Céline sentait ses pieds patauger dans ses chaussures. Un peu d’eau avait réussi à pénétrer à l’intérieur des rangers, elle se demandait bien comment. Elle s’efforça à ne plus y penser, et se remit à creuser. La nuit tombait et elles devaient absolument finir d’aménager leur trou de survie.Cela faisait déjà plus de 36 heures que son peloton était parti en manœuvre et la fatigue pesait dans ses bras. Céline avait intégré l’école de formation des sous-officiers de la gendarmerie depuis près de deux mois, mais c’était la première fois qu’elle participait à un exercice de plusieurs jours dans la nature. En tant que militaires, les élèves-gendarmes étaient tenus de savoir aussi bien manier le fusil d’assaut que l’éthylomètre, et elle devait maintenant apprendre à survivre 72 heures en rationnant sa nourriture et en dormant dans un trou. Pour corser les choses, ses instructeurs patrouillaient le camp la nuit pour tenter de surprendre les « bleus », et Céline devait donc organiser des veilles de trois heures avec son binôme.Lorsque le trou fut suffisamment large et profond, Céline y jeta son sac et son arme avant de s’y laisser glisser. Elle sortit son sac de couchage kaki, encore humide de la nuit précédente et s’y emmitoufla du mieux qu’elle pût.Elle avait convenu avec Laure, une gentille fille de 26 ans, qu’elle dormirait la première, mais malgré la lassitude, trouver le sommeil dans ces conditions n’était pas chose aisée. Céline avait faim et se sentait sale. Sans compter l’angoisse de passer la nuit dans une forêt du fin fond du Finistère…La jeune femme chercha une étoile du regard à travers l’épaisse frondaison. Lorsqu’une petite lumière brilla devant ses yeux, elle tenta d’en capter l’énergie apaisante. Bientôt apaisée, elle ferma les yeux, bercée par la respiration lente de Laure. La fatigue lui tournait la tête et une chaleur improbable commençait à la gagner. Céline s’imagina dans un lit aux draps blancs et chauds, lovée dans les bras d’un homme. Elle dut refréner un soupir d’aise, que ses instructeurs n’auraient pas trouvé tout à fait réglementaire, lorsque le bel inconnu la serra plus fort contre lui avant de lui caresser la nuque en lui susurrant des mots doux…Enfin endormie, son inconscient eut le bon goût de continuer sur sa lancée. Elle rêva que les mains du jeune homme se faisaient plus baladeuses, pétrissant ses fesses musclées de sportive pendant qu’il l’embrassait passionnément. Céline se retourna dans son sac de couchage lorsque son rêve lui mordilla les tétons avant de descendre entre ses cuisses pour un merveilleux cunnilingus.Son amant immatériel la pénétrait avec douceur et fermeté, lorsque Céline fut brutalement arrachée à ses songes. Laure la secouait sans délicatesse, pressée d’échanger son tour de garde. Un peu déçue, elle s’arracha aux bras de Morphée et s’installa du mieux qu’elle pût, lassée à l’avance des trois heures à venir.Laure n’eut pas les mêmes difficultés à s’endormir et Céline perçut rapidement un léger sifflement. Elle repensa à son rêve dont chaque détail lui paraissait réel. La jeune femme se mordit les lèvres en espérant ne pas avoir eu des soupirs ou des paroles explicites dans son sommeil. Accoudée au bord du trou, elle regretta de ne pas avoir pu aller au bout d’un songe si agréable. Elle tenta d’en ressaisir le fil et s’amusa de constater que ce genre de pensées était un moyen assez efficace de passer le temps. Elle jeta un coup d’œil rapide à sa coéquipière, profondément endormie. Le cœur battant, elle fit sauter la boucle de son ceinturon et glissa une main fébrile et glacée dans sa culotte.Céline se caressa lentement dans la nuit noire, massant son clitoris et ses petites lèvres chaudes. La sensation était douce et agréable, mais elle aurait préféré avoir un homme pour elle, tout à elle, qui lui aurait passionnément fait l’amour. Voilà déjà près de six mois que son