54 4Recit porno : Fellation gourmande en triolisme avec 2 jolies salopes Corrigé et résumé par Dialogue69 le 03/05/2022Publié le 03/05/2022Fellations entre femmes !
Nous Ă©tions allongĂ©s dans le lit, entièrement nues. ClĂ©mence se serra doucement contre moi. Je mis ma main autour d’elle. Du bout de mes doigts je pouvais sentir la douceur de sa peau, la forme de ces petits seins et la fente intime de son sexe rasĂ©. Soudain, elle plaqua ses fesses contre ma queue. Elle la prit par la main et me guida. Son antre secret et interdit s’ouvrit pour accueillir d’abord mon gland. Puis ma bite très raide pĂ©nĂ©tra entièrement son anus. Elle se mit Ă gĂ©mir. Je me mis Ă faire des va-et-vient. D’abord doucement pour ne pas lui faire de mal. Mais Ă chaque coup, ClĂ©mence Ă©mit un petit cri de plaisir. C’Ă©tait une sensation très excitante de sentir son anus serrĂ© autour de ma queue. Mon mouvement de va-et-vient devint alors de plus en plus rapide. Les claquements de ma chair contre ces fesses dĂ©cuplèrent notre plaisir.
– Humm, c’est bon ! cria-t-elle.
Mon sexe Ă©tait entièrement happĂ© par son anus ouvert. Je la sodomisais avec une force presque sauvage. Au bout de quelques minutes n’en pouvant plus, je me dĂ©chargeai en elle !
Je restais quelques instants contre son cul, ma bite bien au fond de son trou. Puis je me retirai d’elle, observant quelques secondes son anus dilatĂ©. Je dĂ©couvris Ă cet instant que cette jeune femme aimait la sodomie.
– C’Ă©tait la première fois ?
Elle me répondit avec un petit sourire :
– Non !
J’avais dĂ©bandĂ©, Ă©puisĂ© par ce que nous venions de faire. Mais sa rĂ©ponse me provoqua une Ă©rection. Je me mis Ă l’imaginer sur le lit Ă quatre pattes, ces fesses ouvertes et une autre queue labourant son anus.
– Tu aimes le savoir ? Me demanda-t-elle.
– Oui !
Elle me regarda avec ces yeux grands ouverts :
– tu veux savoir d’autre choses ?
– Dis-moi ce que tu as envie !
– J’ai fait des choses avec Myriam !
Myriam Ă©tait sa meilleure amie. Les deux femmes Ă©taient très proches. Mais jamais je n’avais osĂ© imaginer ce qu’elle s’apprĂŞtait Ă me dire.
– Raconte-moi !
– Tu es certains de vouloir l’entendre, c’est chaud !
– Qu’est-ce que tu as fait avec elle ?
Elle me regarda droit dans les yeux, se blottit contre moi et me murmura doucement au creux de l’oreille :
– On s’est occuper d’un mec !
– Occuper ? C’est-Ă -dire, explique-moi.
Je savais très bien ce qu’elle allait me dire.
– On l’a sucer toutes les deux !
Pendant un instant mon imagination se perdit dans un mĂ©lange d’images toutes plus Ă©rotiques les unes que les autres. ClĂ©mence allait me raconter ce qu’elle avait de plus secret dans sa vie de femme. Avais-je le droit d’aller au-delĂ de cette dernière dĂ©claration ? Peut-ĂŞtre pas car il s’agissait d’elle et de Myriam. Mais ces images se bousculaient dans ma tĂŞte et j’Ă©tais curieux.
Quelques instants passèrent et elle se mit à me raconter tout dans les moindres détails.
