Assise sur le bureau de travail, Suzie me sourit d’un air très espiègle et tout son corps dĂ©gage une image très sensuelle. Mon regard est attirĂ© vers la blancheur de ses cuisses. D’un geste d’une main, Suzie me fait signe de m’approcher tout près d’elle, en pointant un doigt vers elle pour m’attirer encore plus près. Suzie met un doigt sur ses lèvres et me dit tout bas:Tut!, tut!. Sois sage.Ses mains descendent Ă la hauteur de sa poitrine et elles dĂ©tachent un bouton de sa blouse qu’elles ouvrent pour me dĂ©voiler ses seins nus. J’en reste bouche bĂ©e.Ă€ ma grande joie, Suzie avait imaginĂ© ce scĂ©nario. Elle avait enlevĂ© sa brassière et dĂ©fait tous les boutons de sa blouse, sauf un. J’en suis fou de joie. Suzie m’en met plein les yeux.Ses seins sont volumineux et bien fermes. Suzie continue de s’exhiber en se faisant bouger le haut du corps dans des gestes très Ă©rotiques. Sa main palpe son sein droit. Suzie le caresse dĂ©licatement du bout des doigts en jouant avec son mamelon qui durcit et s’allonge rapidement.J’en ai l’eau Ă la bouche et la dĂ©vore des yeux. Sa peau est plus claire que je croyais, elle est très pulpeuse. Ses mamelons sont la grosseur d’un gros raisin et ils ornent deux larges aurĂ©oles d’un brun très foncĂ©. C’est très affriolant. La femme rĂ©pète le mĂŞme manège avec le sein gauche.Suzie place ses mains derrière ma tĂŞte et elle m’attire sur sa poitrine. La femme me serre contre ses seins moelleux.Je lui palpe les seins de mes deux mains. Mes lèvres happent un mamelon. La petite bĂŞte me durcit dans la bouche.Faut se calmer!Suzie s’Ă©loigne de moi. Elle ramasse sa brassière qui traĂ®nait sur le bureau de travail.Surveilles, s’il n’y a personne en vue,qu’elle me dit. Suzie enlève complètement sa blouse. Elle se tourne pour faire un tour complet sur elle-mĂŞme et pour me gâter encore plus, elle se penche et bouge les Ă©paules en faisant sautiller ses seins. Je ne manque rien du spectacle qui dure quelques secondes. Suzie remet lentement sa brassière et elle reboutonne sa blouse convenablement.Faut se calmer!Mais je vois la flamme dans ses yeux. Elle rajoute:Nous avons dĂ©jĂ fait pas mal de folies. Il peut monter quelqu’un ici en tout temps.Je lui rĂ©plique:Ça va rendre le jeu encore plus excitant.Après un court silence, elle me dit:Il va falloir ĂŞtre très silencieux.Je me hâte de glisser ma main sous sa jupe. Une autre surprise m’attend. Ma main touche son sexe nu, sans sa petite culotte. AussitĂ´t, ma main la masturbe. Sous mes caresses, la femme s’ouvre encore plus et elle se frotte contre moi. Suzie me dit tout bas:Continues, si tu savais comme c’est bon.Tout ce temps-lĂ , elle a les yeux mi-clos. Sa langue se promène sur ses lèvres en suivant le rythme de mes doigts sur son sexe.Surtout!, m’arrĂŞtes pas, qu’elle me dit. Son pouce est entre ses lèvres et il me semble qu’il les caresse comme dans des mouvements d’une lente masturbation. Suzie place une main sur mes Ă©paules. La femme s’appuie sur moi de tout son poids. Sa main descend lentement sur ma poitrine, cette main frotte mon ventre. Lorsqu’elle touche le bas de mon ventre, je bande au maximum.La main de la femme frĂ´le mon pĂ©nis au travers de mes jeans, elle le parcourt sur toute sa longeur et lorsqu’elle la passe sur mes testicules, je ne peux m’empĂŞcher de siffler.Suzie se penche, elle dĂ©tache la ceinture de mon pantalon et fait glisser la fermeture Ă©clair. La femme rĂ©lĂŞve la tĂŞte vers moi en me faisant un grand sourire, sa langue circule impudiquement sur ses lèvres. L’instant d’après, la femme plonge sur mon