J’étais arrivĂ© en fin de matinĂ©e ce jour-lĂ chez mon ami. Il m’invitait Ă passer le week-end, chez lui, et me conviait Ă un accueil confortable dans une vaste demeure XIXe , pour nous adonner Ă l’une de ses passions, l’équitation.Ce garçon rĂ©servĂ© et sensible que j’avais appris Ă apprĂ©cier, lors des cours d’histoire que…
Je suis confortablement installĂ© sur une chaise longue sur la terrasse de mon appartement Ă lire un peu – toujours agrĂ©able de relaxer avec un livre après un bon souper – lorsque le tĂ©lĂ©phone sonne.« AllĂ´Â ?— Eh Valentin… c’est Vanessa… je ne te dĂ©range pas ? T’étais pas en train de souper ?— Non j’ai terminé… Qu’est-ce qui me vaut…
Chose promise….Depuis, j’ai revu Catherine. Toujours avec son Anthony, elle me lançait toujours des regards qui me ne mettaient pas très Ă l’aise.Elle me plaisait vraiment cette fille. Toujours de jolies chaussures, de jolies robes. Et ses jambes… Elle Ă©tait très sportive. Ses jambes Ă©taient (et sont toujours) galbĂ©es Ă souhait, musclĂ©es et fermes. Toujours…
J’arrivais Ă la gare Ă l’heure prĂ©vue mais comme souvent le train avait un peu de retard. Pour patienter j’essayais de me remĂ©morer mes dernières sorties avec Anne, cela faisait un bail, depuis que nous nous Ă©tions rencontrĂ©es Ă Lyon. L’école de commerce ne nous enchantait pas vraiment et c’est ce qui nous a rapprochĂ©es,…
Elle Ă©tait si belle, allongĂ©e sur la table, elle semblait si fragile. Je regardais sa poitrine se soulever, doucement, ses tĂ©tons meurtris par les pinces Ă©taient d’un rouge intense. Entre ses jambes Ă©cartĂ©es, la table Ă©tait encore luisante, je n’avais jamais vu ça, lors de ses orgasmes, elle expulsait une quantitĂ© incroyable de mouille. J’avais…
Anne m’avait convaincue, moi aussi je pouvais jouir comme elle. Nous nous Ă©tions couchĂ©es et nous reparlions de nos jeux. Je lui avouais— Tu sais, je n’ai jamais Ă©tĂ© aussi en manque, j’aurais fait n’importe quoi pour jouir.— Oui, moi aussi, je me surprends Ă ĂŞtre aussi perverse. Mais je crois que j’ai surtout envie de dĂ©couvrir…
Seules…Je ne sais pas combien de temps nous avons dormi, nous Ă©tions Ă©puisĂ©es toutes les deux et les Ă©motions vĂ©cues nĂ©cessitaient un repos salvateur. Anne me tira du sommeil en m’embrassant tendrement. Elle se leva et enleva son harnais, ses bracelets ainsi que son collier et gardant ses chaussures elle se dirigea vers le couloir…
Encore dans un magasin…Nous approchions de notre destination, Anne habitait une petite ville de la banlieue lyonnaise. Elle avait trouvĂ© un logement dans un petit ensemble d’appartements assez coquet. Je garai la voiture dans un petit parking souterrain. Anne m’embrassa tendrement et sortit de la voiture pour prendre nos bagages. Je fis de mĂŞme et…
Je dresse la carte de ma terre promise. Je retrace dans son giron le chemin passionnant que j’avais si longtemps dĂ» suivre, des premiers tâtonnements aux portes de son indiffĂ©rence feinte, au coup de grâce qu’elle me suppliait de lui assĂ©ner. ExcitĂ©e sous la caresse de la mine, sa fève se gorge de lymphe. FlattĂ©…
Nous sommes en vacances depuis quelques jours dans le sud de la France. Aujourd’hui le ciel est un peu voilĂ©, nous dĂ©cidons avec Babou d’aller faire un tour dans le centre-ville de Carcassonne.MĂŞme si le soleil n’est pas au rendez-vous, la chaleur autorise les tenues lĂ©gères. Babou a revĂŞtu une robe blanche portefeuille très lĂ©gère….
