Femme BCBG…Je m’appelle Françoise, j’ai vingt-six ans. Je suis jolie, femme blonde BCBG, mariĂ©e Ă Pierre de quatre ans mon aĂ®nĂ©, pilote de ligne long courrier sur une grande compagnie. Nous sommes mariĂ©s depuis six ans et ma vie sexuelle est celle d’une jeune fille Ă©levĂ©e religieusement dans le respect des traditions.J’ai perdu ma virginitĂ© lors de notre nuit de noce, comme le voulait mon Ă©ducation. Lorsque Pierre m’a pĂ©nĂ©trĂ©e, alors que je m’étais allongĂ©e nue près de lui en sortant de la salle de bain, n’ayant mĂŞme pas vu son sexe, j’ai poussĂ© un petit cri de douleur quand il a dĂ©chirĂ© mon hymen.J’ai senti son sexe aller et venir rapidement dans ma grotte fraĂ®chement ouverte et je n’ai pas pris de plaisir quand Pierre a Ă©clatĂ© dans ma vulve. Satisfait de lui et fatiguĂ© de notre longue journĂ©e, il s’est retournĂ© et en quelques minutes, s’est endormi. Je l’ai entendu respirer calmement sans pour cela aller jusqu’à ronfler. J’ai somnolĂ© jusqu’au matin, Pierre s’est rĂ©veillĂ©, m’a embrassĂ©e tendrement, s’est couchĂ© sur moi et m’a reprise.Sa verge a retrouvĂ© son chemin et malgrĂ© une très lĂ©gère douleur, rapidement un petit orgasme est montĂ© dans mon ventre, Pierre a Ă©jaculĂ© et j’ai pu me rendormir quelques heures. Lorsque je me suis rĂ©veillĂ©e, j’étais contente, fidèle Ă ce que ma maman m’a inculquĂ©, je suis devenu une petite femme respectable.Le plus drĂ´le de la situation c’est que je n’avais toujours pas vu, de mes propres yeux, la verge d’un homme. Je l’ai simplement sentie au fond de moi…Ouvrant un Ĺ“il, j’entends Pierre siffler dans la salle de bain. Je me lève et enfile le dĂ©shabillĂ© offert par maman. Je passe la porte bien dĂ©cidĂ©e Ă voir l’objet dont, depuis l’âge de quinze ans, j’ai entendu parler sans jamais ne le voir qu’en photo.Pierre est devant le lavabo, nu. Me voyant entrer, il saisit prestement une serviette pour la mettre devant sa verge. Je lui dis que nous sommes mariĂ©s et qu’il est normal qu’entre mari et femme on puisse se voir nus. Je fais tomber mon dĂ©shabillĂ©, lui montrant pour la première fois mon abricot dorĂ©. Après une hĂ©sitation, Pierre fait tomber sa serviette et je peux enfin voir l’objet de mes dĂ©sirs de jeune fille.J’avance jusqu’à lui, l’embrasse tendrement, le remercie d’avoir fait de moi une femme. J’ose avancer ma main vers ma convoitise pour le toucher. Pierre a un petit mouvement de recul mais se laisse faire. Nous Ă©changeons un baiser langoureux et lui prenant la main, je le guide vers mon sexe pour qu’il me caresse. Dans ma main pour la première fois, je sens une verge d’homme grandir et atteindre une taille qui m’apparut assez petite.Pierre me prend dans ses bras et me porte jusqu’au lit oĂą une fois de plus, je remplis mon devoir conjugal.Lorsqu’il a fini, nus tous les deux sur notre lit de noce, il m’explique qu’il a eu une Ă©ducation très rigoriste et que je suis la première femme avec qui il a fait l’amour.Vierge moi-mĂŞme, j’ai Ă©tĂ© dĂ©pucelĂ©e par un puceau que j’ai dĂ©pucelĂ©, nous en avons ri.Depuis six ans, notre vie sexuelle a Ă©tĂ© aussi platonique, Pierre me prenant tendrement lors de ses passages Ă la maison dans la position classique du missionnaire. Nous sommes tous les deux d’accord pour que je prenne la pilule, ne souhaitant