C’est arrivé hier soir.Je me présente : je m’appelle Jacques, j’ai trente-trois ans et depuis sept ans je suis marié avec une jolie petite brune de cinq ans ma cadette. Elle m’a donné deux beaux enfants. Depuis quelques temps nous sortons un peu plus qu’à l’accoutumée et ma femme, qui a peu d’estime pour elle-même, ne se maquille jamais et ne fait que très peu d’effort vestimentaire, s’est rendue vite compte de son effet auprès des hommes de tous âges (et moi aussi). Malgré une période d’abstinence lors de sa première grossesse, notre vie sexuelle est très active et débridée.Hier midi, ma chère et tendre m’annonce qu’elle a une réunion de parent d’élève le soir même à partir de dix-huit heures trente, qui devrait durer un peu tard et me demande de m’occuper des enfants pendant ce temps. Il me faut préciser que mon métier est très prenant et que je ne rentre jamais avant vingt heures trente habituellement. Hier soir donc ma femme dépose les enfants au bureau et s’en va toute guillerette à cette fameuse réunion, non sans avoir au préalable changé sa tenue et s’être pomponnée, ce qui ne lui ressemble pas.Pris d’un petit doute pour la première fois depuis notre rencontre, je préviens ma sœur que je dois garder les enfants et je me fais remplacer par elle. À dix huit heures quarante-cinq je passe devant l’école, pas de voiture. Je tourne, retourne, toujours pas de voiture. Désappointé, je me rends chez mon ami afin de me faire payer l’apéritif en guise de déstressant et là , la voiture, sa voiture ! Mon ami Stéphane, marié à Nadège, la meilleure amie de ma femme, est en instance de divorce.. Après cinq années de mariage et un bébé de dix mois il s’est rendu compte qu’il n’éprouvait rien pour Nadia, grande brune élancée à forte poitrine, le style que l’on voit le plus souvent dans les magasines de mode. Elle représente pour moi la femme fatale par excellence, tous mes fantasmes personnalisés.Je me gare un peu plus loin et je rentre par les dépendances chez mon ami en prenant soin de ne pas déclencher les lumières automatiques et là , le choc : ma femme à quatre pattes sur la table basse en train de sucer le sexe gigantesque de Stéphane. Tétanisé, je n’ose bouger et je contemple, hagard, ma femme en train de prodiguer une superbe fellation à celui que je croyais être mon ami. Il change de place, se met derrière ma douce et rentre d’un coup sec dans ses entrailles dans un feulement féminin sans équivoque sur le plaisir qu’il lui donne à ce moment-là . Sans ménagement pour la petite chatte étroite de ma femme, il la pilonne, alternant les cadences et les amplitudes de ses mouvements jusqu’à ce qu’un cri strident annonce le premier orgasme de mon épouse.Isa, puisque c’est comme ça qu’elle s’appelle, a la jupe retroussée sur le dos offrant sa croupe à Stéphane et à mon regard, le haut remonté au-dessus des seins qui pendent et oscillent au rythme des coups de piston. Puis d’un seul coup tout se fige : le temps, l’air, la bouche de ma femme qui reste ouverte et le sexe de Sébastien qui reste immobile dans celui d’Isa. Ils viennent visiblement de jouir tous les deux. Les hostilités ne font apparemment que commencer et n’y tenant plus c’est ce moment que je choisis pour m’éclipser discrètement, la tête dans un étau, embrumée par les images de ma femme à demi nue se faisant prendre par mon ami Stéphane.Je reprends ma voiture et erre un moment sans but dans notre petite ville de province, ne sachant où aller ni que faire. Toujours les mêmes images, les même sons, les mêmes pensées qui m’assaillent sans me laisser le moindre répit. Il est maintenant dix-neuf heures trente et dans l’état où je suis je ne peux décemment pas rentrer chez nous l’air de rien. Je décide alors d’aller demander conseil à la seule personne à qui je peux en parler : Nadège. Je l’appelle et au son de ma voix elle comprend que quelque chose ne va pas et sans rien demander me dit de passer la voir. Cinq minutes plus tard, j’entre dans la résidence où elle vient de louer une petite maison pour elle et sa fille. Je sonne fébrilement à sa porte, ne sachant pas comment lui présenter la chose et là je m’effondre en lui expliquant ce que je viens de voir. Elle me prend