J’ai choisi une parure en rayon sur le stand Lise Charmel. Mon mari qui adore cette marque a insisté pour que je prenne les bas en plus du tanga et du soutien-gorge pigeonnant qui a retenu son attention. Me voilà donc en train de me déshabiller derrière le rideau dans une belle cabine spacieuse où un miroir me renvoie mon reflet flatteur.Je termine d’enfiler mes bas lorsque mon homme passe une tête dans la cabine :— Putain, qu’est-ce que tu es bandante là -dedans !Sympa ; j’imagine que c’est un compliment de mec. Ni une ni deux, il s’incruste dans mon espace et commence à me caresser les jambes. D’abord les cuisses gainées de soie, puis les fesses.— Arrête, on va se faire repérer, sors de là  !— Tu plaisantes ? Vu le prix de cet ensemble, j’estime avoir le droit de vérifier chaque couture et dentelle sur ma femme.Il me pelote les fesses et glisse ses doigts sous la dentelle pour jouer avec l’élastique, qu’il fait claquer sur mes hanches.— J’adore te voir comme ça ; tu es magnifique. Mets tes chaussures pour te donner de la cambrure.J’obtempère en enfilant mes Styletto noirs qui complètent bien le tableau, il est vrai.Il passe dans mon dos ; je sens sa verge dure à travers son pantalon, il se frotte ostensiblement sur mes cuisses en remontant vers ma raie, le coquin. Une fois dans mon dos, il m’attrape les seins à travers le soutien-gorge et entreprend de me les pétrir avec attention tout en se frottant sur mon arrière-train bien cambré. Il passe ses doigts sur les détails de la parure comme s’il voulait les mémoriser : les petits nœuds, les dentelles, les motifs en relief…Je force un peu le trait en me penchant en avant pour lui présenter ma croupe. Je commence à ressentir une chaleur moite dans mon bas-ventre.— Vas-y, salope, mets-toi à quatre pattes que je voie bien ton cul dans ce tanga.Je suis penché en avant, les mains posées sur le banc face à la glace ; j’ai l’air d’une putain qui s’offre à son client. Il enlève son pantalon et je sens bientôt son gland courir sur mes cuisses le long de mes bas, et particulièrement sur la partie supérieure, la plus fine et la plus sexy.— Il n’y a rien de meilleur que de se branler sur des bas Lise Charmel… Écarte tes jolies cuisses, ma chérie.Il frotte maintenant sa verge entière sur ma raie. J’entreprends de contracter mes fesses pour lui enserrer la queue. Je sens que je mouille de plus en plus.— Caresse-moi, mon chéri, je suis à toi.Ses mains relâchent mes seins et se dirigent vers mon entrejambe. À travers le tissu, il souligne mes lèvres en appuyant de plus en plus à chaque passage de ses doigts. Ma mouille transperce rapidement la dentelle.— Tu mouilles bien, ma chérie ; ça t’excite, ce lieu ?— C’est toi qui m’excites avec ta queue dans me fesses !Il passe ses doigts sous le tissu et je me retrouve bientôt en train de gémir sous les caresses qui irradient ma zone clitoridienne, mes petites lèvres et l’entrée de mon vagin. Il retire ses doigts un instant et les porte à ma bouche.— Tiens, goûte ta mouille salope ; dis-moi si tu aimes.Je n’aurais jamais accepté ça en temps normal, mais le lieu et mon degré d’excitation me font ouvrir la bouche pour avaler ses doigts. Je les suce goulûment en exagérant comme si je suçais sa grosse queue suintante.— Ça va, c’est acceptable. Doigte-moi encore, fais moi jouir, j’en peux plus…Il fourre à nouveau deux ou trois doigts dans ma chatte en accélérant ses mouvements sur mon clitoris noyé de mouille. Je retiens mes cris de plaisir, et mon orgasme se réduit à des tremblements neveux qui me secouent toute entière.— Vas-y, ma chérie ; jouis en silence. C’est bien. Tu aimes ça, hein, te faire doigter comme une belle salope ?Mes râles sont étouffés par sa main qu’il plaque sur ma bouche ; heureusement, sinon j’aurais explosé.Mon orgasme terminé, il attrape mon tanga par les deux côtés, et dans un craquement assourdissant l’arrache complètement. Je me redresse pour protester :— Tu déconnes, ou quoi ? Ça va pas bien de le foutre en l’air comme ça ? On l’a même pas acheté !— C’est toi que je vais foutre en l’air, ma salope !Je passe rapidement à autre chose car son gland se rapproche maintenant de ma chatte sans aucune barrière désormais. Je m’entends le supplier de me baiser :— Prends-moi comme une salope maintenant…— C’est prévu, petite catin !Il pose ses mains sur mes hanches.— Montre-moi tes orifices maintenant, que je choisisse.J’écarte les jambes aussi largement que mes escarpins me le permettent. Il frotte son gland à l’entrée de mon anus ; je serre les fesses pour signifier mon refus. Il descend plus bas vers mon second trou, le plus humide. Je sens son bout tout rond aux portes de mon corps.— Compte jusqu’a trois, petite putain.