C’est pendant un de mes séjours à Marrakech, chez Brahim que j’ai connu Hicham.Lorsque je suis au Maroc, j’aime aller chez le barbier pour me faire raser et, à l’occasion, me faire couper les cheveux.Quand j’en ai parlé à Brahim après une bonne partie de baise, il m’a dit de ne pas aller chez un coiffeur et qu’il avait un copain qui pouvait me faire ça sans problème, quand je voulais et même à domicile.Pour moi il n’y avait aucun problème, j’en étais même plutôt satisfait, tout en ayant bien sûr, une arrière pensée polissonne.D’autant plus que Brahim connaissant mes goûts et mon appétit en matière de sexe, était toujours prêt à me « partager », un peu pour que je le laisse récupérer, et aussi sans doute, pour en faire profiter ses copains.C’est comme ça qu’il m’avait quasiment mis dans les bras de son jeune frère Morad et qu’il n’avait rien dit lorsque j’étais parti 2 jours à la montagne avec Hassan leur aîné, se doutant bien que je me ferais les deux.Un après-midi, il a donc demandé à Hicham de venir avec son matériel de coiffeur, à l’heure où nous étions seuls à la maison.Hicham est arrivé et j’ai été sous le charme dès qu’il est entré.Je le revois comme si c’était hier, avec son pull bleu ciel et son jean deux fois trop grand comme c’est la mode. Mais son visage magnifique et son corps m’ont immédiatement fait bander.Impossible de résister à son sourire, à ses lèvres pulpeuses et merveilleusement bien dessinées, découvrant de belles dents blanches, ses immenses yeux noirs absolument irrésistibles, des cheveux courts noirs et crépus, un vrai visage de catalogue.Je n’arrivais pas à le croire et ne me faisais pas beaucoup d’illusions sur mes chances de le séduire, me disant qu’un beau mec comme ça n’avait rien à faire de moi et de mes 47 balais !Mais j’étais bien décidé à tenter ma chance et à tout faire pour avoir au moins la possibilité de voir ou de toucher son sexe.Aussi, quand le moment est venu, après m’être lavé les cheveux et nous être installés dans la petite pièce sur la terrasse, j’ai trouvé n’importe quelle excuse pour que Brahim nous laisse en tête-à -tête.Je crois lui avoir dit que ça me gênait que quelqu’un me regarde quand on me coupait les cheveux, ou une ânerie dans le genre.Brahim qui voulait causer avec son pote, m’a fait un peu la gueule mais il est parti en se doutant bien de ce que j’avais en tête.Hicham a commencé à me couper les cheveux.Je m’étais assis sur un tabouret et il tournait autour de moi.Quand il passait devant et que j’avais son sexe juste à la hauteur de son visage, j’essayais de deviner ce qui se cachait sous le pantalon et mon imagination galopait bon train, me donnant une érection bien agréable.J’étais pourtant toujours hésitant, ne sachant comment faire, et ne voulant pas me prendre une veste, surtout avec Brahim à côté.J’ai encore attendu un peu mais le désir était trop fort et quand Hicham est passé derrière moi j’ai attrapé sa main et je l’ai embrassée en le tirant vers moi.Il m’a souri, un peu surpris, puis est allé tout de suite voir Brahim dans l’autre pièce.Je les ai entendu parler en arabe et j’étais un peu angoissé je dois dire, ne sachant pas si Hicham racontait ce que j’avais fait en disant qu’il ne voulait pas retourner près de moi, ou si, au contraire, il demandait ce qu’il devait faire.Pour le savoir, il n’y avait qu’une solution, et dès qu’il est revenu vers moi, j’ai repris sa main, pensant que s’il me laissait faire, c’est que Brahim avait donné son accord.Et le miracle s’est alors produit.Hicham a serré ma main et a posé la sienne sur mon cou.J’ai penché la tête en arrière et alors, il m’a roulé une pelle comme je n’en avais jamais eu depuis longtemps.Je crois que je n’oublierai jamais ce baiser tendre et passionné, qui l’espace de quelques minutes m’a fait oublier tout le reste.Hicham embrassait comme un dieu, mordillant mes lèvres et les léchant de sa langue.Je sentais ses lèvres frôler les miennes puis accentuer leur pression.Sa langue parcourait ma bouche à la recherche de la mienne, puis repassait sur mes lèvres. Il m’embrassait dans le cou, sur les yeux, les oreilles puis reprenait ma bouche avec encore plus de ferveur.J’étais anéanti de plaisir et je me sentais littéralement fondre, alors que quelques instants plus tôt, j’étais loin d’imaginer malgré tout mon désir, en recevoir autant de sa part.Notre baiser a duré jusqu’à ce qu’on manque presque de souffle et j’ai eu le plus grand mal du monde à me détacher de lui.Mais, à peine s’est-il redressé que mes mains se sont posées sur ses cuisses, les caressant légèrement, avant de remonter sur son sexe que j’ai senti dur et tendu, prêt à recevoir mes caresses.Je l’ai un peu frotté à travers le tissu avant de déboutonner sa braguette et d’y glisser un, puis deux doigts, puis