Hais-moi encore (3)
Thomas et Estelle ont décidé de mettre fin à leur relation extra conjugale.
Pourtant, ils vont devoir cohabiter pendant quelques temps dans la maison de vacances familiale. Vont ils réussir à résister à la tentation où vont ils succomber, en prenant le risque de se faire prendre ?
Proposée le 23/08/2020 par Blueberry89 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Roman
C’Ă©tait sans compter les vacances d’Ă©tĂ© qui approchaient Ă grand pas. Comme tous les ans, nous passions un mois en famille dans la vieille demeure de vacances, un luxueux mas avec piscine dans le sud de la France. Cette annĂ©e, exceptionnellement comme nos parents sont en croisière autour du monde, nous serons seulement cinq: Damien et Estelle, ma plus jeune sĹ“ur Candice et son mari Alban et moi, l’Ă©ternel cĂ©libataire.Depuis les Ă©vĂ©nements prĂ©cĂ©dents, j’ai eut quelques plans par-ci par-lĂ , mais rien n’a jamais Ă©galĂ© le plaisir ressenti avec ma belle-soeur. J’en suis venu Ă me persuader que c’est seulement le goĂ»t de l’interdit et de la trahison qui rend ces moments aussi intenses. Je dois juste me raisonner. Je trouverai sĂ»rement une femme avec qui l’alchimie sera parfaite. Et quand je l’aurais enfin dĂ©nichĂ©e, je ne la laisserai pas s’Ă©chapper. Jusqu’au dernier moment j’hĂ©site Ă me rendre Ă notre maison de vacances. Finalement, je me raisonne. Il suffira de rester en permanence avec mon frère ou ma sĹ“ur et ne jamais me retrouver seul avec Estelle. C’est largement faisable. Je tente le coup !
Candice est dĂ©jĂ installĂ©e quand j’arrive au mas. Elle m’accueille chaleureusement, et je suis ravi de la revoir enfin. Elle et son mari habitent Ă 300km de chez nous, autrement dit, on ne se voit que pendant ces fameuses vacances en famille. Damien quant Ă lui, n’est pas encore lĂ . – Thomas! S’Ă©crie Candice, ça fait tellement plaisir de te revoir, viens dans mes bras !- Toujours aussi pot de colle ma petite sĹ“ur, me moquai je en adressant un signe de tĂŞte Ă Alban – On ne change pas une Ă©quipe qui gagne, rĂ©torque t elle, et alors tu es tout seul cette annĂ©e ? OĂą est passĂ©e Nathalie? Je croyais que c’Ă©tait du sĂ©rieux vous deux…- Tu es si naĂŻve ma chĂ©rie, dit Alban en dĂ©posant un baiser sur sa tĂŞte, le jour oĂą ton frère se casera, il pleuvra des grenouilles. – Damien n’est pas encore lĂ ? Demandai je innocemment – Je l’ai eut au tĂ©lĂ©phone, il arrive bientĂ´t. – Bon, je vais aller prendre une douche, la route m’a donnĂ© chaud, je sue comme un bĹ“uf.- Ah c’Ă©tait ça l’odeur? Se moque t elleAvec ma sĹ“ur, on aime bien se chercher, s’asticoter. Ce qui se passe entre Estelle et moi, c’est diffĂ©rent. Rien que de savoir qu’elle va bientĂ´t arriver, je suis dĂ©jĂ sur les nerfs. Une douche et vite je plonge dans la piscine.
J’enchaĂ®ne les longueurs, essaie de me vider la tĂŞte. Je suis dans ma bulle, rien ne vient m’interrompre pendant que j’Ă©vacue ma nervositĂ© Ă coup de crawl. C’est seulement lorsque je sens quelque chose heurter mon crâne que je sors la tĂŞte de l’eau.
Damien me salue depuis le rebord de la piscine avec un sourire innocent. – Salut frangin! DĂ©cidĂ©ment, mĂŞme en vacances tu peux pas t’arrĂŞter cinq minutes, plaisante t’il- L’eau est Ă 32°C, j’ai pas pu rĂ©sister, dis je en sortant de l’eauJe distingue alors Estelle, qui se tient en retrait derrière mon frère. Nos regards se croisent et je dĂ©couvre qu’elle me dĂ©vore des yeux. Elle est encore plus belle que dans mes souvenirs. Ses cheveux, plus longs, tombent en cascade jusqu’Ă la naissance de ses reins. Elle porte une robe lĂ©gère en coton et on devine ses tĂ©tons qui pointent Ă travers le tissus, tellement il est fin. Je dĂ©tourne les yeux et reporte mon attention sur mon frère. Il n’en faudrait pas plus pour que j’aie une Ă©rection particulièrement gĂŞnante et visible de tous Ă©tant donnĂ© ma tenue actuelle.
