Etudiante coquine se fait prendre par son professeur
Première annĂ©e de fac, il Ă©tait lĂ . Tout comme j’aime. Plus vieux, charismatique, drĂ´le. Il faisait naĂ®tre en moi des choses que je ne connaissais pas. Je ne pouvais pas rester sans rien faire, il fallait que j’aille au bout de mon fantasme.
Proposée le 21/09/2016 par Arizona Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
Ma première annĂ©e de fac. Ă€ moi la vie d’adulte, l’appartement, les Ă©tudes et les sorties. Enfin. J’y pensais depuis des mois.
Et m’y voilĂ . Premier jour de cours, il est neuf heure et je m’installe dans l’amphithéâtre. Le professeur n’est pas encore lĂ . Je suis au troisième rang. Neuf heure cinq. Un homme entre. Il doit avoir vingt sept ans, peut ĂŞtre vingt huit. Grand, fin, brun habillĂ© en costĂ»me. Je remarque totalement qu’il est le genre de prof sexy dont les Ă©tudiantes sont probablement toute amoureuse. Je ne fais pas exception. Je le trouve directement Ă mon goĂ»t. Les prĂ©sentations sont faites. Je ne retiens pas son nom de famille, mais son prĂ©nom : John. Durant les semaines qui ont suivies, les cours de John me passionnait. En rĂ©alitĂ©, je n’arrivais pas Ă Ă©coutĂ© un seul mot de ce qu’il racontait. J’Ă©tais irrĂ©sistiblement attirĂ©e par lui, et il fallait que j’y fasse quelque chose.
Mes heures de cours n’Ă©tait que des fantasmes, je le regardais et le dĂ©sirait. M’imaginant lui faire des tas de choses.
J’ai tentĂ© de lui faire savoir. Toujours assise au premier rang, vĂŞtu d’une jupe courte ou d’un dĂ©coletĂ© plongeant. Je faisais battre mes cils ou je metais le bout de mon stylo de façon suggĂ©rĂ©e dans ma bouche. Parfois il y faisait attention, mais dĂ©tournait automatiquement les yeux.
Je ne pouvais pas resté comme ça à le désirer de toute mon âme chaque jours. À me caresser chaque nuit, gémissant son prénom et imaginant ses mains à la place des miennes.
Alors Ă la fin du cours je me suis lancĂ©e, je suis allĂ© le voir. – Excusez moi ? Dis-je de la voix la plus sensuelle possible Il lève la tĂŞte et parraĂ®t dĂ©consertĂ©e en me regardant – Oui ?
– Je n’ai pas compris une partie du cours, c’est possible de vous voir plus tard pour Ă©claircir certains points ? Il hĂ©site quelque seconde, et rĂ©pond en bagayant – Oui oui … je … ou venez Ă mon bureau vers quinze heure Je hoche la tĂŞte satisfaite et repars en me dehanchant.
ArrivĂ©e chez moi, je n’ai que quelque heures pour me prĂ©parer. Je passe Ă la douche faire une Ă©pilation rapide. Je passe ensuite presque une heure Ă choisir des sous vĂŞtements assorties assez sexy. Enfin prĂŞte j’enfile une jupe courte noir, et un t-shirt moulant. Je met des talons et prend mon sac Ă main. Je retourne Ă la fac et arrive devant le bureau de John. Je frappe. – Entrez, me lance une voix grave J’ouvre et sourit timidement. Il est assis Ă son bureau, toujours en costĂ»me, il a retirĂ© sa veste. Il me fait signe de m’assoir. – Alors qu’est-ce que vous n’avez pas compris ? Me lance JohnJe sors mon cahier et lui montre des exemples au hasard en jouant l’idiote. Il fait le tour de son bureau et passe derrière moi. Ses mains se posent sur le bureau, penchĂ©. Je le regarde m’expliquer tout en passant un doigt lentement sur mon dĂ©coletĂ©. Il jette un coup d’oeil vers moi et tourne la tĂŞte Ă nouveau sur le cahier. Pourtant son pantalon laisse comprendre autre chose. Ă€ travers son pantalon de costĂ»me, une bosse se forme. Sa rĂ©action m’excite automatiquement. Et maintenant que j’ai la confirmation de l’effet que je lui fais, je me lève et l’embrasse. – Qu’est-ce que vous faĂ®tes ? Me dit-il un peu surpris Il ne me repousse pas pour autant – Je sais que vous en avez envieJe commence Ă caresser la bosse dur de son pantalon- Non c’est mal, je peux perdre mon travail, dit-il en se mordant la lèvre
– Personne d’autre que nous ne sera au courant, c’est promisJe l’embrasse Ă nouveau, et il secoue la tĂŞte- Non c’est mal, je peux pas faire ça.Je prend sa main et la glisse sous ma jupe pour qu’il touche mon intimitĂ©e. Il se mord la lèvre. – S’ilvouplaĂ®t, supplais-je Et il n’en fallut pas plus pour qu’il se mette Ă glisser sa main sous le tissus de mon string et me caresser le clitoris. Je passe ma main dans son pantalon Ă mon tour et me met Ă la masturber. Ses mains me font perdre la tĂŞte rapidement. Il s’Ă©loigne de moi et se dirige vers la porte qu’il ferme Ă clĂ©. Il revient Ă son bureau, et je lui baisse son pantalon ainsi que son boxer. Je m’agenouille et me trouve face Ă son sexe gonflĂ©. Je le masturbe quelque secondes avant de le prendre en bouche. Je le lèche doucement, et entant John souffler. Puis je le prend entièrement en bouche et me met Ă le sucer vigoureusement. Il souffle rapidement, et pose sa main dans mes cheveux pour me donner une cadence.