la main entière.Je touchais sa queue raide sous le slip, lui soupesais les couilles en passant mon index par l’entrecuisse.Je l’ai attiré contre moi et j’ai appuyé ma tête contre sa hanche pendant que j’inspectais avec douceur son entre jambe.Lui était là , debout, les bras ballants, les ciseaux à la main, très excité, il semblait apprécié mes caresses et se laissait faire sans bouger, sans rien dire, juste en remuant légèrement les hanches de temps en temps.N’y tenant plus je dégrafais son jean en le faisant descendre, puis je fis de même avec son slip, libérant un sexe circoncis, fin et bien proportionné, recouvert d’une peau claire, décoré par deux belles boules et une petite touffe de poils pubiens très noirs et crépus, alors que tout le reste de son corps était entièrement imberbe.Je restais un court instant en admiration devant cette verge tendue à l’extrême, que je caressais d’une main.J’avais l’impression de tenir une barre de fer, tellement il bandait dur.Puis, ne pouvant me contenir plus longtemps, je me jetais dessus, posant mes lèvres humides sur son gland, commençant à le sucer, à l’aspirer pour le faire gonfler dans ma bouche, puis avalant entièrement toute la tige jusqu’à la garde.Je l’ai entendu gémir de plaisir et j’ai senti des frissons le parcourir.Hicham avait tout juste 19 ans et n’avait pas dû connaître beaucoup de fellations, et manifestement je lui donnais beaucoup de plaisir.Je continuais donc à le sucer avec encore plus d’entrain, me régalant de sentir ce sucre d’orge dans ma bouche.Mes mains en même temps, posées sur ses hanches lui donnaient un mouvement de va-et-vient pour le faire glisser entre mes lèvres.Alors lâchant ses ciseaux, il a pris ma tête entre ses deux mains et en donnant des coups de reins, il s’est mis à baiser, prenant ma bouche comme un orifice chaud et accueillant.Je le laissais faire, savourant moi aussi ce plaisir, tout en caressant son corps nubile et ses fesses lisses et cambrées, attendant de le faire jouir quand il en aurait envie.Il continuait son mouvement, et je continuais à le sucer, ne lâchant sa queue que pour reprendre ma respiration, et me remettant à la tâche en oubliant le reste du monde.Je bandais comme une bête en rut et je sentais le bout de mon sexe qui commençait à mouiller.Il fallait que je le libère, mais encore une fois, moi qui suis pourtant sans complexe, je n’osais pas sortir ma queue de peur de le choquer, ou pire qu’il ne veuille plus continuer.C’était trop bon d’avoir sa bite dans la bouche, de le pomper et de le sentir remuer les reins pour s’enfoncer au plus profond de ma gorge.Je sentais son sexe prêt à m’étouffer et les larmes coulaient de mes yeux mais pour rien au monde je n’aurais arrêté de savourer ce délice de chair tendue.Lui aussi y prenait un plaisir extrême et ne semblait pas avoir envie d’y mettre fin pour mon plus grand bonheur.Je ne sais pas combien de temps a duré cette pipe, avant que je me mette debout contre lui pour reprendre ses lèvres.Alors, il m’a enlacé, m’a serré dans ses bras et j’ai senti ses mains caresser mon corps, s’attardant surtout sur mon cul.Il a passé une main dans mon pantalon et l’a introduit entre mes fesses pour me doigter.A la limite d’exploser, j’ai défait ma ceinture et je l’ai aidé à me déculotter.Il m’a tripoté le cul de ses deux mains, pendant que je le branlais en me laissant à nouveau l’embrasser aussi tendrement que la première fois.Contrairement à ce que je pensais, il n’a pas essayé de m’enculer, peut être parce que Brahim était tout près, ou parce que notre position n’était pas très confortable.J’ai su plus tard que c’est parce qu’il respectait son copain Brahim, et que sachant que nous étions amants, il pensait que mon cul lui était réservé.Nous avons dû nous caresser pendant plus d’une heure comme ça et j’avoue que je ne pensais pas du tout à mon petit amour qui écoutait la radio dans la pièce voisine.Enfin, tout en me caressant la raie des fesses, et en m’enfonçant doucement un doigt, Hicham s’est branlé devant moi, sentant venir la jouissance et voulant se la donner lui-même comme il devait en avoir l’habitude.Je me suis laissé aller et me suis branlé aussi, à genoux devant lui, le suçant de temps en temps pendant qu’il s’astiquait la queue et j’ai reçu son sperme sur le visage, juste avant de jouir à mon tour.Je me suis alors relevé pour me serrer contre lui et recevoir encore un baiser avant que la nécessité ne nous oblige à reprendre nos esprits et rejoindre Brahim.Ce que je venais de vivre était au-delà de mes espérances et dès cet instant, je n’ai eu qu’une envie, celle de me retrouver seul avec Hicham.Bien sûr, Brahim s’en est aperçu, et lui qui affectait souvent un air détaché, en a ressenti un peu de jalousie ou peut-être la crainte