– Tu viens piquer une tĂŞte ? Proposai je – J’enfile un maillot et j’arrive, dit il en s’Ă©loignant Estelle est restĂ©e, immobile, les yeux toujours braquĂ©s sur moi. Dès que Damien a passĂ© la porte, j’ancre Ă nouveau mon regard au sien et m’approche doucement. Je prend une serviette pour me sĂ©cher au passage. Mon geste la fait sursauter et elle reprend ses esprits. Je dĂ©cide d’attaquer direct.- Mon corps t’a tellement manquĂ© que tu me bouffes des yeux comme ça ? -Ah oui? A ce que je vois, c’est moi qui devrait dire ça, dit elle en dĂ©signant mon maillot de bain devenu particulièrement volumineux; Toi, en revanche tu ne m’as pas manquĂ© d’un iota. – Tu mens très mal ma belle, dis je en approchant si près que mon sexe effleure son ventreJe me penche pour frĂ´ler son cou avec mes lèvres et lui dĂ©clenche un frisson. Tandis que de ma main j’effleure la pointe de ses seins durcis, elle laisse Ă©chapper un soupir de rĂ©dition. Sa respiration devient erratique et j’en viens presque Ă oublier que nous ne sommes pas seuls.
D’ailleurs, une voix interpelle Estelle depuis l’intĂ©rieur.- ChĂ©rie ? Tu sais oĂą j’ai mis mon maillot?
Elle se libère de mon emprise et s’Ă©crie :
– J’arrive!
Puis elle pointe son index dans ma direction et me lance un regard noir avant de me laisser seul au bord de la piscine, avec une trique phĂ©nomĂ©nale. Je retourne rapidement dans l’eau afin que personne ne me voit comme ça.
Quelques minutes plus tard, ils me rejoignent, suivis de Candice et Alban. J’Ă©vite de poser les yeux sur ma belle-soeur, vĂŞtue d’un bikini gris anthracite qui laisse entrevoir sa sublime silhouette. Mais cette dernière s’amuse tout au long de l’après-midi Ă nager tout près de moi, venir me frĂ´ler, attisant mon dĂ©sir. Impossible pour moi de sortir de l’eau sans dĂ©voiler mon Ă©rection, je reste donc jusqu’Ă ce que ma sĹ“ur et son mari partent prĂ©parer l’apĂ©ritif. Il n’en faut pas plus Ă Damien pour les suivre, il ne rĂ©siste jamais Ă l’appel d’une bonne bière bien fraĂ®che. Estelle se hâte de sortir, redoutant sans conteste les reprĂ©sailles de son comportement. Enfin seul, je peux rejoindre ma chambre pour me changer en vue de la soirĂ©e qui s’annonce. Mes rĂ©solutions n’auront pas tenus longtemps… Je la dĂ©sire encore plus qu’elle ne m’insupporte. Son petit manège Ă la piscine m’a excitĂ© plus que de raison. Heureusement que Damien n’a rien entrevu. DĂ©cidĂ©ment, le fait de ne pas la voir pendant des mois n’a pas Ă©teint ce dĂ©sir qui me consume. Ça a plutĂ´t aggravĂ© les choses…
La seule chose dont j’ai envie pour l’instant, c’est de la prendre dans un coin et la faire crier comme jamais. Il va falloir que je trouve un moyen d’arriver Ă mes fins…
J’entends alors le bruit caractĂ©ristique de la douche parvenir de la salle de bain. Salle de bains que je partage depuis toujours avec mon frère et qui possède deux portes communiquant avec chacune de nos chambres. Je sais que Damien est au salon en train de boire une bière avec Alban. Quand je les ai croisĂ©s, en sortant de la piscine, ils parlaient de foot, le sujet de prĂ©dilection de mon cher petit frère. C’est donc forcĂ©ment Estelle qui se trouve dans la piece juste Ă cĂ´tĂ©.
Je n’hĂ©site pas longtemps et pĂ©nètre dans la salle dĂ©jĂ bien remplie d’une Ă©paisse vapeur. Je verrouille les portes et m’approche de la douche dans laquelle Estelle est, entièrement nue, dos Ă moi.
