Histoire coquine : »Je m’appelle Nicky. Un bon petit prénom des pays de l’est, ou le cliché américain, au choix. Pourtant j’ai plutôt le teint Méditerranéen, et l’accent à l’italienne. Celui qui fait craquer les garçons. Les jeunes comme les moins jeunes d’ailleurs. Je me suis mariée il y a peu plus pour faire taire les rumeurs que par conviction. Mon job de secrétaire porte en lui ses indétrônable fantasmes masculins. Que peut on dire d’une femme mariée sans attirer les foudres de son mari ? Alors je profite de cette condition et d’un mari absent, bien qu’aimant. Il lui manque, dans nos étreintes amoureuses, cette fougue qui transcende les corps. Et malgré son jeune âge, le stress et la fatigue l’empêchent de me satisfaire. J’ai longtemps attendu qu’il s’endorme pour laisser mes doigts reprendre le contrôle de mon corps. L’excitation qu’il se réveille par un de mes gémissements étouffés dans l’oreiller, ou le besoin d’être satisfaite, tout simplement, je ne sais pas. Lors d’une soirée autour d’un verre entre amis, la solitude de voir des couples rentrer plus tôt pour je ne sais quoi, d’autre couples se former, certains se laisser aller en publique je me suis confiée à mon meilleur ami. Je lui ai avoué que je me sentais délaissée, insatisfaite. Il m’a alors ouvert les yeux.
« -Nicky, tu as 28 ans et tu veux te résoudre à ne plus t’amuser ?
-c’est pas l’envie qui m’en manque, mais je ne sais pas être infidèle
-crois en mon expérience, un peu d’ivresse et le bon calibre et tu ne sentiras rien arriver ! Je te connais toi et tes fantasmes, déjà au lycée tu me projetais tes nuits interminables à l’hôtel, ou dans les toilettes du bureau avec un collègue, ou est passée la Nicky aventurière ? »
Ces mots ont longtemps raisonné dans mon esprit avant de trouver un écho. Cette fameuse nuit où je lâche enfin les rennes. Ou toute ma féminité étouffée refait surface au plus grand plaisir d’un homme.Il est 19h, plus personne dans l’open Space. Tout le monde a quitté le travail depuis au moins une heure. Je suis revenue pour une babiole : un châle oublié. J’y tiens particulièrement et je voulais avoir toutes les chances de le retrouver en retournant au travail dans la soirée.
J’arrive devant mon bureau et je ne l’y trouve pas. Je me pose alors 2 minutes en refaisant mon trajet de la journée. J’étais certaine de l’avoir en sortant du réfectoire. Mais oui! Je me souviens alors laissé dans le bureau de Philipe dans l’après midi lors de notre entretien. Je m’y rends sans grande conviction de pouvoir mettre la main dessus pour ce soir, persuadée que la porte du bureau sera fermée. Et pourtant, j’attrape mollement la poignée et elle laisse la porte s’entrouvrir. Mon châle a été déposé sur le porte manteau. Je l’attrape et le sens par habitude, comme pour me persuader que l’odeur de mon parfum est inépuisable. C’est alors que j’y sens une odeur étrangère, inhabituelle. Quelque chose que je ne saurais expliquer. Je conclus qu’il a dû rester sous un manteau toute l’après-midi qui lui a imprégné l’odeur de son propriétaire. Qu’importe, je m’apprête à ressortir, quand une idée me vient. L’occasion était rêvée pour jeter un coup d’œil dans les tiroirs du bureau, juste par curiosité. L’inconnu et l’interdit sont toujours autant excitant à cet âge. J’ouvre le premier tiroir, rien d’extraordinaire: des tonnes de paperasses, une agrafeuse, un bloc note.. J’ouvre alors le deuxième tiroir sans grands espoirs. Toujours des papiers. Je feuillette alors la pile et parmi les feuilles blanches, une forme anormale se dessine sur les rebords. Je le tire alors du tiroir et je resté bouche bée devant ce que j’ai dans les mains : une revue pornographique. La situation prend alors une tout autre dimension. La petite visite de curiosité devient affriolante de plus belle. Je décide donc de m’assoir, à l’affût du moindre bruit dans le couloir. Normalement je suis seule, mais visiblement les châles oubliés provoquent des découvertes. Je commence à feuilleter les pages légèrement froissées, sûrement après avoir été trop tournées. Ça me fait penser que je n’ai pas eu de rapports depuis des jours. Et le manque se fait sentir. Je me prends alors à rêver devant ces femmes qui se font désirer, à la poitrine généreuse, à l’intimité dévoilée et nombreuses fois visitée. Lentement, je sens ma main glisser machinalement vers mon entrejambe. Ce ne sera pas long. Juste quelques minutes. Le lieu est tellement excitant, je noie déjà le siège d’excitation, j’ai besoin d’assouvir cette pulsion montante. Mes doigts glissent alors sur mon clito et mes lèvres fort humides. Je n’ai pas besoin de chercher longtemps l’entrée ou mes doigts se font déjà attendre. Je les laisse patienter quelques secondes pour faire encore monter le désir. J’écarte doucement les jambes sous le bureau et de l’autre main je caresse lentement mon téton raide qui est désormais visible à travers mon chemisier blanc. Quelle idée de se masturber dans le bureau d’un collègue devant une de ses revues pornographique ? C’est sur ces pensées que la porte que j’avais laissée entre ouverte laisse entrer Philipe, un café à la main. Toute surprise je tente tout d’abord de cacher ma stupeur et de lui expliquer la situation. Intrigué pour sa part, il avance dans la pièce pour me rejoindre. J’avais rapidement dégagé ma main de sous ma jupe, mais je ne pouvais pas faire disparaître le magazine qui trônait sous mes yeux. Je cherchais désespérément une diversion quand je me surpris à tirer profit de la situation. Mon plaisir solitaire valait bien d’être partagé. Je devais seulement attendre que Paul repère que j’avais fouillé dans ses tiroirs. En espérant qu’il ne se braque pas.
