Hais moi encore
La journĂ©e de Thomas s’annonce mal quand il voit entrer sa belle-sĹ“ur qui l’insupporte au plus haut point dans son bureau ce matin lĂ .
Pire, par un malheureux hasard, ils se retrouvent bloquĂ©s dans la mĂŞme pièce…
Proposée le 20/05/2020 par Blueberry89 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Roman
Il y a des journĂ©es qui commencent mal, et d’autres très mal. Quand je vois Estelle passer la porte de mon bureau en fulminant, je me dis que aujourd’hui fait dĂ©cidĂ©ment partie de la deuxième catĂ©gorie. Estelle est la seule personne qui, rien que par sa prĂ©sence rĂ©ussit Ă bousiller ma journĂ©e. Elle et moi c’est chimique, on ne se supporte pas. On se cherche, on s’invective, parfois mĂŞme on s’insulte. Elle a beau ĂŞtre la femme de mon frère, entre nous ça ne colle absolument pas. Moins je la vois, mieux je me porte.C’est pourquoi je reste immobile, assis Ă mon bureau, les nerfs tendus Ă leur maximum quand je la vois dĂ©barquer.Sans un mot elle referme la porte derrière elle et s’assoit en face de moi. Mon tĂ©lĂ©phone sonne. BĂ©atrice ma secrĂ©taire m’informe :- Monsieur Pasquier, je suis navrĂ©e, je n’ai pas rĂ©ussi Ă la retenir. Mademoiselle Favre arrive.- Oui en effet, elle est ici. – Voulez vous que j’appelle la sĂ©curitĂ© ? – Merci BĂ©atrice, je pense pouvoir me dĂ©fendre seul, ironisai je, veuillez faire attendre mon prochain rendez-vous, je n’en aurai pas pour longtemps.Je raccroche. Estelle n’a toujours pas ouvert la bouche et me fixe de ses yeux bruns si sombres. Estelle est une belle femme. Une très belle femme. La première fois que je l’ai rencontrĂ©e, je l’avoue, elle m’a carrĂ©ment plu.
Elle a un regard envoĂ»tant et un physique plutĂ´t agrĂ©able: des jambes interminables, une taille fine, une poitrine gĂ©nĂ©reuse, des longs cheveux noirs, et des lèvres pulpeuses. Oui, je sais, le physique ne fait pas tout. Et justement, lĂ c’est le cas. Parce que dès qu’elle a ouvert la bouche la première fois, cette fille m’a tapĂ© sur le système. – Que me vaut le dĂ©plaisir de cette visite? Commençai je- Je ne suis pas lĂ de gaietĂ© de coeur Thomas. Je suis ici pour Damien. – Mon frère connaĂ®t mon numĂ©ro, s’il a besoin de quelque chose, il peut très bien me le demander lui-mĂŞme au lieu de m’envoyer son dragon.- Je ne vais pas relever pour cette fois, mais j’aimerais bien que tu me laisses finir avant de nous Ă©changer les politesses d’usages.Ses yeux me mitraillent. J’adore la mettre en rogne. Je m’enfonce dans mon siège, croisant les bras derrière la tĂŞte et lui enjoint de poursuivre.- Je t’Ă©coute. Sois brève, j’ai un rendez-vous dans cinq minutes. – Ton frère fĂŞte ses 30ans cette annĂ©e et je veux lui organiser une fĂŞte surprise. Comme vos parents sont en croisière, je n’ai que toi vers qui me tourner.