pas avoir de grossesse avant mes trente ans. Pendant ces six ans, j’ai eu de nombreuses sollicitations d’hommes de tout genre mais mon Ă©ducation m’a obligĂ©e Ă les Ă©conduire discrètement.Aujourd’hui, j’ai rendez-vous Ă mon salon de beautĂ© pour me faire les soins du corps que le salaire de mon mari me permet de m’offrir mĂŞme si je ne travaille pas moi-mĂŞme. Je passe la porte du salon, Virginie m’accueille et Ă partir de ce moment, ma vie va basculer.Elle me dirige vers une cabine, me prĂ©sente un peignoir et me demande de me mettre nue. Je m’exĂ©cute, m’allonge sur la table de travail et attends qu’elle me rejoigne.Lorsqu’elle entre, j’admire la plastique de cette femme d’un âge certainement proche du mien. Depuis le temps que je pratique son salon, nos habitudes sont bien Ă©tablies et c’est sans problème que je la laisse me prodiguer les soins habituels. Elle dĂ©bute son travail par une Ă©pilation gĂ©nĂ©rale, un massage facial et me fait un masque de beautĂ©. Elle termine cette opĂ©ration en me mettant une serviette chaude sur la figure qui m’empĂŞche de voir ce qu’elle continue Ă me faire. Cette chaleur sur mon visage me permet d’être dans un Ă©tat de somnolence très agrĂ©able. Virginie commence Ă me masser le corps avec des crèmes.Est-ce l’atmosphère reposante qui me fait sentir les caresses de ses doigts se diffuser dans mon corps ? Pour la première fois, le centre de mon corps m’apparaĂ®t comme autonome. Un fourmillement très agrĂ©able est passĂ© dans cette partie de moi que depuis des annĂ©es, en bonne Ă©pouse, j’ai ignorĂ©e, voire rejetĂ©e.Lorsque les mains de Virginie atteignent les abords de ma vulve, les sensations se font plus prĂ©cises et plus fortes. Est-ce que Virginie au bout de ses doigts a senti mon Ă©moi ? Certainement, car pour la première fois depuis que je laisse mon corps Ă cette professionnelle, elle augmente son massage dans cette zone. Sous la serviette, toujours posĂ©e sur ma figure, je me surprends Ă Ă©mettre un petit cri de plaisir.Virginie m’enlève ce bout de tissu chaud et me regarde avec un petit sourire narquois. Mon visage est rouge, de honte ou de plaisir ? Ma raison m’empĂŞche d’affronter la vĂ©ritĂ© en face, pour la première fois, j’avais eu un dĂ©but de plaisir procurĂ© par une femme….Voyant mon Ă©moi, Virginie me prend gentiment la main. La caresse lĂ©gère du bout de ses doigts a vite fait de me replonger dans une torpeur encore nouvelle. Autour de nous j’entends les clientes passer et repasser devant notre cabine, accompagnĂ©es par les adjointes de Virginie vers la sortie.La peur que quelqu’un ou quelqu’une entre, me fait, par un mouvement de pudeur, remettre prestement mon peignoir. Je me lève et remets mes vĂŞtements sans un mot.Virginie a quittĂ© la cabine et m’attend Ă la caisse. Je règle la totalitĂ© des soins et au moment de prendre congĂ©, elle me tend la facture avec ma carte bancaire.ArrivĂ©e Ă la maison, Pierre Ă©tant absent pour six jours, je traĂ®ne mon âme en peine. Je prends un bain afin de me dĂ©lasser.Revenue au salon, je prends mon sac pour chercher mon mouchoir et mes yeux sont attirĂ©s par la facture du salon de beautĂ© et plus particulièrement par un papier agrafĂ© Ă cette dernière. Quelle n’est pas ma surprise de voir un numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone avec ces quelques mots :« Appelez-moi après dix-neuf heures. »Le rouge me vient aux joues bien dĂ©cidĂ©e Ă ne pas rĂ©pondre Ă cette sollicitation. L’après-midi avançant, ma dĂ©termination est de moins en moins sĂ»re.