Faits divers.Prise sous un éboulement.En l’absence de son mari en déplacement, Linda se retrouve chez Samir, son jeune amant. Samir habite une cité, ou la racaille côtoie les bandes rivale, et les dealers. Ce qu’il n’altère en rien, la teneur torride de leur rapport. Linda a trouvé en cet amant, le sexe, mais aussi l’envie de s’offrir à un autre homme que son mari.C’est en sortant de la douche qu’une violente explosion fit trembler le bâtiment, jusqu’à faire s’écrouler la plancher du premier étage.Linda et son amant sont entraînés dans le vide, et se retrouvent coincé sous les décombres. Linda est surprise par la rapidité d’intervention des secours. En effet, à peine les gravats stabilisé, qu’au loin, des lampes torches apparaissent.Linda se trouve coincé, une poutre en travers le corps. Même si elle n’est pas en contact, elle l’empêche de se lever. Ses jambes, elles, sont couvertes de gravas, mais sans conséquence grave. Son amant, lui, gît pas très loin d’elle, il a perdu connaissance. De par la soudaineté de l’explosion, elle ne pu me vêtir que d’un peignoir. Elle voit avec soulagement, les lampes torches s’approchaient. L’attente des secouristes n’a pas été très longues.Deux homme s’agenouillent près d’elle, ouvre le peignoir.- Pouvez-vous bouger vos jambes, madame. Avez-vous mal à cet endroit ?Voyant que Linda n’a aucune réaction, une main remonte entre ses cuisses, caresse la chatte, excite son clitoris, qu’elle extrait de sa peau protectrice.- Et là, madame ?Aucun son ne sort de ma bouche, mais un intense désir envahit tout son être. Elle sens un doigt tournoyer à l’extrémité de mon petit bouton, et ne peux retenir un léger gémissement. Elle ferme les yeux, ouvre la bouche.- Mais…que faites-vous ?- C’est pour vous soulager, madame.C’est à ce moment que la jeune secouriste demande à son acolyte, se soulever la tête, d’ausculter les cervicales .Voyant la bouche ouverte, l’homme amorce un prélèvement de salive, puis, ni une, ni deux, sort sa queue, et l’enfonce dans la bouche de Linda. Elle sent la bite se décalotter au passage de ses lèvres, se durcir quand il entame de lent va et vient.Entre ses cuisses, le doigté s’accélère sur son clito, de même les deux doigts qui branlent sa chatte. Soudain, après une intense pénétration, elle atteint l’orgasme, dans des cris démesurés. Les deux intervenant jouissent ensemble, un dans la bouche, l’autre dans la chatte, puis se retire.C’est au même moment que, lampes torches fixées sur leur casque, les secouristes interviennent. « Y a quelqu’un…manifestez-vous…»Dans un premier temps, Linda refuse, pensant à la première intervention, ou les sauveteurs l’avaient baisée, doigtée et branlée. Mais la nouvelle équipe de secouriste la rassure, en lui disant que c’était des faux sauveteurs, et qu’ils s’étaient fait surprendre en train de sodomiser un jeune couple. C’est le jeune marié qui, en hurlant de douleur, a attiré l’attention des secouristes, tandis que sa jeune épouse jouissait à côté de lui.Linda se sent soulager, mais reconnaît avoir pris énormément de plaisir lors de la première intervention.Randonnée en montagne.Rien ne laissait prévoir, en cette chaude journée d’Août, qu’un orage allait éclaterCindy, jeune monitrice de vingt huit ans, a juste le temps d’envoyer un baiser à son fiancé quand la communication fut soudainement coupée. Elle avait cinq jeunes gerçons, de seize à dix huit ans, sous sa responsabilité. Suite à une glissade, elle dévissa dans une veine creusée par l’eau. Arrivé au bout du ravin, elle poussa un cri de douleur. Deux jeunes randonneurs se précipitèrent