sexe en plein Ă©rection. Sa bouche parcourt ma verge sur toute sa longeur et elle s’attarde sur le bout de mon pĂ©nis qui veut Ă©clater de plaisir. J’en suis tout troublĂ© et respire en haletant. Le temps c’est comme arrĂŞtĂ© .Elle me demande:Aimes-tu, cĂ !, je gronde en signe de rĂ©ponse.La femme interrompt le plaisir pour me dire:Je te veux.De ses deux mains, la femme tient ma verge et la chatouille de sa langue. Je suis bandĂ© Ă l’extrĂŞme. La femme frĂ´le mon pĂ©nis sur ses joues, son nez, son menton. Tout cela me semble durer une Ă©ternitĂ©. La femme ouvre la bouche et elle passe l’extrĂ©mitĂ© de mon sexe sur ses lèvres, en m’agaçant du bout de sa langue.Je n’en peux plus du doux supplice. La femme laisse couler ma semence sur ses lèvres et sur son menton pendant que ses doigts pressent mes testicules. J’en râle.La femme a les yeux Ă demi-fermĂ©s, elle ronronne comme une chatte. Je lui prends le visage de mes deux mains, et , je l’aide Ă se relever. Après un baiser fougueux, la femme ronronne de fĂ©minitĂ© en s’accrochant Ă moi. Elle me dit en me regardant dans les yeux:J’ai envie de toi.Je lui souris et lui dis:Moi aussi.Sa main masse mon pĂ©nis qui est rendu tout mou. La femme se penche sur lui, le reprend dans sa bouche, elle me liche.Sous la chaleur de son souffle, je sens ma verge qui commence Ă revivre. Suzie retrousse sa jupe. Elle me fait signe de m’Ă©tendre sur le dos, elle caresse mes testicules de ses deux mains et lorsque je bande Ă nouveau, la femme descend lentement sur mon membre. De ses deux mains, elle guide mon pĂ©nis, tout d’abord en le frottant sur sa touffe de poils et très doucement la femme l’approche de sa fente. Losqu’elle tente de l’introduire en elle, je ne suis pas assez rigide. Je la sens impatiente, mais malgrĂ© qu’elle me veut tout de suite, je sais qu’il me faut attendre encore. Pour comblĂ©r sa fougue, je place mes mains sous ses fesses et l’attire au-dessus de mon visage. La femme comprend l’enjeu et me dit:T’es fou, t’es fou.Je ne lui laisse pas le temps de rouspĂ©ter. Pendant une fraction de seconde, je lui entrevois le sexe. J’y plonge comme un affamĂ© et la goĂ»te. Mes lèvres parcourent ses lĂŞvres bien ouvertes, pendant que ma langue dĂ©couvre son clitoris qu’il dĂ©guste. La femme s’ouvre au maximum, se caresse Ă mon Ă©treinte.Ma langue plonge en son tunnel et tel un pĂ©nis, elle la darde en profondeur. Je me frotte tout le visage Ă son sexe. Je suis fou de son goĂ»t de femme. Suzie participe beaucoup, elle bouge comme une dĂ©mone, elle aussi. J’entends son cri:Je viens!, je viens!Je me rĂ©gale Ă sa saveur juteuse et j’entends son fou dĂ©lire. Après ces dĂ©licieux moments, je la soulève, la guide au-dessus de mon pĂ©nis. Cette fois, je suis dur comme une bar de fer. La femme se laisse descendre sur ma verge et elle me chevauche aussitĂ´t.J’entre en elle, c’est très chaud. Notre rythme est très lent. J’avance un petit peu Ă l’intĂ©rieur de son tunnel, pour me retirer presqu’aussitĂ´t. Je la pĂ©nĂŞtre encore plus profondĂ©ment et me retire Ă nouveau.Nous sommes tellement mouillĂ©s tous les deux que le bruit de suction de nos deux sexes l’un dans l’autre, me fait bander de nouveau Ă en vouloir exploser. La femme ne cesse de m’encourager en rĂ©pĂ©tant:C’est bon!, c’est bon!Suzie part Ă l’Ă©pouvante, elle me travaille de toute son Ă©nergie en se frottant toujours plus intensĂ©ment comme mes testicules. Je parcours son tunnel de rĂŞve en explorant ses parois qui s’accouplent intimement Ă mon sexe. J’arrĂŞte au dĂ©but de ses lèvres et entre Ă nouveau rapidement en