Eloge du soixante-neufNous sommes dimanche soir, le 11 octobre 2009, ma compagne et moi sommes dans notre appartement. Après une agréable journée en amoureux et un bon repas, le programme télé ne nous enthousiasme guère. Tandis que ma femme se prépare à la salle de bain en prévision d’aller se coucher tôt, je me glisse dans notre chambre et l’attends patiemment pour « l’attraper » dès qu’elle passera.Elle entre et me voit allongé en caleçon, en train de caresser ma queue à demi molle. Elle sourit, comprenant mes idées lubriques, mais fait mine de ne pas avoir envie de passer à la casserole tout de suite. Néanmoins, je me redresse et l’attire sur le lit. Je l’embrasse et la caresse, faisant de mon mieux pour l’exciter et lui passer l’envie de retourner à la salle de bain.Ma langue cherche sa langue, mes mains parcourent son corps. Je caresse sa poitrine (quatre-vingt-dix C), mes doigts et ma bouche s’évertuent à faire se dresser ses tétons. Puis ma main droite s’aventure entre ses cuisses, mes doigts commencent à tourner sur son clito et fouiller sa fente pas encore mouillée. J’enfonce mes doigts petit à petit, cherchant le lubrifiant caché en profondeur et qui ne tarde pas à se propager. Puis je plaque ma tête entre ses cuisses, je lèche son sexe bien propre car sortant de la douche, et bien entretenu par le rasoir. J’écarte ses lèvres avec mes doigts, et ma langue tournoie sur son clito. Je connais bien ma compagne, je sais qu’il faut un petit temps pour la chauffer, mais que bientôt le plaisir montera, régulier et puissant. Si au début il fallait un peu la pousser à se laisser faire, bientôt elle ne supportera plus l’idée que je puisse enlever ma bouche avant son orgasme.Mais voilà, ma queue est dure et j’ai très envie de sentir moi aussi sa langue et ses lèvres s’activer dessus. Elle comprend rapidement mon envie, je remonte et me décale, et lui montre l… à ma… bandée. Couché dans le bon sens, j’attends qu’elle passe dans le sens inverse et enjambe mon visage.Il est drôle, comme au début de leur sexualité, les femmes rechignent à pratiquer le soixante-neuf. « Non, je n’aime pas car je ne peux pas me concentrer sur ton plaisir et le mien ». « Non, je ne suis pas à l’aise avec cette position et ce que tu vois « .Mais en les poussant en peu et en leur apprenant ce plaisir, rapidement elles adorent ça. Le secret à mon avis est de se concentrer avant tout sur le plaisir de l’autre, de continuer les gestes coûte que coûte. Puis, naturellement mais sûrement, chacun a du plaisir et l’orgasme peut même être très puissant.Ma femme a des formes généreuses. Elle est belle (beau visage et beaux seins), mais son popotin n’est pas mince. Pas gros non plus, mais ce n’est pas ce qu’on appelle « un petit cul », et ça la complexe bien sûr, et donc ça la gênait en soixante-neuf au début. Elle voulait bien le faire, mais moi sur elle. Mais avec le temps elle a compris qu’avoir ses fesses sur mon visage ne me dérangeait pas au contraire, m’excitait, et elle aussi a découvert que c’est dans cette position qu’elle avait le plus de plaisir pour le soixante-neuf.Me voilà donc avec son sexe sur ma bouche, mes mains sur ses fesses, et je sens sa bouche à elle qui s’active petit à petit sur ma queue dure. Je ne vois bien sûr pas son visage (alors que d’habitude la voir me sucer donne autant de plaisir que de sentir ses gestes), mais j’ai quand même énormément de plaisir dans cette position. Je vois le haut de sa tête qui bouge, je sens ses cheveux longs caresser mes cuisses. Et j’entends sa bouche pleine échapper des « humpff humpff », mélange de plaisir du cunni que je lui prodigue et de l’effort de son suçage.Comme préconisé plus haut, plutôt que de me prélasser dans le plaisir de sa pipe, je m’active sur sa chatte pour bien la faire jouir (et du même coup sentir ses