Equipière modèle.
Note de l’auteur :Ça y est ! Je vous livre en pâture ce premier texte d’une (éventuelle) série appelée « Les passantes ». Forcément imparfait, mais il ne le sera jamais.Critiquez, massacrez, riez, applaudissez ou oubliez-le bien vite.Nous étions au mois de juin, je m’étais offert un stage de voile d’une semaine en Bretagne. Le temps était mitigé, un Breton aurait jugé qu’il faisait beau, mais le léger crachin, et la température frisquette n’incitaient pas à la baignade. Le vent par contre était de la partie et nous nous éclations comme des fous sur nos catamarans. Les amateurs de voile vous le diront, lorsque le vent est là, naviguer sur ces petits bateaux signifie aller vite, glisser sur les vagues mais aussi dessaler, recevoir des coups, avoir froid… bref, un plaisir très masochiste. Nous voguions ainsi en équipage de deux pendant près de six heures par jour. Sur le bateau, mon équipier, était une équipière : Aurélie, la seule fille de notre groupe. Son joli prénom était le seul signe distinctif marquant sa féminité tant notre accoutrement – combinaison, gants, ciré, gilet de sauvetage – gommait toute appartenance à un sexe ou à un autre.Le soir, nous ne faisions pas de vieux os, les journées étaient chargées, et les soirées fraîches. Fourbus, cassés, crevés mais heureux. J’étais l’un des rares à disposer d’une voiture, les autres étant venus en train. Nous profitions des soirées, malgré la fatigue, pour découvrir les environs, Saint-Malo, Cancale… J’amenais quelques courageux pour une petite virée touristique nocturne.*********Aurélie faisait partie de notre petit groupe d’habitués, elle n’était pas très grande (environ 1,60 m), un physique un peu quelconque mais un très joli visage, des cheveux bruns, coupés en carré, et des yeux bleus. Au fur et à mesure de ces escapades, je commençais à la découvrir et à apprécier la jeune femme qu’elle était. L’environnement n’était pas propice à la sensualité, elle était vêtue, comme nous, d’habits chauds et pratiques… pourtant, il se dégageait d’elle une féminité qui ne me laissait pas insensible.L’après-midi, à la fin de la séance, nous nous aidions à nous défaire de nos combinaisons. C’était un spectacle hautement comique que de nous voir nous extraire de nos secondes peaux comme on retire celle d’un lapin. Le 3e jour, alors que j’aidais Aurélie à retirer sa combinaison, le haut du maillot de bain « une pièce » qu’elle portait en dessous s’étira suffisamment pour laisser apparaître un sein. Elle se rajusta rapidement, je fis mine de n’avoir rien vu, mais le délicieux mamelon d’un blanc laiteux ne m’avait pas échappé. Je la trouvais pas mal, ma petite équipière, elle avait des hanches larges et une poitrine appétissante. En regagnant les chambres, je la suivis à distance en m’attardant discrètement sur sa silhouette. Je trouvais sa peau très blanche et ses formes à mon goût. L’après-midi ayant été particulièrement violente, la fatigue et l’impression d’être passé dans une machine à laver m’aidèrent à contenir mon excitation. Une érection eût été difficile à cacher dans mon maillot de bain.Ce soir-là, il y eut moins de volontaires pour la promenade, on se retrouva tous les deux après le repas à discuter tranquillement. Nous nous entendions très bien, et je sentais que je ne lui étais pas indifférent. Cela aurait pu en rester là, car nous n’étions pas venus dans la perspective d’une aventure. Le but du séjour était de me reposer mentalement dans l’action (eh oui, je suis comme çà, entre une jolie fille et un bateau…).Ne voulant pas aller nous coucher tout de suite, il était à peine 20 h, nous allâmes en ville en longeant la plage. Balade tranquille sur les plages désertées jusqu’au vendeur de glace, puis retours. Dans ce cadre bucolique, nous devions passer pour de jeunes amoureux vis-à-vis des quelques promeneurs. À mi-chemin, nous nous assîmes sur le sable pour finir notre glace. Nous étions côte à côte, très proches, trop proches… des sentiments encombrants commençaient à m’envahir. Il y avait un « je ne sais quoi » chez elle qui me séduisait, loin d’être un garçon manqué, elle irradiait une douceur particulière.Elle me regarda intensément. Je lui rendis son regard. Ce fut elle qui prit l’initiative. Elle approcha son visage. Nos lèvres se touchèrent, se soudèrent. Je ne fus pas surpris, le calme se fit autour de nous, le reste du monde disparut, nos langues s’enroulèrent l’une autour de l’autre dans un baiser mémorable. Je caressai ses cuisses, découvris son corps, glissant mes mains sous son pull, caressant ces seins libres sous la laine. Enfin, nos bouches se désunirent, je voulus la coucher sur le dos pour la dévorer toute crue. Elle me repoussa gentiment :— Non, s’il te plaît, me dit-elle en retirant mes mains.