à son secours, et la transportèrent au gîte. Ils lui retirèrent sa combinaison toute trempée. Les garçons, à leur tour, ôtèrent leur vêtement. Cindy de retrouvait en soutien-gorge et en short devant ses élèves.Pendant que certains s‘occupaient du feu, et de faire sécher les habits, l’un d’eux, Dan, qui avait quelques notions de secourisme, commença à l’ausculter.Il ne pu qu’admirer la corps superbe de la monitrice.Il commença à lui masser les chevilles, les faisant tourner à la recherche d’une éventuelle douleur. Puis il remonta sur les cuisses, marqua un temps d’arrêt. Cindy avait les yeux rivé sur un endroit précis de l’anatomie du jeune garçon, ou par entrebâillement de son short, apparaissait son sexe. Elle en rougit de honte.- Ça va madame ?- Heu…oui…mais, c’est plus haut que je ressens…comme une démangeaison…Dan ne se démonte pas, et glisse sa main dans l’échancrure du short, arrive au contact de la chatte. Cindy ferme les yeux, prend appuie sur ses coudes. Dan, s’il n’est pas expérimenté, sait ce qu’aime les femmes. Il creuse le sillon de la fente, atteint le clitoris. Cindy pousse un léger gémissement, tente de saisir la queue de son sauveur. Les autres participants ont compris et quittent le gîte.Le jeune sauveteur, dégrafe le soutien-gorge, ôte le short-y, tandis que Cindy lui baisse le caleçon. Les voila tout les deux entièrement nus, les yeux dans les yeux. Dan saisit le visage de Cindy, lui donne un tendre baiser.Ils s’allongèrent sur une couverture, se rapprochèrent l’un de l’autre. Leurs mains partirent à la découverte de leur corps. Cindy rampa sur le torse imberbe du jeune homme, jusqu’au bas vente. Elle fut agréablement surprise de trouver une queue au dessus des normes. Elle la prit délicatement en bouche.Dan était en extase, il ne pensait jamais recevoir autant d’attention de la part d’une aussi jolie femme. La relation fut torride, Cindy oubliant bien vite son fiancé, dans les bras de son sauveur. Plus expérimenté, elle emmenait le jeune garçon dans ses délires érotiques, battant la mesure de leur rapport. Cette nuit là, Dan connu tout, baiser une chatte bien mouillée, mais aussi le plaisir de la sodomie quand Cindy lui offrit son petit trou. Il faillit mourir, quand la jeune monitrice pris sa queue en bouche, et lui tailla une pipe d’enfer. Il fut encore plus surpris, quand il la vit avaler son sperme.A l’extérieur, abrités sous une toile, les autres se contentaient d’entendre Cindy, leur monitrice, hurler de plaisir.Lune de miel écourtée.Un dérapage inexplicable, un choc terrible, l’ingrédient pour saboter un voyage de noces. Dieu merci, pompiers et gendarmes arrivèrent vite sur les lieux. Marlène était sans connaissance, la tête appuyée contre le vitre, yeux fermés, bouche entre ouverte. Denis son époux, était plus gravement atteint, et avait été héliporté au urgence. Une fois désincarcérés par de puissantes cisailles, Marlène suivit le même chemin. Bien évidemment, sur le trajet, Marlène était prise en charge par des infirmiers. A l’aide de ciseaux, ils déchirèrent la robe, et s’aperçurent avec stupeur, qu’elle ne portait aucun vêtement dessous.,Les infirmiers restèrent scotchés en découvrant le corps superbe de la jeune mariée. Des jambes parfaites, des hanches parfaitement dessinées, ses seins magnifique, bien ferme, incroyablement dressés, aux bout saillant. Une vrai bombe, malheureusement endommagée par ce stupide accident, du à une chatte mal branlée. En effet, un des infirmiers remarqua une légère sécrétion suinté de la fente.- Le salaud, il était en train de lui caresser la chatte. C’est pour à qu’il s’est planté.