Salut, je m’appelle Loïc, j’ai 20 ans tout juste. Je suis étudiant en droit. Physiquement, je suis ni beau ni moche, certains diront passe-partout. J’ai pas mal d’amis, hommes et femmes. Mais je vis un terrible drame : je suis puceau. Pourquoi ? Mon dieu, je suis timide, si timide. Autant je peux discuter d’égal à égal avec une amie, autant passer à l’acte me paraît si extraordinaire que je me retrouve à chaque occasion devant une barrière infranchissable. Je deviens tout rouge, je perds mes moyens. Je suis « sorti » avec quelques amies. Mais rien ne se passait, cela finissait à chaque fois en bavardages intellectuels. Parfois, j’ai eu droit à un petit baiser sur les lèvres. J’en étais tout retourné. Mais, franchement, ce n’est pas le summum du sexe. En définitive, j’étais le très bon copain. Mais pour le sexe , tintin ! Je dois être un adepte du quart d’heure américain. Il ne vient jamais !Par contre, c’est certain que je suis devenu un adepte de la masturbation solitaire. Des fantasmes, j’en ai plein la tête. C’est la raison pour laquelle j’adore pianoter sur Internet et fantasmer avec des correspondants. J’aime tellement la sensualité féminine, le corps d’une femme, que je prends souvent un pseudo féminin. Je le précise, je ne suis ni homosexuel, ni travesti. Tout est dans la tête. Trouver des correspondants valables est une vraie gageure. Les gens sont en général d’une vulgarité et d’une violence sans bornes. Ce n’est pas mon trip. J’aime la douceur et la sensualité.Un jour, je me suis dit que l’idéal pour vaincre ma timidité était de rencontrer une inconnue via Internet. Plutôt infructueux. J’ai même essayé avec des couples. Ils veulent toujours des femmes ou alors l’homme est bi. Et je l’ai dit, ce n’est pas mon truc.Il n’y a pas si longtemps, lors d’une session un soir, j’ai vu un pseudo qui m’a attiré : couple 50-25 ans cherche complicité. Pour une fois, j’avais pris un pseudo masculin. Sans espoirs j’ai commencé à discuter. Bien entendu, l’homme était seul. Il me décrivait une partenaire superbe comme d’habitude. Au fur et à mesure de la conversation, j’ai remarqué que ce n’était pas un habitué : longues phrases, réponses franches, aucune utilisation de smileys. J’accrochais. Quand il aborda la question de l’expérience, je mentis. Oh, je n’ai pas dit que les femmes était à mes pieds mais bon, j’avais quelques partenaires. J’avouai simplement une grande timidité.J’étais en concurrence avec d’autres pseudos. Mais au bout de deux heures, il me dit que je l’intéressais. Il a voulu mon numéro. J’ai hésité et je me suis lancé. Cinq minutes après, il m’a appelé. Très sympa, aussi tendu que moi. La conversation au téléphone est devenue aussi sympa que sur Internet. Je lui ai expliqué que je recherchais une expérience sympa, d’abord basée sur l’amitié, avec une femme et pourquoi pas un couple dès le moment où il était clair que je n’étais pas attiré par un homme. On était sur la même longueur d’ondes.On s’est donc donné rendez vous dans un café pour parler de vive voix. Je commençais à être échauffé par cette opportunité. J’avais du mal à y croire : aussi vite, une jeune de femme de 25 ans, le courant qui passe si bien ? Le rendez vous se passa très bien. Il me promit une réponse dans l’après-midi. C’était positif. La dernière étape : un repas tous les trois pour l’avis final de la jeune femme qui se prénommait Nelly.Dans un petit restaurant sympa du côté de Saint Germain, je discutais depuis une demi heure avec Alain. J’en appris plus sur son métier d’analyste dans une grande banque d’affaire.Tout à coup, le choc. La jeune femme se planta à côté de notre table. Je crus presque que c’était une serveuse pour la commande. Je fus subjugué par ses yeux d’un bleu sombre profond, sa