— J’ai envie de toi ! lui dis-je en tentant doucement de la renverser.Elle fit non de la tête puis m’embrassa à nouveau.Elle ne pouvait pas s’interrompre, elle avait tout déclenché et je voulais maintenant aller au bout.— On ne va pas s’arrêter là… Je te veux !Elle ne répondit pas, au lieu de ça, sa main se dirigea vers mon entrejambe, elle prit le membre gonflé à travers la toile, et commença à le caresser. Je me détendis, résolu à la laisser faire. Je risquais de ne rien avoir du tout si je me montrais trop entreprenant.Nos bouches s’unirent à nouveau, elle accentua sa caresse, sa main se glissa sous l’élastique de mon pantalon jusqu’à ma verge. Je fis glisser le haut de mon pantalon afin de la dégager. Sa main s’empara de mon membre, et elle se mit à me masturber doucement. Elle ne quittait pas mon sexe des yeux, j’en profitai pour glisser à nouveau ma main sous son pull. Je caressais alternativement ses deux collines délicates. Elle approcha sa tête lentement, en ouvrant légèrement la bouche. Elle prit mon gland entre ses lèvres les refermant sur le haut de ma verge. Sa main continuait à me branler.Je ne savais pas où j’allais avec elle, mais elle m’offrit une superbe pipe à ciel ouvert. Elle me suça le gland comme elle avait sucé sa boule de glace, sa main serrant la base de ma queue. Puis elle m’absorba complètement, jouant avec sa langue. Elle s’y prenait bien, elle variait ses caresses, procédant toujours très lentement. Ses mouvements légers faisaient doucement monter le plaisir… encore un peu de ce traitement et j’allais jouir.— C’est bon ! Continue… ! haletais-je.Elle continua, ces caresses lancinantes me rendaient fou, j’aurais voulu la retourner, la culbuter.— Je vais jouir… !Dans un souffle, je la prévins de ma jouissance imminente, si elle voulait que je la prenne, il fallait qu’elle arrête tout de suite. Au lieu de cela, elle retira sa bouche, releva la tête et accéléra la masturbation. Elle désirait me finir de cette manière, je n’eus pas le temps d’objecter, quelques va-et-vient plus tard j’éjaculai entre ses mains. Mon orgasme fut terrible, mon sexe tendu explosa en longs jets, elle continua quelques instants, ma jouissance éclaboussant mon ventre, sa main, un trait souilla son joli visage. Elle continua tranquillement à me vider et ne s’arrêta que lorsque mon sexe se fut complètement ramolli entre ses mains. Quand elle eut terminé, elle sortit un paquet de mouchoirs de son sac, s’essuya le visage, puis me nettoya le gland.Ma surprenante petite équipière m’embrassa tendrement :— Rentrons ! me dit-elle en souriant.Je me rajustai, nous nous levâmes et nous rentrâmes tranquillement. Je la laissai à la porte de sa chambre et, après un dernier baiser et une tape discrète sur les fesses, j’allai me coucher.Le charme s’étant levé, le lendemain, nous nous sommes comportés comme s’il ne s’était rien passé. Pas question pour tous deux de s’afficher au grand jour. À peine quelques baisers volés, réticents.— Nous n’aurions pas dû ! me dit-elle.— Ah bon ? pensais-je.Je ne répondis rien, la laissant avec ces incertitudes.Nos relations reprirent l’esprit de franche amitié du début de séjour : bateau, dodo, fin de l’aventure, me dis-je, une branlette, une petite pipe et bye bye. Dommage, après y avoir goûté, je me la serais bien faite, admis-je, résigné.Le dernier soir arriva, personne n’étant très chaud, la soirée dansante d’adieu tomba à l’eau. Nous étions tous d’accord pour aller au restaurant à Cancale. Pour la soirée, Aurélie portait une jupe blanche, arrivant à mi-cuisse, et une marinière ample. Elle s’était faite belle, ajoutant quelques touches légères de maquillage, elle ne ressemblait plus au chat mouillé de la journée. À croquer, ma petite équipière !L’après-midi, profitant d’une amélioration de la météo, nous nous étions baignés au retour de la séance. Voir Aurélie s’ébrouer dans l’eau en bikini avait ravivé mon désir. Débarrassée des multiples couches de vêtements protecteurs, je découvrais le corps de mon amie. Elle était charmante, les hanches très prononcées, les quelques kilos qu’elle trouvait excédentaires la rendaient d’autant plus désirable que sa physionomie s’y prêtait. Les quelques poils dépassant de son maillot de bain laissaient présager une pilosité importante. Curieux, mais je trouvais ce détail hautement sensuel.C’était décidé, le soir, je tenterais une dernière approche.Le repas se déroula dans la bonne humeur, nous nous remémorâmes les bons moments de la semaine et nous nous amusâmes beaucoup. Je sentis à nouveau qu’entre Aurélie et moi nos relations étaient un peu plus qu’amicales.