Résumé des épisodes précédents :Je rentre du boulot ; ma femme m’accueille fraîchement et me reproche d’avoir oublié que nous sortions. Elle est à la fois froide et sexy ; à ma grande surprise, elle se laisse masturber au cinéma et me fait la fellation de ma vie. Après le cinéma, à la brasserie, nouvelle surprise sur sa tenue provocante. Grave erreur, c’est aujourd’hui notre anniversaire de rencontre ; s’est-elle vengée de mon oubli par un après-midi torride avec Jean-Phi ? J’ai perdu aujourd’hui l’exclusivité de son sexe et je suis cocu depuis le début de notre rencontre, mais jusqu’ici avec exclusivité. Elle me raconte l’expérience sensuelle avec deux hommes et une femme qu’elle a vécue durant notre voyage de noces, croyant avoir ma bénédiction. Fantasme ou réalité ? Tout semble être vrai, mais je veux la pousser dans ses derniers retranchements._____________________________________________— Pardon, Monsieur, je n’ai pas compris votre demande.— Mais si, vous avez très bien compris : voulez-vous faire l’amour à ma femme ? Attention, j’ai bien dit « faire l’amour », pas la baiser comme une vulgaire putain pour votre propre plaisir. La faire jouir, vous occuper uniquement de son plaisir ; le vôtre est secondaire. Alors ?Il est cramoisi, il vire au bleu. Si rien ne se passe, il va faire un malaise. Brusquement, il a perdu de sa superbe, le serveur qui me regardait tout à l’heure avec un air goguenard et qui matait sans vergogne la poitrine provocante de ma femme, bien mise en valeur par son soutif noir et rouge à peine voilé par son chemisier transparent.Il regarde Zaïa, interrogatif, se tourne vers moi, mais ne répond toujours pas.— Elle ne vous plaît pas ma femme ? Ses seins que vous reluquiez ne vous intéressent plus ? Sa confession de cochonne ne vous fait plus bander ? Ne mentez pas, j’ai bien vu la barre qui vous empêchait de marcher correctement.Zaïa me regarde dans les yeux, froidement. Je ne sais pas si c’est de la colère ou de l’excitation, mais son regard est sans équivoque, elle a pris sa décision, elle reprend les commandes. Je sais qu’elle n’apprécie pas du tout que je décide pour elle. Dans ces cas-là, elle s’énerve et ça peut être violent.Toujours avec ce regard direct et froid, elle se lève, gênée par l’étroitesse entre la banquette et la table, elle se penche vers moi avec un sourire carnassier et me gratifie d’un baiser sur la bouche. Rien d’érotique dans cet acte, juste un bisou du bout des lèvres, pour me remercier, ou me défier, dans tous les cas c’est un geste d’amour.Elle s’extrait de la banquette se plante devant le serveur, toujours paralysé par l’émotion. Elle lui prend tendrement le visage à deux mains et l’embrasse sensuellement, délicatement, puis de façon plus vorace, elle lui roule une pelle profonde, lui lèche les lèvres, se colle à nouveau à sa bouche. Lui se détend, lui prend les fesses à pleines mains et la plaque contre lui. Leur baiser est profond, torride. Leurs corps sont collés l’un à l’autre, ils se frottent, se compressent, l’excitation est évidente, forte. Je n’existe plus pour eux.Pour la deuxième fois de ma vie, je vois Zaïa embrasser passionnément un autre homme. Cette fois je suis à cinquante centimètres. J’entends leurs respirations, je vois leurs mains se crisper, les gouttes de salive qui coulent le long de leurs lèvres, leurs narines qui se serrent et s’ouvrent, les mains du serveur ancrées dans les fesses de ma femme alors que ses propres mains descendent, elles aussi, sur les fesses de son futur amant, pour le serrer fermement contre elle.Pour moi c’est un choc violent, imaginer est une chose, mais la vivre est indescriptible. C’est une décharge d’adrénaline. Dans l’état où je suis, je pourrais terrasser n’importe quel malabar, je me sens puissant, invincible, mais surtout je suis excité, je bande comme un âne. Ils ne font que s’embrasser et je suis surexcité, ce doit être ça le candaulisme, c’est une découverte pour moi. Je pourrais tout arrêter, mais au fond de moi, c’est un fantasme inavoué qui se réalise.