Cette histoire se passe toujours dans le mĂŞme hĂ´tel. Je ferai quelques fois rĂ©fĂ©rence Ă la prĂ©cĂ©dente histoire… mais petite description, grand hĂ´tel, grand parc, pas de plage au sens habituel du terme, une falaise au-dessus de la mer. Des gens plus ou moins argentĂ©s, mais plutĂ´t plus, mĂŞme si bien sĂ»r, la seule chose dont on ne parlait jamais c’était d’argent bien entendu. Tout cela ne veut pas dire non plus que le personnel lui Ă©tait bien payé…Ce couple venait de temps en temps. J’allais bientĂ´t apprendre qu’ils n’habitaient pas loin, n’avaient pas d’enfants, et du coup se faisaient des week-ends, des vacances ou tout simplement des sĂ©jours, d’affaires quelques fois. Parce qu’on rencontrait du beau monde ici et donc sĂ»rement des chefs d’entreprises. Je ne me suis pas intĂ©ressĂ© Ă cet aspect des choses.Plusieurs fois j’avais eu Ă les servir et j’avais remarquĂ© que la dame ne cachait pas beaucoup ses charmes. Je les ai vus plusieurs fois monter dans leur chambre, presque toujours une suite avec un grand balcon face Ă la mer, avec un homme ou un autre couple.Ce soir-lĂ , un samedi, pas grand monde dans le restaurant. Il avait fait très beau, les gens devaient ĂŞtre partis Ă Nice pas très loin. Le couple arrive et se place dans un angle dans la partie dont je m’occupais. Lui face Ă la salle. Elle portait une robe très dĂ©colletĂ©e et chaque fois en arrivant je plongeais discrètement mon regard vers ces obus vraiment très proĂ©minents.En cours de repas, j’amenai le plat principal, Georges me fit signe de venir vers lui et il me parla Ă l’oreille :— Ils sont beaux, tu ne trouves pas, les seins de Claire, me dit-il en la regardant et en lui faisant un clin d’œil.Assez interloquĂ©, je tournai la tĂŞte vers la Claire en question.En me regardant dans les yeux, Claire avance son buste et me montre un peu plus ses seins qu’elle a très gros.— Ou… oui, balbutiais-je.LĂ je voudrais tout de suite prĂ©ciser que malgrĂ© leurs propos ou attitudes parfois très provocantes, que l’on qualifierait mĂŞme de vulgaires parfois, ils avaient une grande classe et justement aucune vulgaritĂ©. Un goĂ»t prononcĂ©, tous les deux, pour le sexe, mais avec une grande classe, un grand respect de chacun, la petite distance qui fait que tout est acceptable. Ajoutez Ă cela une vraie recherche de plaisir, une grande culture et un humour très retenu.— Penche-toi encore un peu. Tire un peu ton dĂ©colletĂ©. Ah voilĂ qui est mieux. Alors euh…— Alors Patrick qu’en penses-tu ?— Patrick ? dit Claire en mettant sa main sur la bosse naissante de mon pantalon… pas trique hum ! Il faut le dire vite, et si jamais, ça ne traĂ®nerait pas si tu me laisses m’en occuper.— Patrick, vous nous rĂ©pondrez plus tard, mais si cette poitrine vous intĂ©resse, comme Ă l’air de le dire Claire, vous finissez Ă quelle heure ?— 23 h.— Eh bien rĂ©flĂ©chissez et dites-nous tout Ă l’heure si un petit tour dans notre chambre vous plairait. D’accord ?— D’accord Monsieur.— Georges. Et comme je vous le disais, ma femme Claire, dit-il en tendant la main vers Claire, qui retira sa main en me souriant.Je ne sais pas s’ils avaient remarquĂ© mes regards dans son dĂ©colletĂ©. Il faut dire que ça faisait deux ou trois jours que Marie n’arrĂŞtait pas de se balader très peu vĂŞtue sous mon nez et que j’avais les neurones et le reste plein d’envies. Et lĂ le pantalon et la tĂŞte Ă©taient dans tous leurs Ă©tats. Je retournais aux cuisines en me demandant bien quelle Ă©tait la meilleure marche Ă suivre parce qu’il y avait Ă©videmment plein d’histoires de cul avec les clients qui circulaient dans le personnel, mais il y avait aussi eu quelques sales histoires qui avaient valu Ă certains collègues d’être foutu dehors… Et tous les ragots Ă©taient invĂ©rifiables, bien entendu.Quand je revins voir Georges et Claire, je vis bien tout de suite que Claire avait enlevĂ© son soutien-gorge. Elle portait une robe très dĂ©colletĂ©e, noire, avec deux bouts de tissu assez larges qui descendaient de ses Ă©paules presque jusqu’à la ceinture, mais avec donc cette sĂ©paration entre ses deux seins.— Personne n’en saura rien, bien sĂ»r, mon cher Patrick, me murmura George en faisant signe Ă Claire d’écarter un peu les deux tissus.Ces seins avaient de quoi mettre en feu le plus calme ! Et ce n’était pas mon cas. Georges eut la dĂ©licatesse de changer de sujet et de se mettre Ă me poser quelques questions sur moi, mon travail, mon avenir. Après une dĂ©glutition sonore, parce que Claire, elle s’amusait toujours Ă tout faire pour que ses deux obus me sautent Ă la figure, et j’avais du mal Ă regarder Georges en lui parlant, je balbutiais de courtes rĂ©ponses.