À la faveur d’un instant d’intimité, je lui déclarai sur un ton ambigu :— Tu m’as laissé sur ma faim, ma jolie, ce soir, je te veux. Elle ne broncha pas. Je m’enhardis et lui mis la pression à plusieurs moments : « Tout à l’heure, tu seras à moi… », « Je veux plus… », etc. Drôle de manière de draguer… mais j’avais un peu bu et ces petites phrases m’excitaient beaucoup.Le fait qu’elle ne se formalise pas m’encouragea. Elle faisait mine de ne pas entendre, mais ne se dérobait pas. À plusieurs reprises, elle me frôla plus que nécessaire, tantôt pour attraper la salière, tantôt pour appeler le serveur. Lors de ces contacts furtifs, je sentis ses seins contre mon bras ou mon torse… Technique féminine qu’on avait déjà expérimentée sur moi avec succès et qui me rendait fou.Le repas se termina, et après une promenade digestive, notre petit groupe se retrouva dans un pub pas très loin du centre de voile. À nouveau côte à côte, je profitai de l’obscurité pour la peloter un peu. Je la sentis rétive, visiblement gênée par la présence de nos compagnons.— On sort un peu ? lui demandai-je.Elle acquiesça. À l’extérieur, je la pris par la taille.— Allons dans un coin tranquille, me dit-elle.Je lâchai un cri de joie intérieur, sa proposition validait mes avances. On prit la voiture, je m’arrêtai quelques minutes plus tard sur un chemin de terre en bordure de mer. L’endroit était désert…Dès que le contact fut coupé, je sortis de la voiture pour la trouver de l’autre côté. Debout, nous nous enlaçâmes, nos bouches unies pour un nouveau baiser nocturne. Mes mains s’activèrent sous sa jupe, découvrant ses cuisses et ses fesses à travers sa petite culotte. Je déboutonnai mon pantalon et pris sa main pour la poser sur mon sexe libéré. Ses doigts s’affairèrent sur ma queue, provoquant une érection monstre.J’ouvris la porte arrière pour l’attirer sur la banquette. Elle s’assit sur moi, les genoux de chaque côté de mes hanches. Je continuai mon exploration digitale, introduisant mes doigts sous sa culotte pour découvrir son pubis couvert d’une toison brune et abondante. Je pris un instant pour profiter de cette fourrure luxuriante et douce, mes doigts s’aventurant de plus en plus profondément dans cette jungle. Atteignant l’orée de la forêt, mes attouchements se firent plus précis, mes doigts rendirent hommage à son sexe, écartant ses lèvres pour s’enfoncer davantage dans la moiteur de ses chairs.Je me débarrassai fébrilement de sa petite culotte indésirable, et soulevai sa marinière pour libérer ses seins aux pointes tendues. Je caressai son sexe humide avec mon gland, retardant le plus possible le moment où je prendrais possession d’elle. Je la sentis frissonner, elle était prête à m’accueillir, mais savourait aussi cette attente préliminaire. Enfin, je plaçai mon sexe à l’orée de ses lèvres. À ce signal, elle se baissa doucement, s’enfilant elle-même sur ma verge. Chaque instant de cette lente progression dans son fourreau humide fut un délice. Au bout du tunnel, elle s’immobilisa, savourant mon sexe qui l’emplissait, puis, prenant les commandes, elle entreprit un langoureux va-et-vient pendant que j’embrassais ces seins, elle accéléra, je me contins tant bien que mal. Elle gémit, je sentis son plaisir monter. Ses mouvements devinrent convulsifs. Gardant mon sexe au plus profond d’elle, son bassin ondulait, frottant son pubis contre le mien. Je la pressai contre moi, prenant ses fesses à pleines mains pendant que ma bouche dévorait ses tétons. Elle gérait son plaisir, s’arrêtant quelques instants pour prolonger ce moment. J’étais heureux de lui offrir ce bonheur et je veillais à la contenter le mieux possible en me sacrifiant momentanément.Après un court répit, elle repartit à l’assaut dans une cavalcade frénétique. Elle haletait, gémissait doucement. La sentant au bord de l’orgasme, je glissai mes doigts entre ses fesses pour venir presser le bord de son anus.