— Tu embrasses comme un roi, mon chou, tes mains sur mes fesses et ta queue bien dure contre moi me rendent folle, mais ton service laisse à désirer, je n’ai pas encore eu mon thé !Elle a vraiment le don pour casser l’ambiance !Le serveur est à nouveau tout penaud, il ne comprend pas, en plus il a l’air con avec une longue barre qui déforme son pantalon. Il regarde surpris la furie qui lui a sauté dessus, et redevient pro :— Mais bien sûr, Madame, tout de suite, je vous prie de m’excuser, je vous l’apporte.Dès qu’il se retourne, ma salope de Zaïa, parce qu’il faut bien appeler un chat un chat, déboutonne son chemisier transparent et le jette sur la banquette. Ensuite elle descend le zip de sa jupe et l’enlève prestement. Elle me regarde, se penche vers moi, m’embrasse langoureusement, enroule sa langue autour de la mienne, me lèche les lèvres, comme elle vient de le faire avec l’autre, et me dit avec un grand sourire :— Je t’aime mon amour, et je vais te le prouver. Ce soir je serai la reine des coquines, pour toi, pour ton plaisir, petit vicieux !Elle est quand même sacrément gonflée. Ce soir elle me fait comprendre ses fantasmes de fellation, de sodomie, de sexe à plusieurs. Elle s’exhibe un peu, se donne en spectacle avec ses récits, excite tout le monde autour d’elle, mais bien sûr, c’est pour moi. Moi, je veux juste vérifier si ce qu’elle me raconte depuis le début, c’est de l’art ou du cochon (comme dirait Thiéfaine), savoir jusqu’où elle peut aller, et jusqu’où moi aussi je peux aller.Le serveur revient avec un thé brûlant, elle est debout, jambes croisées fesses appuyées sur la table. Elle ne porte que ses bas noirs opaques, sa petite touffe de poils bruns taillés, ses escarpins, son soutien-gorge en dentelle noir et rouge qui rend son 95D plus provocateur que si elle n’en portait pas. Lui ne sait pas comment poser la tasse et la théière, elle fait obstacle de son corps.— Approchez-vous, posez ça ici, juste derrière mon cul, sur la table.Pour ce faire il doit se coller à elle. Elle en profite pour lui mettre la main gauche au panier, sa main droite se saisit de son cou et elle l’embrasse à nouveau profondément. Il lâche la tasse et la théière sur la table, plus qu’il ne les pose. On frôle la catastrophe. Immédiatement sa main droite part à la découverte du corps chaud féminin, elle caresse le flanc, la hanche, remonte vers l’épaule, redescend sur le sein à travers le soutien-gorge, puis elle s’aventure sur la fesse, se glisse sur le devant, force le décroisement des jambes et se glisse vers le déclencheur des plaisirs. À peine a-t-il effleuré le clitoris que le baiser cesse, Zaïa a relevé la tête et soupire :— Aah, tu me fais du bien. Mais pas si vite, prends mes seins.Il s’écarte pose ses deux mains sur les seins de ma femme, les caresse. Il en sort un du bonnet, puis l’autre, il ne lui dégrafe pas le soutien-gorge, ce qui rend la scène plus érotique encore. La poitrine est offerte, indécente. Les mains puissantes du serveur caressent la masse, en font le tour, étirent les larges tétons foncés et durcis. Il les pince légèrement l’un après l’autre, tout en regardant Zaïa dans les yeux, guettant sa réaction. Après un nouveau baiser profond, il descend sa bouche le long du cou, embrasse lèche. La peau du cou brille de salive. Enfin il atteint son but, il prend délicatement un téton entre ses