- Tu veux que je t’aide Ă organiser la fĂŞte ? – Tu pourrais oui. Tu connais ses amis d’enfance, je me disais que tu pourrais les contacter. – Tu es sĂ»re de ce que tu me proposes lĂ ? Organiser une fĂŞte ensemble, ça signifie qu’on devra se parler et se voir sans lui. – Ca ne m’enchante pas plus que toi, et on essaiera au maximum de faire ça par texto, mais ..Elle s’arrĂŞte au milieu de sa phrase, comme si la suite allait lui Ă©corcher les lèvres. Je m’amuse comme un petit fou. La voir en position de faiblesse devant moi, c’en est presque jouissif, elle qui est si fière, si hautaine. – Mais? Dis je avec un lĂ©ger sourire en coinElle me jette un regard courroucĂ©, sachant pertinemment que je joue avec elle. Je sais ce qu’elle va me dire et croyez moi ces mots je les attends avec impatience! Je sais qu’elle va craquer, c’est dans son intĂ©rĂŞt. Enfin celui de mon frère. A dire vrai, organiser cette fĂŞte avec elle va ĂŞtre une vraie torture, mais je dois bien ça Ă mon petit frère.- J’attends, je te rappelle que j’ai un rendez-vous.- Tu es vraiment Insupportable Thomas, bouillonne t elle en se levant et en se dirigeant vers la porte Elle a Ă peine le temps de poser la main sur la poignĂ©e, que je suis dĂ©jĂ devant elle, lui barrant la route. Elle essaie d’ouvrir la porte, mais ma main l’en empĂŞche avec fermetĂ©. – Laisse moi partir, siffle t ellle entre ses dents, c’Ă©tait une mauvaise idĂ©e. Je me dĂ©brouillerai seule.- Pas question, tu restes lĂ . J’attends encore la fin de ta phrase…Elle se met alors Ă tirer plus fort sur la poignĂ©e et reste Ă©bahie quand cette dernière lui reste entre les mains. – Mais qu’est-ce que tu as fais? S’emporte t elle, demande Ă ta secrĂ©taire de nous ouvrir tout de suite!- Impossible, il faut une clĂ© pour entrer dans ce bureau. La porte se bloque automatiquement. Et la clĂ© c’est moi qui l’ai.- Alors ouvre cette fichue porte! – Tu n’as pas remarquĂ© qu’il n’y avait pas de serrure de ce cĂ´tĂ© , Mademoiselle Je-sais-tout ?Elle donne des coups dans la porte, vainement. MalgrĂ© ses efforts, elle reste close et Estelle tempĂŞte encore plus. Je me dirige vers le bureau et contacte ma secrĂ©taire – BĂ©atrice, nous avons un lĂ©ger soucis. Pourriez vous faire venir en urgence un serrurier s’il vous plaĂ®t? Mademoiselle Favre et sa dĂ©licatesse lĂ©gendaire nous ont enfermĂ©s. – Tout de suite Monsieur, je m’en charge.- Non mais quel culot! Fait Estelle en s’approchant de moi, pointant un doigt rageur vers mon torse. J’ai abĂ®mĂ© la poignĂ©e ? Ca ne serait pas arrivĂ© si tu ne m’avais pas retenue. Et d’ailleurs c’est quoi cette fichue poignĂ©e qui tombe en ruine? T’es trop radin pour t’en payer une digne de ce nom?- Ne me provoque pas Estelle. Etre enfermĂ© avec toi est la pire chose qu’il puisse m’arriver, mais nous sommes adultes, nous allons pouvoir surmonter ça. A condition que tu te taises, bien sĂ»r.- Non mais pour qui tu te prends espèce de sale arrogant ? Tu ne me donnes pas d’ordres! – Arrogant moi? Juste parce que le son de ta voix m’insupporte et que j’ai la franchise de te le dire contrairement aux autres?- Tu n’es qu’un…Elle s’interrompt. Quelqu’un vient de frapper Ă la porte et la toute petite voix de BĂ©atrice se fait entendre- Monsieur ?- Ah BĂ©atrice, vous avez pu avoir un serrurier ? – Justement… il n’y avait aucun autre serrurier de disponible avant deux heures.- Deux heures?! Bon très bien, dites Ă Daulnay que je le recevrais demain et repousser aussi Blaron. – Bien Monsieur et en ce qui concerne le rendez vous de 11h et votre dĂ©jeuner, dois je annuler ou bien repousser?- Mais enfin, il est juste 9h! On sera sortit d’ici lĂ .