que je ne lui préfère son copain.C’est vrai que si j’aime la baise, surtout avec ces jeunes marocains, et que je prends toujours mon pied à chaque nouvelle expérience avec un nouveau partenaire, en général un copain de Brahim, c’est lui, Brahim que j’ai connu le premier qui garde ma préférence, et même s’il ne me traite pas vraiment comme un amant mais plutôt comme un objet de plaisir, je l’aime et j’aime qu’il me baise.Lui, il est attaché à moi, car il me relance souvent et n’aime pas me faire de la peine, mais il me nique plus pour son plaisir, ne s’occupe pas si moi j’en ai envie, et il faut quelques fois que j’insiste pour avoir ses faveurs.C’est pour ça qu’il n’hésite pas à me refiler à d’autres tout en ne voulant pas me perdre. Néanmoins, s’il fallait choisir, c’est Brahim que je garderais.C’est une relation un peu particulière que nous avons, mais je m’y complais, et pour l’instant tout ce passe bien.Quand il va un peu trop loin et que je me fâche, alors il fait tout pour me satisfaire et il devient tendre et passionné, déployant des trésors de volupté et faisant des prouesses qui me laissent attendri et fou d’amour pour lui.Nous échangeons nos opinions sur les liens qui nous unissent, je lui confesse tous mes défauts et mes penchants sexuels, et lui, il écoute, me dit qu’il m’aime vraiment mais qu’il n’y a pas que la baise, et je me dis qu’il a raison en fait, mais c’est plus fort que moi.J’ai trop envie de profiter au maximum du plaisir que je prends pendant mes courts séjours au Maroc, sachant que je ne trouverai jamais l’équivalent en France.Pour en revenir à Hicham, les jours suivants, Brahim a bien compris que j’avais très envie de son ami, et le temps de la réflexion et quelques paroles échangées, il s’est rendu compte qu’il ne risquait pas de me perdre.Hicham est donc revenu, et Brahim s’arrangeait toujours pour nous laisser un moment seul dans la petite chambre de la terrasse, puis il revenait en se faisant bien entendre dans l’escalier pour nous laisser, surtout à Hicham, le temps de nous rajuster.Moi cela ne me gênait aucunement qu’il nous trouve entrain de baiser, au contraire, ça m’excitait encore plus, faisant ressortir mon côté exhibitionniste.Nous avons eu ainsi, Hicham et moi plusieurs occasions pour recommencer nos parties de cul, pour le plus grand plaisir de l’un et de l’autre.Je le suçais longuement, alternant les pipes et les baisers, m’excitant autant pour les deux. Hicham me branlait aussi, sans complexe, pendant que je le pompais en lui gobant les couilles.C’était encore plus que le plus cher de mes désirs.Sentir mon sexe dans sa main.Moi, je me sentais entièrement possédé et prêt à lui obéir sans rien lui demander en échange.Avoir sa bite gonflée dans la bouche, sentir ses mains sur mes reins et mes fesses, son doigt s’enfoncer entre elles, lécher sa verge, pomper son gland, caresser tout son corps sans le moindre poil, c’était le summum, alors, quand en plus il me branlait, j’étais au 7ème ciel.Je le suçais, lui debout contre le mur, une jambe posée sur mon épaule, ou assis, moi agenouillé entre ses jambes, ou encore je m’allongeais sur le dos et lui au-dessus de moi baisant dans ma bouche comme dans le vagin d’une femme, ou également en position de 69, lui me branlant moi avalant sa bite.Toutes les positions étaient fabuleusement bandantes et me donnaient trop de plaisir.Puis au bout de deux ou trois jours, il m’a dit qu’il aimerait bien, comme Brahim. c’est à dire, il avait très envie de m’enculer.Et à sa façon de me dire ça, j’ai compris qu’il demandait à la fois ma permission et celle de Brahim.Pour ma part, il n’y avait rien à craindre, j’étais plus que d’accord et je sentais déjà au fond de mon cul les frémissements de sa queue et son corps enveloppé le mien pendant qu’il me posséderait complètement.Je voulais plus que tout être défoncé par sa bite vigoureusement et infatigable et si cela n’avait tenu qu’à moi je me serais offert tout de suite.Mais bien sûr, en plein milieu de l’après-midi et avec la mère de Brahim, deux étages plus bas, et pour Hicham, savoir que Brahim pouvait revenir d’un moment à l’autre, ça ne pouvait se faire.Je me suis tout de même calé contre lui, remuant mes fesses contre son sexe pour l’exciter au maximum et je lui ai demandé de rester dormir ce soir chez Brahim.Comme nous devions partir tous les trois le lendemain pour Agadir, c’était une occasion, et il est aller chez lui chercher ses affaires pour revenir le soir après le repas.Nous avons discuté tous les trois dans la chambre, à la lueur d’une bougie, allongés à même le sol, sur et sous les couvertures.Il n’y a pas de lit chez Brahim, j’ai pris les habitudes marocaines et je dors par terre, ce qui rend même nos ébats encore plus érotiques.Bien entendu, je