Un amour perdu
C’était un bureau dĂ©pouillĂ©, humble, que les dĂ©fauts visibles et l’usure rendaient vivant. Il n’y avait en son centre qu’une feuille de verre Ă©pais posĂ©e sur deux trĂ©teaux chromĂ©s, un fauteuil en cuir noir usĂ©, deux chaises face au bureau, et quelques piles de dossiers poussiĂ©reux. Max Reminof m’avait Ă©tĂ© recommandĂ© par un ami qui…