— Oh bien sĂ»r vous ĂŞtes plus intĂ©ressĂ© par les arguments de Claire que par mes petites questions imbĂ©ciles.— Non Monsieur.— Georges ! Mais je vous… je te comprends Patrick. Pourtant tu ne connais pas encore le plaisir que c’est que de caresser ces deux magnifiques choses que tu n’as mĂŞme pas vues entières encore.— Mais je…— Non, non, tu as raison. Tu penses Ă nous rĂ©pondre, et apporte-moi un joli paquet de crème chantilly avec mon dessert.Cet Ă©pisode n’était pas fait pour calmer mes ardeurs et je ne pouvais m’empĂŞcher de jeter des tas de coups d’œil vers ce couple avec un flot de questions dans la tĂŞte. J’y rĂ©pondais par oui puis par non… Et leur apportais leur dessert, avec la crème demandĂ©e.— Alors, tu viens avec nous ?— Oui monsieur.— Georges. Très bien nous t’attendons.— Non, je prĂ©fère vous alliez devant et je vous rejoins.— Chambre 158 mon petit Patrick. Je t’attends toute nue, ne traĂ®ne pas, Georges pourrait en profiter, me dit Claire.— Je fais de mon mieux.— Je le vois bien, dit-elle en caressant Ă nouveau la bosse de mon pantalon.Ils traĂ®nèrent un peu et je les vis partir vers l’ascenseur. Je bouclais le plus vite possible la fin du service que l’on trouve toujours trop longue dans ces cas lĂ et arrivais enfin Ă m’extraire des cuisines. J’hĂ©sitais Ă passer Ă ma chambre et finalement partais en costume les retrouver en rasant les murs.Mon cĹ“ur battait la chamade quand je frappais Ă la porte 158. Elle s’entrouvrit. Je poussais donc dĂ©licatement, entrais et refermais. Un « Viens vite » m’invita Ă poursuivre ma route. Claire se dirigeait vers moi, entièrement nue.— Tu as gardĂ© ton costume, très bonne idĂ©e. Il Ă©tait temps que tu arrives, je n’arrivais plus Ă tenir Georges qui bande dĂ©jĂ comme un fou et qui voulait commencer Ă me manger ! Regarde-le ! Quelle belle trique !Georges Ă©tait debout, nu lui aussi, au milieu de la pièce, une grande chambre toutes lumières allumĂ©es richement dĂ©corĂ©e, mais d’une manière très agrĂ©able, pas trop clinquant. Il avait Ă la main une coupe de champagne qu’il leva en me regardant.Georges Ă©tait très bel homme. Grand, svelte, très souple, agile. Une petite moustache coupait son visage très rieur. Cheveux noirs frisĂ©s. Poilu, mais sans plus des Ă©paules carrĂ©es et, sous le verre de champagne, lui aussi pointĂ© vers moi, un beau sexe assez court, noueux comme un cep de vigne et avec un gros gland tout rose.Claire Ă©tait une femme d’une grande fraĂ®cheur. Elle avait toujours une attitude entre une mère et une grande sĹ“ur. Elle Ă©tait blonde Ă la française, châtain très clair si vous prĂ©fĂ©rez, elle aussi très grande, un peu plus que moi. Ni fine ni grosse, de belles rondeurs lĂ oĂą il faut. Des fesses rondes, fermes et des seins magnifiques. Son torse en avant Ă©tait prolongĂ© par deux beaux fruits oblongs qui ne tombaient pas. Ils Ă©taient naturels, j’en suis sĂ»r, pas de ces choses qui ne vivent plus ! Ils avançaient au-devant d’elle, terminĂ©s par des tĂ©tons presque rouges et de petites arĂ©oles ceinturĂ©es de petites proĂ©minences comme des petits boutons. On aurait presque pu croire Ă de petites fraises qu’immanquablement on avait envie de goĂ»ter ! Son sexe, presque rasĂ©, avait de grandes lèvres bien dessinĂ©es, proĂ©minentes quand elle se tenait debout. Inutile de vous dire que je me dĂ©lectais de son avancĂ©e vers moi d’un pas sĂ»r et tranquille.ArrivĂ©e devant moi elle m’attrapa les mains, les leva en esquissant un petit pas de danse avec moi, me serra et frotta sa joue contre la mienne. Elle se plaça derrière moi.— Enlève tes chaussures, me murmura-t-elle Ă l’oreille en dĂ©faisant le bouton de mon pantalon.Une fois ouvert, elle le baissa sans autre forme de procès, emportant dans la foulĂ©e le caleçon, descendit jusqu’en bas et le tint fermement le temps que je dĂ©gage mes pieds. Les chaussettes subirent le mĂŞme sort. Elle frotta son visage contre mes fesses, donna quelques coups de langue sur mon petit trou, et se releva.— Hum, ce petit duvet sur tes fesses… divin ! murmura-t-elle.