m’étais couché au milieu, entre mes deux petits mecs et je les caressais sous les couvertures, tout ce qu’il y a de plus discret, tout en sachant qu’il n’y avait aucun doute dans leurs esprits sur les gestes que je destinais à l’un comme à l’autre.Pour moi, c’était très excitant de toucher leurs queues tendues, que je sentais se raidir par à -coup dans mes mains.Plus je les branlais, plus ils bandaient et plus j’avais envie de me livrer à leur désir grandissant.Je les excitais au maximum, l’air de rien tout en discutant et en fumant un peu d’herbe, et je sentais tout mon corps prêt à succomber.Enfin, nous avons éteint la bougie pour « dormir », et je me suis tourné, sur le côté, offrant mon dos à Brahim en me collant à lui.J’ai cambré mes reins jusqu’à ce que mes fesses viennent s’encastrer contre son ventre, et je me suis frotté contre lui.Sa réaction a été immédiate et j’ai senti sa bite qu’il avait sortie de son caleçon, se coller à moi.J’ai eu à peine le temps d’enlever mon slip et de me mettre du gel, que j’avais heureusement gardé à portée de main, et il m’enfilait d’un coup sec, poussant des reins pour me pénétrer à fond.Je l’avais caressé pendant plus d’une heure et il n’y avait plus besoin de préliminaires.Je comprenais son désir, il ne tenait plus.Brahim a toujours aimé niquer et il m’a souvent dit qu’il aimait mon cul et que c’était bon de me baiser.Je l’ai reçu ce soir-là avec autant de plaisir qu’il en prenait à me la mettre. Je me retrouvais empalé sur son pieu, complètement dominé par sa fougue et son désir pressant.Tout de suite il a commencé à remuer et à limer entre mes fesses, j’ai vite remis du gel devant son ardeur et j’ai senti les va et viens de plus en plus rapides de sa queue.J’avais l’impression qu’il me transperçait et je devais le freiner de temps en temps, tellement il se déchaînait en moi.Je n’en revenais pas de me faire prendre et baiser de cette façon.Il me revenait en mémoire les films pornos gays où les mecs se font enculer comme des bêtes, où les bites rentraient et sortaient dans des culs accueillants, et moi qui avais toujours eu mal jusqu’à présent et qui pratiquait la sodomie en douceur, je ne comprenais pas comment c’était possible.Et voilà que moi aussi je m’en prenais plein le cul, je me faisais défoncer par un mec plein d’ardeur et j’y prenais un immense plaisir.J’étais secoué, cloué au sol, Brahim sur moi, appuyé sur ses bras tendus, son corps mince et vigoureux tout en mouvement, ses violents coups de reins qui enfonçaient sa bite jusqu’au plus profond de moi, et ses jambes qui écartaient mes cuisses au maximum pour mieux me pénétrer.J’ai réussi à bouger, presque en rampant, me déplaçant de quelques centimètres afin de me rapprocher d’Hicham, et pendant que Brahim s’acharnait sur moi, j’étais arrivé à découvrir Hicham, à le déshabiller et à m’emparer de sa queue qui n’attendait que ça, pour la prendre dans ma bouche et la sucer avec délectation.J’avais rarement eu l’occasion de baiser avec 2 mecs en même temps, et le peu de fois où c’était arrivé, ça ne m’avait jamais pas laissé un bon souvenir, d’abord parce que je ne me faisais pas enculer et que c’était des mecs de rencontre, juste pour quelques instants furtifs sur une aire d’autoroute ou dans un ciné porno.Rien de bien passionnant, juste de quoi apaiser un besoin passager.Là , j’étais avec deux superbes et jeunes pur-sang arabes dont j’étais de plus en plus dingue, qui me bourraient la gueule et le cul de leurs membres plein d’ardeur et je ne m’en lassais pas.Les coups de boutoir de Brahim qui me défonçait le cul me projetaient sur la tige d’Hicham qui se laissait sucer sans rien faire, remuant doucement les reins et gémissant de plaisir comme il le faisait à chaque fois que je prenais soin de lui.J’aimais caresser ses cuisses et son corps lisses comme une peau de bébé, sans le moindre poil, j’aimais sucer ses petites couilles, les gober l’une après l’autre, lécher les poils de son pubis, passer ma langue dans son nombril, puis reprendre sa queue dans la bouche et la sucer en rythme avec l’enculage de Brahim.Brahim s’activait toujours sur moi contenant son plaisir, alors, Hicham lui a parlé.Ils ont échangé quelques propos rapides en arabe, dont j’ai cru comprendre être l’objet.Manifestement, Hicham réclamait la place et Brahim ne voulait pas céder.Même sans comprendre leur langue, je devinais au ton de leur voix qui montait, qu’ils se disputaient mon cul.Hicham avait envie de me niquer et Brahim se régalait trop dans mon cul bien ouvert, où son sexe glissait pour la première fois sans retenue dans cet orifice bien lubrifié.Moi j’étais là , objet de convoitise, on m’utilisait sans demander mon opinion, me traitant comme une bête à plaisir.J’en étais à la fois vexé mais j’y prenais