Pour ceux qui ont lu ma première expĂ©rience zoophile, je vous propose dans ces lignes de dĂ©couvrir un de mes phantasmes qui depuis hantent mes nuits. Etant d’un tempĂ©rament très ouverte Ă la discussion, j’ai voulu entrebâiller pour vous, la porte de mon jardin secret. Mon ami vient de m’ordonner de me dĂ©shabiller, je m’exĂ©cute, je sais que je peux avoir totalement confiance en lui, d’autant plus que ce n’est pas la première fois que je me retrouve nue face Ă son imagination dĂ©bordante. Je me demande alors, quel sort il me rĂ©serve pour satisfaire ses instincts pervers. Mon Ă©tonnement est d’autant plus grand, quand je m’aperçois qu’il tient dans une de ses mains une paire de menottes et un bandeau, sortie de je ne sais oĂą ! Les mains liĂ©es dans le dos, les yeux bandĂ©s, il m’entraĂ®ne dans les toilettes et m’y enferme. Durant quelques minutes j’entends du bruit dans la maison puis, le silence se fait, j’éprouve de la crainte, j’ai presque peur, pourtant je suis Ă l’intĂ©rieur de notre domicile. Le temps me paraĂ®t long, je cogite, jamais je me suis retrouvĂ©e dans une telle situation, je me demande Ă quoi il joue ? Une heure, peut-ĂŞtre plus s’Ă©coule, j’ai perdu la notion du temps, quand du bruit se fait Ă nouveau entendre. Les pas s’approchent de mon lieu de captivitĂ©, une clĂ© s’agite dans la serrure, la porte s’ouvre. Je ressens comme un soulagement vite Ă©teint, quelque chose me dit que je n’ai pas affaire Ă mon compagnon. Je suis pĂ©trifiĂ©e de peur, je n’ose prononcer un mot, qui peut bien ĂŞtre devant moi, jamais je me suis trouvĂ©e dans pareille situation. L’inconnu me fixe un collier autour du cou, et tenue par une laisse me tire au dehors, au risque d’ĂŞtre vue. Sans parole, me fait asseoir dans un vĂ©hicule et s’installe au volant. Avant de dĂ©marrer, il en profite pour me peloter les seins sans mĂ©nagement. Le trajet me semble interminable jusqu’au moment oĂą mon conducteur stoppe la voiture. Empoignant Ă nouveau la laisse, il me conduit Ă l’intĂ©rieur d’une bâtisse, et lĂ , tout s’enchaĂ®ne très vite. Des voix d’hommes ricanent, osent enfin s’adresser Ă moi, me commandent de m’agenouiller et d’ouvrir la bouche. J’ai compris oĂą ils veulent en venir, je suis comme dans un rĂŞve. Je ne comprends plus rien Ă rien, une verge se glisse entre mes lèvres, instinctivement je me mets Ă la sucer. Je sens des regards posĂ©s sur moi, des mâles m’encerclant, des sexes me frĂ´ler. Des insultes sont profĂ©rĂ©es Ă mon encontre, en quelques minutes je ne suis plus qu’une salope, une pute. Dès lors, les bites se succèdent dans ma bouche, je lèche, pompe, avide de recevoir la rĂ©compense au fond de ma gorge. J’en oublie la rĂ©alitĂ© du moment, je suis prise dans un engrenage, je n’ai qu’une envie, donner et recevoir. Mon intimitĂ© s’humidifie, je n’existe plus que par ma perversion. Du sperme gicle sur mon visage, me tapisse le palais, j’avale sans broncher. Nettoyant bites et couilles. Je suis prĂŞte Ă toutes les dĂ©pravations, je n’existe que dans le plaisir. Le pire ou plutĂ´t, le meilleur est Ă venir. J’obĂ©is Ă tout les ordres qui me sont soumis, et quand on me demande de me mettre Ă quatre pattes pour me faire grimper par un chien, je ne rĂ©flĂ©chis mĂŞme pas Ă la dĂ©chĂ©ance qui m’attend, je me positionne comme une chienne. On me libère des menottes, mais je ne cherche mĂŞme pas, alors, Ă Ă´ter mon bandeau des yeux. On commence par enduire mon visage de crème, puis ma poitrine, mon vagin, mon anus, tout y passe. Le chien, dont j’ignore la race est amenĂ© près de moi, je sens son souffle chaud, son odeur de bĂŞte en rut. Je n’hĂ©site pas Ă tendre mon visage vers lui, pressĂ©e d’obtenir ses premiers coups de langue. Il me lèche, me trempe de sa salive, tandis que mes mains explorent son bas-ventre. Je n’ai pas Ă le masturber longtemps, son sexe est dĂ©jĂ en partie hors de sa gaine, je vais jusqu’Ă lĂ©cher mes doigts. Visiblement, mon entourage n’attend qu’une chose, que je me fasse saillir, j’en ai pour preuve leurs encouragements obscènes. Je me rends bien compte que je suis Ă la limite du non retour, mais je m’en moque, le vice m’a dĂ©jĂ emprisonnĂ© dans ses bras. Je cambre mes fesses, impatiente de me faire grimper, prononce mĂŞme mes premiers mots en direction du chien, le suppliant de me couvrir. C’est avec soulagement que je reçois son membre au fond de mon ventre, m’associant au va-et-vient de son bassin. Rapidement, je sens sa queue grossir en moi et sa jouissance Ă©clater au diapason de la mienne. Je gĂ©mis mon plaisir, tandis que les mâles prĂ©sents me souillent la figure de leur semence. Par instant, je percevais leurs injonctions, « Ce n’est qu’une putain, regarde, elle lèche mĂŞme le foutre parterre », « tu as vu, elle est collĂ©e comme une chienne », etc.. J’avais perdu tout contrĂ´le de moi-mĂŞme, et quand on fĂ®t coucher un deuxième animal devant moi, je ne fus pas longue Ă le faire bander, et prendre sa queue entre mes dents. En dĂ©sĂ©quilibre, je parvenais malgrĂ© tout Ă tenir d’une main ses parties gĂ©nitales, faisant jaillir comme un pieu sa bite rouge vif. Je portais alternativement ma langue de sa tige Ă ses couilles que je prenais Ă©galement en bouche, les suçant frĂ©nĂ©tiquement. J’avais oubliĂ© toute prĂ©sence, je n’Ă©tais qu’une pute Ă chiens, soumise Ă la bestialitĂ© canine. Sans hĂ©sitation, j’engloutis totalement le dard canin, pompais avidement celui-ci, attendant la suprĂŞme rĂ©compense. Quand je sentis l’explosion finale, j’activais mon mouvement d’aspiration prĂŞte Ă me remplir ma cavitĂ© buccale de foutre. Soudain, une sonnerie retentit, venue de je ne sais oĂą, qui me fĂ®t sursauter brutalement. Les yeux embuĂ©s, je me retournais, me demandant oĂą j’Ă©tais, et aperçus que mon rĂ©veil indiquait sept heures. Il ne me restait plus qu’Ă me lever et partir au travail.