Ça fait trop longtemps que mon passé me poursuit. Il faut que je me résolve à en parler.Alors voilà , je me présente, Chris, 39 ans, mariée, mère de famille et plutôt rangée. Ce que je vais évoquer s’est passé lorsque j’avais environ 19 ans.À l’époque, je faisais des études pour devenir éducatrice maternelle. Mes parents n’avaient pas beaucoup d’argent et j’avais pas mal de difficultés à me procurer un peu d’argent de poche. Connaissant ma situation, une de mes amies d’école, Line, m’a parlé d’une connaissance de son père qui, selon elle, cherchait des jeunes filles pour participer à des soirées privées pour industriels. Cela payait bien, et il n’y avait selon elle aucun risque.Après avoir hésité pendant plusieurs semaines, je finis par me décider à téléphoner au numéro donné. J’obtins un rendez-vous avec une dame très distinguée qui m’expliqua le concept : il s’agissait de participer à des soirées dans des salons privés, et de distraire les hommes présents. Elle m’assurait cependant que le contrat précisait des limites claires et qu’il ne s’agissait nullement de prostitution. Je décidai d’accepter un essai.Je reçus des instructions par téléphone, et on me demanda de me rendre à une certaine adresse, vêtue de manière correcte (pas de jeans). On me donna également certains détails sur les sujets de conversation que je devrais être capable de tenir, ce qui me rassura sur le sérieux de l’entreprise.Arrivée sur place, je fus accueillie, comme trois autres filles, par une bonne qui avait visiblement des instructions très précises. Elle nous fit passer dans une chambre et nous demanda de revêtir des tenues préparées à notre intention. J’héritai d’une jolie robe noire assez courte mais pas trop décolletée. Je dus également, et ça m’a un peu plus inquiétée, revêtir des sous-vêtements noirs assez minuscules, ainsi que des bas noirs à élastique.Une fois toutes prêtes, nous fûmes amenées dans le grand salon de l’appartement où nous attendaient 6 hommes, d’allure très distinguée, tous âgés de 40 à 50 ans environ. Le début de la soirée fut très courtois, debout autour d’un verre de champagne, à discuter de manière assez sérieuse. Ce ne fut qu’après un long moment que le maître de maison choisit de mettre de la musique d’ambiance et de nous convier à nous asseoir sur les nombreux canapés.Je me retrouvai alors à côté d’un homme aux tempes grises qui m’avait l’air d’un parfait homme du monde. Quelle ne fut pas ma surprise quand il se pencha vers moi pour me dire en substance :— Nous savons que votre contrat est très précis, mais si vous voulez gagner beaucoup d’argent en plus, c’est tout à fait possible. Il suffit d’y mettre un peu de bonne volonté.Je répondis que c’était mon premier contrat mais qu’effectivement j’avais besoin d’argent. J’étais donc prête à accepter quelques petits extras, mais je ne voulais en aucun cas de pénétration. L’homme acquiesça puis, sur un ton impératif, me demanda de me lever et d’enlever mon mini-slip, puis de relever lentement ma robe, jusqu’à ce qu’il voie à loisir mon sexe quasi intégralement épilé. Cela sembla lui faire de l’effet ! Il enleva alors les quelques verres qui étaient restés sur la table basse et me pria de m’allonger dessus et d’écarter les jambes.Désireuse de mériter mon salaire, j’obéis et eus la surprise de l’entendre me dire :— Pas de pénétration, ok, mais tu n’as rien contre les objets ?Comme c’était assez nouveau pour moi, je ne sus que répondre, et avant que ma décision soit prise, il m’avait déjà agacé le clitoris pour me faire mouiller un peu, et introduit dans la chatte un de ces gros cigares dont les gens aisés semblent friands. Cette situation m’excitait passablement, et je ne remarquai pas tout de suite qu’un autre homme s’était approché, une paire de ciseaux à la main. Il se pencha sur moi et découpa précautionneusement deux grands cercles dans ma robe, à hauteur adéquate, avant de sectionner mon soutien-gorge. Ainsi mes deux seins assez volumineux se trouvaient sortir de manière très provocante. Il alla ensuite chercher un tube de crème chantilly, m’en badigeonna copieusement et commença à me lécher les tétons.Je commençais à être de plus en plus excitée par la situation, lorsqu’une impression de froid me remplit le vagin : mon premier partenaire avait profité de mon trouble pour m’enfiler une bouteille de champagne vide et me godait tranquillement avec.Lorsque je n’eus plus de crème à lécher, le deuxième me dit :— C’est bien joli, mais on te donne du plaisir et toi tu ne nous fais rien en échange.Il déboutonna alors son pantalon et me présenta à hauteur de la bouche un sexe de dimensions modestes.— 100 francs de mieux si tu me la suces, me dit-il.L’appât du gain et l’excitation eurent raison de ma moralité, j’ouvris la bouche, et happai son gland. Mais à ce jeu-là j’étais aussi assez fraîche, et une introduction trop profonde me provoquait des haut-le-cœur. Je le suçais un moment, toujours remplie en bas par la bouteille qui se réchauffait nettement.L’homme retira l’objet et me demanda de me mettre à quatre pattes sur la moquette. Il me souffla à l’oreille que si j’acceptais de me faire prendre, la somme serait rondelette. Je regardais autour de moi, et constatais que mes collègues étaient toutes aussi dévouées que moi ! Je me laissai donc faire et il enfila un engin assez volumineux dans ma chatte pendant que l’autre me remettait son chibre dans la bouche. C’était la première fois que j’avais deux hommes en même temps.Après quelques minutes de va-et-vient, les deux types se déchaînèrent quasi en même temps, et je fus obligée d’avaler car il ne retira pas son engin de ma bouche. Pas terrible le goût !!J’étais toute molle et je m’apprêtais à me rasseoir quand un autre homme se présenta dans mon dos. Il me dit que je pouvais obtenir un gros supplément à condition de me laisser faire. Pensant qu’il allait lui aussi me fourrer, j’acceptai ! Mais celui-ci avait une autre idée. Il introduisit un doigt bien lubrifié dans mon petit trou et fit quelques mouvements circulaires. Quand il jugea l’effet adéquat, il m’enfila une longue bite, heureusement assez mince, dans mon anus totalement neuf ! Je criai de douleur, puis m’habituai à cette présence, ce d’autant que mon premier assaillant me titillait alternativement les mamelons et le clito pour me « distraire » de la douleur.Il éjacula très vite dans mes fesses, me laissant toute pantelante, et assez honteuse.La soirée se poursuivit encore assez longtemps, et je dus satisfaire un à un les six hommes présents, qui semblaient inépuisables ! Heureusement je pus éviter qu’ils tentent une double pénétration qui me faisait horriblement peur.Cette première soirée m’ayant rapporté pas mal, et une fois la honte estompée, j’ai continué cette activité pendant 3 ans environ, jusqu’à ce que je tombe amoureuse d’un garçon jaloux qui n’aurait pas compris…Personne n’a jamais rien su de tout cela, mais si mon texte est publié, je le ferai lire à mon mari, qui me trouve trop prude. Peut-être que grâce à cela, nous retrouverons des sensations fortes !! À moins que je ne le dégoûte et qu’il ne veuille plus me toucher, on verra bien !