— Georges, je te prĂ©viens que tu vas aimer ces fesses-lĂ mon ami !Elle dĂ©fit les boutons de ma veste, passa le T-shirt par-dessus mes Ă©paules, j’étais moi aussi complètement nu, incapable de bouger. Elle se plaça sur mon cĂ´tĂ© droit, le ventre appuyant mon bras et me parcourut le corps en me murmurant Ă l’oreille :— Humm, ce torse tout doux sans aucun poil… Quel joli ventre plat et musclĂ©Â ! Ce duvet sur ces petites fesses musculeuses ? Quel bâton vous avez lĂ mon ami et je ne dis rien sur ces noisettes que je vais bientĂ´t manger ou plutĂ´t sucer… Et ces cuisses ! Vous ĂŞtes marcheur Ă n’en pas douter? C’est pour retrouver de petites femmes comme moi que vous faites tous ces kilomètres ? Vous pourriez au moins dire « Bonjour » Ă ma minette qui attend votre menotte !Je retournais ma main, la levais un peu et la posais sur son coquillage. Un petit « Hummf » de bonheur accompagna mon geste. Je promenais mes doigts dans son entrejambe dĂ©jĂ bien humide. Elle en profita quelques minutes, puis bougea, se dirigea vers Georges en attrapant ma main. ArrivĂ©s près de lui elle posa ma main sur son sexe et Georges lui, attrapa le mien.— Bienvenue Patrick, me dit Georges. Ta bite nous fait beaucoup d’honneur de bander de telle manière !En me disant cela, il me caressait doucement la verge et les couilles. Je tentais de lui faire de mĂŞme, ne sachant trop comment m’y prendre et regardant son sexe si diffĂ©rent du mien. Le sien assez court, noueux avec un gros gland. Le mien plus long, très droit d’un diamètre un tout petit peu infĂ©rieur au sien.— Tourne-toi et regarde Claire.Elle s’était allongĂ©e de dos sur la table. Elle avait les jambes Ă©cartĂ©es dans notre direction et se caressait les cuisses les yeux fermĂ©s.— Montre-nous ton joli sexe mon amour.Georges avait toujours mon sexe en main, mais le regard vers celui de sa femme.— Comme il est beau ! Tu le vois ? Tu peux t’approcher, tu sais. Regarde bien. Soufflotte sur lui ça va lui plaire.Claire promenait ses mains partout sur son sexe, en Ă©cartait les lèvres pour que nous puissions voir l’intĂ©rieur, dĂ©gageait son bouton, le frottais doucement. Elle souleva ses jambes et les posa sur mes Ă©paules. Mon sexe toujours dans les mains de Georges dont j’entendais la respiration, je regardais l’intimitĂ© de Claire, m’avançais pour souffler, me reculais pour voir la chose entière. Comme je me rĂ©avançais, Claire serra ses jambes et je me retrouvais le nez dans son sexe. Je ceinturais ses fesses glissant mes mains entre elle et la table et je me mis comme un fou Ă bouffer tout ce qui se prĂ©sentait. Elle tendit ses jambes encore un peu, dĂ©colla ses fesses de la table. Je continuais comme un fou allant de son ventre, très agrĂ©able, d’enfouir son visage dans cette surface molle, jusqu’à entrer ma langue, comme elle tout Ă l’heure, dans son petit trou du cul.Je n’hĂ©sitais pas Ă entrer mon nez tout entier dans son vagin, Ă aspirer son clito et le mâchouiller entre mes lèvres, prendre ses lèvres dans les miennes attraper Ă pleine bouche son sexe dans son entier et le badigeonner de ma salive.— Vas-y, vas-y, rĂ©pĂ©tait-elle sans cesse et en rythme et ça avait pour effet de me dĂ©brider complètement.Je tournais la tĂŞte dans tous les sens, soufflais dans son vagin, criais la bouche collĂ©e Ă sa fente, rien ne devait sortir, mais ça me faisait du bien.Je m’étais presque oubliĂ© dans ce bain de chairs humides, et tout Ă coup je pris conscience que Georges lui ne m’avait pas oubliĂ©, qu’il me masturbait voluptueusement, un doigt dans mon anus et mon plaisir se mit Ă monter d’une manière inexorable. Je sentis une traction. Georges me dĂ©colla de Claire que j’entendis du coup hurler, toujours en rythme, et sans lâcher mon sexe, sans enlever son doigt il me porta presque vers le visage de Claire qui attrapa ma queue comme si sa vie en dĂ©pendait et se mit Ă me sucer, une main autour de ma raideur, l’autre sous mes couilles, avec autant de frĂ©nĂ©sie que j’avais tout de suite dans son cul !!Je ne sais pas si j’ai rĂ©sistĂ© plus d’une minute Ă ce traitement, surtout que Georges avait lui aussi accĂ©lĂ©rĂ© les mouvements de son doigt dans mon cul. Je me penchais en avant, m’accrochais aux deux obus que j’avais devant les yeux, me mis Ă bouger du bassin comme si je baisais la bouche de Claire. Le doigt de George restait en embuscade. De tels mouvements n’empĂŞchaient pas Claire de bouger comme une folle aussi. Il y eut quelques dĂ©rapages, mais ma verge ne restait que quelques millièmes de seconde hors de la bouche ou des mains de Claire et j’éclatais dans sa bouche, ce qui ne la calma nullement. Moi