosent tous les deux de rire en regardant l’air dépité du pauvre nain.— Alors, Simplet ? tu as vu ton frère, comme il est doué !Grincheux ricane de bonheur infâme. Son visage a repris son air méchant habituel. Puis, la voix de Blanche-Neige, traînante et suave :— Woaw, c’était fa-bu-leux… Franchement, Simplet, c’est vraiment dommage que tu ne puisses rien faire du tout. Nous, on s’éclate, tu peux pas savoir combien !En disant cela, Blanche-Neige se passe la langue sur sa lèvre supérieure tout en regardant le pauvre nain de ce regard lumineux de perversité. Simplet baisse le sien. Blanche-Neige et Grincheux rient de plus belle. Le nain ligoté sent monter en lui quelque chose… quelque chose d’infernal et de terrible… Grincheux se retire, remet son pantalon, puis, l’air radieux, se tourne vers ses frères restants.— Allez-y les gars, faites mieux si vous le pouvez…Toujours en se marrant, Grincheux part monter en haut pour se coucher après une bonne bourre.— Timide, Dormeur, c’est-c’est votre tour…C’est pas vrai, elle en veut encore, cette timbrée ! T’inquiètes, va… c’est pas terminé…- 4 -Doucement, Blanche-Neige s’approche de Timide, rouge de plaisir. Elle est décidément furieusement belle. Ses jambes surtout ; des putains de jambe de déesse, longues et fines, les cuisses bien chaudes et bien fermes… Dans un sourire magnifique, elle lui baisse son pantalon. À l’intérieur, une grande chose s’érige au beau fixe. Elle éclate à nouveau de rire, ravie de constater qu’elle les fait tous bander sans exception, ces petits salauds… Remarque, quand on me regarde, on comprend pourquoi…— Viens Dormeur… toi aussi…De même pour le nain à la langue agile. Son pantalon tout crade découvre un phallus de la même taille que celui de Timide, c’est-à-dire tout à fait honorable.Deux mains, deux sexes. La main droite prend celui de Timide, la gauche celui de Dormeur.En produisant un murmure affolant, faisant parcourir aux deux nains des millions de frissons dans leurs nuques, elle les branle. Tout d’abord, c’est très doux, très lent. L’œil vicieux de Blanche-Neige passe de leurs bites à leurs regards, de leurs regards à leurs bites. Des yeux noisette fiévreux… Oui, elle en veut vraiment encore… Ah, ce regard, c’est le pied…Le souffle de Blanche-Neige s’accélère, le rythme aussi. Elle rit encore, la perverse. Ça l’éclate de tous les exciter de la sorte, ça l’éclate d’être celle qui les fait crever d’envie, tous les sept… Elle se met à dévorer leurs membres aussi durs que le marbre, tantôt l’un, tantôt l’autre. La bouche gigantesque engloutit entièrement les sexes. Les deux nains sont affolés, la sensation est indescriptible. Puis, après un début langoureux, elle les happe férocement, telle une lionne affamée. C’est un pur délice. Chacun des deux nains grogne de mécontentement lorsque les lèvres charnues et pulpeuses de Blanche-Neige les quittent pour se consacrer à l’autre… Cette bouche, nom de Dieu ; ses joues qui se creusent quand elle aspire goulûment… Elle suce bien… elle… Aaaargh, elle suce bien la salope ! Déjà, Timide et Dormeur sont au septième ciel. C’est rare qu’ils aient vécu une telle jouissance, si monstrueuse… Déjà ils grimacent…Le mouvement s’accélère, s’accélère… la bouche aussi… Blanche-Neige pousse des gémissements bien bandants pour les chauffer encore plus, encore plus…Le dernier ne se fait pas prier. Rapidement, il contourne Blanche-Neige, s’approche par l’arrière et l’enfonce par l’anus (Blanche-Neige crie, c’est énorme !) comme l’a fait Prof précédemment. C’est pas le même calibre, mais il se débrouille encore mieux. En fait, il est beaucoup plus rapide que l’ancien, et c’est ça qui fait la vraie différence… Atchoum s’agite avec fureur en honorant ce cul damné. Qu’il est gros et musclé. Un cul terrible ! Et une fois de plus, un autre nain en fait voir à cette poufiasse de toutes les couleurs. Dans un happement, la bouche de Blanche-Neige quitte la bite à Dormeur, un filet de bave reliant les deux. Dans un grognement :— Ouais les gars, c’est bon ! C’est bon ! !Et elle repart à l’attaque vers celle de Timide. Quatre voix à l’unisson qui gueule leur plaisir immense. Tout le monde jouit comme des malades, tout le monde… une véritable porcherie… Timide et Dormeur ont des étoiles devant leurs yeux tellement c’est insoutenable, Atchoum est sur le point d’imploser ; et elle, elle… tout son corps frémit littéralement !Les deux nains-sucettes sont au bord de l’orgasme… Et… et…Ça y est ! ! !Deux geysers viennent mitrailler avec violence le sourire de Blanche-Neige. Les deux poussent des cris de jouissance qui réveillent toute la forêt. Des pipes comme celles-là, ça s’oublie pas… Mais le meilleur, c’est pour la fin. La tête recouverte de sperme (Prof + Timide + Dormeur), Blanche-Neige se retourne