aussi un certain plaisir, me sentant soumis et désiré, même sans le moindre sentiment.Ils avaient tous les deux, oublié presque mon existence et je n’étais pour eux qu’un trou ouvert, prêt à recevoir leur jouissance, seulement un cul à bourrer, puisque même ma bouche ne suffisait pas à Hicham.Brahim s ’est finalement retiré, un peu à contre cœur et j’ai senti comme une ventouse quand son sexe est sorti de mon cul.Il s’est allongé pesamment sur le dos et Hicham a aussitôt repoussé ma tête de sa queue, m’a retourné sans ménagement, s’est allongé sur moi et m’a enculé sans plus attendre.La route était toute faite, Brahim m’avait limé pendant presque une demi-heure et il n’a eu aucun mal à prendre la relève.J’ai vu tout de suite qu’il en mourrait d’envie et qu’il était en manque, n’ayant sûrement pas niquer depuis un bon moment.Contrairement à Brahim, il y mettait plus de douceur, même si ses mouvements de hanches pour me baiser étaient aussi rapides que son copain, et ses coups de reins aussi violents, lui, me caressait en me baisant.Ses mains parcouraient mon corps, me tâtaient les seins, sa bouche m’embrassait le cou, les cheveux, les épaules et je me contorsionnais du mieux possible pour recevoir ses lèvres et partager avec lui un de ces tendres baisers dont il avait le secret.Avec Hicham je ne baisais pas, je faisais l’amour et c’était bon ! Il savait y faire le petit salaud, et à ce moment là , s’il l’avait voulu, je partais avec lui, laissant Brahim, pour lui appartenir corps et âme, aussi longtemps qu’il l’aurait voulu.Il y allait pourtant de bon cœur et me baisait aussi fort que Brahim juste avant, allant même jusqu’à me demander de remettre du gel pour s’activer encore plus et prendre son pied à fond. Je m’exécutais immédiatement, trop content de subir sa juvénile puissance.Alors le laissant jouir de mon cul à sa guise, je repris le sexe de Brahim qui n’avait pas perdu de sa raideur et je me suis mis à le pomper, offrant à leurs deux bites un échange d’accueil.Brahim appuyait sur ma tête pour que je le suce à fond.Sa queue m’étouffait, allant jusqu’au fond de ma gorge.Hicham m’enculait de plus en plus vite en râlant presque, tant il s’éclatait, continuant à m’embrasser, ce qui me rendait à moitié fou de bonheur et d’extase.Et puis, presque en même temps, j’ai senti venir leur plaisir.Hicham que j’avais prévenu, s’est retiré avant de jouir, faisant jaillir son sperme chaud dans le creux de mes reins, et Brahim qui avait compris et qui devait lutter pour ne pas jouir le premier, par fierté sans doute, plus que par pudeur, s’est lâché à son tour en arrosant de son jus ma poitrine et mon cou.Nous sommes restés un moment, épuisés, tous les trois, puis doucement j’ai pris la main d’Hicham, l’est posé sur ma queue qui, pendant tout ce temps avait quelque peu ramollit sous ses assauts, et avec sa douceur habituelle, il m’a branlé pour me faire jouir à mon tour, simple conclusion de cette partie à trois. Une éjaculation qui n’était même pas obligatoire pour moi, après tout le plaisir que j’avais pris à me faire baiser par la bouche et par le cul.J’ai fermé les yeux presque à regret, mais épuisé d’avoir tant donné.Je me suis blotti contre Brahim qui lui s’est endormi sans égard pour moi, alors j’ai rejoint les bras d’Hicham toujours accueillants et me suis endormi avec son sexe dans la main et son bras autour de ma taille, en souhaitant que la nuit soit courte pour remettre ça le plus rapidement possible.Au petit matin, j’ai ouvert les yeux le premier, il faisait à peine jour.Notre bus pour Agadir partait à 7 heures et nous avions peu de temps devant nous.J’ai d’abord réveillé Brahim en prenant son sexe en érection dans la bouche.Je suis presque sûr qu’il n’avait pas débandé de toute la nuit, je l’ai sucé en mordillant sa verge et il a ouvert les yeux en grognant, ne me laissant même pas croire que je lui donnais du plaisir.Puis, devant lui alors qu’il s’étirait, j’ai retiré la couverture qui enveloppait Hicham encore en plein sommeil, je me suis mis à genoux au-dessus de lui, mes jambes de chaque côté d’une de ses cuisses écartées, je me suis penché, j’ai pris sa queue dans la main pour la redresser et je me suis mis à le sucer devant Brahim.Il a d’abord fait comme si rien ne se passait, mais j’ai tout fait pour attirer son regard, pompant bruyamment la bite d’Hicham avec des bruits de succion sans équivoque, léchant son gland, branlant sa queue, la reprenant dans ma bouche jusqu’à ce qu’elle disparaisse entièrement.Alors Brahim s’est tourné vers nous et j’ai vu que ça l’excitait.Il me regardait faire en se caressant la queue, puis en se branlant carrément.Et puis, comme je l’espérais intérieurement, il est venu se positionner derrière moi, a posé ses mains sur mes hanches, sa queue