Vers 19 heure, elle rentrait chez elle d’une journée pénible au restaurant. Il y avait un message de Jean-Marc, qui l’invitait à une pendaison de crémaillère. Aussi sincère et peu subtile qu’à l’habitude, il avouait qu’on allait y manquer de filles, et qu’elle serait très gentille si elle venait. Elle savait très bien ce que risquait d’impliquer une telle invitation, c’est-à -dire se faire tourner autour sans arrêt par une nuée de mecs qui voient rarement des filles de près. Malgré tout, elle avait envie d’y aller. Elle avait besoin de fêter un peu, de rire. Elle aimait bien Jean-Marc, avec qui elle avait jadis passé quelques nuits et avec qui elle avait maintenant une belle camaraderie, sans ambiguïté. Elle le rappela donc aussitôt, il la remercia exagérément et confirma qu’il allait passer dans une heure.Elle prit un bain, où elle massa son corps fatigué. Puis elle se mit à retoucher à sa minuscule toison. Un geste presque quotidien, qui par contre, certains soirs comme celui-ci, lui semblait être l’aveu de ses envies. Ces soirs-là , elle le fait en pensant à une bouche, à des yeux inconnus, qu’elle espère. Elle s’orna de dessous noirs, hésita entre sa robe noire, trop courte, et sa robe rouge, trop longue.Dix minutes plus tard, soigneusement maquillée, vêtue entièrement de noir, elle attendait Jean-Marc devant chez elle. Il ne se fit pas attendre longtemps. Sur la route, plutôt courte, elle parlait beaucoup, animée par une nervosité profondément enfouie dans son ventre. Comme un présage. Il ne manqua pas de la complimenter, et de passer, encore une fois comme à son habitude, deux ou trois commentaires désobligeants, qui la flattaient et auxquels elle répondait à chaque fois avec hostilité.La voiture s’arrêta devant une maison banale, typique du quartier. On entendait déjà des cris virils et une bonne dose de guitare distortionnée. Elle avoua à Jean-Marc qu’elle doutait d’avoir bien fait de venir. En la tirant vers l’avant de son bras qui l’enlaçait étroitement, il assura qu’il prendrait soin d’elle et lui fit un gros baiser mouillé sur le front, ce qui la fit râler.Elle essayait toujours de replacer ses cheveux alors que le cercle des présentations commençait. Il y avait une quinzaine de personnes rassemblées dans la cuisine et le salon contiguë, quatre ou cinq filles, toutes l’air plutôt jeunes, comme la plupart des hommes d’ailleurs. Il faisait très chaud, la musique était assourdissante, et un jeune homme se tenait debout torse nu au centre de la pièce en mimant un solo de guitare électrique. Elle se sentit vieille instantanément. Elle ne reteint aucun nom, et Jean-Marc l’entraîna vers un grand divan au fond du salon, où étaient assis les locataires et les amis de Jean-Marc. Heureusement ils ne semblaient pas aussi agités que leurs invités. L’un d’eux lui laissa sa place au centre du divan, où elle prit place un peu mal à l’aise de tant de proximité.Ils étaient tous très gentils et elle se retrouva tout de suite au centre d’une conversation qui l’intéressait beaucoup. Elle oublia le malaise qu’elle avait toujours avec tant d’inconnus. Son voisin immédiat, un certain Jacques, la gratifiait de nombreuses attentions et de sourire doux. Elle sentait son charme opérer, et c’est une chose qu’elle adorait. Elle ne portait plus attention au reste de la fête, elle parlait, elle buvait, elle riait. Souvent elle prenait une bouffée de ces petites choses qui tournaient et passaient par elle. Lentement l’endroit se vidait, mais leur petit groupe demeurait intacte. Mais elle réalisa, alors qu’un groupe saluait, qu’elle ne voyait plus Jean-Marc depuis déjà un moment. Elle décida de partir à sa recherche. Elle se faufila difficilement entre les invités assis par terre au milieu de l’allée, et sentit plusieurs regards la suivre et se faufiler sous sa robe. À la difficulté qu’elle avait à se déplacer elle comprit à quel point elle était amochée. Elle pu finalement marcher plus librement dans le petit corridor. Jean-Marc Restait introuvable.Elle s’enferma une minute aux cabinets pour se soulager, et c’est en revenant qu’elle aperçut son ami à travers une légère ouverture donnant sur une chambre à coucher. Bien