lèvres, le tète, le mordille, tout en caressant l’autre sein. Il passe de l’un à l’autre, les lèche de bas en haut, s’arrête à nouveau sur un téton et le suce, repasse de l’un à l’autre, cela dure longtemps.Il en profite un max le bougre ! Je suis hypnotisé par la scène, toujours assis à table, à quelques dizaines de centimètres. J’entends la succion, je vois la bouche qui mange les seins de ma femme, cette langue qui les lèche. Dans un nuage de sensations, j’entends une voix haletante :— Tu me sers un thé, mon amour ?Elle l’appelle « mon amour » !Je sors brusquement de mon rêve, je la regarde vivement. Ses yeux embués me fixent et entre deux soupirs, c’est à moi qu’elle s’adresse :— Sers-moi un thé, mon cocu adoré.Dois-je être rassuré ? Ce n’est pas lui son amour, mais bien moi son adoré. Mais je suis son « cocu adoré », encore une provocation. C’est quand même moi qui lui offre le serveur en cadeau, partageur peut-être, candauliste certainement, mais cocu ça non ! À moins que ses histoires précédentes soient réelles ? Je m’en serais rendu compte. Ce ne sont que des fantasmes. Aurait-elle perçu mon fantasme, avant même que j’en prenne moi-même conscience ?— Suce mes tétons, mon chou, lèche mes seins, caresse ma chatte maintenant, en même temps, ah oui, comme ça, c’est booon. Encore oui… plus haut sur mon bouton… aaahh… aïe ! Doucement, goujat, délicatement… oh oui, comme ça… lèche mes seins en même temps… Alors il vient ce thééé, ooh ?… Ouiiii, continue, je vieeens, encore, encore, encoOOORE, OUIIII.Elle a joui, debout, les fesses sur la table, les seins pleins de salive, les cuisses brillantes dégoulinantes de sa liqueur féminine, le haut d’un bas tout humide. Elle décolle ses fesses de la table et s’assoit cul nu sur le bord de la banquette. Elle reprend son souffle, se tourne vers moi et prend sa tasse de thé.— Tu en as mis partout, mon amour, quel carnage, tu ne te contrôles plus ?C’est à moi qu’elle s’adresse, mais de quoi parle-t-elle ? Du thé que j’ai renversé sur la table à cause de l’émotion ou de la tache sur mon pantalon ? Eh oui, j’ai joui moi aussi, tout seul dans mon froc, l’émotion était trop forte, je me sens bien et mal à la fois, un peu ridicule.— Regarde tout ce thé gaspillé, c’est dommage. Ressers-moi une tasse, trésor.Évidemment, elle ne peut pas voir mon pantalon sous la table, elle parle du thé. Une fois servie, elle goûte du bout des lèvres cette nouvelle tasse, me regarde :— Il est un peu refroidi, pas brûlant, juste à la bonne température. Merci, mon amour.Elle se tourne vers le serveur, il n’a pas bougé, il est debout devant elle. Zaïa reste assise, lève le regard, le fixe dans les yeux et délicatement déboucle la ceinture de l’homme, enlève un à un les boutons de son pantalon, caresse son bas-ventre, remonte vers le torse sous la chemise, le caresse, découvre son corps, plus ferme et plus musclé que le mien. Elle descend ses mains, les glisse de chaque côté du pantalon et l’abaisse doucement, en emportant le caleçon au passage.Une queue longue et fine se dresse devant ses yeux, sa bouche. Comme tout mâle, je compare immédiatement. Sur la longueur, je suis largement battu, mais sur l’épaisseur, c’est moi le patron, non, mais quoi !Zaïa n’y met pas les mains, elle n’y touche pas, elle la regarde avec gourmandise, s’en approche, tire la langue et la lèche lentement de bas en haut, des couilles rasées jusqu’au gland. Toujours sans les mains, ou plutôt les mains sur les fesses du mâle pour avoir le contrôle de la distance, elle lèche le frein de quelques coups de langue rapides, et redescend toujours du bout de la langue. Puis elle remonte par petits bisous sur le dessous de la queue. Arrivée au sommet, elle lèche le gland, en fait le tour délicatement, puis dépose un baiser sur le méat.