Je me colle Ă elle et lui provoque un sursaut mais quand ma bouche mordille la courbe de son cou et que mes mains viennent englober sa ravissante poitrine, elle se laisse aller contre moi. Mon sexe s’imbrique entre ses fesses tandis que ma main se fraye un passage vers sa chatte qui, surprise! est totalement Ă©pilĂ©e et dĂ©jĂ bien ouverte. La coquine Ă©tait en train de se toucher avant que je n’arrive, son bouton est si gonflĂ© que je pourrais la faire jouir en un rien de temps!
Pendant que ma main chatouille son intimitĂ©, l’autre appuie sur son Ă©paule pour la forcer Ă se pencher et Ă prĂ©senter sa croupe. Elle pose ses mains sur le carrelage de la douche et se cambre au maximum en Ă©cartant bien les cuisses. Mon sexe vient se glisser entre ses lèvres trempĂ©es, titille son clitoris puis, très lentement, s’immisce au plus profond de sa chatte. C’est si serrĂ© et si chaud que je prend tout mon temps pour savourer cette divine exploration. Elle se mord les lèvres pour retenir ses cris et je commence Ă aller et venir Ă un rythme lent mais profond. Puis, prenant appui avec mes mains sur ses hanches, j’accĂ©lère la cadence et bientĂ´t mes accoups sont si brutaux qu’elle n’a plus la force de se retenir et se retrouve plaquĂ©e au mur. Sous la force de mes coups de reins, elle ne peut retenir ses cris que j’essaie d’Ă©touffer avec ma main en continuant mon martelage. Je n’en peux plus, il faut que je jouisse! Je me retire avant de craquer mais Estelle s’empare de mon membre et le guide vers son anus. – Jouis dans mon cul, vas y…me dit elleIl n’en faut pas plus pour que je m’insere directement et brutalement dans son rectum. J’ose faire quelques allers retours avant que la jouissance ne nous prenne cette fois en mĂŞme temps, les spasmes de son orgasmes rĂ©pondant en Ă©chos aux miens.
Bon dieu ce que son cul est divin! Et elle a vraiment l’air d’adorer ça J’y reste fichĂ© un moment, incapable du moindre mouvement. Estelle ne bouge pas, reprend doucement sa respiration. Quand enfin je me dĂ©cide Ă me dĂ©gager, elle se retourne et plonge ses yeux emplis de culpabilitĂ© dans les miens.- Tu es complètement fou, et s’ils nous avaient entendu? Ils sont juste en bas! M’accuse t elle- A ce que j ai vu, tu ne m’as pas vraiment repoussĂ©… mentionnai je- Tu m’as prise par surprise, je croyais que c’Ă©tait Damien! Se dĂ©fend elle- Ne mens pas Estelle! Je ne suis pas aussi bĂŞte que tu le crois. L’Ă©pisode de la piscine m’a bien montrĂ© ce dont tu Ă©tais capable. Tu me cherches ? Et bien tu m’as trouvĂ©. RĂ©flĂ©chis la prochaine fois que tu voudras jouer…
Sur ce, je retourne dans ma chambre, me préparer pour rejoindre les autres.
La soirĂ©e passe tranquillement. Nous prenons l’apĂ©ritif sur la grande table de jardin Ă cĂ´tĂ© de la piscine. J’ai pris soin de m’asseoir en face d’Estelle et profite de l’occasion pour caresser sa jambe avec mon pied. Elle rougit instantanĂ©ment quand mon pied effleure sa jambe et me fusille du regard. Je m’amuse pendant une bonne partie de la soirĂ©e Ă la taquiner mais ses cuisses restent closes. Nous ne nous adressons pas le moindre mot et cela ne choque personne. Ils ont pris l’habitude. Avant que nous ne dĂ©cidions de nous ignorer, les repas de famille se terminaient inĂ©vitablement en pugilat. Ce qu’ils ignorent, c’est que notre affrontement se dĂ©roule maintenant sous la table. Grâce Ă mon obstination, Estelle daigne enfin Ă©carter lĂ©gèrement ses cuisses Ă la fin de l’entrĂ©e, quand Damien se lève pour s’occuper de retirer la viande du barbecue. Étant pieds nus, ma peau est directement en contact avec la sienne et je la sens frissonner quand je remonte lentement vers ses genoux, puis continue un peu plus loin jusqu’Ă sentir la dentelle de sa culotte son mon orteil. Heureusement que j’ai assez de flegme pour ne rien laisser paraĂ®tre car alors que ma sĹ“ur est en pleine discussion avec Estelle et Alban, je pousse encore un peu et dĂ©couvre que la culotte est trempĂ©e. Alors comme cela, elle est excitĂ©e ? Bien. A moi de m’amuser cette fois. Elle va voir combien c’est Ă©reintant de devoir cacher son trouble en public. Je poursuis mon petit jeu, ravi de la voir si embarrassĂ©e et incapable de rĂ©sister. Une voix attire mon attention.