- C’est sur…Mais je sais pas s’il la faite jouir. Elle n’est pas franchement mouillée.- On peut finir le travail avant qu’elle ne se réveille, dit Rémi.- Tu peux t’y coller ? Répond Yves…je vois que sa bouche est entre ouverte…- Enfonce lui ta queue, sourit Rémi, branle toi dans sa bouche. Je vais m’occuper de la chatte…je bien la bouffer.- Ouais…mais tu crois va réagir, se demande Yves…qu’elle pourra avaler.- Mais bien sûr…elle va pas s’étouffer.Ni une ni deux, Yves sort sa queue, la branle pour la faire durcir, et la glisse dans la bouche de Marlène. La bite en érection se décalotte entièrement, eu passage des lèvres. Il entame de lent va et vient, et au mouvement d’aspiration de la jeune femme, Yves comprends qu’elle est parfaitement lucide. Mieux, c’est elle même qui, d’une main ferme, saisit la bite, et la fait aller et venir dans sa bouche.Soudain, la jeune mariée se cambre sur le brancard, prise de spasmes suivi d’un puissant orgasme, qui la fait hurler de plaisir. Rémi sent la cyprine envahir sa bouche, s’en abreuve avec délectation. C’est à ce moment que Yves se tend comme un arc, tandis que sa queue est totalement aspirer par la jeune accidentée. La jeune mariée ferme les yeux, apprécie cet instant, ou Yves se vide les couilles au fond de sa gorge. Ce dernier estime qu’elle est bien lucide, quand il voit le façon dont sa langue lui nettoie le gland. La jeune femme ouvre les yeux, et leur envoie un de ses plus beaux sourire.- Oh…mes sauveurs…que du bien me faites-vous. Je sens ma petite chatte toute mouillée, et un succulent goût de sperme dans ma bouche. Et mon mari…ou est-il ?- Il est au urgence madame. Il en a pour quelques jours.- Quand à vous, dit Yves, c’est superficiel. Après examens vous pourrez sortir ce soir.- Mon dieu, il me faut trouver un hôtel pour la nuit, et je ne connais pas la région.- On peut s’en occuper madame, dit Rémi, il y en a un tout tout proche de l’hôpital.- Mon dieu, je vais être toute seule..et s’il m’arrive une malaise, qui dois-je appeler.Un long silence s’installe dans l’ambulance, quand Marlène propose.- Ne pourriez-vous pas passer la nuit avec moi…surveiller mon état en quelques sorte.Les deux infirmiers se retirent à l’extérieur de l’ambulance. A travers la porte entre ouverte, elle les voit discuter entre eux. Il reviennent au bout de cinq minutes.- D’accord, on viendra, dit Yves. Nous avons avertis nos épouses que nous étions de garde cette nuit.- Donc, vous pourrez passer la nuit avec moi…vous ne le regretterez pas. Je ferez monter du champagne pour fêter ça. Par contre, je n’ai plus de vêtement, et vais être obligé de rester nue, ça ne vous dérange pas ?- Pas du tout, madame, pour vous mettre à l’aise, nous nous mettons nus nous aussi.- J’ai hâte d’y être, sourit Marlène.Elle surtout hâte de ses faire baiser par deux grosses queues, ce qu’elle n’aurai pas connu pour sa nuit de noces, se contentant, d’après elle, de la bite ridicule de son mari.Suspendue contre une falaise.C’est un coup de fil troublant que reçoit les secouristes de la sécurité civile. Un jeune marié serait coincée, suspendue par un filin contre la paroi d’une falaise. Aussitôt prévenu, un hélicoptère est envoyé sur zone. Une fois repérée la jeune femme, l’appareil se stabilise au dessus d’elle, et Dan, un sauveteur entame une descente en rappel.Arrivé près d’elle, il découvre une femme d’une beauté exceptionnelle. Elle est vêtue d’un short en jean’ moulant, de rangers et d’un haut en jean’ également. – Cela peut aller, madame…ou avez-vous mal…- Partout, monsieur…ma poitrine, les hanches, mes fesse.