copain l’avait laissé tomber et qu’elle n’avait pas eu le moindre rapport sexuel.Arrivée à l’école, Céline avait fait la connaissance de nombreux garçons, mais les relations étaient étroitement surveillées par les officiers et la plupart d’entre eux étaient de toute façon en couple. Elle avait déjà rêvé deux ou trois fois d’Anthony, le beau gosse de la caserne. Trop beau pour elle, c’est en tout cas ce qu’elle avait conclu. Céline garda l’image du jeune homme pour se caresser encore quelques instants. Pas d’orgasme, simplement une sensation de bien-être.La nuit se déroula sans encombre et, lors de son deuxième sommeil, Céline trouva enfin un repos réparateur. Lorsque le jour perça à travers la frondaison, elle était à nouveau de garde, Laure toujours endormie à ses côtés. Personne ne les avait trouvées, l’exercice était une réussite.Céline grimpa hors du trou et s’étira au soleil. Ses vêtements lui collait à la peau et pesaient des tonnes. Céline jeta un coup d’œil à sa montre et fit la moue lorsqu’elle comprit que la douche ne viendrait pas avant une petite trentaine d’heures. Elle réveilla Laure qui émit un grognement avant de rouler de l’autre côté et de commencer à rassembler ses affaires. Le prochain point de rendez-vous se situait à 14 km au nord-est, et il faudrait bientôt partir.Laure ne s’était toujours pas levée alors que Céline était prête. Elle secoua son binôme plus énergiquement dans l’espoir d’activer les choses et lui annonça qu’elle allait pisser, mais qu’à son retour, il faudrait partir.La jeune gendarme s’éloigna un peu et disparut derrière un arbre. Elle défit rapidement son ceinturon et s’accroupit. Alors qu’elle finissait de se soulager, Céline entendit un bruit d’eau en contrebas. Elle se glissa entre les arbres et aperçut un petit cours d’eau une cinquantaine de mètres plus loin. Arrivée au bord, elle mit sa main dans le courant. L’eau était froide, mais moins qu’elle ne l’aurait cru. Elle tenta maladroitement de nettoyer la boue de ses bras et de ses vêtements à l’eau claire puis resta quelques instants à contempler son reflet. Après quelques secondes d’hésitation, elle retira rapidement ses rangers, son pantalon de treillis et sa veste. Elle vérifia rapidement que personne ne pouvait la voir, avant que culotte et soutien-gorge ne rejoignent le reste de ses vêtements. Entièrement nue, elle se glissa rapidement dans l’eau en frissonnant.L’onde courait sur sa peau, faisant disparaître stress et fatigue. Céline resta même quelques instants la tête sous l’eau, coupée du monde extérieur. Après quelques instants, le froid commença à la gagner et Céline dut remonter sur la berge. Le soleil perçait la frondaison, et la jeune femme s’étira en douceur dans la chaleur relative du jour naissant. Elle commençait à rassembler ses affaires lorsqu’elle perçut les bribes d’une conversation. Céline se sécha rapidement et se rhabilla, sans prendre le temps de remettre son soutien-gorge qu’elle fourra dans une poche, mais personne ne vint la surprendre. Rassurée, elle remonta vers le campement de fortune où Céline était enfin prête à partir.— Ben, tu devais avoir sacrément envie de pisser ! Un peu plus et je descendais te chercher, moi !— Oui, je sais, je suis restée un peu au bord de l’eau, y’a une rivière en bas.Sans plus de commentaire, Laure sortit carte et boussole et annonça la direction à suivre. L’exercice de jour était un exercice d’orientation et les deux jeunes femmes n’avaient plus à craindre d’être découvertes. Arrivée près d’un chemin forestier, elles décidèrent d’emprunter celui-ci pour économiser leurs forces. Une heure plus tard, elles décidèrent de s’arrêter quelques instants pour avaler un morceau. Assises sur leur sac, elles entamaient à pleines dents une partie de leur ration du jour, lorsqu’un autre binôme apparut sur le sentier. Alors qu’ils se rapprochaient, Céline reconnut Julien, un