— J’aime ton banana split, on en mangerait tous les jours, une longue banane bien raide et bien tendre.Alors elle prend le gland dans sa bouche et l’aspire, ses joues se creusent, une de ses mains s’insinue entre les fesses du serveur, l’autre glisse sous ses couilles qu’elle caresse délicatement.La pipe continue, elle lui fait la même chose qu’à moi, il y a quelques heures. C’est un nouveau choc émotionnel pour moi. Ce matin je pensais qu’elle n’aimait pas la fellation, ce soir elle me fait ma première gorge profonde et là, elle pompe un serveur de restaurant devant moi. Et pour une novice, elle y met une certaine maîtrise, à moins que son histoire avec Jean-Phi soit véridique ?Le serveur hoquette. Un « AH » de surprise sort de sa bouche. Zaïa arrête de le sucer et le regarde dans les yeux.— Comme tous les hommes, t’es un peu pédé, beau brun, tu aimes mon doigt dans ton cul, le massage de prostate ? Dis-le que tu aimes ça, mon salaud, un long doigt fin de femme, dans ton cul !— Ah oui, vicieuse, t’es une suceuse hors pair. Prend ma queue dans ta gorge, suce-la.Elle s’exécute, la reprend en bouche, la lèche, toujours en le regardant dans les yeux. Je vois sa main derrière les fesses du serveur qui s’agite, la main se soulève, il réagit et serre les fesses, il tremble. Elle relâche à nouveau son sexe et lui dit :— Tu vas cracher, petit pédé, tu vas crier comme une femme, tu vas voir ce que sait faire une suceuse qui aime ça.Elle reprend la succion du gland, sa main gauche quitte les boules du serveur et prend la tasse de thé tiède, elle approche la tasse sous les couilles et la remonte doucement. Le serveur tressaille, il a une burne plongée dans le thé. Zaïa alterne l’une puis l’autre, le serveur tremble souffle, c’est alors qu’elle s’enfonce la tige au fond de sa gorge et d’un mouvement ferme de sa main perfore le cul encore plus profondément en serrant le ventre de l’homme contre son visage.— ARRGH, saaaloope, c’est booon… Prends, avaaale… prends tout… oh, ah, oui c’est bon… ooohla oui, vide moi, j’en peux plus, oh oui, c’est trop fort…Il titube, elle le rattrape enfonçant encore plus son doigt dans son fondement. Moi-même, je me lève brusquement et l’empêche de tomber. Après quelques derniers tremblements incontrôlés, il se détend un peu, elle libère son anus, nettoie le gland avec sa langue et le relâche complètement. Il s’affale sur la banquette où j’étais assis quelques instants plus tôt. Il est vidé, le regard vague, un sourire idiot sur le visage. Il a l’air heureux et il a l’air con, le pantalon sur les chevilles, le zizi qui ramollit, dégoulinant.Le spectacle est irréel, ma femme plus indécente que si elle était nue est assise sur la banquette trempée de cyprine, en bas noirs et escarpins, les seins arrogants rougis, sortis du soutien-gorge. Quelques gouttes de sperme glissent sur sa lèvre, qu’elle récupère sensuellement avec la langue, en me regardant, d’un air provocateur.— Ça t’a plu mon chéri ? Tu as vu ce que tu rates depuis des années. Grâce à ce salaud de Jean-Phi, je suis devenue une vraie pro de la pipe.Je suis admiratif, vexé, jaloux, très excité, mais jusqu’où est-elle capable d’aller pour rendre ses récits plausibles ? Par voyeurisme, par candaulisme, par une envie de baiser de plus en plus insoutenable, j’en veux plus.— Oui, ma belle catin, ça m’a beaucoup plu. Pour un début, tu apprends vite. Sache quand même que tu n’es pas au bout de ta soirée, si tu es encore capable de quelque chose, parce que tu vieillis.— Espèce de con, tu vas voir la vieille, de quoi elle est capable, mets des nappes blanches par terre, j’ai pas envie de me faire prendre sur une moquette sale. Je veux bien être une cochonne, mais je ne suis pas une truie !