petite bouche pulpeuse qui donnait l’impression d’une moue perpétuelle, son nez droit et fin, son épaisse et longue chevelure châtain qui tombait en cascade de cheveux fins ondulés. Car c’est son visage qui m’a en premier lieu frappé : le joli visage d’une enfant espiègle.Pendant le repas, j’ai eu tout le loisir de détailler le reste de son anatomie. Son petit tailleur noir cintré me laissait imaginer une taille fine et des formes pulpeuses. J’étais dans un rêve. Le hasard fait parfois bien les choses. L’atmosphère était détendue, surtout grâce à elle. Elle était vive et rieuse. Elle avait le don de vous mettre à l’aise. Au bout d’un moment, j’avais oublié la raison de ma présence à cette table. Je passais tout simplement une bonne soirée. Quelquechose me chiffonnait un peu. Ils se connaissaient bien, mais je ne les sentais pas aussi complices que je l’imaginais pour un couple.L’atmosphère changea quand elle ouvrit sa veste à cause de la chaleur. Elle portait un ravissant bustier en satin rouge. À chaque instant, ses seins semblaient vouloir jaillir des balconnets. J’essayais de détacher mes yeux du spectacle offert. C’était inhumain, et je ne pus réprimer une érection formidable.Heureusement, le repas toucha à sa fin et j’ai réussi à calmer mes ardeurs. Je me remémore encore l’instant où je lui ai fait la bise, premier contact de sa peau douce, première effluve délicieuse de son parfum léger et frais.La seule fois où nous avons évoqué la rencontre possible fut lorsqu’ils me promirent une réponse rapide. En rentrant chez moi, j’étais joyeux d’imaginer qu’il y ait une seule possibilité de lui faire l’amour. J’avais parfois un petit pincement au cœur car je me disais que rien n’était sûr. Et quelle sera sa réaction quand elle s’apercevra de mon inexpérience ? On n’en était pas là .Mummh, je contrôle les picotements à chaque fois que je tire et presse sur ma verge. Depuis, un quart d’heure, je me masturbe tranquillement dans cette grande chambre d’une belle gentilhommière en Normandie. Je suis arrivé chez eux ce matin.Eh oui, dès le lendemain, ils m’ont confirmé qu’ils souhaitaient qu’on se connaisse mieux, même intimement. Alain m’a dit que Nelly avait été enchantée de notre soirée. Je leur ai répondu que c’était réciproque. Pour être plus tranquille, ils m’ont proposé de les rejoindre dans leur maison de campagne. C’était en pleine semaine. Je n’ai pas hésité entre sécher quelques cours sans importance et à aller plus loin dans cette aventure encore irréelle à mes yeux.Nous sommes allés sur la côte à Cabourg pour nous balader et déjeuner. J’étais nettement plus tendu que lors du repas. J’étais confronté au problème suivant : mentir sur mon expérience pour profiter d’elle. J’avais inventé quelques relations sexuelles alors que je n’avais pour toute expérience que un ou deux baisers chastes d’adolescent et une inoubliable caresse sur les seins d’une amie endormie (je sais, c’est pas beau !).Si je n’ai pas pu résister à la tentation de me branler, c’est parce que Nelly m’a offert toute la journée le joli spectacle de sa poitrine nue sous une chemisette bleue toute simple. Le reste de sa tenue n’était pas plus sexy (un jean). Mais voir ses seins ballotter au rythme de ses pas, brrr. Combien de fois, ais-je été au bord de lui demander si je pouvais les lui toucher, juste les toucher, rien de plus. Elle déambulait bien cambrée et ses fesses rondes et pleines était si bien moulées dans son jean. Comme d’habitude, plutôt que d’oser demandé, oser tout simplement, j’ai gardé mes envies pour moi. Mais la soupape commençait à déborder. Nu, allongé sur le lit à baldaquin de la chambre d’ami, la fenêtre ouverte sur un ciel bleu limpide, les petits oiseaux pépiant au loin, je branlais ou cajolais ma queue raide et brûlante.Soudain, la porte de ma chambre s’ouvrit sur Nelly.