C’est alors que ses yeux se posent sur les photos obscènes qui gisaient sur son bureau. Je le vis se décomposer un instant, avant qu’il me lance :
« -Tu sais que je pourrais te faire virer pour faute grave? Rupture de la confidentialité est un motif suffisant
-Je suis confuse Paul, ce n’est pas du tout ce que tu crois. Je cherchais simplement mon châle
Devant Philipe en colère, j’envisageais sérieusement la fuite et commençais à me lever pour me diriger vers là sortie. Il m’arrêta brusquement :
-tu comptes rentrer chez toi comme ça ? Tu n’as donc pas pris au sérieux mes menaces. Je déteste que l’on fouille dans mes affaires. Encore plus dans mon intimité. »
Je lui faisais désormais face et je mourrais d’envie qu’il m’empêche de partir. La flamme dans ses yeux prenait une autre tournure. Je le vis traverser la pièce en trois enjambées et claquer la porte avec autorité. Je ne savais toujours pas où me mettre devant cette situation ambiguë. Même si je mourrais d’envie de prendre les choses en main dans tous les sens du terme, je percevais d’ici son désir de domination qu’il ne valait mieux pas frustrer. La tension était à son comble dans la pièce quand il voulu prendre place sur le siège que j’avais précédemment occupé. Et il aperçu alors la trace visqueuse que mon intimité avait laissé sur le siège. Je me pris alors à observer la bosse gonflante de son pantalon. Je savais que je ne le laissais pas indifférent. Je sais de toute façon que j’excite tous les hommes. Sentant mon regard brûlant ne pas quitter sa braguette, il prit place sur le fauteuil et dessera son noeud de cravate pour se mettre à l’aise. Les bras sur l’accoudoir il me fit signe de m’approcher, scrutant à son tour chacune de mes formes. J’aimais me sentir observée ainsi, tel un morceau de chaire, de viande fraîche, je voulais être dévorée. Sur le champ. Dans ce bureau, à cette heure tardive. Je voulais être infidèle. Ressentir l’excitation de main étrangère sur mon cul, sur ma poitrine généreuse qui ne désirait qu’être pelotée. Je la voyais déjà jaillir de mon soutien gorge trop étroit, exploser et rebondir à chaque mouvement. J’arrivais à sa hauteur, et machinalement me mis à genoux, et entrepris mon travail de femme, de suceuse. J’entrepris de libérer de ce pantalon ce sexe à l’étroit, et gonflé de désir. Il m’attendait fièrement et frémissant, soumis à ma langue joueuse. J’avais envie de le faire souffrir, de le torturer de plaisir. Je l’attrapai fermement et ma main et ma bouche d’experte s’affairant déjà à faire rugir Philipe. J’entendais des soupirs à chaque venue de ma bouche de son gland jusqu’au fond de ma gorge. J’avais rarement été aussi gourmande, autant savouré. Il glissait déjà ses main vers mes seins qui cognaient contre ses cuisses, et je le repoussai un instant, la frustration décuplant le désir. Il retenta de les saisir et je ralentissais les mouvements de ma main comme pour le punir. J’avais la situation en main.
J’avais envie qu’il me supplie de lui donner mon corps, tandis qu’il gémissait de plus en plus fort. Il attrapa alors mes deux gros seins pour les coller contre son membre plein de salive. Il le faisait désormais glisser entre les deux, remontant mes seins le plus haut possible. J’étais désormais son objet. Dans un élan il se leva et me retourna sur le bureau. La tête dans les papiers, il saisit mes fesses et me pénétra violemment. Il voulait me faire payer le prix de mon indiscrétion. Il voulait se faire plaisir, baiser bestialement. La situation renversée m’excitait tout autant. Je n’étais plus maîtresse mais soumise à ses pulsions de mâle, soumise à son sexe qui me pilonnait le vagin en heurtant violemment mes fesses en claquant. J’aurais aimé voir la scène de l’extérieur, voir son regard flambant, au bord de la jouissance. Je tournais alors la tête afin de voir, il me cria :
« Tourne toi salope ! Et crie plus fort ! »
Alors qu’il empoignait mes cheveux pour plaquer mon visage contre le bureau, je ne me fis pas prier pour lâcher mes gémissement, mes plaintes, mes supplication pour qu’il continue à me défoncer en profondeur, qu’il me claque les fesses. Je me sentais vilaine et dieu que ça m’excitait ! Il me retourna ensuite et les jambes en l’air, il me faisait désormais face. Mes seins se cognaient l’un à l’autre à chaque assaut, et je sentais ses bourses cogner contre mes fesses. Je passais une main pour les caresser, pendant que l’autre jouait avec mon clitoris. C’en était trop pour que je retienne cet orgasme. Je me vis alors projeter la tête en arrière, écarter les jambes au maximum pour le laisser se vider à l’intérieur de moi, sentant le sperme chaud gicler contre les parois. Quelle jouissance extrême de s’abandonner ainsi à un collègue de bureau. Il venait de me baiser violemment sur son bureau. Je me rhabillais ensuite, sans aucune gêne, et je pris un malin plaisir à le croiser dans les couloirs, en me mordillant une lèvre. Je me voyais déjà le rejoindre dans son bureau, en pleine journée cette fois. Peut être un autre jour.. »Partagez ce récit coquin : Tweeter