La dĂ©rive des incontinents.(Manque de toit.)Dark city of the blind.J’avais reçu un bien curieux message. Au dĂ©but, je ne l’ai pas trop pris au sĂ©rieux et j’ai bien failli passer Ă cĂ´tĂ© de quelque chose d’important.JĂ©sus m’a parlĂ©. Il ne ressemble pas du tout Ă l’image que l’on peut avoir de lui. Le look plutĂ´t…
Klapp… Klapp… Klapp… Retentissaient les sabots des pattes du cheval sur les pavĂ©s durs et brĂ»lants de la route, faisant tourbillonner de petits nuages de poussière. Denise s’appuyait en arrière et regardait, intĂ©ressĂ©e, le large dos du cocher taciturne assis devant elle. Alors elle ouvrit son sac Ă main, prit la lettre d’embauche de Madame…
Il Ă©tait neuf heures du soir et j’avais encore trois heures de route pour rentrer Ă la maison.Le temps Ă©tait dĂ©testable, il pleuvait d’une façon diluvienne ce qui diminuait la visibilitĂ© et l’allure de la voiture. Aussi, je dĂ©cidai de m’arrĂŞter pour passer la nuit Ă la prochaine occasion.Celle-ci se prĂ©senta quelques kilomètres plus loin…
Elle s’appelait Christine, elle Ă©tait Ă©tudiante et se faisait un peu d’argent de poche comme animatrice sur un serveur de Minitel rose. Mais en l’occurrence, je l’avais connue sur un serveur presque gratuit (en 36 14). C’était donc avant l’époque Internet. La conversation avait commencĂ© sur le ton de l’humour. Pendant plusieurs jours, nous n’avons…
Read More “Christine et nos jeux humides, première partie” »
RĂ©sumĂ© de la première partieJ’ai connu Christine sur un serveur Minitel. Elle aime faire pipi dans sa culotte et j’adore qu’elle le fasse. Nous avons longuement chattĂ© puis nous sommes passĂ©s au tĂ©lĂ©phone. Nous nous parlons des heures chaque soir, avec de longues sĂ©ances de masturbation et de jeux humides.GĂ©nĂ©ralement, elle faisait trois ou quatre…
Read More “Christine et nos jeux humides, deuxième partie” »
DĂ©jĂ une heure que je courais, bien que j’adore la sensation de libertĂ© qu’un bon jogging peut apporter Ă l’esprit, il me fallait rentrer.Juste le temps de prendre une douche et de me changer, j’avais rendez vous pour visiter un appartement Ă plus de trois millions d’euros.Que de chemin parcouru, la chambre d’étudiant, l’ordinateur rafistolĂ©…
Le soleil Ă©tait Ă©clatant ce jour-lĂ , et je me trouvais bien seul au milieu de toutes ces affaires Ă©talĂ©es autour de moi, avec ces passants me dĂ©visageant d’un Ĺ“il scrutateur et prompts Ă une estimation baissière des vestiges de mon passĂ©.Tout dĂ©coulait de mon divorce, prononcĂ© il y a trois mois.Les couches n’étant pas indiffĂ©rentes…
