Hmmmmmm bienvenue à la grande boum de la colo ! Matthieu est derrière les platines ! Vous l’attendiez depuis plusieurs jours déjà , c’est aujourd’hui, c’est ce soir, c’eeeeeeeeeessssssssttttt ZE BOUM.Eh ben décidément ça démarre bien cette soirée, avec Matthieu derrière les platines, ce sera forcément la boum du siècle ! Même si en fait de platine, ça ressemble plus à un radiocassette, et, en fait de DJ, ça ressemble plus à un animateur commercial à Carrefour le samedi après midi… Enfin de toute manière, les gamins sont pas vraiment là pour le DJ… Dans un coin de la pièce, les bras croisés, j’observe de toute mon autorité la scène qui se déroule devant moi. Tout le monde semble s’amuser. Julien fait danser la grosse binoclarde que personne n’invite et qui le dévore des yeux… Sophie et Valérie servent la grenadine et le sirop de menthe… trop fort la boum ! Voyant que tout se passe très bien sans moi, je décide de déléguer la gestion de cette soirée mémorable à mes formidables animateurs, et de me retirer dans mes appartements, quand un jeune boutonneux hideux, me demande :— Claire, tu feux bien danfer afec moi ?Son regard suppliant n’a d’égal que son sourire dévoilant le charme de son appareil dentaire, je m’efforce de paraître aimable, et de répondre favorablement en souriant, quand la musique endiablée se transforme en slow torride… Une lueur de panique traverse maintenant mon regard… À bout de bras, j’attrape ses épaules, en essayant de le repousser le plus loin possible tout en tournant au rythme de la musique. Malheureusement, il semble qu’il ait les bras plus longs que les miens, et il m’attrape par la taille, ses longs doigts s’agaçant sur la taille de mon jean, puis très vite sur la peau séparant le jean de la ficelle de… mon string, enfin du string de cette pétasse de Sophie…Je lui lance un regard réprobateur qui voulait dire quelque chose comme « Espèce de vieux pervers dégueulasse, tu vas enlever tes doigts gras de mon corps ! » Il rougit, mais je vois dans ses yeux une lueur d’excitation au moment où il se rend compte que la directrice porte un string ! À tous les coups, il bande, mais je me tiens bien trop loin de lui pour m’en rendre compte ! Et voilà  ! Il suffit qu’une nana mette un string et elle passe pour une salope auprès de toute la population masculine, alors si en plus elle le montre, c’est qu’elle assume d’être une salope !Je lui prends fermement les poignets, et pousse ses mains sur mes hanches, puis nous recommençons à tourner. Cette danse interminable nous rapproche irrémédiablement de la table de la grenadine, et de la propriétaire du string que je porte. Angoissée, j’essaie d’être toujours en position de ne jamais dévoiler mes arrières, mais la situation devient trop critique, et c’est peu dire que le couple incongru que nous formons attire les regards. Arrivée au niveau de la table, je lâche mon séduisant partenaire, avec une excuse des plus fines…— Bon désolée, j’ai des choses à faire.— Merfi Claire.Je m’éloigne précipitamment de cet endroit à haut risque, et me heurte à la table de grenadine dans mon empressement. Un des gobelets en plastique tombe de la table, et mon premier réflexe est de me baisser immédiatement pour le ramasser… Mais quelle idiote !!!!!!! Me voilà accroupie avec mon jean taille basse aux pieds de Sophie dont le regard ne quitte plus le papillon qui orne le bas de mon dos découvert. Je me relève doucement, pose le verre sur la table, et très dignement, m’éloigne de la table, mais une main accrochée à mon poignet me retient.Panique à bord !!!! Comment j’en suis arrivée là moi… je réfléchis aux différentes possibilités de sortie… Je pourrais faire l’innocente et lui demander de quoi elle parle. Après tout, je peux tout à fait avoir acheté ce string. Mouais, après ce que je lui ai dit hier, elle a beau être conne, elle ne va pas me croire… Je file dans ma chambre changer de sous-vêtements, mais là c’est Julien qui va m’attraper, et j’ai les fesses trop douloureuses… et puis mince, je tiens plus moi, j’ai pas envie de perdre le seul moyen de me faire baiser… Je m’approche d’elle pour que personne n’entende :— C’est Julien qui m’a forcée.Mais quelle pitié, j’y crois pas, et voilà que je me justifie et dénonce comme une gamine… Mais à quoi il m’a réduite ce grand con…— Je m’en fous, tu me le rends !