Je la voyais sucer cet homme avec sa meilleure amie, le pĂ©nis passant de bouche en bouche. Leurs coups de langues mĂ©langĂ©s laissant leur salive sur le phallus en Ă©rection. Mais la rĂ©alitĂ© Ă©tait plus crue, plus hard et plus excitante. Elles le goĂ»tèrent avec dĂ©lectation et se dĂ©couvrirent elles-mĂŞmes. L’envie et l’excitation de se partager une queue leur donnèrent un plaisir immense qu’elles ne surent canaliser qu’en mĂ©langeant leurs corps de femmes. Elles n’Ă©taient plus des amies, mais des amantes. Instant charnel interdit avec ce pĂ©nis pour agrĂ©ment et sucrerie qu’elles continuèrent Ă sucer l’une après l’autre… …Cette histoire commença simplement. La seule chose qui dĂ©notait Ă©tait la tenue sexy que portaient les deux femmes. C’est d’ailleurs ce qui intrigua cet homme chanceux lorsque Myriam lui ouvrit la porte de chez elle. Lorsqu’il pĂ©nĂ©tra dans l’appartement il ne put s’empĂŞcher de les regarder toutes les deux, très Ă©tonner de les voir ainsi vĂŞtus. Ils prirent d’abord un apĂ©ro assez arrosĂ© suivi d’un bon repas. Ă€ cet instant tout semblait soft et banal en apparence.
C’est durant le dessert que commença Ă glisser l’ambiance vers une atmosphère plus tendancieuse. Myriam avait prĂ©vu un fondant au chocolat, et ce n’Ă©tait pas un hasard. Le chocolat dĂ©goulinant servit de prĂ©texte dans des gestes qui n’avaient d’autre but que l’Ă©rotisme et l’excitation. Elle plongea un doigt dans le chocolat puis le donna Ă sucer Ă ClĂ©mence. La jeune femme le regarda quelques secondes avec dĂ©lice puis le lĂ©cha avant de le sucer doucement, simulant une fellation. Elles le firent chacune Ă plusieurs reprises, suçant le doigt dĂ©goulinant de l’autre. Ce geste Ă©tait complètement assumĂ© pour provoquer un dĂ©sir chez lui. Et lui commença Ă se rendre compte que cela n’avait rien d’anodin. Ils les connaissaient toutes les deux depuis longtemps et senti chez elles Ă ce moment-lĂ un dĂ©sir profond de vouloir se dĂ©chaĂ®ner. Le petit jeu des filles devint plus explicite lorsque Myriam se mit Ă lĂ©cher les lèvres de ClĂ©mence pour la dĂ©barrasser du peu de chocolat qu’elle y avait volontairement laissĂ©. Sa langue entrouvrit la bouche chocolatĂ©e et y pĂ©nĂ©tra profondĂ©ment. Leurs deux langues s’entremĂŞlèrent et elles s’embrasèrent avec force et rage. Soudain, Myriam glissa une main sous la table et releva lĂ©gèrement la jupe de son amie. ClĂ©mence la laissa faire et Ă©carta mĂŞme un peu les jambes pour mieux l’accueillir. Ă€ travers son string au tissu très fin, ClĂ©mence pouvait sentir les doigts explorer chaque parcelle de son sexe. Humide d’excitation elle devenait de plus en plus ouverte Ă ces caresses. L’oubliant lui et n’en pouvant plus, elle gĂ©mit de plaisir !
Enfin tout revient normal. Elles se ressaisirent, encore toute émoustiller par ce jeu de doigt chocolaté, de baiser et de caresses secrètes. Lui, les avait regardé sans rien dire. Mais son érection était totale.
– Vous jouer Ă quoi lĂ les filles ! Demanda-t-il, chauffĂ© par leur comportant bouillant.
– On s’amuse juste un peu ! Lui rĂ©pondit Myriam en donnant un lĂ©ger regard Ă sa complice encore toute tremblante.
– Ne me dit pas que tu n’as pas aimĂ© ces petits jeux de chocolat et de langue.
– Heu si ! RĂ©pondit-il.