elle. La femme bouge comme un dĂ©mon, elle aussi, si bien que je dois lui dire:Attention!, je suis prĂŞt Ă dĂ©charger.Au lieu de m’Ă©loigner, la femme m’empoigne par les hanches. La femme accentue la vitesse, elle se masturbe sur ma verge en me griffant le dos. La femme s’ouverte au maximum. Je viens en explosant en elle pendant qu’elle me chuchote:Je te veux!, je te veux!La femme se colle contre mon corps, elle s’agite encore quelques secondes sur mon membre et lentement, elle se laisse tomber sur mon corps de toute sa pesanteur. Nous sommes en sueur tout les deux. Nous nous reposons quelques instants pour reprendre notre respiration. La femme demeure inerte sur moi pendant une couple de minutes, je la fais s’Ă©tendre sur le dos et je repose ma tĂŞte sur son ventre.Doucement, je m’infiltre Ă l’intĂ©rieur de ses cuisses. Je ne peux rĂ©sister Ă la tentation. Je vis un vieux phantasme. Tous mes sens sont en Ă©veille. Ils se saoulent Ă son odeur, ils la regardent, la reniflent, la palpent, la respirent, la goĂ»tent.J’entends la femme ronnonner, ce qui me rend encore plus fou. Je m’enhardis de toutes les audaces.Lorsque nous nous sommes relevĂ©s, nous avons pris le temps d’ajuster nos vĂŞtements en nous souriant d’un regard complice.Tu es pas si pire pour un bonhomme de quarante-neuf ans. Puis, moi, comment tu me trouves,qu’elle s’empresse de rajouter. Je la regarde droit dans les yeux. Je fais exprès pour la faire languir et après un instant de rĂ©flection, je lui rĂ©plique:Si je fais une Ă©valuation comme dans les sports olympiques. Je te donnerais une note de neuf sur dix pour ta participation Un autre neuf sur dix pour ton enthousiasme et pour ton initiative.Maintenant, pour les notes techniques: Pour m’avoir caresser, ça vaut un autre neuf sur dix, et, pour me laisser te caresser, je te donne un gros dix plus.Bon, maintenant, pour la note finale, je te donne un score parfait.Tu sais Suzie, nous deux, c’est peut-ĂŞtre juste une aventure d’un jour. Mais, au dĂ©but de l’après-midi, tu m’as demandĂ©e ce qu’il y a dans ma petite cervelle. Je te garantis que dans un coin de ma mĂ©moire, il y a un tiroir oĂą c’est Ă©crit: Suzie.Jusqu’Ă aujourd’hui, c’Ă©tait marquĂ©: une maudite belle plotte. Ă€ partir de maintenant, ça va ĂŞtre marquer: bonne botte.Suzie me saute au cou et elle me donne un baiser fougueux. C’est une longue tendresse. Nous avons juste le temps d’ĂŞtre habiller convenablement, lorsque nous entendons des pas dans les marches d’escalier. C’est Robert, le copain de Suzie qui est plus Ă bonne heure que prĂ©vue. Il vient la chercher pour la fin de semaine.Il nous dit:Vous travaillez fort pour un vendredi après-midi.Suzie lui rĂ©pond:Nous avions l`inventaire Ă terminer. J’ai dĂ» travailler fort, mais j’ai bien aimĂ© cela travailler en sa compagnie.Elle ajoute:J’ai mĂŞme appris quelques nouveaux trucs.Elle termine en me faisant un beau clin d’oeil.Son copain nous dit:J’ai bien vu cela que vous avez travaillĂ© forts. J’ai dĂ» parler une bonne vingtaine de minutes avec Linda, avant de monter voir ce que vous foutez de bon.Elle m’a dit que vous en avez ri un coup cet après-midi.Ouf!, une chance qu’il est placoteux, parce que sans cela, c’est le cas de le dire, nous nous serions fait prendre les culottes baissĂ©s.Ils me disent:Bye!, bye!Ils me quittent et s’en vont tous les deux, la main dans la main. Suzie se retourne avant de descendre les marches d’escalier. Elle me fait un clin d’oeil, en se passant la langue sur le coin des lèvres. Je vois son sourire moqueur. Avec ses lèvres elle me fait:Bonne botte.