— Oh, excuse moi, je cherchais Alain.Elle referma la porte aussi vivement qu’elle l’avait ouverte. J’ai eu un coup au cœur, j’ai lâché mon sexe qui a débandé en deux secondes chrono.C’est pas vrai, c’est pas vrai ! Que je suis con ! J’ai tout gâché. Elle doit me prendre pour un ignoble obsédé maintenant. Qu’est ce que je fais ? Allez oups ! Mes bagages et je m’en vais en courant. Non je suis loin de la gare, j’appelle un taxi. Et si j’allais m’excuser en pleurs. Non, non et non. Que faire ? Mais quel con ! Le courage énorme qui me caractérise en de telles circonstances me poussa à ne rien faire. J’essayais de me persuader qu’elle n’avait rien vu. Stupide mais bon. J’avoue que j’en ai pleuré. Si près du but, si près du rêve.Au bout d’une heure, l’envie d’aller aux toilettes prit le pas sur mes remords. C’est trivial mais humain. Je me suis rhabillé et j’ai attendu qu’il n’y ait aucun bruit pour me faufiler comme un voleur jusqu’aux toilettes. En revenant de cet endroit si usuel, je suis passé à côté de la salle de bain.— Alain ? demanda t-elle à travers la porte— Euh non c’est Loïc— Tu peux venir m’aider ?— D’aa…d’accordMon cœur battait à cent à l’heure en rentrant dans la salle de bain. Je devais être rouge pivoine. Elle s’était changée : elle portait un pantalon en coton bleu marine large qui épousait magistralement les courbes de son beau postérieur et un haut en soie blanche sans manches.— Tu peux accrocher ce collier s’il te plaît ? dit elle en dégageant sa nuque de son épaisse chevelure chatain.C’était un collier de perles à rang simple. Autant vous dire que c’est bien la première fois que je faisais ça. J’essayais de ne pas croiser son regard pour ne pas y trouver les signes de réprobation que je m’attendais à y voir. Allait elle me faire la leçon ?— Dis donc, tu n’es pas habitué à aider tes petites copines à s’apprêter hihi— Euh non, je dois l’avouer, ça va comme ça ?Elle positionna le collier à sa convenance et elle se regarda dans le miroir pour s’en convaincre. Je me suis aperçu qu’elle s’était maquillée, légèrement mais cela la rendait un peu plus femme que son allure naturelle. C’est vrai, on avait prévu un restaurant chic ce soir. Je fixais son reflet dans le miroir. Elle fixa le mien en souriant. Elle prit une brosse et commença à la passer dans les cheveux. Elle leva son bras et j’ai remarqué que l’emmanchure de son haut sous l’aisselle s’écartait suffisamment pour voir la rondeur de la naissance de son sein.— Au fait, excuses moi encore pour tout à l’heure de t’avoir dérangé— Euh non pourquoi ?— Pourquoi ? je pense que tu voulais être tranquille pour te caresser…Et elle disait ça, tout naturellement.— C’est plutôt à moi de m’excuser— Tu veux t’excuser parce que tu te caressais ?— Ooui…— Tu en as honte ?— Je n’en suis pas très fier…— Tu sais, moi je trouve ça très naturel, ça ne me choque pas du tout— Vraiment ? J’avais peur de t’avoir choqué, que tu me juges mal— Mal ? Oh pas du tout, j’espère que tu as eu beaucoup de plaisir, tu pensais à qui ?— À qui ? Eh bien à toi….— Mummh, je suis flattée, joli fantasme ?— Pas mal, oui…— Et, j’en profite puisqu’on est tous les deux, tu as un fantasme particulier avec moi ?— Particulier, euh non, je ne sais pas, tu sais le plus beau fantasme c’est d’imaginer de te voir, tu es si jolie, de te toucher, de te déshabiller….— C’est tout ?— Euh enfin, bien sûr d’aller plus loin— Les préliminaires c’est important pour toi ?