Myriam lui demanda de la suivre dans la cuisine pour chercher une bouteille d’eau de vie et des verres. Lorsqu’il se leva de sa chaise la bosse gonfler de son pantalon Ă©tait très visible. C’est exactement ce qu’elles cherchaient. Il Ă©tait fin prĂŞt pour la suite. Ils disparurent tous les deux derrière la porte de la cuisine. Les minutes passèrent. Il n’y avait plus aucun bruit dans l’appartement. ClĂ©mence se retrouvait seule, assise sur le canapĂ©. Sa bouche avait encore le goĂ»t du baiser chaud de Myriam. Elle aimait cette ambiguĂŻtĂ© avec elle. Elle aimait ces caresses chaudes, ces doigts, sa bouche !
Myriam rĂ©apparut soudainement au bout de dix minutes. Bouteille et verres Ă la main, elle alla lĂ rejoindre et lui servir une bonne rasade d’eau de vie.
Elles trinquèrent toutes les deux et vidèrent leurs verres d’un coup. Waouh, cela fit tousser ClĂ©mence.
Myriam la regarda, les yeux pĂ©tillants. Elle se rapprocha d’elle et lui dit doucement Ă l’oreille :
– Je l’ai sucĂ© !
Clémence se tourna vers elle :
– Ah oui ? Tu es vraiment une coquine. J’adore ça ! C’est pour le sucer que tu l’emmène dans la cuisine ?
– Oui ! Et il voudrait que tu participes.
– Euh ! C’est chaud lĂ ! Lui rĂ©pondit ClĂ©mence.
– Ce n’est pas le premier mec que tu vas sucer !
– Oh non ! Mais avec toi oui !
Et ce fut Ă son tour de passer la porte de la cuisine. Le jeune homme Ă©tait encore tout perturbĂ© par la caresse buccale, mais ces yeux brillaient du plaisir qu’il venait de recevoir. Les plis de son pantalon dĂ©boutonner laissaient voir la forme de sa queue toujours très bandante. Sa gĂŞne allait bientĂ´t disparaĂ®tre quand Myriam d’un simple geste lui demanda de venir les rejoindre. Il comprit tout de suite ce que cela signifiait. Cela fit sourire ClĂ©mence.
Il s’approcha d’elles. Myriam se pencha et se mit Ă genoux devant lui. D’un geste, elle fit glisser le pantalon le long de ces jambes pour sortir le pĂ©nis gros tendu et dur. Elle prit la queue d’une main et commença par lĂ©cher le gland. Après l’avoir bien humectĂ© de salive, elle ouvrit la bouche et fit glisser le membre entre ses lèvres humides. Elle l’avala presque entièrement. Cela le fit gĂ©mir. Puis elle se mit Ă faire des vas et viens lent et prĂ©cis.
ClĂ©mence les regardait tous les deux. Son dĂ©sir et son excitation grandissaient Ă chaque fois que la bite apparaissait puis disparaissait dans la bouche de Myriam. Elle se sentit très excitĂ©e Ă l’idĂ©e de partager cette queue avec elle.
Myriam s’arrĂŞta et, tenant le sexe d’une main la regarda. Ce geste fut une invitation pour elle. Avec un peu d’hĂ©sitation, ClĂ©mence se mit Ă genoux.
Elle toucha Ă son tour la verge du bout de la langue. Elle ouvrit la bouche et avala le pĂ©nis aussi doucement que Myriam. Son plaisir se trouvait dans le dĂ©lice de cette queue qu’elle suçait avec une douceur raffinĂ©e. Elle s’appliqua. Ces lèvres serrĂ©es le masturbèrent avec dĂ©lectation et prĂ©cision. La verge humide frĂ©tillait dans la bouche de ClĂ©mence. Sa fellation Ă©tait prĂ©cise et douce. Puis elles le sucèrent chacune Ă plusieurs reprises, se passant la queue d’une bouche Ă l’autre. Leurs deux langues s’entremĂŞlèrent autour du phallus bandant. Cette bite Ă©tait devenue leur jouer et leurs plaisirs.