dans ses bras et me serre contre sa poitrine qui en temps normal me fait tant fantasmer mais qui alors me laisse presque indifférent.Je crois que tout a basculé lorsqu’elle a commencé à me masser la nuque doucement du revers de la main. Ensuite celle-ci est venue caresser ma joue, offrant à mes sens une douce chaleur. Nos lèvres se sont unies, d’abord timidement puis frénétiquement, me faisant complètement oublier les visions précédentes de ma femme avec mon ami. Seules les nouvelles sensations, les nouvelles odeurs m’enivraient à présent. En l’espace de quelques secondes nous nous sommes retrouvé nus dans le salon, mes lèvres se posant d’autorité sur ses seins, pinçant, mordillant, léchant, tétant comme un bébé ces deux superbes masses. Tout doucement ma bouche est venue entre ses cuisses où un minou totalement dépourvu de pilosité m’attendait, et qui telle une source naturelle perlait d’une liqueur suave et odorante que je m’empressai de laper avec intérêt.Nadège n’était pas inactive puisqu’elle promenait ses mains sur mon sexe bandé comme rarement il l’avait été. Alors que je lapais encore ce sexe baveux qui m’était offert, mes pensées revinrent sur le film qui s’était déroulé devant moi quelques instants auparavant, ne pouvant enlever l’image de ma femme nue, à quatre pattes sur la table basse, se faisant prendre sans ménagement. J’en étais à ces pérégrinations lorsque comme venu d’un rêve j’entendis ces trois mots qui résonnent encore dans ma tête :Et là , comme guidé par mon inconscient ou un désir de vengeance, je me suis vu la mettre dans la même posture où j’avais quelques minutes auparavant trouvé ma femme. Elle grimpa sur la table basse et je me mis derrière à genoux, histoire de profiter encore un peu de cette merveilleuse liqueur qui suintait entre ses cuisses. Mais le déhanchement incontrôlé de la belle me ramena vite à la réalité et me relevant je rentrai d’un trait dans son sexe brûlant. S’ensuivit une longue séance de pilonnage en règle qui l’amena rapidement à l’orgasme. Nadège s’écroula tout à coup sur la table, incapable de faire le moindre mouvement. Je la portai jusqu’au canapé et je me mis à côté d’elle, sa tête reposant sur moi à quelques centimètres de mon sexe toujours bandé.Elle reprit doucement ses esprits ainsi que ses caresses sur mon sexe pendant que mes mains massaient délicatement ses globes charnus. Elle vint ensuite s’empaler directement sur moi en s’asseyant dos à moi. Commença alors un ballet d’ondulations asynchrones m’offrant une vue imprenable sur son petit trou dépourvu lui aussi de tout poil, sur lequel je pointai mon pouce pour lui prodiguer un doux massage circulaire en prenant bien soin de rester en surface. C’est elle qui d’un coup recula son bassin et aspira totalement mon pouce dans son fondement. Je repris alors mon petit massage cette fois interne pendant que Nadège ondulait toujours sur mon sexe, le ressortant parfois entièrement pour s’empaler encore aussitôt dessus dans un râle guttural très excitant. Alors que sa rondelle s’assouplissait de plus en plus, je plaçai mon autre main sur son clito qui ne demandait que ça, déclenchant une nouvelle vague de jouissance chez ma partenaire.La scène qui m’avait emmené chez elle était encore présente dans mon esprit et de rage je fis basculer Nadège en avant et pointant mon sexe devant sa rondelle, je la pénétrai d’un coup jusqu’à la garde, lui arrachant un cri de douleur. Nous sommes restés comme cela un instant sans bouger, et c’est elle encore une fois qui donna le signal par de petits mouvements. M’accrochant à ses hanches je repris alors le contrôle des va-et-vient dans un rythme démoniaque qui nous amena tous les deux à l’orgasme en quelques minutes.Après ce moment de folie incontrôlée mais bien agréable quand même, toutes les interrogations que j’avais mises en stand-by reprirent le dessus. Nadège se leva et alla dans la salle de bain, moi je me rhabillai directement, lui fis un dernier baiser beaucoup plus sage que les précédents (eh oui, l’excitation passée, tout est différent…) et pris le chemin de notre foyer conjugal.Un coup d’œil à ma montre m’indiqua vingt et une heures trente. Un message sur mon portable :À suivre…