Ă€ dix-huit heures, Pierre m’appelle de PĂ©kin pour prendre de mes nouvelles. Nous parlons quelques minutes puis il me souhaite bonne nuit.Le fait de m’appeler une heure avant l’heure fatidique proposĂ©e par Virginie va prĂ©cipiter mon avenir. S’il n’avait pas appelĂ©, j’aurais attendu son coup de tĂ©lĂ©phone et serais restĂ©e sagement chez nous.Ă€ dix-neuf heures, je n’y tiens plus et compose le numĂ©ro. Virginie rĂ©pond de suite et, sans me laisser le temps de rĂ©flĂ©chir, me donne son adresse en m’invitant Ă venir souper « entre filles ». Je m’habile très soft et sortant de mon domicile, je monte dans le taxi que j’ai appelĂ©.Quinze minutes plus tard, je sonne Ă la porte du joli pavillon oĂą elle habite. La porte s’ouvre et nous Ă©changeons un chaste baiser comme de vieilles amies. Je pĂ©nètre dans une salle-Ă -manger oĂą la lumière tamisĂ©e nous met tout de suite dans l’ambiance. La table est dressĂ©e avec en son centre, deux bougies allumĂ©es. Deux chaises sont placĂ©es cĂ´te Ă cĂ´te, Virginie m’aide Ă prendre place en profitant pour effleurer ma poitrine. Je sens immĂ©diatement la pointe de mes seins se dresser. Nous dĂ©gustons quelques douceurs tous en badinant de tout et de rien.Tout Ă coup, je sens sa main se poser sur ma cuisse. Quelle sensation, mon corps s’électrise !Profitant de son avantage, elle me prend la tĂŞte et plaque un baiser sur ma bouche. D’abord surprise, je m’aperçois que mes lèvres acceptent de laisser passer sa langue qui vient entourer la mienne. Rien de comparable avec les baisers amoureux de Pierre, j’ai l’impression que mon corps ne m’appartient plus et qu’il flotte dans la pièce.Ma nouvelle amie avance sa main vers ma vulve et commence Ă la caresser très, très doucement. Rapidement cette simple caresse fait monter en moi un plaisir jamais atteint avec la pĂ©nĂ©tration de mon homme. Continuant son avantage, Virginie enlève mon soutien-gorge et, avec sa langue, commence Ă me sucer les mamelons. LĂ encore, ma vulve rĂ©agit et un nouvel orgasme saisit tout mon corps.Nous nous levons et elle m’entraĂ®ne dans sa chambre heureusement Ă quelques mètres, mes jambes ayant du mal Ă me soutenir. Dans un Ă©tat second, je sens qu’elle me dĂ©shabille et que prestement, elle se met nue. Tout en nous embrassant, de plus en plus goulĂ»ment, nous chutons sur des draps de soie ce qui augmente encore mes sensations.Elle commence Ă parcourir mon corps de baisers, lĂ©chant les partie les plus sensibles, mes seins, mon nombril, remontant vers ma bouche, mes oreilles et enfin arrive Ă ma touffe blonde qu’elle a si bien entretenue en dĂ©but d’après-midi.Des cris de jouissance parviennent Ă mes oreilles. Je mets quelques secondes Ă comprendre que c’est moi qui jouis fortement. Pendant un temps que je ne peux dĂ©finir, mon corps jouit, jouit et jouit encore. J’ai dĂ» perdre lĂ©gèrement conscience, car lorsque je remets les pieds sur terre nous sommes allongĂ©es toutes les deux enlacĂ©es comme des amantes que nous sommes devenues.Enfin amantes, presque, car rapidement je prends conscience que j’ai Ă©tĂ© la seule Ă jouir des caresse de mon amie. Elle me regarde amoureusement, elle aussi, et comme je la remercie de m’avoir fait dĂ©couvrir des plaisirs que je ne connaissais pas alors qu’elle n’avait pas eu son plaisir, elle Ă©clate de rire me disant que l’avenir nous satisfera toutes les deux.