non plus.Je me calmais enfin. Je restais stoĂŻque Ă profiter encore des mouvements fous et dĂ©sordonnĂ©s de Claire qui semblait ne plus jamais vouloir arrĂŞter de me sucer. C’était très bon et beau Ă regarder.Georges lui n’avait pas perdu de temps. Il Ă©tait parti chercher la crème que je lui avais amenĂ©e tout Ă l’heure Ă table et en avait tartinĂ© l’entrejambe de Claire. Il Ă©tait maintenant la tĂŞte entre ses jambes, de la crème partout sur le visage, la tĂŞte, les cheveux mĂŞme les Ă©paules, et lui aussi bougeait comme un fou. Je regardais ce spectacle mi amusĂ© mi interloquĂ©, mais il allait falloir que je m’habitue aux mĹ“urs dĂ©bridĂ©es, mais tellement belles de ces deux lascars. Claire elle avait Ă peine relâchĂ© ses gestes sur mon sexe et me voilĂ qui commençait Ă rebander. Je lui caressais les seins. Quelle peau agrĂ©able ! J’adorais jouer avec ces masses molles et fermes Ă la fois, les prendre un par un Ă pleines mains, les rassembler, mouiller et jouer avec les tĂ©tons…— Viens entre mes seins sur la table.Ce genre d’invitation ne se refuse pas ! Je grimpais sur la table, ceinturais son torse avec mes cuisses. Elle avait humidifiĂ© l’espace entre ses seins. Je plaçais mon sexe et elle attrapa ses seins qu’elle serra autour. Je reprenais de la vigueur et commençais des allers retours très agrĂ©ables. Je m’avançais pour qu’elle puisse lĂ©cher mon sexe, recommençais mes mouvements…— Viens m’embrasser.Je baissais mon visage Ă la rencontre du sien et c’était parti pour un long baiser langoureux. La table se mit Ă bouger. Georges avait abandonnĂ© les crèmes, celle de sa femme et la chantilly, et pilonnait maintenant Ă une bonne vitesse de croisière. Je sentis bientĂ´t une main se balader entre mes jambes, sur mes couilles et s’engager encore pour saisir mon sexe bien dur maintenant. Puis une langue ferme entreprit une petite feuille de rose sur mon anus qui aimait beaucoup. J’avais bien fait de rester Ă quatre pattes pour ce baiser.— Par ici la jeunesse.Georges m’appelait Ă venir le rejoindre. Le temps que je descende, il disparut dans la salle de bain et revint avec un tube de pommade. Il me montra le petit trou de Claire et me fit signe de la lĂ©cher pendant qu’il lui relevait les jambes. Très agrĂ©able Ă faire ! Claire bougeait son petit cul. Elle ne semblait pas insensible.D’une main ferme, Georges Ă©carta ma tĂŞte et posa un gros morceau d’une pommade translucide, joua un peu avec le petit Ĺ“illet et me fit signe de continuer. Il me fit signe aussi d’enfoncer les doigts, ce que je fis. Claire bougea, descendit de la table et après m’avoir embrassĂ© et fait un large sourire, elle se mit par terre Ă quatre pattes. Georges m’attrapa par le sexe, me fit mettre Ă genoux et fit rentrer mon sexe dans le vagin de Claire. Quel bonheur ! Je bougeais lentement, me dĂ©lectant de chaque centimètre. Georges, de temps en temps, me poussait sur les fesses ou m’attrapant par les hanches me faisait bouger plus vite en riant.Il passa ses deux mains entre Claire et moi et me fit sortir. Il se saisit Ă nouveau de mon sexe et le positionna sur le trou du cul de Claire, le tenant bien fermement en main en me caressant les couilles de l’autre main. Devant moi, le postĂ©rieur magnifique s’amusait de mon gland. Son sexe Ă©tait aussi très beau vu de l’arrière, très bombĂ©, fendu comme un abricot. Elle poussa et d’un coup mon gland disparut dans ce si petit trou. « Humf… » fit-elle en stoppant. Pas longtemps. Elle reprit la poussĂ©e et engloutit mon sexe en entier, chassant la main de Georges qui se mit Ă me caresser les fesses. Il reprit le tube, s’en badigeonna le sexe et me renfonça un doigt dans le cul.C’était très bon. Je commençais Ă bouger, ressortant pour retourner très vite faire disparaĂ®tre mon barreau dans ce joli petit trou. Beau Ă voir, j’aimais beaucoup regarder.— L’enculeur enculĂ©, me dit Georges.