à la main, l’a collé contre ma rondelle et m’a tiré en arrière pour que je m’empale et qu’il m’encule en levrette.J’étais encore lubrifié par le gel de la veille et mon cul avait été suffisamment élargi par leur baise.Brahim m’a enculé plus calmement, laissant glisser sa queue entre mes fesses, profitant du spectacle de mes fesses tendues et de mes reins cambrés.Il se couchait par moment sur mon dos et me regardait sucer Hicham qui se réveillait doucement et ne semblait pas du tout gêner de montrer son sexe à son copain.Bien que j’aurais aimé rester ainsi plus longtemps, il était impératif de partir vers la gare routière et nous avons dû en rester là .Je n’avais rien à faire d’Agadir qui, à l’inverse de Marrakech, ne m’a jamais attiré, mais cette ville plait aux jeunes marocains et je voulais leur faire plaisir, sachant que j’en tirerai aussi des satisfactions personnelles en repassant encore une nuit avec eux.Après 4 heures de route nous sommes arrivés dans cette ville sans charme particulier, et nous avons commencé par chercher un hôtel.Comme il se doit, j’ai été obligé de prendre deux chambres, pour les convenances.J’ai inventé une histoire, disant que Brahim et Hicham étaient les enfants d’amis marocains.Je ne sais pas si j’ai été très convaincant, ou si le réceptionniste qui en avait sans doute vu d’autres, n’avait aucun doute sur nos rapports réels.Pour moi cela n’avait aucune importance, et je savais bien que la chambre avec un lit d’une place ne serait pas beaucoup utilisée.L’autre en comptait deux à deux places avec une salle de bain et nous y avons laissé nos affaires.J’ai essayé quelques caresses mais le moment n’était pas bien choisi et mes deux compagnons avaient envie de voir la mer.Nous sommes donc sortis, Brahim connaissant Agadir, il nous a conduit jusqu’à la plage et dans les rues principales. Il n’y avait pas trop de monde et la ville était telle que je me l’imaginais, sans aucun attrait.En fait, le peu de monde s’expliquait par un match de foot à la télé où le Maroc jouait pour la coupe d’Afrique.Brahim qui avait oublié et qui est dingue de foot n’a eu qu’une hâte, celle de rentrer à l’hôtel pour voir la fin de la partie.Et pendant qu’il regardait dans le hall, Hicham qui n’était pas plus attiré que moi est venu dans la chambre.A peine Brahim avait fermé la porte que nous nous sommes retrouvés sur le lit, enlacés et réunis dans un baiser fiévreux qui en disait long sur notre désir mutuel.En ne rien de temps, nous étions nus et Hicham après quelques caresses rapides mais câlines, m’a demandé le gel, ce qui ne laissait aucun doute sur ses intentions.Manifestement il avait lui aussi, aimé me baiser et en redemandait, et le plus vite possible.J’avais à faire à des mecs, pas homos du tout et pour qui la baise, quel que soit le moyen d’enfiler leur bite était une occasion de prendre ce plaisir que beaucoup de filles marocaines, à part les putes leur refusent presque toujours.Pour eux l’âge, le physique ou le sexe du partenaire n’a pas beaucoup d’importance, du moment qu’il y a un trou à niquer.Même s’ils préfèrent les femmes où les filles qui quelques fois se laissent aller à la sodomie, quand ils rencontrent un mec comme moi, qui leur donne du plaisir, qui garde toujours un contact, qui les considère et les aime, leur parle et les flatte sur leur prouesse, tout en étant docile et un peu salope, le plaisir n’en est que plus grand pour eux, et ils ne font pas la fine gueule.Hicham et Brahim aimaient me niquer, c’est indéniable, et si Brahim avait sa dose, même plus avec moi, Hicham lui avait des coups à rattraper, c’était l’évidence même.Je fouillais donc dans mon sac, à plat ventre sur le lit pour prendre le tube de lubrifiant pendant qu’Hicham me tripotait les fesses, les écartait pour admirer ma rondelle qui allait accueillir son membre viril déjà depuis un moment au garde à vous, impatient de m’honorer.Je restais dans la même position lui donnant le gel pour qu’il enduise l’objet de sa convoitise, ce qu’il fit sans se faire prier, en insistant avec ses doigts qui me pénétraient comme pour préparer le terrain.Puis doucement il s ’est allongé sur moi complètement, je me suis légèrement cambré, j’ai aidé sa queue à trouver l’entrée de mon cul et doucement il l’a enfoncé, s’est retiré pour la remettre, puis a poussé pour me pénétrer entièrement.Il a passé ses mains sous mes bras, a attrapé mes épaules, m’a tiré en arrière et a rentré en moi toute la longueur de sa queue dure et en pleine forme, puis a commencé son mouvement de baise, de plus en plus vite tout en me suçant et me mordillant le cou.Encore une fois, je n’étais plus moi-même, oubliant tout, ne pensant qu’à ce plaisir extrême, ne sentant que cette bite dans mon cul, ne souhaitant rien d’autre que d’être