- Euh…je crois que vous avez mal compris Monsieur. Je voulais dire deux heures de l’après-midi. Quatorze heure.Les yeux d’Estelle s’Ă©carquillent d’effroi et son visage se decompose devant moi tandis que je sens la rage monter en elle. Non. Pas ça… Passer cinq minutes ensemble et c’est dĂ©jĂ lĂ troisième guerre mondiale alors cinq heures! – Non, il y a forcĂ©ment une solution, se met Ă psalmodier Estelle en dĂ©ambulant dans la pièce. Elle regarde mĂŞme la fenĂŞtre avec une pointe d’hĂ©sitation, c’est vous dire Ă quel point elle a envie d’ĂŞtre ici! On est au quatrième Ă©tage d’un vieil immeuble du centre ville. Autrement dit, on en ressortirait pas indemne. Finalement, Ă choisir… Non. Je suis adulte. Je peux me contrĂ´ler. Je n’ai qu’Ă l’ignorer tout simplement. Bien plus facile Ă dire qu’Ă faire… InstallĂ© dans mon fauteuil, je la vois tourner en rond et ça me rend complètement fou. Elle ne s’arrĂŞte pas une seconde, sauf pour tripoter un bibelot par ci par lĂ , une maquette ou un dossier. Une vĂ©ritable tornade cette fille, elle remue tout sur son passage.Au bout de ce qui me semble les quinze minutes les plus longues de ma vie, je me dĂ©cide enfin- Estelle, je te jure qui si tu ne poses pas tout de suite ton petit cul sur ce siège, je me ferai un plaisir de t’y attacher. Et j’en profiterai aussi pour te bâillonner, tiens.- Tu ne me fais pas peur, qu’est-ce que tu crois ? Que je vais sagement t’obĂ©ir en attendant que le supplice prenne fin?- Exactement. Elle Ă©clate de rire et ça ne fait que m’Ă©nerver encore plus. Je serre les poings, tentant de me contenir.- Tu n’es vraiment qu’un imbĂ©cile ! Non, un abruti en fait.Cette fois c’en est trop. Je me lève et en une seconde je suis devant elle.- Un quoi? J’ai bien entendu lĂ ? – Un abruti arrogant et macho…- Ne me pousse pas Ă bout Estelle, tu risques de le regretter.- Et tu vas me faire quoi ? Je l’empoigne par les bras fermement et plante mon regard dans le sien. Ses yeux me lancent des Ă©clairs. Ses joues sont rosies par la colère et ses cheveux un peu dĂ©coiffĂ©s. Elle est si proche de moi que je peux sentir son souffle qui devient de plus en plus erratique Ă mesure que nous nous rapprochons. Alors, Ă ce moment lĂ tout dĂ©rape. MĂ» par une pulsion soudaine, je me jette sur ses lèvres. Bon sang mais qu’est-ce qu’il se passe ?! Qu’est ce que je fais?! Mes lèvres s’emparent des siennes et avec surprise, je constate qu’elle me rend mon baiser. Nos lèvres se trouvent, s’entrechoquent, se dĂ©vorent. IncontrĂ´lables elles poursuivent le baiser, s’intensifient. C’est si grisant, je ne peux m’arrĂŞter. Je refuse de rĂ©flĂ©chir. Peu importe que je la dĂ©teste et elle aussi. Peu importe qu’elle soit la femme de mon frère. LĂ , tout ce qui compte, c’est ses lèvres sur les miennes. Je passe une main dans ses cheveux et de l’autre, je la pose dans le creux de ses reins pour la ramener au plus près de moi. Ses mains dĂ©boutonnent ma chemise, puis courent sur mon torse, tandis que je sens mon pantalon devenir particulièrement inconfortable. Je me dĂ©tache enfin de ses lèvres pour embrasser son cou. Son odeur est douce et sucrĂ©e, si envoĂ»tante que je ne peux que savourer sa peau sans m’arrĂŞter. Elle soupire quand ma langue glisse le long de sa clavicule. Il