— C’est essentiel— Super, on est sur la même longueur d’ondes— Oui— Tu devrais te préparer, je pensais qu’on pourrait prendre l’apéritif ici avant d’aller au resto, je te laisse la salle de bainJ’étais rasséréné. Elle m’étonnait de plus en plus. Sous la douche, mon érection est repartie de plus belle mais je n’avais pas le temps de faire des folies. Je me suis préparé au grand galop, chic mais décontracté, chemise bleue ciel et pantalon gris en super 100. Dessous j’optai pour un slip en coton gris foncé. Un coup de déodorant et hop, je descends les rejoindre en emportant une petite boite.Ils avaient déjà commencé à boire leur coupe de champagne, tous les deux assis sur leurs talons autour de la table du basse du grand salon. Un air classique de jazz se faisait entendre presque en sourdine. Elle riait de bon cœur d’un mot d’esprit que je n’avais pas entendu. Elle avait mis une veste assortie à son pantalon, veste toute boutonnée.— Viens installes toi, champagne ?— OuiElle me tendit une coupe.— Eh bien, trinquons à notre rencontre !Ils discutaient politique. Personne n’avait les mêmes positions. La plus gauchiste était sans nul doute Nelly. Elle se moqua de nous en disant que nous étions d’affreux conservateurs. Les coupes de champagne ont succédé aux coupes de champagne. La bouteille était vide. Je n’avais pas l’habitude de boire autant. Nelly s’éclipsa pour aller chercher une autre bouteille.— Ça va ? me demanda Alain— Oui, je suis bien— Moi aussi mais je crois que Nelly est un peu anxieuse…— Tu crois ?— Je la connais, elle boit pas mal pour cacher sa nervosité.— Tu sais, c’est pareil pour moi en fait.— Attention de ne pas perdre tes moyens.— Je ne crois pas, elle est si belle.— Je suis bien d’accord, que dirais tu si on l’entreprenait un peu ?— Tu es le meilleur juge du bon moment— Je pense que c’est bonElle revint avec la bouteille de champagne qu’elle donna à Alain pour la déboucher.— Pfouh, j’ai chaud je tombe la veste comme on ditJ’ai regardé chacun de ses gestes, chaque progrès de l’ouverture de cette veste qui allait me faire voir de nouveau son haut en satin blanc. J’avais l’impression que ses seins majestueux allaient transpercer le tissu. Après avoir encore trinqué, je sortis la petite boite.— Voilà , pour le bonheur d’être en votre compagnie, je me permets de t’offrir ce petit cadeauElle a eu un petit sourire amusé et s’est empressé d’ouvrir la boite. C’était un bracelet jonc en or. J’avais cassé ma tirelire mais l’aventure le valait bien.— Tu es fou, il ne fallait pas dit elle en l’enfilant autour de son poignetElle le regardait comme un enfant regarde un nouveau jouet.— Approche toi, que je te fasse la bise !Je me suis agenouillé à ses cotés. Elle était entre Alain et moi. Elle se tourna vers moi et m’embrassa tendrement sur les joues. Son doux parfum printanier et sa poitrine qui a frôlé mon torse m’ont fait chavirer.Alain vint se blottir contre elle en posant ses mains sur ses hanches.— Tu es sûre que ce jeune homme va se satisfaire d’une simple bise sur les joues ?Elle le regarda d’un air interrogateur. Elle exprima alors un air entendu et se tourna vers moi. Je vis son visage se rapprocher très lentement. Sa tête bascula à peine sur la droite. Ses lèvres se sont posées comme un papillon sur mes lèvres. J’ai senti sa langue qui forçait ma bouche. J’ai laissé le passage libre. J’ai essayé de rassembler mes souvenirs sur tout ce que j’avais lu sur un baiser avec la langue. C’était tendre et chaud. Son appendice brûlant fouillait ma bouche et s’enroulait comme un serpent autour de ma langue. Peu à peu, j’arrivai à lui rendre la pareille. Je me disais qu’elle me trouverait bien incompétent en la matière. Elle s’écarta et me regarda satisfaite de mon état. Je devais avoir un sourire béat. Elle tourna la tête vers Alain pour l’embrasser aussi tendrement. Je n’en revenais pas qu’une telle beauté ait daigné m’embrasser aussi intimement. Elle était là , son corps à quelques centimètres. Je ne pus réfréner