13 2Histoire de sexe : Enfonce ta bite dans ma bouche,dans mon con et dans mon cul Corrigé et résumé par Dialogue69 le 15/01/2022Publié le 15/01/2022
Je rencontrais dĂ©sormais Anna tous les jours et tous les jours nous passions des heures Ă parler « cul ». Elle Ă©tait devenue une belle salope. J’Ă©tais toujours une bite enfoncĂ©e dans une bouche, dans un con, ou dans un cul. Pendant que ma pine se reposait, les deux salopes se divertissaient Ă comparer chaque centimètre de leur très beau corps, ce qui me faisait bander terriblement. Au cours d’un de ces moments de repos, Laura prit Anna par la nuque et la poussa contre mes fesses. »Tu n’as jamais vu un homme jouir ?  » « Ne me dis pas que… » « Non ne t’inquiète pas, ce n’est pas comme tu penses. Mais ils n’aiment pas qu’on leur fourre le doigt dans le cul ». Je peux vraiment mettre mon doigt dans ton cul ! » Oui, chĂ©rie, mais toi tu es la seule Ă aimer sentir quelque chose dans ton cul ». Anna commença Ă me lĂ©cher derrière les cuisses et Ă dĂ©poser de la salive, puis en Ă©cartant bien mes fesses , elle enfila la pointe de la langue dans mon cul.  » Tu es très gentille, chĂ©rie, c’est très bon ». Laura par contre s’est emparĂ©e de ma bite presque dure, suçait et lĂ©cha le gland avec beaucoup de professionnalisme. « Bravo petite, continue, et je t’Ă©largie la bouche. »Anna enfila son index dans le petit trou de mon cul et commença Ă le faire tournoyer. »Tu aimes? « . Je ne dis rien. « Oui, mon amour fais le plus fort, du courage tu ne me fais pas mal. » Elle introduit aussi le majeur et je commençais Ă jouir. Je me reposais. « Je voudrais mettre l’autre si tu veux » « Tout ce que tu veux mon amour. » Je pris le vibrateur qui Ă©tait maintenant une partie intĂ©grante du lit et je l’introduis dans son cul d’un coup. » Je te fais mal ? » « Oui, mais continue comme ça, tu es très douce et après je voudrais ton cul ». Elle serra le vibrateur et l’entra toujours plus vite. J’avais le trou du cul si dilatĂ© que je ne le sentais presque plus. Je jouis avec mon cul, je ne pensais pas que ça fusse possible, malgrĂ© toutes les fois que je faisais jouir une femme analement. Ma bite Ă©tait très dure et j’Ă©tais entrain d’investir la gorge de Laura, mais elle se mit en position de levrette sous moi. » Mets lui dans la chatte, mon amour, fais moi jouir. Je l’empalais, et Anna prit la bite de mon cul, me donna quelques coups de langue et s’Ă©loigna du lit. Je continuais Ă baiser Laura et quand Anna se retourna, elle sentit quelque chose de froid sur mon cul. Je ne pouvais pas voir ce que c’Ă©tait, mais c’Ă©tait lisse et froid. Je commençais Ă passer derrière ses cuisses, je pointais ma pine sur le trou (qui n »était plus un trou) et je l’enfonçais Ă l’intĂ©rieur. » Ah! « Je veux te dĂ©puceler vraiment chĂ©rie, j’introduis tout dedans, je faisais une bonne action , mais je ne lui dis pas d’arrĂŞter encore, je l’incitais Ă me pĂ©nĂ©trer avec davantage de force.  » Je suis ta putain, casse moi le cul. » Anna Ă©tait si excitĂ©e que j’enfilais tout le vibrateur dans son con, je serrais les jambes et hurlais de plaisir. Je m’habituais Ă ce gros calibre plantĂ© dans le cul et je jouissais Ă chaque poussĂ©e. Laura aussi jouissait comme une nymphomane . Chaque coup dans mon cul se rĂ©percutait dans son con. « Je t’ai fait jouir aussi ma belle petite putain, disais-je Ă Anna. Je hurlais : »La bite Ă©tait prĂŞte et je dĂ©chargeais dans le con de ma belle salope. Anna s’arracha de Laura et retira le vibrateur de la chatte « Finissez de dĂ©charger en moi. » Je le mis dans ma chatte et…Je libĂ©rais mon cul, j »avais joui avec une bite deux fois plus longue et deux fois plus grosse que ma bite. Je la fis mettre en position de levrette et après l’avoir fait lĂ©cher la bite pour la rendre dure, je les enculais alternant les coups dans leur cul jusqu’Ă dĂ©charger mon foutre dans leurs deux exquis trous d’amour.Le jour suivant, je devais partir pour aller Ă mon travail, pendant que Laura restait quelques jours encore en compagnie d’Anna. Nous Ă©tions tous les soirs au tĂ©lĂ©phone.
