RĂ©sumĂ© des Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents : Promenade pour Chantal, balade pour Colette, cette innocente occupation d’un jour fĂ©riĂ© les amène, Ă leur corps et leur cĹ“ur consentants, Ă abandonner d’abord toute pudibonderie, puis toute retenue dans leurs Ă©changes de bons soins. PoussĂ©es par la soif, et encouragĂ©es par leurs attentions mutuelles malgrĂ© l’échec d’une tentative de randonu(es),…
RĂ©sumĂ© des Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents : Promenade pour Chantal, balade pour Colette, cette innocente occupation d’un jour fĂ©riĂ© les amène, Ă leur corps et leur cĹ“ur consentants, Ă abandonner toutes pudibonderies et retenues dans leurs Ă©changes. RĂ©ciproquement attentionnĂ©es, tentant sans succès de randonner nues et de se dĂ©saltĂ©rer, elles Ă©gaient leur parcours de pauses fiĂ©vreuses et compensent…
RĂ©sumĂ© des Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents : Promenade pour Chantal, balade pour Colette, cette innocente occupation d’un jour fĂ©riĂ© les amène, Ă leur corps et leur cĹ“ur consentants, Ă abandonner toutes pudibonderies et retenues dans leurs Ă©changes. RĂ©ciproquement attentionnĂ©es, tentant sans succès de randonner nues comme de se dĂ©saltĂ©rer, elles Ă©gaient leur parcours de pauses fiĂ©vreuses et compensent…
Ton plus beau vĂŞtement, c’est celui provenant des regards des hommes parant ta nuditĂ©. Ta silhouette Ă©lancĂ©e, je l’ai d’abord devinĂ©e si belle lors de nos premières rencontresTon visage tour Ă tour lumineux et sĂ©vère Ă l’image de ta jolie bouche Ă la sensualitĂ© contenue par le dessin de tes lèvres aux contours parfaits, comme…
[Le bon cĂ´tĂ©, tout relatif, des pannes d’ordinateur, c’est qu’elles vous obligent Ă des recherches de tous ordres pour essayer de retrouver vos archives. J’ai ainsi exhumĂ© quelques brouillons d’anciennes lettres, reliques de moments d’échanges affectueux. Celle-ci Ă©tait adressĂ©e Ă une très chère amie qui fantasmait sur des relations SM, mais qui ne s’appelle pas…
Éloge du toit et prière Ă©pistolaire pour un Ă©tĂ© moins cachottierMon toi, mon tout, mon amour d’homme,Tu m’écris souvent, je ne le fais jamais, comme si vivre sous le mĂŞme toit et dormir dans le mĂŞme lit me dispensaient de te donner de mes nouvelles, du plus loin de mes pudeurs stupides, du plus profond…
Le variant omicron a eu le dernier mot : le tĂ©lĂ©travail est Ă nouveau effectif la majoritĂ© du temps et il n’est plus autorisĂ© de partager son bureau. Chaque binĂ´me est invitĂ© Ă s’organiser pour ne plus se croiser. Maxime le regrette. Sa collègue de bureau, GĂ©raldine, est une prĂ©sence agrĂ©able. Ils ont une relation professionnelle…
Caracas le 30 janvier 1985Chère Mâ,C’était bien sympa de t’avoir au tĂ©lĂ©phone hier tout comme les petits paquets qui m’attendaient rĂ©gulièrement Ă Fort-de-France. Tu sais que la carte postale, la photo souvenir, la babiole ne sont pas mon fort, aussi tu ne m’en voudras pas d’avoir vĂ©cu ces trois semaines merveilleuses dans les Antilles sans…
Deux amies de longue date, dans la plĂ©nitude et la libertĂ© de leur quarantaine assumĂ©e, entretiennent leur relation affective par de longs Ă©changes rĂ©guliers et souvent Ă©gayĂ©s de plaisirs partagĂ©s. Les progrès des moyens de communication ont facilitĂ© et enrichi au fil du temps leurs conversations sans toutefois leur faire oublier le charme et le…
Paris, fĂ©vrier 1925Charles de Hauteville hâte le pas sur le boulevard des Italiens.L’humiditĂ© de ce crachin hivernal lui glace les os.Il se rend aux Nymphettes, la maison de tolĂ©rance qui se trouve dans une petite rue près des grands boulevards. Les habituĂ©s prĂ©fèrent dire le 8, correspondant au numĂ©ro de la voie oĂą se situent…
