En voiture
Deux heures du matin, Florence et moi dans une voiture, que pourrait-il bien arriver d’autre ?
Proposée le 29/07/2015 par Korn Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHLieu: Autres lieux publicsType: Histoire vraie
Cela faisait bientĂ´t un an que j’avais entamĂ© ma relation adultère avec Florence lorsque cette aventure nous arriva. Nous Ă©tions sortis le soir pour aller Ă une partie de jeu de rĂ´les chez un pote Ă nous et, comme elle n’avait pas de voiture, c’est moi qui me chargeais de la ramener chez elle. En plein hiver, elle avait optĂ© pour une longue jupe et des collants, avec un pull Ă col roulĂ© et un long manteau fourrĂ© qu’elle avait retirĂ© dans la voiture pour ne pas mourir de chaud. Chemin faisant, nous Ă©voquions essentiellement la partie, les dĂ©veloppements de l’intrigue, l’Ă©volution de nos personnages respectifs. Et, arrĂŞtĂ©s Ă un feu rouge, elle me fourra quelque chose dans la main, un chiffon roulĂ© en boule que je m’empressais de dĂ©faire, perplexe, sous son regard amusĂ©.Son string, en dentelle rouge, encore lĂ©gèrement humide. Typique de ma Florence, qui adorait jouer avec mes envies et savait s’y prendre divinement. Je le lui rendis avec un sourire entendu.« T’as enlevĂ© ça quand ? Demandai-je.- Sur l’autoroute, t’Ă©tais trop concentrĂ© sur la route pour t’en apercevoir.- C’est pas possible, rĂ©torquai-je, tu peux pas avoir enlevĂ© tes collants sans que j’aie vu. »Pour toute rĂ©ponse, elle remonta sa jupe jusqu’aux hanches. En guise de collants, elle portait des bas avec un joli liserĂ© de dentelle et j’avais une vue imprenable, quoique tamisĂ©e, sur son sexe intĂ©gralement rasĂ©. « Ok, t’as gagnĂ©, soupirai-je.Comme d’habitude, commenta-t-elle. C’est vert au fait. »J’accĂ©lĂ©rai et continuai la route, tout en lui jetant rĂ©gulièrement des coups d’œil furtifs. Sa main s’Ă©tait glissĂ©e entre ses cuisses et ses doigts jouaient dĂ©licatement avec un clitoris de plus en plus gonflĂ© par l’excitation. A chaque feu, je prenais le relais, tandis qu’elle accompagnait cette masturbation en se doigtant frĂ©nĂ©tiquement de la main gauche. Nous Ă©tions encore loin d’ĂŞtre arrivĂ©s lorsqu’elle jouit bruyamment en serrant les cuisses assez fort pour bloquer mon majeur qui s’agitait sur son bouton et lâchait un cri qui couvrit les vocifĂ©rations du chanteur de mĂ©tal qui crachait dans les baffles. Dix minutes après ce violent orgasme, je me garai au pied de son immeuble. A deux heures du matin, les seules lumières provenaient des lampadaires Ă©parpillĂ©s ici et lĂ et Ă l’Ă©cart desquels se trouvait l’unique place que j’avais pu trouver. « Tu montes ? Me demanda-t-elle. »Je savais exactement ce qu’elle avait en tĂŞte et mon Ă©rection toujours vivace tĂ©moignait de mon envie d’accepter son invitation. Mais je savais aussi que cĂ©der signifier baiser, fumer une dernière clope, discuter et finalement partir Ă quatre heures du matin, sinon pis.« J’ai cours demain Flo, je peux pas. C’est pas que j’ai pas envie, mais ça serait vraiment pas raisonnable. »Elle fit la moue et remonta une fois de plus sa jupe.« On baise dans la voiture alors ? Proposa-t-elle. »Je fis un rapide tour d’horizon. Le plus proche lampadaire Ă©tait Ă quelques mètres, toutes les lumières de l’immeuble Ă©teintes, il y avait bien peu de risques que l’on puisse nous voir Ă travers les vitres teintĂ©es.Certes, l’acte promettait d’ĂŞtre des plus inconfortables, mais n’en serait-il pas que plus excitant ? Florence rĂ©pondit Ă cette question en ouvrant mon jean pour en sortir mon sexe dĂ©jĂ gonflĂ© et prĂŞt Ă l’action. Elle se pencha immĂ©diatement dessus et ouvrit toute grand la bouche.En un an, ses fellations Ă©taient passĂ©es de quelque chose de très manuel (comme je vous le dĂ©crivais dans mon premier rĂ©cit) Ă autre chose de plus… profond. Elle n’hĂ©sitait plus Ă engloutir mon membre, qu’elle masturbait au rythme des allers-retours de ses lèvres. Et, comble du dĂ©lice, sa langue entreprenait une dĂ©licieuse valse autour de mon gland tandis que je caressais dĂ©licatement ses longs cheveux auburn. Après quelques minutes de ce traitement, elle finit par abandonner ses caresses buccales, se redressa pour m’embrasser Ă pleine bouche et profita de ce long et langoureux baiser pour me chevaucher, malgrĂ© le volant qui venait appuyer sur ses reins et ne facilitait pas la manĹ“uvre. Tenant toujours mon membre, elle se laissa doucement descendre, ses lèvres trempĂ©es par le rĂ©cent orgasme s’Ă©cartant facilement pour me faire une place en elle. Assise sur moi, sa bouche rivĂ©e Ă la mienne, nos langues mĂ©langĂ©es, ce fut elle qui imprima une cadence rapide malgrĂ© l’inconfort de la position. Ses hanches ondulaient et elle gĂ©missait chaque fois que mon gland heurtait le fond de sa chatte, lâchait parfois mes lèvres pour laisser Ă©chapper un petit cri couvert par les hurlements stridents de la guitare Ă©lectrique et le rythme infernal de la batterie qui s’Ă©chappaient des hauts-parleurs. J’en profitais pour malaxer ses fesses Ă travers la jupe et accompagnait ses mouvements de coups de reins qui achevaient de lui faire perdre pied. Elle accĂ©lĂ©ra encore, je sentais son vagin se contracter autour de mon sexe agitĂ© de soubresauts Ă l’approche de l’orgasme. Une ultime ondulation et le point de non-retour fut passĂ©. Je me retirai prĂ©cipitamment et calait ma bite dans la raie de ses fesses pour y jouir abondamment. Je pouvais sentir mon membre tressauter Ă chaque jet de sperme expulsĂ© sur son cul et Ă la façon qu’elle eut de s’affaler sur moi, je compris que la jouissance avait Ă©tĂ© partagĂ©e. Après quelques courts baisers, elle reprit son string, enfila son manteau et, avec un ultime partage de salive, sortit dans le froid. Je suivis sa silhouette du regard et, arrivĂ©e près d’un lampadaire, elle releva manteau et jupe sur ses fesses.MĂŞme Ă quatre mètres, je pouvais les voir luire de ma semence, Ă©talĂ©e par le tissu.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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