ancien pompier plutôt sympa, et le fameux Anthony. Bien décidée à ne plus penser à ses rêves de la nuit dernière, Céline les accueillit néanmoins poliment et les invita à se joindre à eux. Seul Julien répondit :— Merci, c’est vrai que je boufferais bien un truc, moi aussi !Dès que le maigre petit déjeuner fut avalé, les deux groupes reprirent une marche commune vers la prochaine balise. Laure marchait en tête, toujours armée de sa carte, accompagnée de Julien, tandis que Céline marchait côte à côte avec Anthony. La jeune femme s’efforçait de ne pas regarder l’élève-gendarme pour ne pas réveiller ses fantasmes et, heureusement pour elle, ce dernier marchait en silence. Cependant, après quelques dizaines de minutes, il se tourna vers elle :— Elle était bonne, au fait ?Céline sentit son cœur accélérer dans sa poitrine. De quoi pouvait-il parler, sinon de son bain matinal ! La question arracha un pouffement à Julien, qui confirma les craintes de la jeune femme. Ces voix qu’elle avait entendues en sortant de l’eau devaient être celles des deux garçons, et s’ils l’avaient reconnue, cela signifiait sans doute qu’ils l’avaient bien vue. Céline comprit que feindre l’incompréhension ne ferait que prolonger une discussion pesante. Elle tenta d’acquiescer en présentant un sourire détendu et pria pour qu’Anthony cesse d’aborder le sujet.Après quelques kilomètres de marche sur la route, les quatre jeunes gens durent s’enfoncer à nouveau dans la forêt, ce qui ralentit considérablement leur progression. Alors qu’ils devaient marcher en file indienne sur une pente, Céline devina derrière elle le regard d’Anthony qui s’attardait sur elle. Son cœur se soulevait dans sa poitrine et elle sentit ses seins, libérés sous son pull, durcir au contact du coton. Perdue dans ses pensées, Céline ne vit pas la pierre sur laquelle son pied glissa. Déséquilibrée, elle tomba en arrière et Anthony dut retenir sa chute en passant un bras autour de sa poitrine, n’hésitant pas à en profiter pour poser sa main à hauteur du sein gauche de Céline. Ce contact indiscret arracha un soupir à la jeune femme qui resta interdite quelques instants :— Tu manques d’équilibre, ma grande ! Fais attention.— Oui… je… merci.Céline tenta de se remettre droite, mouvement qu’Anthony accompagna en la poussant de sa main libre d’une pression assurée… sur ses fesses. Céline se retourna et le regarda surprise. Le jeune ne réagit qu’en lui adressant un sourire conquérant. Désarmée, elle aurait voulu pouvoir s’énerver contre cette arrogance, mais elle s’avoua vite que cette attitude de macho l’excitait un peu, venant d’un si beau garçon.Les quatre élèves-gendarmes arrivèrent au point de rendez-vous en fin d’après-midi. Après avoir signé la feuille de passage et assuré leurs instructeurs qu’ils étaient aptes à passer une dernière nuit dehors, ils partirent à la recherche d’un endroit où s’installer. Après s’être éloigné du point de rendez-vous, Julien s’arrêta et demanda à ses camarades :— Bon, qu’est ce qu’on fait alors ? On reste ensemble, ou quoi ?Laure prit un air ennuyé :— Ben, on risque d’être plus facile à trouver à quatre que juste à deux… D’un autre côté, c’est sûr que ça réduit les tours de garde !La fatigue aidant, ce dernier argument sembla emporter l’adhésion de tous. Le groupe marcha jusqu’à ce que la nuit commence à tomber mais finit par trouver une petite cuvette naturelle qui leur permettrait de moins creuser. Vite installés, ils partagèrent leur dernier repas de campagne dans une ambiance assez détendue. Celui-ci terminé, Julien ramassa quatre brindilles et proposa de tirer au sort les tours de garde. À quatre, un tour de deux heures pour chacun serait suffisant. Anthony dut assurer le premier tour, suivi par Céline, Laure et Julien.Céline s’installa comme elle put. Il faisait plus froid que la veille et elle grelottait dans son sac de couchage. Jetant