Ă€ genoux il se dirigea derrière moi et, après quelques minutes, comme j’étais le sexe complètement enfoncĂ© dans le cul de Claire et que je m’étais avancĂ© pour lui caresser les seins, il commença Ă pousser et je le sentis entrer doucement, inexorablement. Une poussĂ©e lente et ferme. Je ne savais pas trop si j’aimais ou pas. En tous les cas, je ne pouvais pas dire que ça me faisait mal. Il se mit alors Ă jouer de mon corps et de son sexe. Il sortait son cep de mon cul et tirait sur mes hanches, ce qui me faisait donc sortir du cul de Claire pour m’empaler sur le barreau de Georges. Il poussait et je m’enfonçais donc en Claire et m’éloignais de Georges ! Je me prĂŞtais Ă son jeu un moment. Claire pas toujours d’accord sur le rythme provoquait quelques contretemps.Mon dĂ©sir devint plus impĂ©rieux et je pris de l’autonomie, bougeant quand je voulais, dans le sens que je voulais. Claire avait repris une sorte de « Vas-y, vas-y » dont sans doute le plaisir dĂ©formait la prononciation et qui ne ressemblait plus Ă grand-chose. Je dĂ©fouraillais deux ou trois fois, Georges aussi eut quelques sorties incontrĂ´lĂ©es, mais le rythme devint de plus en plus rapide et je crachais mon sperme quelques secondes avant Georges tandis que Claire faisait des sons qui auraient pu faire penser qu’elle pleurait. Les mouvements de son cul m’indiquaient le contraire et encourageaient plutĂ´t mes assauts. La sensation du sperme me remplissant le cul fut très agrĂ©able, mĂŞme dans ce tumulte.Claire se laissa tomber ventre Ă terre, se retourna, me fit signe de venir en 69. Nous nous lĂ©châmes comme pour apaiser nos chairs. Le reste de notre Ă©nergie, nous le passâmes Ă discuter tranquillement en buvant le champagne que j’avais vu et pas encore goĂ»tĂ©. Je dormis dans leur lit, Ă©norme, et me sauvais pour prendre mon service le lendemain alors qu’ils dormaient encore.Je ne les revis pas le lendemain. Ils passèrent un week-end deux ou trois semaines plus tard. On se fit quelques coucous discrets, mais rien de plus. Puis, ils revinrent quelques jours. Dès le premier soir, ils me firent signe. Je vins leur parler.— Patrick ! Tu as l’air en forme.— Vous aussi.— Ce soir nous sommes bien trop fatiguĂ©s, mais veux-tu repasser d’ici lundi ?— Jeudi je termine mon service Ă 20 heures.— Parfait. Viens nous retrouver, mais vers 21h30.— Je serais lĂ . 158 ?— Oui. N’oublie pas tes outils, me dit Claire avec un large sourire.Claire vint m’ouvrir quand je frappais Ă 21h 30 prĂ©cises. Elle me retint dans le petit sas d’entrĂ©e et m’embrassa Ă pleine bouche les mains très baladeuses plongèrent dans mon pantalon, sous mon t-shirt. Quelques secondes eurent raison de ma retenue et moi aussi je me baladais sous sa robe et dĂ©couvrais qu’elle n’avait ni culotte ni soutien-gorge. Comme quoi, une robe simple et neutre pouvait cacher bien des choses. Et c’est les vĂŞtements dans un drĂ´le de dĂ©sordre que nous entrions dans la chambre.Chambre salon devrais-je dire. Et je fus un peu déçu de voir Georges assis dans un fauteuil Ă discuter avec deux autres couples.— Patrick, dit-elle tout simplement en m’invitant Ă m’asseoir auprès d’elle sur un canapĂ©.Claire se leva et me fit signe de la suivre. Nous avons prĂ©parĂ© de quoi amener pour l’apĂ©ro et elle me dit de ne pas m’inquiĂ©ter, que nous allions bien nous amuser. « Quand ils seront partis » pensais-je. Nous posions nos bouteilles et gâteaux sur la table basse et retournions nous asseoir. Je ne faisais pas trop attention Ă la discussion. Assez vite Claire se mit Ă me caresser la cuisse. D’abord assez discrètement puis de plus en plus franchement. MalgrĂ© la gĂŞne que ça me procurait, et parce qu’en plus les caresses devenaient de plus en plus prĂ©cises, je commençais Ă bander.J’essayais de me calmer en regardant les invitĂ©s. Les deux femmes Ă©taient assez mignonnes. 40 ? 50 ? Je ne sais pas. Une petite boulotte, mais très craquante, vive, gourmande sĂ»rement. L’autre un peu trop fausse blonde Ă mon goĂ»t, mais assez mignonne avec les cheveux ramenĂ©s en faux chignon avec une grosse barrette. Jupes assez courtes toutes les deux, et pour la boulotte, un t-shirt qui lui moulait bien des seins assez gros qui semblaient tout ronds. Tout ça ne me calmait pas beaucoup !Claire, bien sĂ»r, s’en aperçut et me massa directement le sexe Ă travers le pantalon. Puis, je n’en croyais pas mes yeux, ou mes sensations parce que je ne regardais pas cet endroit prĂ©cis Ă©videmment, elle entreprit de baisser la braguette du pantalon. Avec une main, c’est pas Ă©vident ! Mais elle y arriva, se fraya un passage, saisit ma verge et la sortit. Je voyais les uns et les autres continuer Ă discuter et se tourner rĂ©gulièrement vers nous. Je ne peux pas dire qu’ils semblaient choquĂ©s ou quoi, mais ils dĂ©tournaient le regard quand il croisait le mien.— C’est chiant cette discussion, me glissa Claire Ă l’oreille et elle plia son buste pour me sucer le sexe.