m’en faut plus, encore plus. Je saisis ses hanches et la porte jusqu’au bureau. Elle s’agrippe Ă mes cheveux, enroule ses jambes autour de moi.C’est dingue…Comment cette fille si insupportable peut dĂ©clencher une telle excitation en moi?Nos regards se croisent un moment et je devine qu’elle pense Ă la mĂŞme chose. Je retire son tee-shirt, dĂ©voilant sa superbe poitrine toujours prisonnière d’un soutien-gorge de dentelle. Elle renverse la tĂŞte en arrière et gĂ©mit quand ma main empaume son sein et que ma bouche s’empare de son tĂ©ton. Des frissons parcourent sa peau, et je suis leur chemin avec ma langue, savourant la douceur de son Ă©piderme si sensible. Je m’arrĂŞte Ă la lisière de son jean, puis remonte pour investir sa bouche, y glisser ma langue pendant que mes doigts s’occupent d’ouvrir son jean.A contrecĹ“ur je me recule pour lui Ă´ter et me dĂ©barrasser du reste de mes vĂŞtements, et Ă©trangement, je ressens comme un vide. Le contact de sa peau contre la mienne, telle une drogue, provoque une sensation de manque, uniquement satisfaite lorsque, enfin je reviens me lover contre son corps. Mon sexe, tendu Ă son maximum, dĂ©couvre enfin la moiteur de son dĂ©sir, s’insinue entre les lèvres, titille son clitoris ce qui lui dĂ©clenche un sursaut. A nouveau, je cherche sa bouche, la trouve puis la dĂ©vore, Ă©touffant ses gĂ©missements. Estelle passe ses mains dans mon dos, enroule ses jambes autour de mon bassin pour m’inviter Ă la prendre. Mais, taquin, je lui refuse cette pĂ©nĂ©tration, prĂ©fĂ©rant continuer les caresses de mon membre gonflĂ© d’excitation. MĂ©contente de ne pas obtenir ce qu’elle dĂ©sire, Estelle se colle Ă moi, me griffe le dos et mord ma lèvre infĂ©rieure. Elle me veut en elle, elle m’exige presque, mais prĂ©fère se taire, trop fière pour me supplier. Foutu caractère ! Elle ondule contre moi, cherchant ce plaisir que je lui refuse. Elle proteste quand elle me sent quitter cette Ă©treinte mais pas longtemps quand elle voit oĂą je compte en venir. Je me met Ă genoux et Ă©carte ses cuisses de mes deux mains, usant de mes pouces pour dĂ©voiler l’intĂ©gralitĂ© de la vulve trempĂ©e de cyprine. Elle prend appui sur ses bras et penche la tĂŞte en arrière, savourant les dĂ©licats baisers que je parsème sur ses cuisses en m’approchant toujours plus près de son antre si chaude. Un simple souffle sur cette chatte si sensible, elle sursaute et laisse Ă©chapper un cri. C’est ce moment que je choisis pour dĂ©poser un chaste baiser sur son bourgeon palpitant et passer ma langue du clitoris jusqu’Ă sa grotte avide de sentir ma chair la combler. Je prend tout mon temps, la goĂ»te, la savoure. Ma langue explore les moindres recoins de son intimitĂ©, s’insinue entre ses lèvres, son vagin et mĂŞme son petit trou. Elle frĂ©mit, au bord de l’orgasme. Je la contemple frĂ´ler les prĂ©misses de la jouissance, impatient de pouvoir enfin la possĂ©der. Quand je me relève pour rĂ©cupĂ©rer une capote dans mon bureau, elle me jette un regard noir, emplit de frustration. Elle pensait peut-ĂŞtre que j’allais la faire jouir comme ça mais j’ai besoin de la sentir contre moi, de me fondre en elle. Une fois le prĂ©servatif enfilĂ©, je reprends ma place entre ses cuisses, mon gland Ă