— C’est la première fois que tu fais l’amour avec une femme ? me demande-t-elle.Lorsque pendant quelques minutes, je me surprends Ă lui expliquer ma vie amoureuse depuis ma jeunesse, mon mariage, n’atteignant pas le dixième de ce que j’ai ressenti depuis le dĂ©but de l’après-midi avec elle. Elle me serre plus fort dans ses bras me promettant de me faire rattraper ces annĂ©es perdues.Elle est très Ă©tonnĂ©e lorsque je lui explique ma jeunesse, ma vie de jeune fille et surtout ma vie de femme depuis mon mariage. Elle comprend mieux ma rĂ©action lorsque, cachĂ© par la serviette, mon corps s’est ouvert au plaisir lors de sa caresse près de mon abricot qui pourtant n’a pas Ă©tĂ© très appuyĂ©e.Elle me demande si, depuis que je suis adolescente et que mon corps s’est transformĂ© pour obtenir cette petite merveille de femme que je suis devenue, avec mes propres doigts je me suis donnĂ© du plaisir. Voyant mon embarras et le rouge qui me monte aux joues, elle resserre son Ă©treinte, me donnant un lĂ©ger baiser sur les lèvres.L’envie revient en moi mais, lĂ , je veux ĂŞtre active. Les yeux fermĂ©s, je dĂ©tache ma bouche, je descends vers ses seins magnifiques et je prends l’un de ses tĂ©tons dans ma bouche. Celui-ci grossit sous ma langue et la sensation de revenir Ă l’âge oĂą je tĂ©tais ma mère, m’envahit. TĂ©tant le deuxième, Virginie se met Ă pousser des gĂ©missements qui sont pour moi une immense satisfaction. Pour la première fois, je donne du plaisir Ă une femme.Me sentant de plus en plus hardie, je fais descendre mes lèvres le long de son ventre, n’oubliant pas de passer ma langue au fond du petit trou formĂ© Ă la naissance et qui forme son nombril.Enfin j’arrive Ă sa source, elle Ă©carte tendrement ses longues jambes et osant enfin ouvrir les yeux, je peux admirer le sexe que je convoite. Nue, comme au jour de sa naissance, le sexe de Virginie est aussi nu et lisse que mon abricot lorsque j’avais douze ans.Prenant ma tĂŞte dans ses mains, elle me guide vers sa fente, j’ai un petit moment de recul, mais me souvenant du plaisir que j’avais eu lorsque sa langue m’avait labourĂ©e quelques minutes auparavant, je fais tomber cette dernière barrière et, moi aussi, j’aspire goulĂ»ment ses lèvres intimes. MalgrĂ© mon manque d’expĂ©rience, son bassin oscille sous ma langue, et un jet de liquide vient inonder ma bouche. Un premier, un deuxième, un autre et encore un autre. Mon visage est inondĂ© et ma petite maĂ®tresse n’arrĂŞte pas de pousser des cris de jouissance.La tension retombe, je remonte jusqu’à sa figure, lui reprends les lèvres et nous Ă©changeons un baiser très langoureux. Cette fois-ci, elle a joui. Moi, je n’ai pas joui mais je suis la plus heureuse des femmes. C’est ainsi que nous nous endormons blotties, Ă©troitement enlacĂ©es. Je crois que le premier chapitre de ma vie amoureuse est terminĂ© pour aujourd’hui, le temps de dormir un peu, de rĂ©cupĂ©rer quelques forces et je vous raconte la suite dans le chapitre deux.