mon désir et mon slip me parut trop petit pour contenir toute mon excitation. C’est dans cet état qu’elle m’administra un autre baiser profond.Lorsqu’elle se détacha de ma bouche, j’ai tout de suite vu la main d’Alain qui cajolait un sein à travers son haut. Je fus stupéfait de constater que son téton grossissait et marquait nettement le satin au sommet du mamelon. Il l’embrassa dans le cou en même temps, puis encore sur les lèvres. Je lui pris la main doucement pour embrasser sa paume. En même temps, je me questionnais sur la possibilité de toucher sa poitrine. Je me suis dit que je me posais trop de question. Tout occupée à mêler sa langue avec celle de son compagnon, elle ne me verrait pas. J’ai avancé une main vers le globe le plus proche, vers ce qui était à cet instant le Grâal. Mes doigts entrèrent au contact du satin juste sous la rondeur. J’ai frissonné, mon sexe s’est gonflé de désir encore plus dans mon pantalon. C’était si doux. J’ai fait glisser mes doigts très lentement sur le pourtour du globe. Mon exploration tactile s’est poursuivie par de longues circonvolutions afin de parvenir au mamelon et au téton.J’étais tellement à mon sujet que je n’avais même pas vu qu’elle me regardait. Son visage avait changé. Ses yeux étaient mi-clos, la bouche entrouverte. Je grattais doucement son téton dressé avec l’ongle. Elle souriait. Cela me libéra. Je me suis penché et religieusement j’ai posé ma bouche sur la pointe satinée. Je n’arrivais pas à m’en détacher. Je sentis ses doigts fouiller mes cheveux. J’étais au septième ciel. Encore un encouragement à se laisser aller. Alors j’ai carrément sorti ma langue pour lécher le sommet de cette colline au féminin.Quand j’ai réussi à m’extirper de ma succion paradisiaque, j’ai tout de suite constaté qu’elle chavirait. Pas à cause de moi mais à cause de la main d’Alain qui massait son entrejambe au niveau de l’aine à travers l’étoffe du pantalon. Elle écarta ses genoux pour lui permettre de la palper plus facilement. Il n’hésitait pas maintenant à frotter de bas en haut sur ce que je pensais bien être l’emplacement de sa fente. Moi j’ai posé ma main sur sa cuisse. Mes caresses sur le coton se remontaient insensiblement plus haut. Elle se mit à gémir et sa tête bascula en arrière. Je le voyais bien, il pressait plus fort ses doigts sur son sexe. Il me jeta un regard qui signifiait qu’il me laissait sa place. J’ai lové ma main sur son sexe et j’ai commencé à la masser. C’était chaud et surtout, c’est ce qui m’a frappé, le tissu était légèrement humide.Alain s’est mis à dénouer la ceinture qui retenait le pantalon et il tira lentement la fermeture éclair dévoilant la face avant d’une petite culotte en dentelle blanche qui laissait entrevoir la tache sombre du pubis. Il glissa sa main dans la culotte et sans bien voir, je me doutais qu’il la masturbais car elle réagit aussitôt en poussant de petites plaintes. Elle a passé son bras autour de mon épaule pour ne pas tomber. J’en ai aussitôt profité pour palper son sein qui semblait si ferme. Alors qu’il lui fouillait la vulve, elle m’embrassa fougueusement.J’ai presque sursauté quand j’ai senti ses doigts cajoler la bosse si visible sur ma braguette. J’étais tellement excité que j’ai eu beaucoup de peine à retenir ma jouissance. Heureusement, elle a pratiqué l’alternance et s’est occupée de son ami pour lui masser le sexe. Il avait quitté sa culotte pour lui masser sans ménagement les seins. Je me suis convaincu qu’il fallait prendre la relève. Avec beaucoup de soin, j’ai passé mes phalanges sous l’élastique. Je suis entré en contact avec les poils soyeux de son pubis. Superbe sensation. Petit à petit j’ai poussé la découverte plus bas et j’ai touché pour la première fois les chairs intimes d’un sexe de femme. C’était doux et mouillé, bien plus agréable que je ne l’imaginais. Je n’ai pas eu le temps d’aller plus loin car Alain l’aida à s’allonger sur le tapis. Elle souleva ses hanches pour nous permettre de lui retirer son pantalon. Je ne pouvais détacher mes yeux de son entrecuisse et du fond de sa culotte tachée de cyprine et si collée à sa fente que le tissu épousait les contours de son intimité.