sûr il n’y était pas seul, il était avec la fille qu’il avait presque attaquée dès leur arrivée. Elle regarda quelques secondes sa main remonter sous la jupe de la blonde, avant de retourner vers le salon rapidement. Elle reprit sa place mais ne s’intégra pas tout de suite à la conversation. Devait-elle compter sur lui pour rentrer, sinon comment. Elle s’en voulut d’avoir ressenti une pointe de jalousie en les voyant. Et elle fixait sa cuisse, sur laquelle elle imaginait une grosse main d’homme monter et la palper. Elle leva les yeux vers Jacques, qui la regardait aussi avec un léger sourire. Elle le lui rendit et rompit le regard en feignant de s’intéresser à la conversation qui les entourait. Mais son esprit n’en imaginait pas moins. La brève image de cette main l’avait mise sur la piste du fantasme et du désir. Elle se mit à espérer que son ivresse ne la pousserait à rien de regrettable.Quelques minutes plus tard Jean-Marc et sa petite blonde traversèrent furtivement la cuisine et quittèrent l’endroit sans saluer qui que ce soit. Le message était assez clair.— « On dirait que tu viens de perdre ton chauffeur » lui dit Jacques, d’une distance qui lui parut vraiment courte.Elle lui sourit et haussa les épaules.— « Tu peux dormir ici tu sais. C’est un divan lit mais si t’es trop fatiguée je te prête ma chambre… ».Elle sentit son offre très sincère et en fut touchée, elle refusa la chambre mais accepta le salon.Mais elle finit par regretter cette décision assez rapidement. Elle comprit que les invités n’étaient pas prêts à quitter, au contraire, et elle n’avait plus tellement le choix que d’attendre avant de dormir. L’alcool l’assommait et le temps lui semblait de plus en plus long. La voyant bailler Jacques renouvela son offre, mais elle refusa encore. Elle se sentait mal avec l’idée de dormir dans les draps d’un inconnu. Mais bientôt les autres firent remarquer qu’elle avait l’air épuisée, et les deux autres locataires offrirent tour à tour leur propre chambre, mais pour la même raison elle refusa, faisant passer le tout sous le couvert de la politesse et de la reconnaissance. Alors les deux hommes qui l’entouraient l’incitèrent en blaguant à se coucher sur eux. Voila que sa tête reposait sur la cuisse de Jacques et ses jambes sur celles de Stéphane. Elle ne put qu’avouer qu’elle était drôlement confortable, et c’était vrai, alors la conversation repris, et elle sombra rapidement dans le sommeil.Elle se réveilla en entendant quelqu’un dire son nom. Elle sursauta et jeta rapidement un regard autour d’elle. Il n’y avait plus qu’elle, les 3 locataires de l’endroit et un de leurs amis. Il eurent tous un éclat de rire en voyant la surprise et la confusion sur son visage. Elle sentit très clairement les doigts de Stéphane faire une minuscule caresse sur son mollet. Elle murmura ses excuses et se laissa aller à rire avec eux. Puis elle sentit la main de Jacques venir retirer les cheveux qu’elle avait sur le visage, elle leva les yeux sur lui qui lui servit un autre de ses sourires pleins de gentillesse.— « On se demandait si ça vaudrait la peine de faire le lit, ou si c’était mieux de rester là jusqu’à ce que tu te réveilles, tellement t’as l’air bien » dit-il.— « Oui… vraiment bien… » lui dit-elle avec la sincérité du demi-sommeil.— « Ça parait… on te trouvait vraiment mignonne comme ça… »Les autres ont appuyé ses dires d’une seule voix, et cela les fit rire. Elle les dévisagea alors un moment tous. Elle sentit par simple instinct qu’elle avait raté quelques répliques la concernant. Ils devinrent à nouveau silencieux, même graves, se sentant pris. Alors elle leur sourit et ce simple sourire détendit encore aussitôt l’atmosphère. Ses sens la trompaient-ils, ou le désir était palpable en cet instant dans le petit salon. Tous la regardaient étendue là , tous inconnus d’elle. Il y eut un moment de flottement. Elle prit conscience de son confort, et de la chaleur de tout ces regards. Et quand Jacques caressa encore doucement ses cheveux jusqu’à sa joue, et déposa un baiser sur sa main. Un simple baiser… que tous les autres avaient parfaitement vu, un seul baiser, et c’était comme si elle avait