… l’heure approche…RĂ©sumĂ©Â :Les rencontres s’enchaĂ®nent. Si Py dĂ©couvre Chlo, elle semble le connaĂ®tre mieux que quiconque. RĂ©jouissance pour l’un, et jouissances des deux sont toujours au rendez-vous, mais, comme toujours, elle a disparu comme elle est apparue.Je le regardais, ce radio rĂ©veil m’afficher l’heure, Ă©grainer les minutes lentement, si lentement depuis un quart d’heure, avant…
Madame De Ricin Ă©tait ce qu’on peut appeler une bourgeoise. D’abord parce qu’elle habitait un hĂ´tel particulier situĂ© dans un quartier chic. Ensuite parce qu’elle ne travaillait pas, son Ă©poux dirigeant un gros cabinet d’expertise-comptable subvenait largement Ă ses besoins. Enfin, ce qualificatif tenait aussi et surtout Ă son comportement. Hautaine et dĂ©daigneuse de tout…
RĂ©sumĂ© de l’épisode 1 : Marc-Aurèle, talentueux homme d’affaires, a rencontrĂ© une femme sur le trajet Paris – Brive qu’il a nommĂ©e : l’inconnue du train.Depuis, ses pensĂ©es sont hantĂ©es par son souvenir.Quelques jours plus tard, il reçoit de cette inconnue un colis, une guĂŞpière de dentelle, la N°8 d’Aubade.Sa dĂ©cision est prise, il plaque tout pour…
La Vicomtesse Rose-May de La Cendraie gara sa BMW i8 devant l’hĂ´tel particulier de son promis, le marquis Pierre-Édouard de ValemaĂ®ttre, en plein cĹ“ur de la capitale.La date du mariage approchait et il fallait rĂ©gler certains dĂ©tails.Elle venait aussi jouer Ă la bĂŞte Ă deux dos, depuis que son fiancĂ© lui avait inaugurĂ© la boĂ®te…
… Tout vient Ă point Ă qui sait… Qui est-elle, cette Chlo ?Le mystère persiste. Pour lui, car pour elle tout semble si … Ă©vident.Après une soirĂ©e très spĂ©ciale pour les deux, chacun s’étant offert Ă l’autre, que demain leur rĂ©serve-t-il ?J’ai toujours eu le sommeil lourd et profond, sitĂ´t tĂŞte sur l’oreiller. Est-ce de dormir peu…
… attendre… PY sait tout … ou presque. Le passĂ© le rattrape, mais que lui rĂ©serve l’avenir ?ChloIl sait tout … J’en r’viens pas !D’hab j’prends pas des pincettes. Ça passe ou ça casse. Rien Ă battre. Moi j’sais pas mettre les formes. Ça me gonfle les formes. Les courbettes et tout et tout. Pas mon truc….
— Compresse. Mademoiselle Ă©pongez-moi, s’il vous plaĂ®t. Enlevez l’écarteur. Aiguille. VoilĂ , on recoud.— Docteur, on vous demande de toute urgence, vite !— SĂ©bastien, tu termines la suture, s’il te plaĂ®t ? Pansement et c’est terminĂ©. J’arrive. Qu’est-ce qui se passe ?— Je ne sais pas trop, une accidentĂ©e, une vĂ©ritable furie, elle vous rĂ©clame.— Merde ! Allons-y.Ils quittent le bloc et marchent d’un pas…
Le rĂ©cit que je vais vous conter comporte une part de vĂ©ritĂ© et une part d’imaginaire. Certains Ă©lĂ©ments ont Ă©tĂ© rĂ©ellement vĂ©cus d’autres ne seront que le produit de mon imagination.Laissez-moi vous dĂ©crire une expĂ©rience vĂ©cue avec mon ex, mon premier amour dont j’ai Ă©tĂ© fou amoureux. Pour prĂ©server un anonymat, je l’appellerai Pauline.J’avais rencontrĂ©…
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C’était lors d’une de ces soirĂ©es guindĂ©es, prout-prout, olĂ©-olĂ©, qui font les gens coincĂ©s devenir, pour l’occasion, quelque peu plus libres de leurs contraintes habituelles et si ennuyeuses, une de ces soirĂ©es qui fait qu’ils oublient leur distinction, leur nom prĂ©cĂ©dĂ© d’un « de », une de ces soirĂ©es oĂą j’étais serveuse, Ă promener un plateau de…
La matinĂ©e se lève…— Lève-toi… debout… il est temps !— Attends encore un peu, j’ai pas fini mon rĂŞve.— Le soleil nous inonde, regarde-moi ce bleu.Je regardai Sophie debout devant la fenĂŞtre. Elle avait ouvert les volets donnant au soleil libre accès Ă notre nid. Son tee-shirt couvrait juste le bas du dos laissant ses jolies fesses danser au…