possédé par ce corps d’éphèbe qui ne se doutait pas du bonheur qu’il me donnait et qu’à mon âge je n’aurais jamais imaginé possible quelques mois plus tôt.Le plus drôle c’est qu’Hicham m’était reconnaissant du plaisir que je lui donnais, sans imaginer une seconde que c’était pour moi presque inespéré.Depuis que je l’avais compris, je faisais tout pour me faire désirer, essayant de lui faire croire que je lui faisais une faveur, tout en essayant de résister au maximum avant de me donner à lui, bien que mourant chaque fois d’envie de succomber le plus vite possible.On ne voyait pas le temps passer et Hicham, très endurant me baisait et limait mon cul sans relâche, et je me laissais faire, les yeux fermés, totalement offert.Puis quand Brahim est venu frapper, il s’est retiré à poil dans la salle de bain, l’air presque fautif, j’ai ouvert la porte, nu et l’air réjoui et Brahim m’a regardé d’une drôle de façon.Je lui souriais un peu provocateur et j’ai mis la main à son sexe.Il bandait et je savais qu’il allait vouloir me prendre.Alors je l’ai caressé à travers son jean et lui, a retenu ma main en me faisant comprendre qu’il y avait Hicham à côté.Il lui a dit d’aller faire un tour, il ne voulait pas faire l’amour en sa présence.La situation m’amusait un peu et j’ai insisté pour prendre Hicham en photo nu, pour avoir un souvenir de lui, de la beauté de son corps, de son sexe, afin de pouvoir le regarder après mon départ et me branler en fantasmant sur lui et nos étreintes.Ça n’a pas plu à Brahim qui ne voulait pas que je fasse ça mais je ne l’ai pas écouté, je suis allé dans la salle de bain et Hicham n’a fait aucune difficulté pour que je le prenne dans le plus simple appareil, sexe au repos malheureusement pour ne pas choquer le photographe.Puis Hicham est sorti, nous laissant seuls, et Brahim m’a fait des reproches.Je lui ai dit alors que leur conversation de la veille au soir ne m’avait pas plu, que j’avais bien compris le sens de leurs propos, que je n’aimais pas être pris pour une chienne en chaleur, que j’étais un être humain et que j’avais droit à leur respect.Même si tout n’était pas tout à fait vrai, j’en profitais un peu pour le mettre mal à l’aise et j’y réussissais tout en l’étonnant vraiment d’avoir suivi à peu près leur discussion.Du coup, il s’est fait plus tendre et je n’ai eu aucun mal à diriger un peu les opérations, prenant sa main et l’obligeant à me caresser la queue, sachant pourtant qu’il n’aime pas ça. Mais pour se faire pardonner, il m’a branlé doucement, avant que je ne m’empare de sa bite et que je la suce jusqu’à ce qu’il me baise comme il se devait de le faire et comme je l’attendais avec impatience.Nous sommes allés au restaurant et après une ballade et une bière dans un bar de la plage, nous sommes rentrés à l’hôtel.Nous nous sommes douchés à tour de rôle, moi j’aurai bien aimé qu’on la prenne ensemble, mais….Hicham s’est mis dans un des deux lits et je me suis couché dans l’autre en attenant Brahim.Lorsqu’il m’a rejoint, le temps que je réalise, il a fait un signe à Hicham et ils m’ont sauté dessus tous les deux en même temps.Brahim avait arrangé ça avec Hicham, pour me faire plaisir, et aussi pour se faire pardonner et ils avaient prévu une baise à trois sans doute pendant le repas, pour me faire une surprise des plus agréables.Tout s’est passé merveilleusement bien et comme dans un rêve.Leurs bouches se disputaient la mienne, leurs baisers à tous les eux étaient si tendres et si langoureux, j’étais littéralement sous l’emprise du plaisir.Ils me faisaient l’amour avec douceur et délicatesse, rien à voir avec nos rapports sauvages de la veille au soir.Je me donnais tantôt à ’un, tantôt à l’autre, et pendant qu’Hicham m’embrassait et me serrait contre lui, Brahim me baisait en me caressant, puis ils échangeaient et ainsi, plusieurs fois de suite.J’ai fini par me retrouver en 69, la queue d’Hicham dans la bouche, pendant que Brahim me possédait, j’aurais tellement aimé que l’un des deux me suce, mais ça, je pense que je n’y aurais jamais droit, ce n’est pas du tout dans leur goût.Je me contentais donc de ces plaisirs, déjà tellement fantastiques, puis, je leur demandais d’assouvir un de mes fantasmes : sucer leurs deux bites en même temps.Ils se sont alors rapprochés l’un de l’autre, Brahim faisant tout son possible pour ne pas toucher Hicham.Je les ai sucés alternativement, agenouillé sur le lit, entre eux deux, puis tout doucement j’ai réussi à les rapprocher encore un peu et j’ai pu sucer leurs deux glands en même temps.Je bandais au maximum, à en avoir mal aux couilles, et je faisais tout mon possible pour avoir leurs deux queues entre mes lèvres gourmandes, mais Brahim faisait de la résistance et je n’ai pas insisté, toujours de peur que tout ne