On sonne. Elle va ouvrir, vêtue de son petit peignoir lui arrivant à mi-cuisses, entrebâillé sur ses gros seins. Un rêve d’homme, cette poitrine : deux gros melons séparés par une sombre vallée, des aréoles larges comme des soucoupes, des pointes érigées.Il entre, claque la porte, l’attrape et la colle au mur. Le baiser est vorace, violent, les dents s’entrechoquent, les langues se heurtent, la salive coule. Son peignoir vole à travers la pièce, le marcel et le jean suivent.Elle se tourne, prend appui contre le mur. Elle offre son cul, large, rond, soutenu par une cambrure incroyable, d’une indécence rare. Il bande comme un âne. Il s’agenouille derrière elle et enfouit son visage entre ses jambes. Elle lui facilite l’accès en pognant ses fesses et en les ouvrant.L’anus palpite, petite étoile entrouverte, dépourvue de poils. La langue lèche largement, et pointe immédiatement sur la cible, s’y insinue sans manière. Elle halète, se contorsionne, s’écartèle encore un peu plus, recule son cul pour s’empaler sur cet appendice visqueux et indiscret.Les doigts de l’homme se sont glissés entre les jambes, et ont pris possession du sexe désormais béant. Ils glissent sur les lèvres brillantes et s’enfournent dans le vagin. Deux, puis trois, et maintenant quatre. Ils clapotent, elle coule. L’odeur est forte, intense. Il pousse un peu plus, le pouce se glisse dans la chatte écartelée. Elle hurle, un flot de mouille fuse du sexe distendu. Elle vibre, hurle encore, ses jambes fléchissent. Le clapot, un jet de mouille, encore, et la langue qui darde dans le fondement.Elle s’effondre sur le sol, expulsant la main gluante.Il se redresse, l’attrape sous les genoux et les épaules, l’allonge sur le dos, sur la table. Elle gît, inerte, la tête pendante. Il approche sa queue de la bouche entrouverte. Elle ouvre les yeux, sourit, sort la langue et lèche le gland, titille le méat. La bite se fait plus pressante, la bouche s’ouvre, il s’enfonce, encore, plus loin. Elle creuse les joues, réprime un haut-le-cœur, pose ses mains sur les cuisses pour le freiner. Il recule légèrement, elle a les larmes aux yeux. Vaillante, elle engloutit à nouveau cette matraque. Il lui baise la bouche, longuement, intégralement, sans répit, sans pitié. La gorge se déforme sous l’avancée du chibre disproportionné, les ongles se plantent dans les cuisses de l’homme, qui serre les fesses, se plantant encore plus loin, encore plus profond.Il sort, son sexe dégouline de salive, un filet de bave s’étire entre la bouche et le gland, la bouche brille, le rouge à lèvres s’étale autour. Elle rampe sur la table, lèche les couilles pendantes, en aspire une, puis glisse lentement plus en arrière. La langue furète, s’attarde, avant de lécher longuement, largement, l’anus contracté. Elle pointe désormais, exaspère le petit orifice, se fait insistante. Il s’ouvre, elle s’introduit ; les ongles griffent les fesses, il aboie !Il la tourne sans ménagement, sa langue vient brièvement lécher les lèvres dégoulinantes. La bouche happe le clitoris saillant, elle le tète avec insistance. Elle sursaute violemment, sa tête repart en arrière, un long gémissement rauque lui échappe. Elle croche les cheveux, tire, plaque cette bouche sur son intimité, serre les cuisses sur les oreilles de l’homme. Il se dégage, se recule légèrement et la regarde, la bouche rougie, les lèvres barbouillées de mouille odorante.Elle est là , allongée, béante, les jambes à l’équerre, sa cramouille violacée et baveuse, un véritable marécage entre les cuisses. Ses seins sont tendus, les pointes érigées. Les aréoles sont grumeleuses. Ses yeux sont brillants. Elle le regarde, le provoque en passant la langue sur ses lèvres. Son index se recourbe, elle l’appelle, elle appelle cette colonne tendue. Il reste immobile. Elle se lève, ondule jusqu’à lui, tombe à genoux. Elle flatte le membre, le lèche un peu, s’approche encore, le glisse entre ses seins, dans cette vallée si tentante. Elle resserre son emprise, le sexe va-et-vient lentement. Elle darde une langue mutine, qui vient lécher le gland et récupérer quelques gouttes qui sourdent du méat entrebâillé.Il la repousse une nouvelle fois, elle se lève, retourne s’allonger. Il est là maintenant, devant la table, sa bite tendue à l’extrême, vingt-trois centimètres qu’elle va sentir passer. Elle pose ses jambes sur ses épaules, ses genoux remontent sous la pression de l’homme, viennent caresser ses oreilles. Il s’enfonce d’un bloc, à fond, au fond. Elle hurle, il pilonne. Elle se contorsionne, il lui agrippe les épaules. Elle secoue la tête dans tous les sens, il lui mordille un téton. Le piston est tellement rapide et intense que la table bouge, avance lentement à travers la pièce, pour finir par buter contre un mur. Aucune échappatoire maintenant, elle est intégralement baisée, des petits jets de cyprine giclent régulièrement de sa chatte, les petits bruits mouillés s’accentuent, l’odeur est désormais entêtante, mélange de sueur, de parfum, de mouille, de foutre, de baise…Il sort, relève encore un peu plus ses jambes, se penche, crache sur l’anus désormais béant. Le gourdin s’approche, pointe. Les sphincters renâclent, la verge plie, puis s’enfonce d’un coup, d’une traite, à fond, jusqu’au fond. La fille a les yeux révulsés, le souffle coupé par cet envahissement. Elle encaisse. Sans attendre, il fourrage, ses muscles saillent, son torse dégouline de transpiration. Ses traits sont durs désormais, le plaisir monte, il approche. Elle s’agite, une main pince son clitoris, en phase avec le trajet de la bite dans son cul. L’autre pistonne son vagin. Elle hurle, encore, plus haut, plus fort. L’orgasme est insoutenable, elle le repousse de toute la force de ses cuisses, saute de la table, s’agenouille, visage offert, langue sortie. La bite tressaute, trois longs jets fusent, s’écrasent sur la face : le premier sur l’œil droit, le second sur l’arête du nez, le troisième, enfin, dans la bouche, sur la langue. Elle l’empoigne, l’ingurgite, creuse les joues et le pompe ardemment. Il vacille, gémit. Elle rouvre les yeux, la bouche, elle est couverte de foutre blanc, qu’elle attrape vicieusement avec un doigt avant de l’avaler. Elle finit en se tartinant cette belle semence chaude sur le visage, achevant de pomper le braquemart maintenant flasque.Les lèvres brillantes, le visage souillé, le regard provoquant, elle se penche pour ramasser son peignoir, se tourne… Un clin d’œil, les trous grands ouverts l’appellent, le demandent, l’exigent : encore.