— Suis-moi en me suçant la cramouille, dit-elle tout fort.Elle se mit Ă quatre pattes, souleva sa robe en se la rabattant sur le dos. Quel beau cul ! Je donnais un coup d’œil circulaire. Il me semblait que les femmes Ă©taient plus amusĂ©es par la tournure des choses que les hommes. Ils Ă©taient aussi plus passionnĂ©ment impliquĂ©s dans la discussion.Merde après tout ! On est chez eux, elle sait ce qu’elle fait. Je plongeais mon visage entre ses fesses. Quel plaisir de retrouver ces rotonditĂ©s, ces odeurs ! Un « Humf… » dĂ©sormais connu me dit qu’elle avait aussi senti la connexion. Elle avançait doucement, s’arrĂŞtait, collait son buste au sol pour bien faire ressortir son cul que je puisse bien la lĂ©cher, reprenait son avance et faisait le tour des invitĂ©s, passait entre eux… Lors d’un passage, une main saisit ma bite qui me pendait entre les jambes au travers de ma braguette. Je crois que c’était une main de femme. Je me serais bien arrĂŞtĂ©, mais j’étais comme aimantĂ© par le cul de Claire.La discussion avait de plus en plus de moment de silence et j’entendis un homme dire :— Elle a vraiment un joli cul.Une femme rĂ©pondit par l’affirmative en prĂ©cisant Ă son homme :— Je suis sĂ»re que tu aimerais bien ĂŞtre Ă la place du jeune homme, gros cochon, mais tout ça dit très calmement, plutĂ´t approbateur.Alors que nous passions près d’une des deux femmes, Claire se retournant me dirigea entre les jambes qui s’ouvrirent comme par magie. Magie aussi sans doute le fait que le postĂ©rieur vint Ă ma rencontre s’asseoir sur le bord, confortable, de la chaise. Chouette, c’était la petite boulotte. Ce ne fut pas le « Humf… » de Claire, mais c’était quand mĂŞme un soupir de satisfaction qui m’accueillit. Changement de peau, d’odeurs, de façon de rĂ©agir.La femme se leva, troussa sa robe enleva sa culotte et se rassit. Je jetais un coup d’œil circulaire pour voir ma Claire, bien chauffĂ©e par mes soins, la bite d’un des hommes enfoncĂ©e en elle et la bouche autour du sexe de l’autre invitĂ© assis qui passait tour Ă tour son regard sur tout cela sans oublier sa femme qui avait la tĂŞte de Georges entre les cuisses. Ça ne lui suffit pas, elle se leva Ă nouveau et se dirigea au centre de la pièce sur le tapis. Elle fit voler ses habits. Et s’allongea sur le dos regardant si je la suivais. Elle Ă©tait vraiment mignonne avec un petit sourire gourmand qui me plaisait bien. Je m’empressais aussi de faire voler mes habits.Je m’allongeais sur elle et nous nous jetâmes dans un baiser plein de fougue. Elle nous fit rouler, se dressa sur ses bras, me regarda toujours avec ce sourire et plongea sa main vers ma bite qu’elle malaxa sans retenue. Ă€ mon tour, je nous fis tourner, me dressai sur les bras, la regardai et plongeai mon visage entre ses seins que je lĂ©chais avidement. Hum, ces seins ronds et Ă©pais me plaisaient. Je continuais Ă descendre et plongeai entre ses jambes qu’elle redressa comme si j’avais touchĂ© un ressort. Je lui attrapais les cuisses, remontais encore plus ses jambes en les Ă©cartant et promenais mon nez et ma langue de son clito Ă son trou de balle, mignon comme tout, assez sombre par rapport au reste de sa peau. Je remontais Ă nouveau vers son visage, mais ne m’arrĂŞtais qu’en ayant mon sexe au-dessus de son visage.Je remontais mes pieds autour de sa tĂŞte et, le corps appuyĂ© sur mes cuisses je me tenais accroupi au-dessus de son visage. Elle pouvait Ă loisir me malaxer l’engin, tout tendu qu’il Ă©tait, et le lĂ©cha aussi partout n’oubliant aucun repli. Sa langue savait se faire dure pour titiller mon petit trou. Divin. Je replongeais vers son sexe, cette fois-ci en 69.Je sentis du mouvement Ă cĂ´tĂ© de nous. C’étaient Georges et l’autre dame qui s’installaient Ă quelques centimètres dans la mĂŞme position que nous. Nus tous les deux. J’avais mal jugĂ© cette dame, elle Ă©tait belle, toute longiligne, des petits seins pointus, tout coniques. Georges, au bout de quelques minutes, me tapota l’épaule, me proposant de changer de partenaire. J’aimais bien celle-ci, mais… ce fut fait. Et avant de savoir quoi que ce soit de cette femme, je me retrouvais le nez dans son cul, qu’elle avait fort agrĂ©able tant au niveau de l’odeur que du dessin, et elle me lĂ©chait la bite. Nous parlerons tout Ă l’heure.Je dĂ©couvrais un clito tout long ! Une mini bite ! Elle aimait bien que je l’aime et la lui lèche. Elle prenait mes couilles une par une dans sa bouche et me massait le gland avec ses doigts qu’elle mouillait rĂ©gulièrement, c’était