— OK, mais à partir de maintenant, c’est moi qui décide ! Enlève tes bas, donne-les-moi.— Il faut que tu sois cocu pour te comporter en mâle ? Pourquoi j’ai attendu si longtemps pour te le dire ? Peut-être que tu es mon mari, mais tu n’as jamais été mon maître.— Tais-toi, catin. Donne tes bas.Je récupère des nappes en débarrassant les tables alentour, et les dispose au sol, cela ressemble à un matelas blanc.Le serveur a repris ses esprits.— Hé là, qu’est-ce que vous faites ? Ça va pas la tête, vous vous croyez où ? Vous êtes en train de saccager mon service de demain. Aller, dégagez, et vite !— Môssieur vient de se faire sucer par ma femme, une cliente, sur son lieu de travail, et Môssieur ramène sa fraise ? Vous avez le choix, jeune homme, ou vous prenez du plaisir en faisant jouir ma femme jusqu’à ce qu’elle vous supplie d’arrêter, ou nous partons et demain je raconte tout à votre patron, en ajoutant quelques détails du type menaces et chantage. Alors, tais-toi et aide-moi ! Quant à toi, la cochonne, couche-toi sur le dos sur les nappes.J’explique brièvement au serveur ce que j’attends de lui et nous attachons les mains de Zaïa avec ses bas noirs, bras écartés, aux pieds de deux tables. Elle attend silencieuse, elle m’interroge du regard. Je sers un peu de thé dans la tasse, le goûte, il est tiède. Je prends la théière verse le contenu résiduel sur son corps. Elle frémit fait un peu la grimace, mais ne dit rien.Je prends la bombe de chantilly qui est sur la table depuis un bon moment et j’en couvre le corps de mon seul amour, seul son visage est épargné.— Qu’est-ce que tu fais, c’est froid, je vais être toute collante, en plus j’ai horreur que tu gaspilles la nourriture.— T’inquiète pas, ma belle, je ne gaspille rien, je n’ai pas encore dégusté mon dessert. Le serveur non plus d’ailleurs. Toi, tu es déjà passée au pousse-café en buvant sa liqueur. À notre tour.Je me tourne vers l’autre, qui s’est mis plus à l’aise, il n’a plus son pantalon, mais a gardé ses chaussettes et son nœud papillon. Mélange de ridicule et de classe.— Allez, jeune homme. Mettons-nous à table.Il part des pieds de ma belle, lèche la crème qui fond sur la peau brûlante, il n’en laisse pas un gramme. Pendant que le serveur remonte le long des jambes de la prisonnière offerte, j’embrasse la belle avec passion. Elle répond fiévreusement, passionnée. Je sens sur sa langue et dans sa bouche un arrière-goût particulier un peu âcre, je recule. Elle me sourit :— Tu aimes le goût du sperme sur ma langue, petit pédé ?Je replonge immédiatement vers sa bouche, ce baiser m’excite au plus haut point. Elle a raison, tout homme doit être un peu homo, même inavoué, même non assumé, le goût du sperme dans sa bouche me rend dingue.Brusquement elle se cabre.Le serveur déguste ses petites lèvres à la chantilly, il en rajoute un peu sur son clito dressé et le suce, l’aspire, comme une queue minuscule. Alors je redeviens actif, je lèche le cou de Zaïa, descends vers ses seins. Je les nettoie de la crème fondue qui les couvre, je lui suce les tétons dressés un à un. Quelle sensation le goût de la chantilly et de ses tétons tendus, chauds, entre mes lèvres.L’autre est remonté doucement, il lui lèche le nombril, lui nettoie le ventre. Il remonte encore, nous nous retrouvons à lécher chacun un sein de notre proie.Elle pousse un long soupir et se cabre à nouveau. Il la prend. Sans hésitation, sans rien demander, il la pénètre. Seule la première partie de sa queue est entrée, il la lime comme ça, à moitié, mais quelle moitié, quelle longueur !D’un coup brutal, il s’enfonce jusqu’au bout et reste au fond quelques secondes, recule doucement puis replonge. Son manège continue en accélérant imperceptiblement la cadence.