s’arrête si j’étais trop exigeant.J’arrivais à les pomper en même temps et ce n’était déjà pas si mal, d’autant plus que je ne sais si leurs deux membres auraient pu entrer ensemble dans ma bouche.Je me suis rallongé entre eux et nous avons fini par nous branler, chacun s’occupant de se procurer sa propre jouissance, sauf moi qui ne résistais pas à l’envie toujours aussi forte, tout en me branlant, de leur caresser les couilles avec ma main libre ou de les sucer encore, jusqu’à ce qu’on jouisse tous les trois presque en même temps, moi m’arrangeant pour recevoir leur sperme chaud sur le corps.Je leur ai dit merci pour ce qu’ils venaient de m’offrir et je les ai vraiment vu heureux d’avoir réussi leur mise en scène.J’ai eu du mal à m’endormir, me serrant fort contre Brahim, et faisant un immense effort pour respecter son désir de dormir et ne pas le forcer à me reprendre ou à remettre sa queue dans ma bouche.Nous sommes repartis très tôt le lendemain matin, j’ai à peine eu le temps de les sucer quelques minutes avant de quitter l’hôtel, et le bus nous à conduit à Essaouira puis à Marrakech.Je me suis partagé entre eux deux encore pendant les trois jours qu’il me restait, ne manquant aucune occasions de les pomper ou de me faire mettre. Brahim toujours plus distant, mais Hicham, encore pas rassasié, toujours partant pour un moment de plaisir.J’arrivais à le coincer et à l’exciter, dans l’escalier ou dans un coin de rue déserte, dans le bus ou le taxi.Je le caressais quand nous allions au hammam pendant qu’il me lavait et me massait.Quand on allait prendre un pot dans un café je lui faisais signe de me rejoindre aux toilettes, au restaurant je m’arRangeais pour glisser une main sous la table et le branler, ou quand il était face à moi, caresser son paquet avec mon pied.Dès qu’il n’y avait personne pendant une balade, je touchais son sexe, ou collais mes fesses contre sa queue.Je l’ai même une fois sucé dans le fond d’une boutique du souk, au milieu des djellabas pendant que le patron était allé me chercher quelque chose dans sa réserve.Il était toujours d’accord même pour ses furtives secondes qui lui donnaient quand il était avec moi, une érection quasi permanente.Tout cela aurait été impensable avec Brahim.Chaque fois je le voyais prêt à jouir, il se retenait le plus longtemps possible et quelques fois même ne lâchait pas sa semence.Alors je lui ai dit qu’il pouvait jouir dans ma bouche, que ça ne me gênait pas alors que je n’aime pas trop ça.Mais avec eux, j’allais tellement loin dans le plaisir que j’étais prêt à tout essayer.Un jour, dans la chambre de Brahim, Hicham s’est laissé aller et je l’ai sucé avec encore plus de finesse, promenant ma langue le long de sa verge, autour de son gland, lui léchant les couilles et même en dessous, sans toutefois pouvoir la passer entre ses fesses (tabou !). Et pourtant quelle envie j’avais de lui bouffé le cul ! Il avait des fesses à faire damner un saint.Je m’amusais à aspirer sa bite la prenant entièrement dans la bouche, puis ne prenant que le gland entre les lèvres et en tirant dessus.Ensuite, je passais encore la langue dans l’orifice du gland, le faisant sursauter à chaque fois. Mes mains pendant ce temps, parcouraient son corps, agaçaient ses seins plats, mes doigts griffaient légèrement ses hanches, son dos, ses cuisses, je le sentais vibrer de plaisir, les yeux tantôt fermés ou tantôt contemplant ma bouche gourmande.Il avait une endurance incroyable malgré toutes les caresses expertes que je lui prodiguais, puis finalement il s’est cambré dans un ultime sursaut de plaisir et j’ai reçu son jus dans la bouche.Je l’ai recraché dans un mouchoir, car j’en avais fait vraiment plus que je ne pensais être capable, sans pouvoir avaler ce nectar comme je sais que font certains mecs.Peut-être plus tard, pour l’instant je ne suis encore pas prêt.Puis comme toujours, il a fallu que je m’arrache à ces doux moments et que je rentre.J’ai revu Hicham lors de mon séjour suivant, moins souvent car il travaillait et surtout parce que Brahim, croyant je pense, à un danger pour lui (je lui avais tant parlé de mon désir pour Hicham, de sa beauté et du reste), qu’il avait fait en sorte que je le vois moins.Il préférait me laissait avec son frère Morad et m’avait aussi présenté Rachid, mais ce n’était pas la même chose.J’ai baisé encore deux ou trois fois avec Hicham pendant ce séjour, puis ils se sont disputés pour je ne sais quoi, après mon départ, pas pour moi en tous cas, et je ne l’ai plus revu.Je ne désespère pas de le rencontrer à nouveau à Marrakech, et je sais que je ferai tout pour essayer de me retrouver dans l’intimité de ses cuisses et de goûter à nouveau à son sexe inoubliable et si bon pour l’amour, même s’il faut le faire à l’insu de Brahim.