très bon. Georges avait dĂ» trouver ça rigolo et proposa de changer plusieurs fois. Les deux hommes avaient changĂ© de sens aussi autour de Claire qui se faisait pĂ©nĂ©trer par celui qu’elle lĂ©chait avant qui ne s’était mĂŞme pas dĂ©shabillĂ©.Dans un des changements, les deux femmes se mirent Ă quatre pattes, tĂŞte-bĂŞche et je m’empressais de rejoindre la petite boulotte et de lui enfoncer mon dard d’un seul coup.Je restais plantĂ© lĂ , la saisis par les hanches et pris du plaisir Ă Ă©craser ses fesses rondes contre mes hanches en tournant doucement. Je la voyais qui regardait la bite de Georges s’amuser Ă l’entrĂ©e de la grotte de l’autre femme qui avait, elle, les yeux rivĂ©s sur nos fesses. Elle dĂ©tacha une main du sol et s’amusa avec mes couilles. J’écartais un peu les jambes pour agrandir son terrain de jeu.On entendit un gros râle bien grave, c’était le gars qui pĂ©nĂ©trait Claire. Il avait pris son sexe, de belle taille, en main et crachait sa purĂ©e sur le postĂ©rieur de Claire. Elle resta docilement jusqu’à la dernière goutte et vint nous rejoindre en restant Ă quatre pattes et Ă reculons. Quelle vision ! Elle se posta devant la petite boulotte que je pilonnais toujours consciencieusement et qui avait quittĂ© des yeux les jeux de Georges pour voir ce beau cul venir jusqu’à elle et entreprit un nettoyage batifolage dans ce cul magnifique qui ondulait de plaisir. Moi je ne bougeais plus trop parce que cette vision allait m’amener vite Ă l’inexorable.— Que vous ĂŞtes beau tous les quatre ! dit Claire en se levant et elle commença une balade active et commentĂ©e au milieu de ce théâtre de baise.— Que penses-tu du chibre de mon Georges, dit-elle en regardant son homme en activitĂ© et en caressant le cul fin et duveteux de l’autre femme.— Je suis sĂ»re que tu sens que je lui caresse les couilles. Il doit ĂŞtre encore plus dur.Y’avait pas vraiment de rĂ©ponse, juste une sorte de roucoulement.— Oh mais ton petit trou du cul est joli comme tout. Il est rĂ©gulier, tout rond, tout rose. Pousse-toi.Et Georges se retrouva dehors pendant que Claire prit les fesses Ă pleins bras et se mit Ă lĂ©cher la belle petite chose qu’elle venait de dĂ©crire.Georges prit, lui, le chemin de la bouche d’à cotĂ©, qui ne demandait que ça de toute façon et se mit Ă le lĂ©cher avec force bruits. Claire avait remplacĂ© sa langue par un doigt.— Pas trop vite, m’a-t-il semblĂ© comprendre.— T’inquiète ma chĂ©rie, je n’oublie pas ton clito. Oh mais il est merveilleux !Claire, sans enlever le doigt du cul, se mit sur le dos, la tĂŞte dans l’entrejambe susnommĂ© et la fit descendre sur sa bouche. Elle n’y allait pas de mains mortes. Je vis la tĂŞte de ma voisine se relever et j’avais presque face Ă moi un visage complètement dĂ©formĂ© par le plaisir qui montait, la bouche grande ouverte elle semblait chercher l’air.— Vas-y ton doigt, dit-elle.— Attends, ça suffira pas, rĂ©pondit Claire en se dĂ©gageant, attrapant le sexe de Georges presque en l’arrachant de la bouche de la boulotte que je ne pilonnais plus beaucoup tout captivĂ© par le spectacle et qui, du coup, bougeait le cul comme une toupie, et se ravisant elle replanta le chibre dans la bouche restĂ©e ouverte.— Patrick, viens par ici.Je ne me le faisais pas dire deux fois et me dirigeais vers ce cul chauffĂ© Ă blanc. Claire m’attendait, me prit le sexe trempĂ© de mouille et le posta sur la petite rondelle qui vibrait toute seule. Sans attendre, elle me poussa un grand coup sur les fesses et je me retrouvais tout entier dans le joli cul de cette dame. LĂ le « Hummf » on l’a fait tous les deux ensemble !— Bouge plus, j’arrive.Claire partit en courant, faillit se tĂ©lescoper avec le bonhomme qu’elle lĂ©chait avant de nous rejoindre et qui avait bien vu qu’il y avait un trou de libre et voulait s’y promener un peu. Elle revint avec deux coussins qu’elle mit entre les jambes de notre amie, Ă©carta les miennes, se glissa entre elles, ceintura les fesses que j’enculais et me dit « A fond » en plongeant son nez, sa bouche, ses dents, joues, yeux vers le clito – petite bite.Elle Ă©tait Ă fond en effet. Sa tĂŞte bougeait en tous sens et faisait des bruits incroyables. Georges qui aimait beaucoup enculer, s’était dĂ©placĂ© autour de la boulotte et avait la langue enfoncĂ©e Ă prĂ©parer le terrain. Le pauvre autre bonhomme avait donc pris sa place en bouche de cette boulotte qui Ă©carquillait les yeux, la bouche dĂ©formĂ©e par le chibre qui bougeait en elle pour regarder ma queue Ă©carter la rondelle de sa copine.