– Thomas, tu peux aller chercher du rouge s’il te plaĂ®t, m’ordonne Damien, la viande est presque bonne.- Tu l’as mis en carafe? Demandai je en sachant pertinemment sa rĂ©ponse – Euh…non.- Je vais voir ce que je trouve, dis je en me levant un peu Ă regretJe me rend dans le cellier , trouve un vin potable et retourne dans la cuisine pour le verser en carafe. J’entends la voix d’Estelle parvenir depuis la terrasse, indiquant qu’elle allait chercher la salade. J’y vois tout de suite une opportunitĂ© et quand elle passe la porte, je l’attire contre moi et l’embrasse fougueusement.
Surprise, elle se laisse faire quelques secondes avant de tenter de me repousser. Ses yeux lancent des Ă©clairs mais son souffle est court et ses joues rosĂ©es. Elle est si excitĂ©e qu’il ne lui en faudrait pas beaucoup pour jouir. DĂ©cidĂ©ment, mon petit jeu a plutĂ´t bien fonctionnĂ©. Moi qui voulait seulement la contrarier et la mettre mal Ă l’aise, je ne pensais pas que cela irait si loin. Soudain, je m’agenouille Ă ses pieds et retire sa culotte pour accĂ©der Ă son intimitĂ©. Elle essaie avec ses mains de me chasser mais quand ma langue goĂ»te enfin Ă sa chair si chaude et glisse entre ses lèvres pour titiller son clitoris, elle se laisse aller contre le frigo et Ă©carte un peu plus les cuisses pour m’encourager.
Rapidement, mes doigts s’immiscent dans sa chatte brĂ»lante pendant que ma langue agace son bouton de chair si sensible. Ses gĂ©missements sont presque inaudibles, mais le mouvement de son corps qui ondule, accompagnant ceux de mes doigts me prouve qu’elle n’est plus très loin. Alors je me met Ă lĂ©cher, sucer, aspirer toute cette chair si chaude et si trempĂ©e, et Estelle bascule enfin, ses mains empoignant mes cheveux, frottant son sexe contre mon visage.
Je me relève et ne peut m’empĂŞcher de la dĂ©vorer des yeux. Elle est si belle après un orgasme et si tranquille. Elle me rend fou. Je lui tend le saladier pour la faire revenir sur terre. Cela n’a pas durĂ© très longtemps mais inutile d’attirer les soupçons. Pourtant elle reste immobile, la panique la gagnant peu Ă peu. Je pourrais aisĂ©ment en profiter pour la tourmenter un peu plus mais me ravise.- Vas y , dis je d’un ton doucereux, je m’occupe d’amener la sauce. Pour la première fois, elle me sourit et je sens une drĂ´le de sensation dans ma poitrine. J’attends encore quelques instants avant de rejoindre les autres, le temps de remettre de l’ordre dans mes idĂ©es.
Je comptais la pousser Ă bout durant ce repas mais je n’ai rĂ©ussi qu’Ă me tourmenter moi-mĂŞme. Maintenant, c’est moi qui suis excitĂ©. Mais le pire dans tout ça, c’est que le queutard qui est en moi n’a mĂŞme pas songĂ© une seconde Ă ce qu’elle le satisfasse. Non, le pire, c’est que pour la première fois, je fais passer mon propre plaisir en second plan et ça, c’est carrĂ©ment inhabituel chez moi!
Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ?
Durant tout le repas, je dĂ©cide d’ignorer ce qui s’est passĂ© et Ă©vite soigneusement de croiser le regard d’Estelle. Je prĂ©texte avoir eut une longue journĂ©e pour me coucher tĂ´t et m’isole dans la chambre.
Malheureusement, je ne rĂ©ussi pas Ă m’endormir et quand le petit couple commence Ă s’en donner Ă cĹ“ur joie , je regrette amèrement de ne pas avoir de somnifères sous la main.