l’entrĂ©e de sa chatte impatiente. D’une seule poussĂ©e, mon membre se fraye un chemin dans la moiteur de son intimitĂ©. Estelle s’agrippe Ă mes Ă©paules et pousse un soupir Ă©touffĂ©. Immobile, elle me laisse m’immiscer en elle, jusqu’au fond. C’est si Ă©troit et si ardent que je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir tenir. Je me met alors Ă agiter le bassin lentement, ressortant entièrement pour mieux l’investir, plus puissamment Ă chaque fois. Les vas et vients deviennent vite intenses, presque frĂ©nĂ©tiques. Nos corps ondoyent au mĂŞme rythme, nous ne sommes plus que dĂ©sir et voluptĂ©, unis, liĂ©s. Alors que d’un puissant accoup je me loge au plus profond de son antre, ses ongles s’enfoncent dans mon dos et ses yeux s’Ă©carquillent. Je m’empare de sa bouche pour attĂ©nuer son cri de plaisir quand l’orgasme la submerge. Cette sensation si exquise, les soubresauts de sa chatte qui enserre mon sexe spasmodiquement me mènent Ă mon tour aux portes de l’extase et en un profond râle je me vide en de longues saccades semblant ne jamais finir. La jouissance est si intense et si longue que j’en reste haletant, Ă bout de force.
Je m’Ă©croule sur elle, reste immobile quelques secondes le temps de reprendre mes esprits. Estelle garde les yeux fermĂ©s et, essoufflĂ©e, garde le silence.Le moment est dĂ©licat. Va t elle me reprocher ce qu’il vient de se passer ? Me sauter Ă la gorge et tout raconter Ă Damien ? Merde Damien!Impossible de penser Ă lui pour l’instant. Pas alors que nous sommes encore tout tremblants, suintant d’endorphines post coĂŻtal. Alors que je me retire, le doute s’empare de moi. Je la sens nerveuse. Je dĂ©cide de briser ce silence qui rend l’atmosphère autour de nous presque suffocante.- C’Ă©tait…je trouve pas les mots…Elle continue de m’observer sans rien dire, se redresse pĂ©niblement. Ses joues sont si rouges et son regard encore teintĂ© de dĂ©sir fait naĂ®tre en moi de doux frissons. – Comment c’est possible que ça soit aussi intense entre nous alors qu’on ne se supporte pas ? Son silence commence Ă m’Ă©nerver et elle le sait. Est elle encore en train de jouer? Regrette t elle? Ne pas savoir ce qui se passe dans sa tĂŞte me rend fou, je sens la colère monter en moi, et avec elle, le dĂ©sir, pourtant dĂ©jĂ assouvi, repointer le bout de son nez. – Bordel Estelle qu’est-ce que tu cherches? Dis je en me rapprochant, la surplombant de toute ma stature, tu en veux encore, c’est ça ? Ses cuisses m’accueillent avec empressement, rĂ©pondant elles-mĂŞmes Ă ma question. Elle se mord les lèvres et plante son regard arrogant dans le mien, m’incitant Ă la satisfaire. Mon sexe pourtant dĂ©jĂ bien contentĂ©, reprend de la vigueur plus vite qu’Ă l’accoutumĂ©e. Mais je veux l’entendre me supplier, cette fois, elle n’y coupera pas, ma petite affamĂ©e! Prenant la situation en main, je la saisis par la taille et la retourne sur le bureau sèchement. Je frotte mon membre entre les globes de ses fesses charnues, simulant une masturbation bien agrĂ©able tandis qu’elle gigote sous mon emprise, incapable de me repousser et de me rapprocher. FrustrĂ©e, elle gronde presque, ses muscles sont tendus, nerveux. – Supplies moi de te prendre et je le ferai, lui glissai je Ă