— J’arrive, dit simplement Georges en relevant la tĂŞte et en prĂ©sentant son barreau tout raide et donc tout prĂŞt Ă pourfendre cette paire de fesses.Je ne suis pas sĂ»r que notre boulotte avait tant que ça l’habitude d’accueillir ses amants par lĂ . Les yeux Ă©taient au bord des orbites et si Georges rentrait trop vite ils risquaient de tomber par terre. Elle ne pouvait rien dire parce que le sexe qu’elle avait dans la bouche Ă©tait très actif et la ramonait par lĂ aussi. Georges alla doucement et s’enfonça dĂ©licatement. Il fit deux ou trois allers-retours calmement.— C’est parti, dit-il et lĂ il se mit d’emblĂ©e Ă un bon tempo.Je lui emboĂ®tais le pas. Je n’allais pas tenir longtemps. Je sentais le visage de Claire sous moi et quand je reculais mes couilles se frottaient sur ses seins. Je traĂ®nais parfois sur cette Ă©tape en bougeant de gauche Ă droite, elle s’en aperçut et prit ses seins Ă deux mains et les frotta contre mes fesses et mes noisettes. Quand je m’enfonçais, je sentais le fourreau de ma belle qui vibrait en tous sens, vibration activĂ©e par les succions de Claire. Tout fut dĂ©clenchĂ© par l’homme que Boulotte suçait. Elle devait lui faire subir le plaisir que les grands coups de Georges faisaient monter en elle.Il l’avait attrapĂ©e par les deux oreilles et se mit Ă gueuler des « Oh putain ! » Ă rĂ©pĂ©tition en bougeant le cul et en lâchant tout dans la bouche, active, elle aussi. Boulotte soufflait comme un bĹ“uf, par le nez puisqu’il ne lui restait que ça. « Pareil » dit avec humour, Georges qui visiblement se mit Ă remplir la Boulotte. Quelques secondes avant Claire, qui dĂ©cidĂ©ment sentait bien les choses, avait pris mes couilles et celles de mon voisin dans les mains. Je ne sais pas si c’est cela qui l’a fait partir, mais je le suivais Ă quelques secondes juste avant le « pareil » de Georges. Je m’étais installĂ© dans de courts mouvements très rapides et la femme au bout de ma queue faisait des sons discontinus avec des variations rythmiques assez affolantes.On s’est tous affalĂ©s plus ou moins enchevĂŞtrĂ©s sur le tapis. Je ne crois pas que l’on ait dormi, mais y’a eu un moment sans rien. Et puis ça a recommencĂ© Ă bouger. C’était cette incroyable Claire qui s’était mise en mouvements, un peu comme un serpent ou en roulant par terre et sur les corps. Et lĂ y’a eu un moment rigolo ou sans un mot tout le monde s’est mis Ă bouger comme elle l’avait fait et du coup on passait de dessus Ă dessous et d’une bite Ă une bouche, d’un joli sourire Ă une fente humide. C’était aphrodisiaque. D’ailleurs les queues que l’on croisait Ă©taient de moins en moins molles.On a fini cette folle soirĂ©e sur le balcon. Claire a descendu les stores des cĂ´tĂ©s et elles se sont toutes les trois accoudĂ©es en regardant la mer. Nous les hommes, hormis celui qui Ă©tait en costumes qui ronflait sur le canapĂ©, juste la bite sortie de sa braguette, on se baladait entre elles très dĂ©licatement, presque sobrement. On lĂ©chait un cul, on trempait notre petit biscuit dans une cramouille, on se mettait Ă participer Ă la discussion.Tout cela a durĂ© pas loin de deux heures et ça m’a permis de me vider les couilles dans chacune des femmes. Ă€ fond dans la Boulotte qui me plaisait dĂ©cidĂ©ment beaucoup. Très amoureusement dans Claire qui trouve toujours un petit truc piquant. LĂ ce fut de dire Ă Boulotte de me lĂ©cher les couilles pendant nos Ă©bats. Pour l’autre, je me suis activĂ© pendant qu’elle racontait une histoire, apparemment rigolote, en se passionnant dans son rĂ©cit. J’ai explosĂ© alors que tout le monde se mettait Ă rire. Je ne sais pas ce qu’elle a ressenti, mais ça l’avait sans doute chauffĂ©e parce qu’après elle a fait du charme Ă Georges jusqu’à ce qu’il s’encastre en elle et la secoue jusqu’au cri que Claire a couvert en mettant la bouche de la jouisseuse entre ses jambes.Cette petite discussion sexuĂ©e Ă©tait charmante. Parler de tout et de rien et se retrouver l’instant d’après le nez dans le cul d’une de ces jolies dames Ă©tait tout Ă mon goĂ»t. C’est comme ça que j’appris qu’en fait, Georges et Claire savaient par des connaissances communes que leurs amis ou connaissances plutĂ´t, Ă©taient Ă©changistes sans qu’eux sachent qu’ils Ă©taient au courant. Ça leur avait donnĂ© l’idĂ©e de monter cette petite mise en scène qui m’avait mis bien mal Ă l’aise au dĂ©but !!