Estelle est plutĂ´t dĂ©monstrative, ses gĂ©missements sont de plus en plus forts. MalgrĂ© la pièce qui sĂ©pare nos deux chambres, j’ai l’impression qu’elle est juste devant moi. Je n’ai qu’Ă fermer les yeux pour l’imaginer se dĂ©hancher sur moi et c’est un supplice.
Je n’aurais pas imaginĂ© ressentir cette si intense frustration qu’en ce moment ! Frustration et une pointe de jalousie, je dois bien l’avouer. Je bande comme un âne sans pour autant avoir envie de me toucher. Ce que je veux, c’est elle. C’est complètement stupide, je sais. Je devrais me lever et sortir de cette maison pour aller satisfaire mes envies ailleurs , cependant quelque chose me retient.
Et si Estelle simulait ces cris incessants pour me torturer? Ou bien son but serait il celui de me faire fuir de cette maison? Elle est capable de tout, j’en suis persuadĂ©. Je ne marcherai pas. Hors de question que je la touche Ă nouveau. Elle veut jouer? Très bien, elle sait Ă quel point je suis joueur.
Pourtant, je me rend discrètement dans la salle de bain et colle mon oreille Ă la porte. J’entends les gĂ©missements rauques de Damien mĂŞlĂ©s aux suppliques de sa femme.
– Plus fort chĂ©ri, s’il te plaĂ®t….supplie t elle
Je ne vois rien, mais les bruits de peau qui claque indiquent clairement qu’il la prend en levrette, comme j’adore le faire… Je serre les poings, essaie de me raisonner mais mes pieds refusent de bouger. Mon frère gĂ©mit encore plus fort, certainement proche de l’orgasme et je me raidis instantanĂ©ment quand j’entends Estelle lui demander de la sodomiser.
Mon sang ne fait qu’un tour quand Damien refuse , apparemment dĂ©goĂ»tĂ© de sa demande. Il n’en faut pas plus pour que je dĂ©campe illico avant de commettre l’irrĂ©parable.
Clairement, si Damien n’Ă©tait pas mon frère, je serai entrĂ© dans cette chambre pour lui montrer comment satisfaire sa femme. Je bas en retraite jusqu’Ă la cuisine et m’ouvre une bière pour dĂ©compresser.
Tout s’emmĂŞle dans ma tĂŞte. Colère, frustration, dĂ©sir, culpabilitĂ©…. Jamais je n’ai Ă©tĂ© aussi perdu.
Finalement, je décide de partir évacuer tout ça et me retrouve à finir la nuit en boîte avec une sublime méditerranéenne dont je ne me souviens même plus du nom le lendemain.
Après une longue nuit bien agitĂ©e, inutile de prĂ©ciser que j’Ă©tais dans l’incapacitĂ© de me lever aux aurores pour aller faire je ne sais quelle activitĂ© que ma sĹ“ur nous avait concoctĂ©. Candice nous avait prĂ©parĂ© un tas de choses ennuyeuses Ă faire pour ces vacances en famille. Les randonnĂ©es ne sont pas vraiment mon truc et elle le sait, mais ça ne l’empĂŞchera pas de me faire une scène lorsqu’elle rentrera. Je me rĂ©veille en dĂ©but d’après-midi et dĂ©couvre la maison vide. IdĂ©al. Je vais avoir le temps de prĂ©parer ma petite vengeance. Un coup de fil et le tour est jouĂ©.
Tous les ans je retrouve MĂ©lissa, une jeune fleuriste native de la rĂ©gion. Si nous sommes cĂ©libataires au mĂŞme moment, nous en profitons. Nous entretenons une relation purement sexuelle et heureusement, parce qu’elle est très belle et douĂ©e au lit, mais elle n’est hĂ©las, pas très maligne.Elle me rejoint dès cinq heures, juste Ă temps pour que l’on soit en plein acte lorsque ma famille rentre de randonnĂ©e. Je la fais crier aussi fort que je peux tandis que je la prend en levrette sur le canapĂ©, quand mon frère et sa femme passent la porte d’entrĂ©e.