baisé la main de chacun d’eux… Et un peu comme si elle leur disait oui à tous. Elle se donna le temps d’en ressentir l’effet et en déposa un nouveau, plus long, sur la main immobile de Jacques. Les autres demeurèrent tout aussi immobiles. Puis la main de Stéphane commença à caresser très doucement sa jambe. Cette main qu’elle avait oubliée et dont la chaleur l’irradiait maintenant toute entière. Jacques passait un doigt sur ses lèvres entrouvertes, et il lui sembla évident de le happer pour le suçoter doucement, ce qu’elle fit en plongeant ses yeux dans ceux du garçon assis à l’autre bout de la table basse. Il eut d’abord une impulsion qu’il réprima, puis se leva doucement pour venir se poser à genoux près d’elle. Elle passa une main dans ses cheveux et l’attira vers elle, sa bouche s’écrasant contre son cou.Elle leva les yeux vers Jacques dont elle suçait toujours l’index, et dont elle venait de sentir naître la bosse. Sa robe était relevée haute sur ses cuisses, et elle enregistra le regard de Stéphane et de Marc sur son string qu’elle avait choisi pratiquement transparent. La main libre de Jacques releva encore plus la robe, sur son ventre qui s’en trouva dénudé, et sur lequel la grande main de Jacques vint se poser. Ludovic, qui léchait maintenant sa gorge en empoignant ses seins, se leva un instant pour regarder Stéphane tirer le string sur le côté pour révéler la corolle rose et luisante qui s’y cachait. Puis il replongea sur la poitrine qu’il couvrit de baisers. Elle écarta les cuisses en gémissant d’être aussi crûment exposée, et de sentir trois mains parcourir ses cuisses, dont la peau douce était de plus en plus moite. Sa main se posa sur la bosse de Ludovic, qu’elle tâta vigoureusement, et le plaisir de la sentir aussi raide la parcourait jusqu’au ventre. Des doigts vinrent alors frôler la chaire délicate de sa chatte, pour revenir aussitôt s’y appuyer, y glisser, et la branler. Elle passa une jambe derrière la nuque de Stéphane pour bien s’offrir à son toucher et à ses yeux. Jacques retira son doigt de sa bouche, et elle agita la langue, comme pour réclamer autre chose. Il se pencha pour venir l’embrasser, deux doigts glissèrent en elle, elle sentit qu’elle perdait l’équilibre, que le monde tournait d’un seul coup, et elle embrassa Jacques avec une passion telle qu’elle finit par lui mordre la lèvre assez violemment.Puis c’était au tour de ses seins de sentir la chaleur d’un autre corps, celle de la bouche de Ludovic, qui venait de les dénuder sans cérémonie et les dévorait maintenant en combinant délicieusement petites morsures et jeux de langue. Il était encouragé, il faut le spécifier, par la main qui après avoir fouillé un moment dans sa culotte, venait d’en libérer le trésor qu’elle branlait maintenant avec souplesse. Elle aperçut au bout du divan Marc le pantalon baissé qui branlait lui aussi un trésor tout à fait alléchant. Cette vision, les doigts qui la fouillaient et la langue de Ludovic lui firent frôler l’orgasme.Jacques se retira de sous elle et après avoir rapidement baissé son pantalon et brièvement caressé le visage qui reposait juste sous lui, laissa pendre son pénis au-dessus du dit visage. Elle en lécha un instant la crête mais ne put résister longtemps à la prendre et à la sucer. Cela arracha un gémissement à Jacques, qui se perdit dans un autre de Ludovic, qui se déhanchait contre la main qui le caressait. Elle entendit Stéphane l’encourager et elle eut envie de les sucer tous. Mais une bouche s’écrasant contre sa chatte lui changea vite les idées… Pendant trente seconde elle suça mécaniquement ce beau pénis qu’on lui offrait, ne ressentant rien qui ne soit lié à cette bouche gloutonne entre ses cuisses. Puis elle fut traversée par une série de soubresauts qui débouchèrent sur un orgasme profond.Elle ne distinguait plus ses gémissements des râles de Jacques au-dessus d’elle et de Ludovic sur ses seins, qui déchargeait à profusion sur son poignet. Alors qu’elle n’avait pas encore complètement reprit ses esprits, on l’a fait pivoter sur le divan. Jacques et Stéphane étaient maintenant agenouillés de part et d’autre de sa tête, tenant ses jambes bien ouvertes, et