Quelque minutes plus tard il me relève et m’embrasse Ă nouveau. Je m’assied sur le bureau les jambes Ă©cartĂ©s. – Baises moi, lui dis-je sĂ»re de moi Il retire mon string et le jette par terre, le sexe droit il me pĂ©netre d’un coup. Je retiens un cris de douleur. Il se met Ă me donner des coups de reins d’abord lentement plus accĂ©lère. J’ouvre sa chemise pour caresser son corps musclĂ©. Je soulève ma jupe jusqu’Ă mon ventre pour le regarder me pĂ©nĂ©trer c’est tellement bon. Je me mord les lèvres pour ne pas crier.
Il m’allonge sur le bureau, je m’accroche au rebord pendant qu’il me donne des coups de bassins violents. Il se retire et me fait descendre. Il s’allonge Ă son tour sur le bureau, le sexe debout qui m’attend. Je retire le reste de mes vĂŞtements et lui grimpe dessus Ă califourchon. Je m’emballe sur lui directement et me met Ă le chauvaucher très rapidement. Je regarde son visage se crisper, et ses mains se balader sur ma poitrine voluptueuse. J’accelère la cadance, sentant son chibre taper le fond de mon intimitĂ©. Mes ongles se plantant dans son torse pour ne pas gĂ©mir. John passe ses mains sous mes fesses et me retire de mon Ă©lan. Il me fait remonter sur son torse, totalement excitĂ©e ma cyprine lui coule dessus. Ca Ă l’air de l’exciter encore plus. Il me fait signe de me mettre sur son visage. Je m’execute. Mon intimitĂ© se pose sur son visage et sa lange se met Ă me lĂ©cher la fente. Puis sa langue se trouve sur mon clitoris qui lèche rapidement. Je suis Ă deux doigts de perdre la tĂŞte tant c’est bon. Je me met Ă bouger mon bassins pour donner un rythme Ă sa langue. Je sens l’orgasme monter, au fur et Ă mesure. John m’aspire le clitoris et me mange rapidement. Enfin, l’orgasme est lĂ , je me mord la lèvre très fort mais ne parvient pas Ă camoufler entièrement mon cri.
Ă€ peine mon orgasme terminĂ© John me fait descendre, il se place derrière moi et me penche sur le bureau. Je sens son sexe me pĂ©nĂ©trer en levrette, il se met Ă donner des coups de reins violent. Mes seins claquent contre le bureau et je suis surprise de l’effet que ça me fait après un orgasme. John attrape mes cheveux, qu’il tire en arrière. Je me sens totalement soumise et j’adore ça. Son bassin tapant contre mes fesses rebondit j’entend le claquement qui m’excite d’autant plus. Je l’entend gĂ©mir doucement. Il accĂ©lère encore le rythme, il me tire contre lui. Je suis presque debout. Il continue de me donner des coups de bassins, une main sur ma bouche, l’autre contre mon clitoris. Il me mord l’Ă©paule en donnant des coups violent. Sa main caressant mon clitoris en plus de ces coups divins appellent directement Ă un nouvel orgasme. Je le sens montĂ©, et John accĂ©lère une dernière fois. Je hurle presque dans les mains de mon amant, pendant qu’il se vide en moi. Il ressort et se rhabille. Je met quelque secondes Ă me remettre de ce qu’il vient de ses passer et m’habille Ă mon tour. – C’Ă©tait … waw. Dis-je Ă John
– Tes petits trucs de salopes que tu me faisais en cours me faisait bander en permanence, tu n’imagines mĂŞme pas depuis le temps que je m’imagine te faire crier Ă ne plus en pouvoir
– C’est rĂ©ussit, lui dis-je, et je serais heureuse de recommencer Je suis entièrement habillĂ©e, et lui aussi- Ă€ lundi mademoiselle, revenez moi voir pour ne nouvelles explications quand vous voulez, dit-il en souriant © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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