— Ouiii, ouiii ! m’encouragea-t-elle.Elle ralentit encore ses mouvements, ondulant lentement pour que mon sexe caresse bien ses parois intimes. J’humidifiai mes doigts avec la cyprine qui coulait de sa chatte, et introduisis doucement mon doigt dans son trou étroit. Elle gémit davantage, poussant des petits « ohh ohh » étouffés, et soudain, n’y tenant plus, elle se libéra.Elle exprima sa jouissance par de longs cris, et jouit voluptueusement pendant une éternité. Elle s’abandonna à son orgasme, montant et descendant sur mon sexe, coulissant lentement sur toute la longueur de ma verge. Son orgasme faillit déclencher le mien, je réussis encore une fois à me contenir pour la laisser finir de savourer chaque bribe de jouissance sur mon pieu tendu. Je l’admirai, son corps était tendu, couvert de sueur ; ses seins, gonflés et arrogants, étaient mis en valeur par sa position cambrée. Son visage adorable, voilé partiellement par ses cheveux, avait l’expression rayonnante du plaisir.Je la caressai tendrement, toujours tendu en elle… Je la laissai reprendre ses esprits.— Tu n’as pas eu de plaisir ? me demanda-t-elle, soudain inquiète. Tu n’as pas joui en moi ?Je l’entourai de mes bras :— La nuit n’est pas finie, je ne vais pas te laisser partir comme ça !C’était vrai, je m’étais économisé pour me concentrer sur son plaisir et j’avais l’intention de remettre ça rapidement.— Ah oui ! minauda-t-elle. Tu vas voir…Elle prit ma tête dans ses mains et m’embrassa fougueusement, puis elle descendit doucement, parcourant mon torse avec sa langue. Elle arriva jusqu’à mon ventre, se mit à genoux sur la banquette et approcha sa tête de mon entrejambe. Elle caressa les poils à la base de mon sexe toujours érigé… elle le prit d’une main et de l’autre, s’empara délicatement de mes couilles.Ses lèvres étaient proches de mon gland, elle donna des petits coups de langue. Tandis qu’elle s’occupait de moi, je profitai de la vue qu’elle m’offrit, à demi couchée sur le ventre, la peau blanche de son corps, son dos s’élargissant en apothéose sur sa croupe appétissante. Je tendis la main pour la caresser nonchalamment.Elle s’activa sur mon sexe, je la savais experte. J’aimais ses gestes, empreints d’une fausse timidité et terriblement efficaces. Je la redressai pour lui faire changer de position et la mis à quatre pattes.Elle s’offrit.— Viens, baise-moi !Quelle invite ! Soufflés de sa bouche, à quatre pattes, nue, offrant impudiquement sa croupe, ces mots crus me rendirent fou de désir. J’introduisis mon sexe dans le vagin encore humide de son orgasme et je la pris d’un coup. Ce sexe que j’avais déjà exploré quelques minutes auparavant me reçut à nouveau.Je commençai par de longs et profonds va-et-vient qui se transformèrent peu à peu en pilonnage en règle. Je la bourrai – pas d’autres mots – me déchaînant après ces quelques jours de désirs contrariés. À mon tour de prendre mon plaisir, son corps étant à ma disposition. Elle subit mes assauts, se retenant à l’accoudoir de la portière. Elle participa en accentuant sa cambrure, à mon tour je ralentis mes gestes, faisant durer le plaisir.Je retirais complètement mon sexe pour la prendre à nouveau, la pénétrant profondément. Elle donnait des petits coups de fesses, semblant m’inviter encore à la posséder. Je me délectai de la vue de ma queue, sortant de sa vulve, ses lèvres s’ouvrant, se refermant et s’ouvrant encore au retour de mon membre.À mon tour, je m’abandonnai, j’accélérai, encore quelques coups et je jouis dans ses entrailles. Dans un râle, je me répandis en elle… un plaisir inouï… mon sexe transformé en lance d’incendie n’en finissait plus d’éjaculer, noyant sa chatte de ma jouissance.Complètement KO, je m’affalai sur la banquette. Elle resta encore un instant dans cette position, à quatre pattes, soumise. Son vagin inondé de mouille et de sperme. Puis, à nouveau, la luxure laissa sa place à la tendresse. Elle me rejoignit, se lovant contre moi. Je l’accueillis entre mes bras.Plus tard, habillés car la nuit fraîchissait, nous nous embrassâmes longuement sur la plage. Je la pris encore sur le sable, elle sous moi, nous fîmes l’amour tendrement pour jouir de concert. Ses cuisses nouées sur mon bassin, je savourais encore son corps blanc et accueillant, sa toison brune et dense, son visage mignon au possible, heureux du plaisir que je lui donnais et qu’elle me rendait.Elle était du sud de la France et j’étais Parisien, nous savions tous deux que cette aventure serait terminée le lendemain… et c’est ce qui rendit cette soirée inoubliable.