— Je te laisse le soin de t’occuper d’elleJe répondis oui d’un hochement de tête. Je n’étais pas fier. Il m’avait dit ça comme si c’était un acte naturel pour moi. J’ai encore pris mon courage à deux mains et je me suis plié en deux pour embrasser sa culotte sur le pubis. Les effluves de son excitation chatouillèrent agréablement mes narines et décuplèrent mon envie de la manger. Je n’étais pas à l’aise et je me suis déplacé entre ses cuisses qu’elle a ouvert plus largement. J’ai débuté mon exploration en déposant des petits baisers sur le fond de sa culotte maculée. J’avais vu des films X et je croyais pouvoir m’en sortir. Mais j’ai fait comme j’en avais envie. J’ai écarté d’un doigt le tissu pour découvrir sa vulve qui était béante et je dirais inondée de ses sucs intimes. Au lieu d’être dégoûté, j’ai été attiré par cette chair sombre et luisante. Du bout de la langue j’ai lissé ses grandes lèvres. J’étais fou de bonheur de déguster ainsi son jus.J’ai tiré sa culotte et son buisson tout caramel m’a ébloui. Je n’ai pu m’empêcher d’embrasser cette divine fourrure sombre qui tranchait si joliment avec le satin blanc qui la bordait en haut. Puis, je me suis remis à l’ouvrage et je me suis délecté de sa vulve inondée. Je l’ai lapé comme le ferait un petit chien. Ses halètements m’encourageait à poursuivre. Je photographiais chaque centimètre de ce sexe offert. J’ai été subjugué par son bouton qui trônait sur le haut de sa fente et qui formait une petite excroissance blanchâtre. Quand ma langue l’a effleuré, son corps a tressailli. J’ai recommencé et le même effet physique a été accompagné d’un petit cri caractéristique.Pendant ce temps, Alain s’était déshabillé en retirant sa chemise ainsi que pantalon et slip. Je faisais une pause dans mon cunnilingus car ma position me provoquait des crampes. Je n’avais jamais vu d’aussi près un sexe mâle en érection. J’en ai été un peu déconcerté et j’ai préféré me remettre à l’ouvrage. Elle bougeait son ventre comme si elle voulait coller son sexe contre ma face. Elle m’a même agrippé la tête pour m’attirer plus fort contre elle. Ma peau était poisseuse de son jus étalé. Tout émoustillé, j’ai osé introduire un doigt dans son vagin. Il est rentré tout seul. Je l’ai fait aller et venir sans précipitation tout en léchant son clitoris. Elle n’en pouvait plus et lança des longs « ouiii » pour me décider à l’achever. Je lui donné de tels coups de langues que j’en avais mal. Mais je l’oubliais bien vite pour me focaliser sur le plaisir que je lui administrais.— ouiiii ouiiiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiSa vulve cracha un flot de cyprine sur mon visage. Son corps bascula sur le côté et elle me repoussa pour que j’arrête de la dévorer. Je me suis redressé sur les genoux. Je n’étais pas peu fier d’avoir fait jouir une femme. Je me demandais si j’avais été efficace.Alain se masturbait tranquillement. Il vint prendre ma place. Il la prit par les hanches et souleva son arrière train vers le haut. Il saisit sa queue et plaça son gland à l’entrée de son orifice vaginal. Il l’a pénétré doucement et est resté un instant sans bouger en elle. Et puis, il a commencé à la besogner de plus en plus vite. J’étais fasciné de voir sa queue apparaître et disparaître en elle. Ses petites fesses rondes tremblaient à chaque coup de rein. Son ventre claquait sur son fessier. Elle s’était mise à quatre pattes et accompagnait les assauts d’Alain par des mouvements vers l’arrière. Ses cheveux cachaient don visage et virevoltaient dans tous les sens. Il accéléra le coït à un rythme effréné.