— Oh, mon amour, il me baise bien, il est long, c’est fort, il va loin. Jamais, on ne m’a baisée si profond, oups, ougl, mmmm.J’en ai marre de l’entendre, je lui ai planté mon pieu dans la gorge. J’ai décidé de lui baiser la bouche au même rythme que l’autre la prend, et profondément. Durant quelques minutes elle n’est plus qu’un objet sexuel, un outil masturbatoire, pour lui et moi. Nous la baisons à deux sans nous préoccuper de son plaisir à elle.Nous jouissons tous les deux au fond d’elle à quelques secondes d’intervalle, nos regards de mâles se vidant se croisent et se fixent.Elle tousse, remue la tête pour se dégager, elle me mordille la pine encore raide. Pris dans mon délire je ne me suis pas rendu compte qu’elle s’étouffait, j’ai totalement oublié son plaisir.— Détache-moi, s’il te plaît. J’ai mal au dos, j’ai mal au cul et j’ai du sperme dans le nez.Pendant ce temps, le serveur refait surface et ramasse ses habits.— Hé, vous deux, je n’ai pas fini avec vous. Toi, le larbin va te faire un brin de toilette et ramène-moi un cognac. Quant à toi, sac à foutre, tu vas avoir droit à ton dessert.— Pourquoi tu m’insultes, cocu ? Je te donne du plaisir et tu me traînes dans la boue.Je ne lui réponds pas, la laisse attachée au sol, m’assieds sur la banquette de notre table et mange quelques fraises apportées tout à l’heure. Je prends le bol de fraises, m’approche de ma chérie. Elle est plus vulgaire que jamais, allongée, le sexe béant trempé, le corps collant des restes de crème et de sueur. Elle pue le sexe.Je prends une des fraises, l’enfonce sans précaution dans son con, deux autres rejoignent ensuite la première. Je retire la dernière et l’approche de sa bouche.— Mange ton dessert, salope, une fraise à la mouille et au sperme, c’est tout ce que tu mérites.Elle l’avale immédiatement.— Tu es vraiment une vicieuse. Tiens, mange la suivante.Tout le bol y passe. Quelques fraises restent écrasées dans son antre. Elle s’en délecte et je vois bien qu’elle s’excite à nouveau. Alors, je me glisse vers son minou. Je me régale des restes, directement à la source des plaisirs. Un mélange détonant de la délicatesse des fraises sucrées, le goût puissant de son miel intime, un arrière-goût de sperme, adouci par des restes de crème. Un dessert digne des meilleures tables.Une fois qu’il n’y a plus rien, je prends la bombe de chantilly, lui remplis la chatte, et reprends la dégustation de mon divin entremets. Elle est à nouveau très excitée, même si la rougeur de son sexe montre une irritation grandissante.Le serveur est revenu tout fringant, le spectacle l’a excité, il se branle, assis sur une banquette, en nous regardant. Un verre de cognac est sur la table, un autre est vide à côté.Je détache ma belle, l’aide à se relever, je l’embrasse et elle colle son corps contre moi. Elle cherche mon sexe qui reprend vie doucement, mais pas très vaillant.— Allez, ma chérie, à cheval, ton étalon t’attend pour un rodéo.Elle comprend, s’approche du serveur, l’enjambe de face, l’embrasse et s’empale sur lui. Ils baisent comme ça un bon moment. Je les regarde en me branlant doucement, en sirotant mon cognac, je les laisse profiter longuement de ce moment. Les premières jouissances ont rendu les sensations plus fortes et les esprits plus tendres. Je les admire un temps. Après quelques minutes, je ressens le besoin de plus de stimulation que de la voir baiser, même bruyamment.Je reprends la bombe de chantilly, vide ce qui reste sur ma queue à demi bandée, m’approche du couple et propose mon banana split à ma femme. C’est bon, elle me suce avec délicatesse, elle se baise sur le serveur et me suce avec détermination, mais tranquillement, affectueusement. Sa bouche transmet sur ma queue les coups dans son sexe, c’est divin. Je ferme les yeux pour profiter de la sensation. La pipe dure, l’angle change, c’est profond, sa joue se colle sur mon bas-ventre et me pique un peu la peau.Sa joue me pique le bas-ventre !J’ouvre brusquement les yeux, c’est le serveur qui me suce, je recule net.