– Thomas merde! Crie t il en se cachant les yeux de la main et en empĂŞchant notre sĹ“ur d’entrer
Estelle ne se cache pas. Elle me regarde, droit dans les yeux. J’y entrevois une lueur de colère qui ne fait qu’augmenter mon plaisir. Je donne un dernier coup de reins avant de m’extraire du vagin de ma partenaire en continuant de la fixer.- DĂ©solĂ© ! On file tout de suite. Viens bĂ©bĂ© on va finir dans la chambre, dis je Ă l’attention de MĂ©lissa qui n’avait pas l’air très troublĂ©e par la situation
Elle bredouille une excuse et nous nous sauvons aussi vite que possible.
Cette colère dans ses yeux! Je l’avais eut ma vengeance et elle Ă©tait exquise. Encore excitĂ© par cette idĂ©e, je reprends sauvagement Melissa en levrette sur mon lit et Ă©vacue enfin ma rage et ma frustration.
Quand finalement elle s’Ă©croule, vidĂ©e de toutes ses forces, elle me lance admirative – Dis donc! Je ne pensais pas ça possible mais on dirait que tu t’es amĂ©liorĂ© en un an…- Je vais nous chercher de quoi recharger les batteries et je te montre ce que je sais faire d’autre, dis je avec un clin d’oeil
Après plusieurs heures de baise intensive, MĂ©lissa finit par s’endormir. Heureusement parce que il est deux heures du matin et tout le monde dort. Je pense qu’ils m’auraient tous haĂŻ si on avait continuĂ©. MĂ©lissa est une femme très libre et très expansive, elle adore le sexe et ne s’en cache absolument pas. C’est la sex friend idĂ©ale mais elle n’est pas vraiment du genre discrète. Alors pourquoi malgrĂ© les nombreux orgasmes que j’ai eus aujourd’hui, je suis toujours rĂ©veillĂ© et encore au garde Ă vous? Je dĂ©cide de descendre Ă la cuisine, chercher de quoi refroidir mes ardeurs. Quand j’actionne l’interrupteur et que la lumière inonde la pièce , un bruit de verre cassĂ© se fait entendre. – Merde! Tu m’as fais peur! Grogne une silhouette au milieu de la pièce Estelle est lĂ , vĂŞtue d’une nuisette en soie blanche qui en dĂ©voile juste assez pour que mon sang se dirige illico vers mon anatomie. Elle se baisse pour ramasser les bouts de verres, Ă©vitant Ă tout prix de croiser mon regard.- Qu’est ce que tu fais encore debout Ă cette heure ? Osai je prudemment – Et toi alors? Tu n’es pas Ă©puisĂ© après ce marathon ? RĂ©pond elle cinglanteJe m’approche pour l’aider mais elle m’en dissuade d’un geste. Elle se coupe le doigt avec le verre brisĂ© et c’est ce qui me dĂ©cide Ă retenter le coup.-Viens voir!- Non, reste loin de moi! – Il faut dĂ©sinfecter… Ne fait pas l’enfant ! – Je me passerai de tes conseils, ne m’approche pas. Je ne l’Ă©coute pas et m’empare de sa main blessĂ©e, puis porte son doigt Ă ma bouche pour en sucer le sang qui y perle. Elle reste figĂ©e et frissonne mais recule derrière le comptoir dès qu’elle reprend ses esprits. – Qu’est-ce que tu cherchais en amenant cette femme ici?- Et toi? M’Ă©nervais je, tu crois que je n’ai rien compris Ă ton petit manège d’hier soir? D’ailleurs, il semblerait que j’avais raison finalement : il ne te satisfait pas au lit.- Comment ose tu dire ça?! S’emporta t elle, Damien est doux et attentionnĂ© ! Il me fait jouir Ă chaque fois et…- Ah oui? La coupai je avec un rire moqueur, tu vas me dire qu’il t’apporte tout ce que tu veux?Elle me regarde, Ă©bahie. Ses joues se mettent Ă rougir et elle bredouille, troublĂ©e :- Tu… tu as entendu?- Si j’ai entendu ? Clamai-je en me rapprochant dangereusement, si tu savais comme Ă ce moment lĂ j’avais envie d’entrer dans cette foutue chambre et de te donner ce que tu lui demandais…Mon aveu la laisse bouche bĂ©e et je vois la lueur, si familière dĂ©sormais, s’allumer dans ses yeux. L’air qui nous entoure est chargĂ© de tensions.