en retirant de son cul le mastodonte d’Atchoum et vient se le fourrer entre ses deux gros seins. Se faisant prendre chacun par une main nerveuse, ils deviennent la superbe finalité d’Atchoum. Timide et Dormeur, encore sous le choc, mais morts de jalousie, contemple la très chaude branlette espagnole que la pétasse fait subir à Atchoum, le dernier à jouir (ah ! non, c’est vrai… il y a Simplet…). Le sexe d’Atchoum est en feu. Il gémit de plaisir. Alors Blanche-Neige accélère et accélère encore.Le dard comprimé entre les deux mamelles brûlantes et moelleuses, nom de dieu que c’est bon ! Le plaisir est effroyable ! Les deux masses de chair exécutent une danse endiablée, rythmée, la bite prête à exploser au milieu. Or, comme cette verge a déjà bien été chauffée entre les fesses de la callipyge Blanche-Neige, il lui en faut peu pour qu’elle aboutisse à un final magistral.— Ah… Atchoum, t’aimes ça, hein ? Oh ! T’aimes ça, mon gros cochon !!— Oui ! Oui ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa…La jouissance est indescriptible, sans nom. Dans un TCHOUM fracassant, une féroce pluie de sperme s’éjecte avec force entre les deux seins somptueux, jusqu’à atteindre le plafond tellement le jet est puissant. Blanche-Neige en éclate de rire. Rire suprême. Ah ! Elle est satisfaite, cette salope, d’avoir fait jouir comme des femmes sept pauvres nains. (ah, zut… je voulais dire six. J’ai encore oublié Simplet !)— C’était b-bon, parole de nain !Dans un râle de satisfaction, Blanche-Neige répondit :— Vous avez… tous joui… comme des vieux porcs !— C’est… C’est ça qu’on aime chez toi, Blanche-Neige, dit Timide, encore haletant.— Et demain… Et après-demain… fit rêveusement Dormeur.— Oui, encore et encore, on va baiser à n’en plus finir ! déclara la nymphomane dans un nouvel éclat de rire magistral, et les trois nains se regardèrent pleins de satisfaction.En disant au revoir à la grande femme, un éclat de gratitude dans leurs yeux, Atchoum, Timide et Dormeur partent monter en haut pour aller se coucher après une bonne bourre.- Épilogue –Nue, le corps luisant dans la pénombre, la plantureuse héroïne s’approche tout doucement de Simplet qui a résolument décidé de fermer ses yeux pour tenter de s’extérioriser de son humiliation.— Allez, mon petit Simplet, ouvre tes yeux… Tu ne veux pas regarder celle que tu as toujours désirée ?La voix est mielleuse. Simplet a toujours ses yeux fermés, mais un léger frémissement parcourt son corps fermement ligoté.— Ah… Simplet ! Il y a des moments où tu me déçois. Tu sais, c’est pour conserver ton éternelle innocence que je fais tout ça. Tes frères, eux, ils s’en moquent, que tu me sautes ou non. Mais pour moi, c’est très important, tu comprends ? Il faut que tu restes le petit Simplet que tu as toujours été. Même si le désir sexuel paraît incroyable, il ne faut pas t’y soustraire. Imagine que tu deviennes comme tous les autres !Simplet s’agite de plus en plus. Surtout, surtout, ne pas croire tout ce qu’elle dit !— Alors, s’il-te-plaît Simplet, ouvre les yeux et regarde-moi. Et pour me pardonner, je te ferai un gros câlin !Simplet devient carrément nerveux.— Je te libérerai de tes liens pour un moment et tu pourras me caresser où tu as envie ! Il suffit que tu ouvres les yeux et que tu me regardes.Simplet ne tient plus une seconde, les globules humides de désir s’ouvrent en grand et fixent les yeux noisette magnifiques de Blanche-Neige. Celle-ci ouvre sa grande bouche dans un large sourire et murmure :— Et ben voilà. Tu vois, c’est tout simplement impossible de me résister, mon cher Simplet. Toi et tes frères êtes entièrement sous mon contrôle dès que vous êtes à la maison. Vous n’avez qu’une idée en tête, me chevaucher méchamment, et vous ne pouvez pas en en avoir d’autres, c’est impossible.Devant les larmes de colère de Simplet, elle rit à nouveau.— Et en plus, ça m’éclate de te voir aussi misérable à nous mater en train de copuler comme des bêtes sauvages sans pouvoir bouger le petit doigt. Et j’ai eu une idée, aujourd’hui. Une idée qui m’excite terriblement. Demain, j’irai en ville acheter un petit produit. Et demain soir, tu vas gentiment le consommer juste avant qu’on t’attache comme à chaque fois pour que tu puisses à nouveau nous regarder baiser encore et encore. Et tu sais, ce que c’est ?La colère rendait maintenant Simplet complètement fou. Mais les yeux de Blanche-Neige luisaient de pure folie.— Du viagra, pauvre pomme ! Tes pulsions sexuelles vont être décuplées à l’infini, et tu souffriras cent fois plus que tu ne l’as fait aujourd’hui ! Et j’aurais ainsi cent fois plus de plaisir encore…Et dans le plus grand éclat de rire de la soirée, Blanche-Neige, superbe, partit en haut pour aller se coucher après une bonne, non, après une excellente bourre.FIN