- Mais pourquoi s’attaquer à cette falaise. C’est une des plus difficiles.- C’est un ami qui nous a ça, en cadeau de mariage.- Ben dis dons, cadeau empoisonné pour une lune de miel.Dan remarque que les habits sont endommagés. Pour découvrir d’éventuelles lésions, le secouriste est obligé de tailler dans la tenue vestimentaire de la jeune femme. A peine a-t-il dégrafer le haut, que deux superbes seins lui jaillissent à la figure. Le maigre habit finit au pied de la falaise. Puis il s’occupe du short, qui même plus costaud, a d’importantes déchirures, et cache, peut-être, quelques contusions. Avec des ciseaux, Dan entreprend de le découper. Il s’aperçoit avec surprise, que la jeune femme ne porte pas de culotte. Puis le short prend le même chemin que le haut en jean’, au pied des la falaise. La jeune mariée se retrouve entièrement nue devant le beau secouriste. Et ce dernier n’est pas insensible à la beauté de la jeune femme. Il se balance pour s’éloigner de la falaise, pour mieux admirer son corps de rêve, puis revient se coller presque à elle.- Vous ne portez pas de culotte, madame,- J’ai pas eu le temps d’en mettre. J’étais en train de me faire baiser par le copain de mon mari, quand que celui-ci est venu nous chercher. Je me suis habillée à la va vite. D’ailleurs, vous pouvez constater que ma petite chatte est toute mouillée. Le pire, c’est que je n’ai même pas eu le temps de jouir.En professionnel, Dan entame son auscultation. Il palpe les seins, à la recherche d’une éventuelle grosseur, puis saisit les bourgeons qu’il fait rouler entre ses doigts.- Avez-vous mal madame, quand je vous touche.- Oh non, monsieur, bien au contraire, ça me détend.Le ventre suit le même traitement, puis la visite arrive aux points sensible de l’anatomie d’une femme. Effectivement, les lèvres intimes sont bien humides, prouvant qu’une bite s’y était logée il y a peu. Avec deux doigts, Dan saisit le clitoris, qu’il décalotte et qu’il doigte, pour voir la réaction de petit organe ainsi libéré.- Sentez-vous quelque chose, madame…- Juste un petit chatouillement,…- Attendez, je vais essayer avec ma langue…ça va mieux comme ça ?- Oh oui monsieur…c’est bon ce que vous faites à mon petit bouton…hum…- C’est uniquement pour voir s’il réagit aux caresses. Je vois que c’est le cas ;Dan tire sur la sangle, jusqu’à ce que son sexe soit à la hauteur de la chatte de la jeune mariée. Il sort sa queue, et la pénètre. La jeune femme ne peut retenir un cri de plaisir.- Ouah…elle est grosse vôtre bite…oh oui, baisez-moi, c’est bon…je vais jouir…- Attendez, madame, je vais essayer ailleurs…vous allez aimer aussi…Dan se retire, et guide son énorme queue vers le petit trou de la jeune épouse.- Oh mon dieu…mais vous m’enculez…je n’ai jamais subi une pénétration pareille.- Tant mieux si vous aimez. Maintenant, je vais remonter, et vous allez me sucer.Dan tire une nouvelle fois sur les sangles, jusqu’à ce que sa queue soit au niveau de la bouche de la jeune mariée. Celle-ci lui taille une pipe d’enfer, jusqu’à ce qu’il éjacule dans sa bouche. Elle avale tout, et nettoie la bite du sauveteur, quand celui-ci se retire.- Petite salope…nous allons descendre maintenant.- S’il vous plaît, monsieur, j’aimerais descendre ma petite chatte empalée sur vôtre grosse queue…je voudrais jouir encore une fois.Dan prend la jeune mariée par les hanches, et la fait coulisser sur sa bite. La descente fût lente et interminable, au point que la jeune épouse atteignit plusieurs orgasme.Arrivée au sol, elle tombait dans les bras de son mari, qui la couvrit d’une couverture.