A genoux
Le parvis Ă©crasĂ© de soleil, puis je me glisse dans l’ombre fraĂ®che.Silence.Il n’y a personne, mes premiers pas, encore prĂ©cipitĂ©s, rĂ©sonnent.Je reprends mon souffle, j’écoute plus attentivement, mon cĹ“ur bat.Personne.Ă€ droite, dans l’ombre plus profonde, le confessionnal, petite lampe rouge Ă©teinte.Je m’avance, de plus en plus lentement, je m’aperçois que mes mains Ă©treignent mon petit…