Un soir, je suis allĂ©e voir une amie qui avait une maison au bord de la mer. Son mari devait ĂŞtre lĂ aussi, mais quand je suis arrivĂ©, je n’ai rencontrĂ© que Sara. Elle me dit qu’il s’Ă©tait absentĂ©e Ă cause d’une intervention urgente, il Ă©tait chirurgien. »Bien Sara ,alors nous allons prendre un verre et nous nous verrons une autre fois. » « Non reste, nous ne resterons pas Ă la maison, je me sens plus en sĂ©curitĂ© lorsque quelqu »un me rend visite. Je restais pour le dĂ®ner. Sara n »était pas un canon, et elle avait environ 50 ans. Je me suis assis sur le canapĂ© pendant qu’elle prĂ©parait le repas. Je la regardais aller et venir dans la maison. Il faisait chaud et elle portait une robe lĂ©gère et longue couvrant ses genoux jusqu »aux cuisses. Ses jambes n’Ă©taient pas si mal pensais-je et et ses nichons Ă©taient encore fermes et pointus. Tout compte faits, elle n’est pas si mal pensais-je, mais l’idĂ©e de la baiser Ă©tait Ă des annĂ©es lumière de mes pensĂ©es, peut-ĂŞtre parce que je la connaissais depuis trop longtemps. Pendant que j’Ă©tais assis sur le divan, le tĂ©lĂ©phone sonna. C’Ă©tait Laura qui m’appelait. » Tu te rappelles de cette salope ? Aujourd’hui ils sont Ă deux. Bien sur que je m’en rappelle, je la sens encore ». « En ce moment elle est dans mon cul. » « Et l’autre demandais-je malicieusement. » L’autre se penche d’avant en arrière pour rentrer dans l’intestin de Anne ». Tu vois comme elle jouit. » Entre temps Sara avait fini et je me suis assis Ă cĂ´tĂ© d’elle. Elle versa un verre de cognac dans mon verre. J’Ă©tais excitĂ© et instinctivement, j’ai posĂ© la main sur ma bite et je l’ai retirĂ©e aussitĂ´t, mais c’Ă©tait suffisant pour que Sara s’en aperçoive. Je me hâtais de terminer la conversation, et Sara fixant la braguette de mon pantalon me dit : « Tu as peut-ĂŞtre un problème avec ce que tu as lĂ dedans ?  » « Non rĂ©pondis-je. Tu sais le nombre de problèmes que je voudrais rĂ©soudre, mais Luigi… » Elle ne finit pas la phrase que ses mains Ă©taient sur ma braguette. A ce point il la laissa faire, si elle me fait un pompier, je serais plus tranquille et je pourrais aller plus loin. La bite sortit du pantalon et sa bouche Ă©tait dĂ©jĂ sur le gland gonflĂ©. Qu »elle grosse bite ! C »est un pĂ©chĂ© de la faire souffrir . Elle commença Ă la pomper et c’Ă©tait merveilleux. « Pourquoi Luigi ne te baise pas ? » Le pauvre ce n’est pas qu’il ne me baise pas, mais il est stressĂ© Ă mourir et un peu.. » « un peu, comment ? » Un an , tu comprends. « Je comprends, je comprends, je la pris par la nuque et poussa sa tĂŞte sur ma bite.. Maintenant je l’offre ma pine, tu as dĂ©jĂ goutĂ© au foutre ?  » . » Oui , c’est que…non pas comme ça « . Alors je vais te nourrir de foutre! Je me levais et je commençais Ă baiser sa bouche. « Suce encore, et pompe moi « Je suis l’oiseau du bonheur et après je te remplis la gorge de foutre . » « Avale tout. Elle avala sans en faire tomber une goutte, puis elle ouvrit la bouche pour que je vĂ©rifie qu »elle avait bien tout englouti. » Maintenant fais moi voir ce qu’il y a dans ta petite culotte. » Je lui enlevais sa robe pour dĂ©couvrir aussi ses nichons et je commençais Ă les sucer. Elle gĂ©mit comme une chienne.  » Fait moi sentir comme tu es mouillĂ©e. » Il baissa sa culotte et la caressa, tu es mouillĂ©e Ă en mourir. » Recommence Ă sucer, lui ordonna-t’il et il lui enfila deux doigts dans son con. « Elle est bien serrĂ©e ta chatte comme celle d »une fillette, mais tu n’as jamais baisĂ© ? » « Seulement avec mon mari, mais avec toi je suis folle de le faire. Mon Dieu, comme c »est bon ! »C’est bon de jouir.  » Maintenant je vais te faire voir comment je vais baiser une vache comme toi”. Je me plaçais entre ses cuisses et je commençais Ă lui lĂ©cher le clitoris qui tout de suite durcit. Elle respira et elle jouit. Je lĂ©chais bien sa chatte et je rĂ©coltais sa mouille blanchâtre qui sortait et qui Ă©tait visqueuse. « J’aime, j’aime rĂ©pĂ©tait-telle continuellement. »Tu aimes ? Maintenant la chose la plus importante arriva! » Je poussais le gland sur sa chatte et je commençais Ă m »enfoncer lentement dans ce trou.
« Tu es serrĂ©e. Maintenant je vais t’Ă©largir…. ».
« Oui, Ă©largis moi. Fais moi jouir » « J’entre dans toi, jusqu’Ă ton utĂ©rus ».
« Tu aimes salope ? « . »Tu es un monstre. Quelle belle bite, Viens. L’orgasme la fit vibrer. Je retirais ma bite de son con et je lui fourrais dans la bouche. »Suce encore vieille truie insatiable ! « Suce moi cochonne, je monte sur toi comme si tu Ă©tais une vache! » Je la tournais de 90 degrĂ©s et la barattais littĂ©ralement dans son con. Je t »élargis salope, tu as compris comment on baise une salope?  » « Oui, dĂ©chire moi, monte moi, Pendant que je la baisais je dĂ©chargeais sur son cul et je commençais Ă la pĂ©nĂ©trer avec un doigt. »Je ne te demande pas si tu as dĂ©jĂ reçu un doigt dans ton con et dans ton cul! » « Encore mieux, je voudrais te dire qu’il est tant de te dĂ©foncer? Qu’en penses tu ? »Non je t’en prie, ne t’inquiète pas, ma bite est dans ton con, je continue Ă te dĂ©foncer, et quand je m’apercevrai que tu es un peu plus dĂ©tendue, et que tu as de nouveau eu un orgasme, j’enfoncerai ma bite dans ton cul et je t’enculerai sauvagement ». « Oh! non je t’avais dit que je ne voulais pas ta bite dans mon cul », mais maintenant ta bite est au fond de mon cul, je t’ai dĂ©foncĂ© le cul, salope. » « Il a suffit de quelques coups pour te faire changer d’idĂ©e et tu m’as suppliĂ© de t’enculer plus vite et plus fort. » « Oh! oui, je ne pensais pas que c’Ă©tait aussi bon. Encule moi encore, j’aime quand tu m »encules. » J’Ă©tais sur le point de dĂ©charger et j’aspergeais son visage. Je suis parti et j’ai dit « mes amitiĂ©s Ă Luigi ». Je la revis encore quelques fois et je commençais toujours par l’enculer. Puis j’ai revu Laura et je n’ai jamais plus revu Sara. Merci d’avoir votĂ©. n’oublie pas de laisser un petit commentaire Ă marsoux.