— Mais Julien va pas me… pardonner. Voilà que je supplie !!!Elle se lève brusquement, et va voir Julien, je les vois discuter avec véhémence me regardant. Bien sûr la musique couvre leurs paroles, et heureusement d’ailleurs pour leur entourage ! Julien d’un signe de tête m’indique de les suivre, et ils pénètrent tous les deux dans la cuisine. Le coeur battant à tout rompre, je pousse la porte, et j’entre dans cette pièce dont la lumière est éteinte. J’allume. Sophie et Julien sont assis et me dévisagent. Devant le silence de Julien, Sophie l’invective…— Allez, dis-lui de lui rendre mon string.— Vas-y Claire, fait ce qu’elle te dit.Soulagée de trouver une issue positive :— OK, je te le rapporte dans 3 min.Et je me lève pour me diriger vers ma chambre quand Sophie m’interpelle…— Tu n’as pas compris, rend-le-moi maintenant, ici ! Je le veux !Quelle gamine capricieuse, comme si elle en avait besoin juste maintenant… Pire que les mômes qui veulent toujours le jouet de leur petite soeur ! Je me tourne vers Julien, suppliante… Comme s’il avait eu les mêmes pensées que moi, il demande à Sophie :— Tu en as vraiment besoin à l’instant ?— Oui, c’est le string que je voulais mettre ce soir ! Je le veux maintenant !— On peut peut-être s’arranger quand même non ?Ça y est, mon Julien est conciliant, il a bien compris que ça me gênait de me déshabiller et de me déshonorer devant cette radasse…— Comment veux-tu que ça s’arrange ? réplique-t-elle.— Eh bien puisque tu tiens absolument à l’avoir tout de suite parce que c’est celui que tu veux porter, Claire te le rend, et toi tu lui donnes celui que tu portes ! Comme ça tout le monde est content.À non, pas du tout du tout, tout le monde n’est pas content… Il rêve s’il croit que je vais faire ça pour lui… Je préfère encore finir la soirée sans culotte. Sophie semble hésiter… Allez Sophie, tu sais toute l’estime que je te porte, tu vas pas accepter quand même… Julien voit son hésitation, et pour finir de la convaincre, il lui lance :— Bien sûr, si ça peut te convaincre, tu peux demander à Claire de t’enlever ton string !Une lueur passe dans les yeux de Sophie…— Je peux… ?— Je te transmets mon autorité le temps de l’échange.NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN, je regarde Julien, suppliante, mais il regarde volontairement dans une autre direction, l’air tranquille, comme si tout était normal. Sophie quant à elle sautille sur place d’excitation et de contentement…— Allez Madame la directrice, auriez-vous l’obligeance de VOUS FOUTRE A POIL ET PLUS VITE QUE ÇA !Paniquée, tremblante de trouille, et paralysée à l’idée que n’importe quel gamin en soif de tranquillité pourrait venir de la pièce d’à côté d’où résonnent les basses de DJ Matthieu, je ne bouge pas… Julien s’est assis sur la table, et observe avec intérêt la scène, semblant imaginer ce qui allait bien pouvoir m’arriver pendant ce temps de transfert de pouvoir… Contrairement à moi, il avait l’air de connaître les intentions de cette pétasse…Sophie s’approche de moi, et attrape brusquement mon jean à la taille, déboutonne les boutons avec violence, et passe sa main contre mon string… elle presse fortement mon sexe, sa main passe entre mes cuisses, ses doigts dessinent mon intimité à travers le tissu… Je mouille, mais quelle salope je fais ! Je me fais tripoter par une pétasse, et je mouille… Ça me terrorise encore plus… Je ne peux pas faire un geste… Je crois que je suis devenue perverse, soumise perverse, moi dont le seul souci il y a 2 jours était de réussir à faire chanter juste la chanson des crocodiles à mes joyeux colons ! Les doigts de Sophie passent sous le string et s’immiscent sur mon clito, et dans mon sexe, je suis trempée… Je ne peux plus lutter, je vais me laisser faire, je vais faire ce qu’on me dit… Brusquement, Sophie retire ses doigts de mon intimité, et présente son index devant ma bouche. Je le prends entre mes lèvres et le lèche comme une petite salope… Je goûte pour la première fois à ma mouille, c’est salé, c’est bon… Non, je suis en train de basculer, il ne faut pas… Julie se retourne l’air ravi vers Julien qui lui fait un clin d’oeil et lui dit :— Je te l’avais dit !— Quoi tu lui avais dit quoi ? Vous avez parlé de moi ?Sophie se retourne et dit :— Bon, maintenant, il me semble que je t’ai demandé de te foutre à poil, alors dépêche-toi de nous montrer ton petit sexe de salope en manque !Ce langage cru me fait frissonner, et assez curieusement, me fait retrouver l’usage de mes membres. Je baisse mon jean, enlève le haut, et sans savoir pourquoi, je me penche langoureusement en avant, les fesses pointées vers Sophie pour retirer lentement mon string. Je le ramasse par terre, et le lui tends. Elle ne le regarde même pas. Elle a les yeux rivés sur ma petite toison bien sagement taillée.