Marc était agenouillé sur le sol, la bouche toujours collée contre sa vulve. Son bras était couvert du sperme de Ludovic, qui s’était retiré un peu haletant dans un fauteuil voisin. Il y eut un moment de silence où elle grimaçait de plaisir, puis ses gémissements recommencèrent à remplir la pièce.Elle offrit alors sa bouche au pénis que Stéphane lui tendait. Elle remarqua la différence de goût et ceci lui donna encore plus envie de goûter aux autres. Marc se redressa et monta sur elle. Elle plongea ses yeux dans les siens, elle aimait cet instant où elle voyait l’assurance dans les yeux de celui qui allait la pénétrer d’un instant à l’autre. Son gland vint se nicher confortablement entre ses lèvres molles et glissantes, puis s’enfonça doucement en elle, ce qui la fit s’arc-bouter, et siphonner le sexe d’un Stéphane gémissant qui lui tenait fermement les cheveux. Marc s’activa en elle délicieusement. Stéphane fit glisser son long pénis hors de sa bouche et Jacques vint y ficher aussitôt le sien, lui laissant à peine le temps de respirer. Marc la besognait si bien qu’elle émettait un gémissement continuel des plus lubriques et qui ne manquait pas d’allumer tous les hommes présents. Mais bientôt Marc donnait des signes de fatigue. Il se retira brusquement, ce qui coupa le souffle de celle qu’il rendait si heureuse, et jouit sur le ventre brûlant offert à lui. Il semblait vouloir s’attarder dans cette position confortable, mais voila que Jacques sautait du divan pour le remplacer. Marc allait se retirer mais elle le retint et l’attira à elle, de telle sorte qu’il prit la position de Jacques. Ce dernier la branlait rapidement pour faire durer le moment où il allait la mettre en elle. Elle se tortillait et happa ce nouveau pénis gluant du jus de deux corps. Elle y reconnu le goût et le parfum de sa chatte, et le suça vigoureusement jusqu’à ce qu’elle n’en trouve plus trace. Mais alors ce fut de son goût à lui dont elle voulut se nourrir. Le pénis de Jacques était au fond d’elle maintenant, et Stéphane la frappait au visage de son gland dur et foncé. Elle voulut les sucer tous les deux mais sa bouche étant trop petite elle se concentra sur la queue de Stéphane, qui semblait prête à éclater. Il entreprit alors de lui baiser la bouche, alors qu’elle tentait de branler irrégulièrement et tant bien que mal le pénis demi-dur de Marc, au rythme des coups de reins de Jacques.Stéphane lui parlait et s’adressait à elle en l’encourageant comme à une sportive, et elle tentait d’articuler des « oui » étouffés par cette queue qui allait et venait entre ses lèvres. Jacques la pénétrait sans réserve et très rapidement, elle était en train de perdre absolument tous ses repères. Elle voyait le visage grimaçant de Stéphane au bout de ce long pénis, et sentit son scrotum, qu’elle chatouillait, se serrer, puis se décontracter subitement alors qu’elle sentit pour la première fois aussi franchement des flots de spermes se déverser contre sa langue et sa gorge. Vaguement consciente du pénis de Marc qui lui frôlait les joues, elle était transportée par l’intensité progressive des coups de Jacques, et la queue de Stéphane qu’elle avait maintenant libérée et qui finissait de se vider sur ses lèvres. Et alors que Stéphane s’effondrait à ses cotés quelques secondes plus tard, elle vit Jacques, grimaçant, se mettre sur ses pieds, lui faisant basculer le bassin, et se mettre à la ramoner profondément à une vitesse folle, qu’il ne teint pas plus que quelques secondes, quelques secondes de paradis qui se sont terminées alors qu’elle le sentit se vider longuement dans son ventre.Un long moment de silence survint… Personne ne bougeait plus, tous réalisaient la folie de ce qui venait de se produire tout naturellement. Elle rompit le malaise en commençant à se caresser pour se faire jouir devant eux une dernière fois, ce qui ne tarda pas, un orgasme calme et délicieux devant 8 yeux amoureux.Peu de temps après, Ludovic, rhabillé, vint la saluer et l’embrasser. Elle prit une douche avec les trois locataires, qui la frottèrent et lui donnèrent une tonne d’amour… Après quoi elle alla dormir entre Marc et Jacques dans le lit de ce dernier.