Je m’appelle Louise, je mesure 1m75. J’ai les yeux noisette en amande. Je porte de longs cheveux noirs. Les hommes me disent que je suis belle et ils ont bien raison. J’ai un superbe cul bien rond, des seins bien galbĂ©s, pas Ă©normes mais qui attirent le regard. J’aime le sexe sous toutes ses formes,…
— Va prĂ©parer le cafĂ©, je rĂ©cupère le courrier.— Merci, Mamy.Dans la cuisine, je mets la cafetière en marche et je me rends dans la salle d’eau me refaire une petite beautĂ©. Je me recoiffe tout en vĂ©rifiant ma peau. Ă€ vingt ans, il faut faire attention Ă son corps, surtout que je suis contente de lui ;…
Un petit texte un peu dĂ©jantĂ© et sans prĂ©tentions, juste pour le fun, librement inspirĂ© de Lewis Carroll.Je vous assure n’avoir fumĂ© que des Malboro, et rien d’autre…— oooOOooo —Alice marchait d’un pas assurĂ©, indiffĂ©rente aux regards des passants. Elle savait qu’elle Ă©tait belle, bien sĂ»r, mais lĂ , elle s’en fichait. Elle Ă©tait perdue dans ses…
— Hey, Mary, on va faire un tour ?— Ben, j’suis pas contre. Mais avec quoi ?— En Merk’ ; j’en ai « empruntĂ©e » une.— Quoi ? Une Merkabah ? Ces tas de ferraille ?— Ouais, j’sais bien, mais avec les nouveaux antivols quantiques, on ne peut plus pirater les codes des clĂ©s numĂ©riques. Alors tu devras te contenter de la Merk’. Bon, tu viens avec moi…
Monsieur le professeur Dupon Ă©tait maĂ®tre de confĂ©rences Ă la facultĂ©. Cette institution a Ă©tĂ© toute sa vie. Que de joies inavouables elle lui a procurĂ©es ! Chaque annĂ©e, des joies renouvelĂ©es Ă la vue de ces Ă©phèbes et de ces nymphettes. Monsieur le professeur Dupon n’était pas difficile, il les aimait toutes et tous. Jamais…
En cette fin d’après-midi du 31 dĂ©cembre alors que la nuit commence Ă tomber, abritĂ© sous sa casquette et enveloppĂ© d’un grand manteau qui lui descend presque jusqu’aux pieds, l’homme avance, voĂ»tĂ©, dans la lande bretonne. Avisant une petite maison couverte de chaume devant laquelle une jeune fille nourrit des poules et des canards, il…
VoilĂ une histoire que j’avais dĂ©jĂ publiĂ©e il y a quinze ans. Pour ĂŞtre très honnĂŞte, l’histoire ci-dessous n’est qu’un prĂ©texte. En effet, je me suis amusĂ© Ă glisser 27 contrepèteries plus ou moins Ă©rotiques dans le texte. Allez, plutĂ´t moins ; j’avoue que les contrepèteries qu’on trouve sur le marchĂ© sont souvent graveleuses.Ă€ vous, chère…
LE BAL DES BALTRINGUESBernard : Bernard BlierJean-Paul : Jean-Paul BelmondoLino : Lino Venturae-nana : InannaBrodskyBuk le VilainCharlineHidden SideJakinL. D.MĂ©riadeAvec l’aimable participation d’Alfred Hitchcock et quelques autres surprises.__________________Scène 1Bernard : Et alors ?[Court silence mĂ©dusĂ© de la part des deux auditeurs, puis…]Lino : Et alors c’est du suicide, ton truc.Bernard : Mais…Jean-Paul : Lino a raison. On dirait que depuis que t’es sorti prison, t’as…
AndrĂ©, Chapitre 1Lundi 14 Septembre 1964, 19 heures— Vous en pensez quoi, Commissaire, de la mort du Beau Marcel ?— Oh tu sais, Berthier, ça devait lui arriver ; s’il a rĂ©ellement dessoudĂ© Fred le Lensois, je ne donnais pas cher de sa peau.— Je mets qui sur l’affaire ?— Calme, Berthier, laisse les beaux gosses dĂ©fourailler entre eux. On ne va…
– LE POULET –À l’aune de la bourgeoisie, nous pouvons qualifier MaĂ®tre Tassion d’homme « arrivé ». Nous disons bien MaĂ®tre, car comme brasseur reconnu, il mĂ©ritait ce titre. Fernand incarnait la rĂ©ussite et dans ses affaires, l’argent, telle sa bière, coulait Ă flots. Il n’avait aucune inquiĂ©tude Ă avoir, la France et l’Europe brĂ»laient d’une soif…