— Ne fais pas le fier, mon chéri, tu as pris du plaisir à te faire sucer par un mec, avoue.Je n’avoue rien du tout, et j’appuie fortement sur ses épaules pour qu’elle s’empale à fond sur le mec en question. Elle pousse un long feulement et reprend une cavalcade plus rapide.Je bande comme jamais, alors que j’ai déjà joui deux fois dans la soirée. Elle a raison cette garce, j’ai aimé cette fellation, avant de comprendre qui me suçait. Même après, je bande encore comme un âne.Je prends du recul pour ramasser une fiole d’huile d’olive sur la table à côté. Le serveur a compris, il avance ses fesses sur le bord de la banquette et fait basculer un peu plus sur lui la belle emmanchée. Elle ne me voit pas regarde le serveur avec un grand sourire :— Oui comme ça c’est bon, mon clito contre ton membre. Petit cochon, tu vas me faire craquer.Elle se contorsionne, son souffle s’accélère. C’est à ce moment-là que je lui verse un filet d’huile sur le haut des fesses, il glisse doucement vers la porte arrière de madame.— Gros vicieux, prépare-moi bien. J’en ai déjà pris plein le cul dans ma vie, mais jamais les deux côtés en même temps.Elle a quasiment stoppé les mouvements sur sa monture, je la prépare avec un doigt enduit, puis deux, elle accélère à nouveau ses mouvements, signe de son excitation qui remonte. Alors je pose mon perforateur sur son anus et je pousse, ça glisse, y compris de travers, après plusieurs dérapages incontrôlés, le gland passe. C’est serré, c’est bon, c’est brûlant, je la prends doucement jusqu’au bout. Une fois complètement en elle que je sens l’autre qui investit la chatte de ma bien aimée cochonne. Il progresse et commence les va-et-vient. Je m’accorde avec lui, cale mon tempo sur le sien et la mélodie de Zaïa grandit dans la pièce. Ses soupirs deviennent des cris qui montent crescendo. Mon excitation aussi.Est-ce la perversité de la situation, le cul de ma femme, la queue de l’autre que je sens en elle ? Je perds à nouveau le contrôle, je l’encule à fond, l’autre accélère aussi. Je le sens jouir dans le sexe de ma belle et je craque. Je me vide, je vibre, un voile noir passe devant mes yeux, je m’effondre sur le dos de ma belle que j’entends hurler, dans un état second.La petite mort, c’est ça. J’ai cru mourir de plaisir.Tous les trois nous refaisons difficilement surface. Après l’orage c’est la respiration qui reprend progressivement un rythme normal, le silence revient, le bonheur, l’épuisement total.Une fois rafraîchis dans les toilettes et après les remerciements au serveur, nous rentrons chez nous. Je prends une bière dans le frigo, je suis rassuré, le compte est bon, elles sont toutes là. Je sors les poubelles en pensant que ma belle a une sacrée imagination pour inventer de telles histoires.Je m’assieds dans le canapé et sur la table, devant moi, un énorme bouquet de roses.Zaïa sort de la douche à l’étage :— Mon chéri, tu peux prendre une bière dans le frigo, j’ai refait le plein avant de partir, pour qu’elles soient fraîches.Elle descend, me fait face. Je suis livide, elle comprend que j’ai compris, me serre contre elle. Un bisou dans le cou et elle me glisse à l’oreille :— Malgré tout ce que j’ai fait, tu as été, tu es et tu seras mon seul et exclusif amour, je t’aime.