réactions via son corps et sa bouche et via ses gémissements la bouche pleine). J’écarte bien sa chatte et tourne ma langue sur son clito avec une régularité d’horloger. J’ai remarqué qu’il faut être régulier. Les femmes aiment qu’on ait des gestes réguliers pendant au moins une bonne quinzaine de secondes, quitte à ensuite changer de vitesse pour une autre session d’une dizaine ou quinzaine de secondes. Je passe aussi mes doigts sur ses lèvres, enfonce quelques phalanges dans sa chatte. De temps en temps je plaque ma bouche encore davantage pour la sucer, l’aspirer encore plus fort. Ou bien j’appuie ses fesses à elle pour obtenir le même effet.Ses fesses d’ailleurs, je les vois bien. Elles sont là, devant mon regard, et cette vue cochonne me fait bander. Je passe mon doigt dans son vagin et sans prévenir je l’enfonce assez vivement dans son trou du cul. Son corps tressaille, sa bouche échappe un « HUMPFF ! » plus fort, mélange de reproche et d’excitation. Mais elle connaît mon côté dominateur et sait que rien ne me fera enlever mon doigt de son orifice serré. Je branle son anus en continuant de bouffer sa petite chatte.Quant à elle, sa nuque s’active et sa bouche va-et-vient sur ma… dure. « Ah la… ! » (Excusez-moi de parler ainsi, mais c’est ce type de phrases qui me vient régulièrement en tête dans ces situations.) J’ai très envie de la sentir jouir, et de lui envoyer la plus violente éjaculation possible dans la bouche en même temps. Je l’imagine les yeux fermés, les narines dilatées cherchant de l’air, les sourcils froncés par le plaisir et sa besogne (je l’ai déjà vue ainsi dans des miroirs ou dans des films faits maison, je sais donc de quoi elle a l’air pendant, même si je ne peux la voir de mes yeux).Son orgasme approche, j’accélère donc encore et m’efforce de tenir la cadence. Ses fesses se font plus lourdes car elle plaque davantage son sexe sur ma bouche. Elle gémit, bouge un peu. Ma mâchoire fatigue par cet effort mais je veux tenir bon jusqu’à sa jouissance. Mon esprit se concentre sur ça, même si ma… continue de bien bander et d’avoir du plaisir. Mais je sais maintenant qu’elle a un peu d’avance sur moi et jouira avant.Ça y est, elle jouit, elle se contracte et pousse des cris aigus étouffés par ma queue. « Allez, jouis… ! » Son trou du cul se contracte sur mon doigt, au rythme des pics de jouissance, ce que je trouve extrêmement excitant et drôle. Puis son plaisir s’apaise, le calme revient à peu près. Je cesse de la lécher car son sexe devient trop sensible. J’enlève doucement mon doigt de son cul (ça lui fait un peu mal) et retire ma bouche de sa chatte.Elle reprend doucement sa respiration puis, gardant cette position, reprend sa fellation. Elle recommence à pomper et cette fois je ne me concentre que sur mon plaisir. Ses lèvres s’activent sur ma tige, sa langue titille mon gland. Sa main monte et descend, caresse me couilles et ma queue. En continuant d’observer ses fesses offertes, sa vulve rouge et son petit trou dilaté, ainsi que le haut de sa tête qui s’active avec sérieux, cherchant à faire jaillir mon sperme, je me concentre aussi dans ce but.Le plaisir arrive enfin et je me lâche dans un râle. Sa bouche ralentit le va-et-vient, inondée par mes giclées, mais ma douce laisse ses lèvres serrées pour ne pas laisser couler, comme je lui ai appris à le faire. Je crie, gémis, puis le plaisir s’atténue, comme les mouvements de sa bouche. Elle reste un instant immobile sur ma queue, la bouche pleine de liquide, puis elle s’écarte. Je sais ce qu’elle va faire : s’ôter du lit et partir discrètement recracher ma liqueur dans le lavabo de la salle de bain. Cela ne me dérange pas, avec le temps j’ai pris le parti de m’en exciter et m’en amuser, l’important étant d’au moins jouir dans sa bouche. Mais ce sujet mériterait d’autres histoires.