Pour la première fois, c’est elle qui franchit la limite en se jetant Ă mon cou. Dès que la douce peau de ses lèvres entre en contact avec la mienne, c’est comme si le cĂ´tĂ© animal en moi se rĂ©veille et prend le dessus sur ma raison. Mon corps part lui-mĂŞme Ă sa rencontre, se colle, cherche Ă se fondre en elle en explorant chaque parcelle de sa dĂ©licate peau.
Estelle me mordille la lèvre. Elle cherche ma langue et semble fondre quand elles se mĂŞlent enfin. Ses mains aggripent mes cheveux, intensifiant notre baiser. J’arrive Ă libĂ©rer sa poitrine et empaume un de ses sein pour le presser doucement. Mon pouce vient agacer le tĂ©ton Ă©rigĂ© et son gĂ©missement rĂ©sonne dans ma bouche.
A regret, je me dĂ©tache de ses lèvres pour aller savourer la chair si tendre de sa poitrine. Elle penche la tĂŞte en arrière, se laissant totalement aller aux caresses que je lui procure, mais garde ses mains dans mes cheveux comme pour indiquer que c’est elle qui est aux commandes cette fois.
Mon autre main soulève sa nuisette pour dĂ©voiler sa croupe et glisse innocemment vers l’objet de sa frustration. Sa vulve est si humide que je n’ai aucun mal Ă recueillir un peu de sa cyprine. Mes doigts s’Ă©vertuent Ă lubrifier cette zone qui attise son dĂ©sir et dont mon frère lui refuse ce plaisir.
Mon index s’infiltre alors tandis que je mordille sa poitrine si douce. Le corps d’Estelle ondoye contre le mien, entamant une lente et douce pĂ©nĂ©tration de mon doigt dans son petit trou serrĂ©.
Elle est brĂ»lante et sa chaleur me rend encore plus fiĂ©vreux. Sa peau a un goĂ»t exquis, je ne peux m’arrĂŞter de la dĂ©vorer, passant d’un sein Ă un autre, lĂ©chant, mordant, suçant ces sublimes mamelons jusqu’Ă ce qu’elle me supplie d’arrĂŞter.
Ca tombe bien car je n’en peux plus. Je sais ce qu’elle veut Ă cet instant, mais je veux qu’elle me le demande.
– Estelle…dis moi ce que tu veux…
– Je veux que tu me donnes ce que mon mari me refuse. S’il te plaĂ®t…dit elle en s’accoudant au plan de travail pour me dĂ©voiler son sublime fessier
Elle se cambre, se tortille quand mes mains palpent ses fesses, les Ă©cartent pour y faire coulisser mon sexe Ă©rigĂ©. Mon gland frotte contre son anus sans jamais y entrer. Elle sait que je m’amuse Ă la torturer.
– Thomas… supplie t elle dans un râle
– Dis le.
– S’il te plaĂ®t…sodomise moi, lâche-t-elle enfin, trop excitĂ©e pour rĂ©sister
RĂ©jouis par le fait qu’elle cède aussi vite, je ne me prive pas pour m’enfoncer d’une seule traite dans son Ă©troit fourreau, Ă©touffant son cri d’une main tandis que l’autre s’agrippe Ă ses hanches. Une fois bien fichĂ© dans ses trĂ©fonds, je reste immobile un instant, lui laissant le temps de s’accoutumer Ă la taille de ma verge. Ce moment de rĂ©pit me permet de rĂ©frĂ©ner le plaisir soudain qui s’empare de moi, calme mes ardeurs. J’attends patiemment quand Estelle montre les premiers signes d’impatience.
Elle se tortille, se cambre un peu plus. Son corps tremble de frustration et quand je me dĂ©cide Ă sortir, elle revient d’elle mĂŞme s’empaler sur mon sexe tendu. Ma main qui la baillonnait s’amuse maintenant avec ses seins, pinçant ses tĂ©tons et elle gĂ©mit encore plus fort.
Elle me rend dingue et je perds pieds. Mes mouvements sont de plus en plus secs et brutaux. Mes coups de reins la propulsent contre le plan de travail et elle doit s’y allonger pour subir mes assauts. Elle mord son poing pour Ă©touffer ses cris tant son plaisir est immense. Je la sens proche du point de non-retour et quand enfin elle jouit, son vagin se contracte autour de mon membre spasmodiquement et je relâche la tension accumulĂ©e. Son orgasme semble n’en plus finir et tandis que je me vide dans son postĂ©rieur en quelques allers retours, elle demeure encore dans un Ă©tat de jouissance absolue.