— 1… 2…Pas le temps de finir : sa verge s’engouffre en moi en une fraction de seconde. Je me cabre de surprise plus que de douleur. Je suis tellement trempée que sa verge rentre d’un seul tenant, et je sens immédiatement ses couilles claquer sur mes fesses. Me voilà empalée jusqu’à la garde sur son chibre énorme. Il pousse un soupir de contentement. Il me reprend les seins et m’arrache le soutien-gorge sans le dégrafer, libérant mes mamelons tendus qu’il asticote frénétiquement.— Ta chatte est un havre de bonheur pour une bite en feu… Allez, bouge un peu ta croupe, viens t’enfiler sur ma queue.J’entreprends un va-et-vient lent et savoureux pour bien sentir chaque centimètre de chair qui se retire de mon vagin humide. Lorsque je le sens quasiment libéré, le gland à fleur de vulve, je me projette en arrière pour ravaler cette queue qui me donne tant de plaisir.Il admire le spectacle dans la glace, me regardant me démener pour le branler avec ma chatte.Il me tient les cheveux, et mon corps n’est plus qu’un outil de masturbation au service de ses vingt centimètres de chair tendue à l’extrême.Mes seins se balancent en rythme, ce qui semble l’exciter encore plus.— Regarde-moi quand je te baise, salope !Je relève la tête.— Fais ce que tu veux de moi, chéri.Il m’attrape alors la cheville et me retire un de mes talons.— Je vais te le mettre dans le cul, celui là  ; ça fait cinq minutes que je vois ton anus me narguer…Je laisse faire, ne pensant pas qu’il compte réellement m’enfoncer dix centimètres de talon dans les fesses, quand tout à coup je sens comme une petite caresse au bord de mon anus. Je frémis de surprise, mais la sensation est plutôt agréable.Je le vois humidifier le talon avec sa salive et diriger celui-ci vers mon trou. Tout en continuant à me limer sur sa verge, je sens mon talon pénétrer doucement mon cul.— Tu vois que tu aimes ça…Je suis rouge de honte. Oui, j’aime ça, et je l’encourage :— Vas-y, oui… Rentre encore un peu, c’est bon !Passé cet intermède de double pénétration, il me remet mon talon et se retire lentement de mon corps. Je me redresse, sentant la fin approcher. Je lui fais face, le dépassant même avec mes chaussures. Comprenant ce qu’il veut pour finir, je m’agenouille à ses pieds et ouvre ma bouche pour lui gober son dard.Ne se faisant pas prier, monsieur m’attrape les cheveux et me plaque le visage sur son ventre. J’engloutis le monstre en une bouchée gourmande. Je commence alors à le branler et à le lécher sur toute sa longueur, de bas en haut, en terminant par de petits coups de langue coquins sur le gland bien rose.— Sans les mains, petite salope ! Je ne veux sentir que ta bouche, tes lèvres et ta langue.Il attrape mon soutien-gorge et me lie les mains dans le dos.Je lui gobe les couilles avidement, ce qui suscite de longs râles suppliants. Je profite d’avoir la bouche vide un moment pour lui dire :— Si tu veux, tu peux me jouir dessus.Il semble ne pas en revenir. Je sais que c’est son fantasme absolu en dehors de me baiser en mode Lise Charmel dans une cabine…Sa verge reprend le chemin de ma bouche béante qui l’absorbe par petite bouchées. Je sens que le désir de jouir arrive car son gland est couvert de petites montées de sperme qui le rendent luisant comme mon clitoris.— Je vais te salir. Alors, si tu m’y autorises, je vais te maculer de sperme : tu va te prendre la plus grande douche de foutre chaud de ta vie !Il va vraiment le faire ! Je suis un peu inquiète… Je le suce de plus belle, de plus en plus fort.— Regarde-moi quand tu me suces, chérie.Je tends la tête vers lui ; je dois avoir l’air d’une grosse salope avec les yeux écarquillés et ce tube monstrueux qui me déforme la bouche. Soudain il se retire brusquement. Son gland est à cinq centimètres de mon nez. Je ferme les yeux. Il rugit sourdement comme s’il se contenait. En fait, il se branle sur ma bouche et me donne de petites tapes avec son gland.La première salve me gicle sur la joue et ruisselle instantanément vers mon cou. C’est chaud, épais, lourd… La seconde me frappe le sourcil et le front, et déjà coule sur mon nez. La troisième atteint ma bouche entrouverte ; par réflexe, je me lèche les lèvres et avale une première gorgée.Il jouit, les dents serrées ; il n’a pas fini : une autre giclée me souille la poitrine. Il se frotte maintenant sur mon téton et termine son éjaculation sur mes bas en s’y frottant les couilles.Je rouvre les yeux à demi collés par sa semence et le regarde. Il a l’air d’apprécier ce qu’il voit.— Merci, ma chérie ; tu t’es comportée comme une vrai salope. Finis de me sucer, il va falloir rentrer.Je me regarde dans ma glace : je suis défigurée par des coulées de foutre qui commencent à sécher, mais fière de lui avoir donné autant de plaisir.Nous sommes repartis sans avoir rien acheté : la parure n’était pas d’assez bonne qualité, à son goût.