l’oreille alors qu’elle ondule des hanches pour essayer de s’empaler sur moiJe ne la laisse pas faire, continue de jouer avec et ose mĂŞme glisser une main pour chatouiller son clitoris. Elle se tord, gĂ©mit et se contracte mais s’obstine Ă garder le contrĂ´le. Ma main s’empare de sa crinière et la tire en arrière pour l’obliger Ă cĂ©der. – Parle! Lui ordonnai je en pressant mon gland contre son petit trou serrĂ© en guise d’avertissement Elle tremble, tant de frustration que de peur. Enfin c’est ce que je croyais. Mais ma petite rebelle a plus d’un tour dans son sac et faisant mine de cĂ©der Ă mes exigences, elle me signifie que c’est elle qui dĂ©cide en prononçant ces paroles qui me firent basculer dans la folie:- Vas y Thomas, je veux te sentir, prend moi comme tu veux ! Évidemment c’est ce qu’elle voulait, et finalement c’est Ă mon tour de craquer et de cĂ©der devant sa requĂŞte si inattendue. Moi qui pensais qu’elle me supplierai d’arrĂŞter, de ne pas la sodomiser….Tel un animal, je gronde en m’emparant de ses hanches avec fermetĂ©, et pousse doucement contre son anneau serrĂ©, progressant lentement mais avec dĂ©termination jusqu’Ă sentir buter mes testicules contre sa vulve trempĂ©e. Sa chair si chaude enserre mon membre si Ă©troitement que je dois m’arrĂŞter un instant pour contrĂ´ler le plaisir qui monte en moi. Estelle se met Ă bouger, signe qu’elle veut que je m’active, petite impatiente. Je porte mes doigts Ă ses lèvres et elle en aspire deux avec dĂ©lectation en me fixant droit dans les yeux.DĂ©cidĂ©ment, elle est encore plus dĂ©bridĂ©e que ce que je pensais ! Je commence alors Ă ressortir pour revenir plus fort, lui arrachant Ă chaque coup de reins un gĂ©missement lascif. Plus j’y vais fort, moins je me contrĂ´le. Jamais encore je ne m’Ă©tais autant dĂ©chaĂ®nĂ© dans un cul comme ça avec tant d’ardeur ! Jamais non plus je n’avais vu une femme prendre autant de plaisir qu’elle Ă mesure que nos mouvements deviennent frĂ©nĂ©tiques. Elle crie presque, ivre de jouissance quand l’orgasme s’empare d’elle. Je n’en peux plus et au moment oĂą je sens l’onde de plaisir monter, je me colle contre elle, soudant nos deux corps et Ă©jacule au plus profond de son Ă©troit fourreau.
Quand je me retire et vois le sperme couler le long de sa fente, je rĂ©alise que nous n’avons pas mis de protection dans la prĂ©cipitation. Heureusement que je l’ai prise par lĂ …
Je l’aide Ă se relever, lui caresse du bout des doigts le dos et la croupe, gardant le silence comme elle le prĂ©fère. Estelle se retourne enfin et ce que je lis dans ses yeux fait apparaĂ®tre un grand sourire sur mon visage. Elle semble comblĂ©e, repue. EreintĂ©e, mais reconnaissante. Je l’emporte sur le sofa situĂ© dans le coin de la pièce et la serre contre moi. Elle pose sa tĂŞte sur mon torse et ferme les yeux, sa respiration devient lente.Nous savons tous les deux que ce n’est qu’une trĂŞve, un unique moment d’Ă©garement qui restera entre ces murs. Un secret bien gardĂ© qui ne changera rien Ă nos habitudes et Ă notre entente. Un instant si intense qu’il en restera inoubliable, aussi Ă©phĂ©mère soit il…A moins que…© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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