Incapable de reprendre mon souffle tant cet Ă©pisode Ă©tait intense, je reste plantĂ© au fond d’elle un moment et abreuve son corps de douces caresses.
On a beau se dĂ©tester en temps normal, l’alchimie sexuelle est si forte entre nous que je dois me rendre Ă l’Ă©vidence. Je la veux. Pas comme maitresse, non. Elle n’est pas satisfaite avec Damien, c’est clair maintenant.
– Estelle… tentai je une fois dĂ©tachĂ© d’elle
– Non, me coupe t elle, je sais ce que tu vas dire, arrĂŞtes.
– Mais enfin! Sois honnĂŞte, tu as adorĂ© comme Ă chaque fois. Ce qui se passe entre nous…
– JE T’AI DIS NON ,crie t elle, je ne veux plus en parler.Je ne quitterai pas ton frère. Je l’aime.
– Tu l’aimes? Alors pourquoi tu le trompes dans ce cas? Rend toi Ă l’Ă©vidence, il ne t’apporte pas ce dont tu as besoin et tu le sais.
– Il m’apporte beaucoup plus que tu ne le crois, mĂŞme si ça il ne peut pas me le donner…essaie t elle de se dĂ©fendre
– Et c’est la seule chose? J’en doute sĂ©rieusement. Je connais bien mon frère, c’est un mec sage, un peu trop pour le genre de choses que tu aimes. Ah tu pensais que je n’avais pas devinĂ© ? Tu aimes le sexe sauvage, les jeux coquins comme l’autre soir sur la terrasse. Il n’est pas celui qu’il te faut.
– Et cet homme c’est toi c’est ça ? Rit elle, sarcastique
– De toute Ă©vidence…
– Mais quel culot! S’emporte t elle, ça ne pourrait jamais fonctionner entre nous, tu es bien trop imbu de ta personne et particulièrement exĂ©crable comme mec. La seule chose qui marche, c’est le sexe et, dĂ©solĂ© de te l’apprendre, mais ça ne fait pas tout dans un couple!
– Alors quoi? Tu vas continuer Ă cacher ce que tu es vraiment ? Tu comptes rĂ©sister combien de temps avant de craquer Ă nouveau ?
– Je ne sais pas… je…
– RĂ©flĂ©chis, toi et moi c’est fusionnel. Et c’est juste impossible de rĂ©sister Ă cette attirance qu’il y a entre nous.
– Non, je ne suis pas prĂŞte pour ça, je ne peux pas.
Elle semble plus calme et son visage se voile de tristesse.
– Je ne veux pas le perdre…pardon.
Elle me tourne le dos et fait mine de partir. Moi je reste lĂ , tout retournĂ© encore par la tournure qu’ont pris les choses. Elle ne veut pas le quitter. Et moi je ne veux pas me passer de ce qu’on partage, c’est bien trop fort. Je fais alors quelque chose qui me coĂ»te plus que je ne l’aurais cru, je la retiens par la main et lui propose :
– Soyons amants.
Elle se fige de stupeur et se retourne pour sonder mon regard.
– Tu n’es pas sĂ©rieux, on en peut pas lui faire ça…
– Je sais. On a dĂ©jĂ abordĂ© ce sujet mais comme tu peux le constater, on le fait quand mĂŞme. Autant officialiser un peu les choses, ça nous Ă©vitera de nous trouver des pseudos disputes pour finir par se sauter dessus.
Elle sourit.
– Et si c’Ă©tait plutĂ´t ces disputes qui rendaient le sexe si agrĂ©able ?
– C’est bien plus que ça, dis je en passant mon doigt sur son bras
Sa peau se couvre de frissons.
-Tu le sens?
Elle ferme les yeux, inspire longuement puis capitule.
– Il faut rester discret. Je ne peux pas te donner plus que ça.
– Alors je prend. D’ailleurs tu devrais vite remonter avant qu’il ne me reprenne l’envie de TE prendre.
Son sourire illumine Ă nouveau son visage et c’est comme si je la voyais vraiment pour la première fois. Mon cĹ“ur fait des bons dans ma poitrine tandis qu’elle s’Ă©loigne en me lançant un clin d’oeil coquin.
Mais dans quoi je me suis embarqué ? © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :
Hais moi encore
Hais-moi encore (2)
Hais-moi encore ( Fin )
Ce qui se passe encore au bureau…
Alexandre et Béa 4 : Un moment de plaisir plus chaud encore que l’eau du Bain