— Allez, mets-toi à genou ! Et enlève-moi ce string !Je me mets à genou devant ma nouvelle maîtresse, remonte les mains le long de ses cuisses sous sa jupe jusqu’à sentir l’élastique de son sous-vêtement. Je l’attrape entre les doigts, quand elle me prend par les cheveux…— Aiiiie. Qu’est ce que tu fais ?— Ce que tu m’as demandé !— Qui t’a dit de l’enlever avec les mains, enlève-le avec ta bouche !Joignant le geste à la parole, elle déboutonne sa jupe, la laisse tomber, et toujours me tenant par les cheveux, pousse ma tête contre son sexe. J’essaie d’avoir une prise entre mes lèvres, mais la seule chose que j’arrive à faire, c’est embrasser son string, l’humidifiant au passage… Elle semble aimer le traitement, car elle est beaucoup moins pressée qu’avant de me voir exécuter un de ses ordres ! Elle écarte de plus en plus les cuisses sous l’effet de mes lèvres… De peur de lui faire mal avec mes dents, et pour ne pas me faire tirer les cheveux, j’essaie de passer ma langue sous l’élastique pour avoir une prise… Ça y est !!! Mais que se passe-t-il ? Je me réjouis d’avoir réussi à passer ma langue dans la culotte d’une nana ? Non, mais faut que je me soigne ! Ce moment de lucidité me fait perdre l’avantage que je commençais à prendre dans ma lutte contre son string ! Il faut que je recommence, son string est complètement humide, et ma langue une seconde fois pénètre sous l’élastique. Pour ne pas perdre prise, je pousse ma langue plus profond sous l’élastique, et je rencontre soudain le goût caractéristique, assez proche de celui des doigts que j’ai léchés tout à l’heure… Je suis en train de lui lécher le sexe !!!! De ses mains elle maintient ma tête pour que je ne puisse pas reculer ! Ma langue fouille son intimité, j’aime ce goût, j’aime cette position, j’aime cette situation…Sophie, toujours par les cheveux, écarte ma tête, descend rapidement son string, et s’assoit sur le bord d’une chaise, puis, sans me lâcher, ramène ma tête vers son sexe… À quatre pattes devant elle, et complètement absorbée par ma tache, je me rends compte que je continue de la lécher sans qu’elle me demande quoi que ce soit… J’avais complètement oublié jusqu’à la présence de Julien dans la cuisine jusqu’à ce que ce dernier, arrivé derrière moi sans que je m’en rende compte, introduise deux doigts entre mes jambes écartées, dans mon sexe complètement humide et offert. Je n’ai pu retenir un gémissement qui m’a valu un coup sec sur les cheveux de la part de Sophie qui n’a pas supporté que l’espace d’une seconde ma langue serve à autre chose qu’à lui donner du plaisir. Elle s’en prit également à Julien :— Viens plutôt me donner ta queue à sucer, ça t’évitera de déconcentrer cette petite chienne !Il ne se fit pas prier pour baisser son treillis et son éternel vieux slip délavé, et lui présenter sa queue devant la bouche. Au bout de quelque temps, ses gémissements et soubresauts étaient tellement intenses qu’elle n’arrivait plus à le sucer… Elle lui ordonna de me baiser, sauvagement. Le moment que j’attendais depuis si longtemps !!! Complètement dominée, la tête entre les cuisses de Sophie et la queue de Julien à l’intérieur de moi, à quatre pattes dans la cuisine, complètement possédée et humiliée… Toujours aussi rapidement, Julien se retira pour me gicler sur les fesses, en poussant de longs râles, avant même que je n’aie pu jouir, pendant que Sophie également arrivait à l’orgasme…Moi, j’étais seule à ne pas avoir joui, et tout mon corps le demandait… Abandonnée par mes deux maîtres qui se remettaient de leurs émotions, je pris l’initiative, en salope que j’étais devenue de commencer à me caresser le clitoris… Malheureusement, il semble que je n’en avais pas le droit, car Sophie me prit par les cheveux pour me forcer à me relever, et à me pencher sur la table, pour que Julien puisse me fesser beaucoup plus durement et sauvagement que les fois précédentes…Puis Sophie me demanda de l’aider à remettre son string, elle remit sa jupe, puis me tendit le string trempé de mes lèvres qu’elle portait quelques minutes auparavant. Rapidement je me suis rhabillée, puis nous sommes sortis tous les trois de la cuisine, pour annoncer la fin de la boum et l’heure du coucher.FIN