un coup d’œil à Anthony, elle crut que ses fantasmes allaient la tarauder à nouveau, mais la fatigue fut cette fois la plus forte.Deux heures plus tard, Céline fut tirée de son repos par la main d’Anthony caressant sa joue. Encore dans les vapeurs du sommeil, elle saisit la main et la serra sur sa joue en soupirant :— Eh ben ! T’es particulièrement gentille au réveil, pour une fille !Le propos moqueur d’Anthony réveilla la jeune femme pour de bon. Rouge de confusion, elle bredouilla quelques mots incompréhensibles et s’extirpa de son sac de couchage. Céline but une gorgée d’eau pour se réveiller et prit la place d’Anthony pour tenir sa garde.À peine dix minutes plus tard, elle vit Anthony se relever et venir s’asseoir à ses côtés :— Pff j’suis tellement fatigué que j’ai les nerfs qui m’empêchent de fermer l’œil, c’est con !— Bah ! Ça va venir et en attendant, ça me fait de la compagnie…— Peut-être mais il ne faudrait pas qu’on parle trop dans la nuit. C’est un coup à se faire repérer par les chefs.Un peu déçue, Céline ne répondit rien, et fixa à nouveau la nuit. Anthony était assis tout contre elle et la jeune femme pouvait sentir sa respiration. Sans attendre, le garçon passa son bras autour de sa taille et la serra contre lui. Céline se laissa faire, mais ne prononça pas un mot. Anthony posa une main sur sa joue et tourna son visage vers le sien avant de déposer un baiser glacé sur ses lèvres. Céline était incapable de réagir, les yeux fermés elle resta à attendre la suite, qui vint sous la forme un baiser plus long et plus passionné. Cette fois, elle rendit le baiser, se serrant un peu plus contre le jeune homme. Toujours assis contre la paroi de terre, Anthony attira Céline devant lui et l’installa entre ses jambes. Désormais assise contre la poitrine d’Anthony qui la serrait dans ses bras, elle sentit qu’il lui picorait la nuque de petits baisers qui lui arrachaient des soupirs d’aise.Après quelques minutes de petits câlins dans la nuit noire, la main droite d’Anthony lâcha les hanches de Céline pour venir ouvrir sa veste. Malgré le froid, Céline se laissa faire et ne réagit pas non plus lorsque la main poursuivi son intrusion en se glissant sous son pull. La main d’Anthony lui parut gelée lorsqu’elle vint caresser la courbe de son sein gauche et elle ne put retenir un petit cri.— Pas de soutien-gorge, ma belle ? Tu devais être un peu pressée ce matin en sortant du bain…— Si ça te dérange, je peux le remettre, il est dans ma poche.Pour toute réponse, Anthony préféra lui mordiller le lobe de l’oreille, tout en jouant avec le téton dur et glacé. Céline tenta de se retourner pour embrasser son nouvel ami, mais celui-ci en profita pour l’allonger au sol. Accroupi au-dessus d’elle, il remonta son pull au-dessus de ses seins blancs qu’il caressa d’une main ferme. Se penchant vers elle, Anthony déposa un long baiser sur ses lèvres, avant de laisser glisser ses lèvres vers son cou, le creux de sa poitrine, puis son ventre musclé et chaud. Le jeune homme poussa sa fortune en défaisant d’un geste assuré la ceinture de Céline qui cambra les reins pour que son pantalon puisse glisser vers ses chevilles. Sa petite culotte allait suivre le même chemin quand un bruit brisa le silence de la nuit. Le souffle coupé, Céline et Anthony se figèrent, prêts à reprendre en catastrophe une tenue plus décente. Céline savait que si les instructeurs les surprenaient, l’exercice serait un échec, mais s’ils les surprenaient dans cette tenue, leur avenir à l’école serait carrément compromis.Après quelques longues secondes, un nouveau bruit leur parvint, mais les deux jeunes gens l’identifièrent immédiatement comme étant un grognement sonore de Julien. Anthony adressa un sourire complice à Céline qui n’osa pas prononcer le moindre mot, craignant que le moment de grâce ait été brisé par cette interruption. Instinctivement, elle posa sa