Lui Ă©tait un peu perturber, mais très excitĂ© d’être le joueur de ces deux jeunes femmes. C’est Myriam qui lui demanda de venir s’asseoir entre elles. Il Ă©tait entièrement nu et complètement vulnĂ©rable Ă leurs dĂ©sirs. Myriam se serra contre lui et l’embrassa violemment Ă pleine bouche. ClĂ©mence le caressa et se mit Ă regarder ce phallus rougissant et si dĂ©sirable Ă ces caresses buccales. Elle se glissa entre ces jambes et rapprocha sa bouche fine de sa queue offerte. Elle goĂ»ta une nouvelle fois le bout du gland rouge et humide et se mit Ă le lĂ©cher de bas en haut. Elle finit par le prendre totalement en bouche et le suça avec dĂ©licatesse.
Myriam se retourna vers lui pour lui dire Ă l’oreille :
– Elle suce bien !
Un vĂ©ritable plaisir l’envahit lorsque Myriam se pencha sur son bas-ventre pour partager une nouvelle fois son membre viril et bandant avec ClĂ©mence. Elles le lĂ©chèrent sur toute sa longueur et s’attardèrent sur le gland gonflĂ©. Leurs langues se rencontrèrent pour se mĂ©langer au-dessus de sa bite. Puis ce petit jeu pris de l’intensitĂ© lorsqu’elles se mirent Ă le sucer tour Ă tour pendant de longues minutes. Il ne pouvait rien faire d’autre que de subir ce jeu buccal. Il Ă©tait totalement soumis Ă la chaleur des lèvres suceuses de l’une et la bouche humide et très gourmande de l’autre. Sa queue et ces couilles Ă©taient recouvertes de leurs salives. Sa jouissance montait Ă chaque coup de langue et prise en bouche.
Les deux femmes le sentaient au bord de l’explosion. Alors ClĂ©mence frotta sa langue sur le gland et le branla activement entre ces lèvres. Elle le pompa avec vigueur en faisant de long va et vient rapide, engouffrant entièrement le membre raide jusqu’au fond de sa gorge. Elle ne voulait rien perdre de cette virilitĂ© masculine qu’elle tenait en bouche. Elle voulait que le sperme jaillisse. Et soudain avec un gĂ©missement de pur plaisir, il Ă©jacula. ClĂ©mence n’en perdit aucune goĂ»te. Lui avait atteint l’orgasme absolu. J’Ă©tais Ă©bahi par le rĂ©cit de cette « fellation entre femmes », qu’elle venait de me faire. ClĂ©mence m’avait comptĂ© cette histoire simplement et sans aucune hĂ©sitation, employant le plus souvent des mots crus. Le plaisir de raconter ce qui est restĂ© cachĂ©, de livrer un secret. Une soirĂ©e, une nuit… Mais les actes, les gestes et les caresses on fait de ce moment un instant particulier pour elle. Des dĂ©sirs plus Ă©rotiques et orgasmiques les uns que les autres. Deux bouches qui se mĂ©langent autour d’un phallus, le dĂ©lice d’un plaisir poussĂ© Ă l’extrĂŞme…
Je fermais un instant les yeux. Mes pensĂ©es Ă©taient remplies d’images de cette femme allongĂ©e Ă mes cĂ´tĂ©s suçant, gouttant et partageant avec sa meilleure amie le sexe d’un homme chanceux !
Elle se serra contre moi et me dit Ă l’oreille :
– Je voulais savoir jusqu’oĂą j’irai ! Et j’ai aimĂ© ça !
J’ouvris les yeux. Elle prit dans sa main ma queue toute raide et dure. Elle se glissa Ă hauteur de mon sexe. Elle me branla fort et soudain elle fit disparaĂ®tre ma queue dans sa bouche. Elle me pompa serrant ces lèvres autour de ma bite. Et d’un seul coup, gagnĂ© par une excitation intense, je me vidais. LĂ aussi, ClĂ©mence n’en perdit aucune goĂ»te, lĂ©chant goulĂ»ment le sperme qui dĂ©goulinait sur ma queue…
Merci d’avoir votĂ©. n’oublie pas de laisser un petit commentaire Ă keop.