— aahh ahhhh ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhSon ventre se souda au corps de Nelly et il jeta un long cri rauque en grimaçant.J’avais regardé la scène comme un simple spectateur. Je ne m’étais même pas touché.— Eexcuse moi ma chérie, j’ai joui trop vite, j’étais trop excité.— Ce n’est pas grave, Loïc est là pour finir le travail.Elle me regarda étonnée.— Ça va être dur de me faire l’amour si tu restes habillé !Je me suis attaqué à ma chemise. Elle s’est mise face à moi et en riant elle a ouvert mon pantalon. Je me suis levé. Elle a l’a tiré d’un coup avec mon slip. Ma verge encore gonflée s’est détendue progressivement sous ses yeux.— Mon dieu, qu’est ce que tu es gros !— Tu trouves ?J’ai regardé mon sexe surpris.— Je n’ai jamais vu un sexe d’homme aussi gros !— Ah bon ?— Tes copines ont dû te le dire ?— Euh…oui évidemment dis je rouge de honte.— Je vais me mettre sur toi, je ne voudrais pas avoir mal.Elle m’a fait allonger sur le dos et m’a enjambé. Elle a décalotté mon gland tout doucement et l’a posé sur sa fente. Très lentement, elle l’a introduit dans son vagin. Je sentais ses chairs chaudes recouvrir peu à peu la surface de ma queue. Elle l’a rentré jusqu’au fond et est resté assise sur mon ventre plantée sur mon pieu.— Mmuuummh, ça va !Et son corps a ondulé. Mon sexe coulissait dans son vagin. Elle était courbée au-dessus de moi tout entière dévouée à me chevaucher. J’ai posé mes mains sur ses hanches pour accompagner ses mouvements lascifs. Je ressentais du plaisir dans ma queue, dans mon ventre. J’étais à l’étroit dans ce conduit inconnu mais c’était bon. Mes mains remontèrent lentement sur ses flancs repoussant le satin blanc. Je voyais avec délice les deux seins qui ballottaient en cadence sous le tissu. Elle s’agitait en gémissant sur moi. J’avais amené le satin juste sous ses seins. Un peu fatiguée, elle s’est arrêtée un moment. J’ai alors poussé encore le tissu et je suis tomber en extase devant le spectacle de ses deux grosses poires ornées d’aréoles roses si larges (j’aurais dit 5 cm de diamètre au moins mais c’était peut être la situation que me faisait exagérer). Quand elle s’est remise à me chevaucher, je les ai pris à pleine main pour les pétrir sans violence. Elle gémissait encore plus fort que sous l’effet de ma langue. J’ai senti ses muscles se contracter et son vagin me serrer très fort la queue. Elle est devenue toute raide et un long râle sortit du plus profond de son corps. Elle s’est écroulée sur moi tout en sueur.Elle reprit un peu ses esprits.— Tu n’as pas joui ?— Euh, non…— Excuses moiElle s’extirpa de mon pieu. Elle prit ma hampe dans sa paume et me branla très fort. C’était divin mais il manquait quelquechose.— Je… je peux voir tes seins ?Elle m’a sourit et a relevé son haut au-dessus de sa poitrine tendue. Elle guida ma main sur un sein et elle reprit la furieuse branlette. Je sentais les petits picotements précurseurs qui montaient dans ma verge violentée. Je fixais ses mamelles et surtout ses larges mamelons rosés tout en les palpant tour à tour.— Mmummmh, mummmh oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiUne lame de fond de plaisir me submergea. J’essayais de me retenir mais je ne pus que lâcher ma semence par saccades. Mon gland crachait de longues giclées de sperme blanc qui se répandit sur mon ventre. Une giclée atteignit même son sein.Ma queue encore raide en main, elle se pencha pour déposer un dernier baiser sur mes lèvres.— Mmummh, super ! me dit elle doucement.