main sur la joue du jeune homme qui la regardait fixement. Ce simple geste sembla redonner la vie à ce dernier, qui reprit ses attouchements. Glissant ses doigts sous l’élastique de la culotte, il tira celle-ci vers le bas, Les cuisses serrées de Céline la retinrent quelques instants, avant qu’elle ne dévoile inéluctablement la fente rose sombre, surplombée de quelques poils noirs frisés.Anthony déposa un baiser sur le pubis de Céline, à quelques millimètres seulement de son sexe. La jeune femme frissonna de désir et sentit une chaleur l’emplir malgré la fraîcheur de la forêt. Sans attendre, le jeune homme glissa sa langue entre les deux lèvres chaudes puis joua avec le clitoris gonflé. Céline devait prendre sur elle pour ne pas pousser de petits cris susceptibles de réveiller Laure et Julien, mais rien ne l’empêchait d’onduler de plaisir sur le sol de la forêt. Après quelques minutes de cunnilingus, Anthony se releva et déboucla son pantalon, faisant jaillir son sexe sans se déshabiller. Céline se remit en position assise fit courir ses doigts sur la verge encore molle. Lorsqu’elle la décalotta, un petit filet de liquide lui colla au doigt, révélant l’excitation du garçon. Céline prit le sexe en bouche et le sentit grossir sous les mouvements de sa langue. Le garçon accompagna les mouvements de Céline en posant une main sur sa nuque puis au bord de l’extase, se retira en expirant bruyamment.Céline se rallongea sur le sol froid et commença à caresser ses seins, comme un appel à être prise. La jeune femme manqua de se vexer lorsqu’elle vit son amant regarder sa montre dans un rayon de lune, mais elle comprit que le temps fuyait et que son tour de garde se terminait bientôt. Anthony l’embrassa tendrement, ce qui était rare chez un garçon après une fellation, puis tourna Céline presque sans effort pour la poser sur les genoux. La jeune femme aimait assez la levrette et savait qu’avec le pantalon lui serrant les chevilles, les positions étaient limitées. Céline cambra les reins pour tendre vers le ciel ses fesses musclées et blanches, piquées de grains de beauté noirs. Ses seins pendaient sous elle et elle s’amusa à les faire balancer de droite à gauche pour inviter Anthony à venir en elle. Anthony enfila adroitement un préservatif dont il prit soin de ranger l’emballage dans sa poche. Agenouillé derrière Céline, il fit glisser son gland sur la chatte entrouverte avant de pénétrer la jeune femme assez brusquement. Céline ne put retenir un cri et les deux amants restèrent un instant interdits, guettant le moindre bruit leur parvenant des deux dormeurs.Rien ne venant troubler le silence de la nuit, Anthony agrippa fermement les hanches de Céline et commença à aller et venir en elle sur un rythme soutenu. La jeune femme manquait de s’écrouler à chaque coup de reins et ses seins se balançaient sous elle dans tous les sens, s’entrechoquant l’un l’autre. Anthony stoppa ses mouvements de va-et-vient, laissant Céline bouger et s’empaler seule en rythme sur sa verge, et malaxa ses fesses jusqu’à leur faire prendre une couleur délicatement rosée. Il posa ensuite sa main gauche sur l’épaule de Céline et reprit ses coups de reins ravageurs. Céline ne sentait plus ses genoux posés le sol froid et, quelques minutes plus tard, elle tomba le visage au sol quand l’orgasme lui arracha un râle de plaisir. Anthony claqua sèchement ses fesses déjà endolories puis se retira après avoir éjaculé. Il retira son préservatif et le glissa sous un fourré avant de relever Céline.Le pantalon sur les chevilles et le pull dégageant toujours ses seins encore durs, Céline se serra presque nue dans les bras de son amant, qui déposa un baiser délicat sur sa nuque tiède. L’air froid de la nuit glissait sur les fesses et les cuisses de la jeune femme, mais rien ne pouvait la détacher, pour quelques minutes encore, des bras vigoureux où elle s’abandonnait.