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Télephone rose récits érotiques
Histoire de sexe : Etre pucelle c’est fini pour moi ! Corrigé et résumé par Dialogue69 le 23/09/2022Publié le 23/09/202228 juin. La journée est aussi chaude que la dame de la météo l’avait prédit; pour une fois, elle ne s’est pas trompée. Je suis chez ma meilleure amie Julie car nous devons nous préparer ensemble pour notre bal de finissant. Enfin, le secondaire est terminé! Et ce soir sera LE soir. C’est au cours de cette soirée hors de l’ordinaire que moi et Julie avons décidées de perdre notre virginité avec nos petits amis respectifs. Depuis longtemps, nous avons prévu que cela se passe ce soir.
Je suis excitée à cette perspective. En même temps cela m’effraie un peu: vais-je avoir mal, vais-je être bonne?
Il est 15:30. La limousine que les parents de Julie nous paie doit arriver à 17:00. Julie et sa mère sont au salon de beauté le plus réputé de la ville où elle recevra tous les soins requis pour une soirée inoubliable: manucure et pédicure, épilation des sourcils et des poils pubiens, coloration et mise en plis.
Étant naturellement blonde et dépourvu de pilosité, je me dis que j’ai de la chance d’éviter le retrait des poils à la cire. Mes cheveux étant soyeux, je n’ai pas besoin d’une longue mise en plis pour qu’ils tombent parfaitement en cascade sur mes épaules.
De toute façon, même si j’avais voulu profiter du traitement du centre de beauté, je n’en aurais pas eu les moyens; mes parents ne sont pas assez riche pour m’offrir un tel luxe.
Je profite donc de ce moment de solitude pour me doucher et me préparer. Julie et sa mère devraient revenir vers 16:30 où un photographe viendra nous immortaliser dans nos robes de mousselines.
Je retire mes vêtements et sélectionne une chanson de ma play list; One in a million de Bosson. J’aime beaucoup cette chanson depuis que je l’ai entendue dans le film de Sandra Bullock ‘Miss personnalité’. Elle me fait sentir spéciale. Je la met en boucle.
J’ajuste la température de l’immense douche un peu plus chaude qu’à l’habitude.
J’entre sous le jet chaud de l’eau. Je laisse celle-ci couler sur mon corps. Elle me réchauffe.
Je prend la barre de savon à l’eucalyptus et commence à la frotter sur moi. Je commence par mon cou. Je descend la barre sur ma poitrine doucement. Je bouge les hanches au rythme de la musique.
J’insiste un peu trop sur mes mamelons qui commencent à durcir sous mes caresses. Cela ne me dérange pas; ça m’excite même. Je décide donc de continuer à me caresser le bout dure de mes seins de ma main gauche pendant que la droite continue son chemin avec le savon vers le bas.
La mousse lubrifie mon entre jambe et je laisse tomber la barre de savon dans la douche. Ma main reste sur mon vagin. Je frotte mon clitoris; mes doigts glissent aisément à cause du savon.
Je renverse ma tête vers l’arrière et me laisse envahir par la musique, l’eau chaude qui glisse sur mon corps et le désir.
Mon majeur dessine des cercles autours de mon clitoris. Malgré la chaleur qu’il y a sous le jet, je frisonne. Je pince le bout de mes seins en continuant mon massage.
Non. Je dois garder ma jouissance pour ce soir.
Je termine donc de ma laver et ferme l’eau.
J’ouvre la porte vitrée embuée de la douche. Et… Et…
Je me retrouve face au père de Julie. Il est adossé au meuble lavabo. Il me tend une serviette.
Je n’ai jamais été aussi gênée de toute ma vie. Je prend rapidement la serviette et tente de cacher mon corps nu. Depuis combien de temps est-il là ? me dis-je.
Depuis assez longtemps pour que la vapeur ait collée la chemise blanche qu’il porte à son torse massif, musclé et velu.
Je tente de m’essuyer en me cachant. Il ne dit rien. Il me regarde de ses yeux gris perçants.
Il croise les bras sur sa poitrine.
Je remarque que son pantalon gris sans plis est gonflé au niveau de son sexe. Ce n’est pas une bosse que je vois, mais un long tuyau descendant vers sa cuisse gauche.
Je baisse le regard et cherche des yeux mes sous vêtements. Mais ils ne sont nul part.
Il allonge le bras, saisi la serviette, la tire violemment et la lance à l’autre bout de la pièce. La salle de bain ne m’a jamais parue aussi grande.
Je suis exposée à lui, tentant de cacher mes seins de mon bras gauche et mon entre jambe de la main droite.
Sans dire un mot, il ouvre sa braguette lentement. Il entre sa main dans son pantalon est sort un énorme pénis. Je n’ai jamais imaginé qu’un sexe pouvait être aussi grand et dure.
De sa voix grave, il me dit:
‘Je sais bien que toi et Julie avez décidé de garder votre virginité jusqu’à ce soir. C’est pour ça que j’accepte que tu ne fasses que me sucer pour ce soir.’
Son regard est rivé au mien. Il attend. Il sait sans doute que je l’ai toujours regardé du coin de l’Å“il; son physique imposant, ses yeux gris acier, sa mâchoire carrée…
Et maintenant cette majestueuse queue.
Je suis comme hypnotisée par elle. Je ne peux faire autrement que de me mettre à genoux devant lui, devant son corps, devant son membre dure et fier.
J’ouvre les lèvres et sort ma langue timidement. J’approche mon visage de son sexe.
Ma langue touche le bout de son gland. C’est la première fois. C’est doux.
Je passe ma langue sur tout le gland. C’est bon.
J’ouvre plus ma bouche et entre son gland dure à l’intérieur. Je referme mes lèvres et sort son membre de ma bouche. C’est si tendre.
Je recommence en enfonçant son pénis plus creux dans ma bouche.
Je le fait ressortir doucement. Puis, je ne peux m’empêcher de recommencer. Plus vite. Plus creux.
Un râle sort de sa gorge. Ce son ne fait qu’attiser mon désir. Je vais plus vite, encore et encore. C’est si bon, le sentir tout dure dans ma bouche, le goûter.
Il guide ma main vers ses testicules pendant que je continu mon manège, tentant de le faire entrer de plus en plus creux dans ma bouche, dans ma gorge.
Mes doigts caresses deux raisins fermes au travers la peau délicate de son sac à surprise tandis que dans ma bouche son gland se gonfle de sang.
Et dans un râle mâle et viril, il laisse s’échapper un liquide chaud et épais comme le miel dans ma bouche et ma gorge.
Je manque de m’étouffer mais je ne veux pas en perdre une goutte. Le goût… la sensation… C’est si bon!
‘Je sais que tu me veux. Je sais que tu en veux plus Bianca. Va à ton bal. Réalise ton projet pour ce soir et après, je te montrerai ce qu’est le plaisir.’
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Cette histoire de cul t’a excité ?
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d’une manière très sensuelle !
Pour cela, compose le Télephone rose récits érotiques et fais-toi plaisir 😉
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