28 8Recit erotique : Histoire d’halloween CorrigĂ© et rĂ©sumĂ© par Dialogue69 le 28/10/2017PubliĂ© le 28/10/2017Bonjour lecteurs et lectrices de Dialogue 69,A l’approche de la fĂŞte d’Halloween, j’ai pensĂ© qu’il Ă©tait bon que je vous raconte une anecdote qui m’est arrivĂ©e la saison dernière. Je suis âgĂ© d’une quarantaine d’annĂ©es, et je suis divorcĂ© et père d’un enfant de neuf ans. Je l’ai peu souvent, un week end sur deux et une partie des vacances scolaires, donc j’en profite un maximum, et je lui fais faire des activitĂ©s. PĂ©riode d’Halloween oblige, on avait fait la tournĂ©e des magasins de farces et attrape pour dĂ©goter un costume, et surtout redĂ©corer mon appartement aux couleurs du mal de la Mort et des TĂ©nèbres. RĂ©jouissant. Et bien entendu, le jour J du 31 octobre, mon fils avait enfilĂ© son costume et attendait de pied ferme les enfants qui allaient venir taper Ă la porte pour le cĂ©lèbre : TRICK OR TREAT. J’étais au dĂ©part circonspect sur le passage des gamins dans mon immeuble, car ce n’est après tout pas notre culture, mais mon fils m’assurait que des copains Ă lui habitaient dans le quartier et qu’il leur avait donnĂ© l’adresse. Parfait. Masque enfilĂ©, le mien aussi ( celui de scream ), et on sonnait dĂ©jĂ Ă la porte. Le rituel commençait, ça entrait ça sortait ça faisait peur, ça bouffait des bonbecs bref mon fils Ă©tait aux anges, c’était sympa. Mais la suite l’était davantage. On sonnait pour la douzième fois Ă la porte et c’était Ă mon tour d’ouvrir la porte en hurlant… ce que je fis… et je tombais nez Ă nez avec une superbe dĂ©mone qui sursauta en poussant un petit cri ! Je retirai mon masque et je m’excusai et nous partions en Ă©clat de rire. Magnifique costume, bas rĂ©sille, petite jupe en tulle noire, corset en cuir dĂ©moniaque et petite cornes rouges sur la tĂŞte. Parfaite pour ce jeu, ou pour autre chose.
« c’est la maman de Damien » me souffla mon fils à l’oreille.
« Et ben entrez un peu, tu veux jouer avec ton ami Damien un petit peu ? »
Il ne fallut pas les prier et les gamins s’engouffrèrent dans le couloir nous laissant la démone et moi sur le pallier. Je l’invitai donc à prendre un café et elle accepta bien volontiers. Fort sympathique et charmante, nous échangions quelques instants sur tout et rien, jusqu’à ce que je me risque à tenter une approche, vantant son sex appeal dans son costume oh combien sexy.
« vous n’êtes pas mal non plus en tueur en série… » dit-elle, non sans passer sa langue sur ses lèvres. Je me levai de ma chaise et sortais du salon pour aller dans ma chambre, et elle me suivit. Et là , les choses basculèrent aussi rapidement que dans les films : je la plaquais contre le mur de la chambre, porte claquée, et je l’embrassais fougueusement. Elle se laissait faire et je me dis que le tour était joué, la mère de Damien avait envie de la même chose que moi. Baisers sulfureux échangés, puis elle mit ses mains sur mon pantalon, pour le défaire aussi rapidement que possible, car nous savions que le temps nous était compté : elle le dégrafa et il tomba sur mes chevilles. Puis elle retira mon boxer et prit mon sexe en bouche, déjà à moitié dur. Elle l’avala d’une traite, je sentis sa bouche chaude envelopper ma queue et elle descendit jusqu’aux bourses, avec un bruit de succion super bandant. Puis elle se mit à me branler vigoureusement, trop peut-être, pendant qu’elle me gobait les couilles, les léchant longuement. Elle n’était vraiment pas farouche celle-là , et elle savait ce qu’elle voulait. J’ étais déjà super excité, et je bandais dur, je la relevais et je soulevais sa jupe en tulle pour découvrir sa petite culotte noire. Je fis comme elle, je me baissais et j’écartais la culotte pour dévoiler son sexe et sa toison pubienne parfaitement épilée, je me mis à bouffer sa chatte aussi rapidement qu’elle voulait, et me reçus la cyprine en pleine face ; madame était déjà chaude bouillante. Je mêlais mes doigts au délice et je remarquais qu’elle avait le sexe super large, j’avais mis trois doigts dans son con et il y avait encore de la place. Je bouffais encore son clito quand on entendit les gamins taper à la porte.
« vous faites quoi ? On peut continuer à jouer ? »
Ce fut elle qui répondit et les envoya dans leur chambre, sous l’excuse que les parents discutaient de choses importantes !
Effectivement. Je remontais vers elle, la bouche pleine de mouille et je l’embrassais à nouveau, avant de la retourner et la baisser, croupe offerte. Son cul était superbe, je présentais ma bite et je commençais à la baiser en levrette, debout contre la porte qui ne fermait pas à clé. Son sexe était super large, je sentais à peine les parois, mais on prenait quand même grave notre pied, nous retenant de gémir trop fort. Je claquais son petit cul et j’agrippais ses hanches violemment, voulant la faire jouir le plus rapidement possible, qu’elle ne soit pas venue pour rien. Je la limais durant plusieurs minutes, elle écartait avec ses deux mains son cul pour bien que je me vois la pénétrer, et nous sentions ensemble le plaisir monter. Elle se mit à jouir la première, en se branlant le clitoris pendant que je la baisais, et elle finit en se doigtant le cul, chose que j’appréciais grandement et qui me fit venir à mon tour. Ne voulant pas jouir en elle, je me retirai et lâchai mon foutre sur son cul, il éclata sur son anus avant de dégouliner le long de ses fesses jusqu’à sa chatte, elle en avait de partout. Plus de bruits ni de mouvements, j’allai lui chercher une serviette pour s’essuyer et elle me remercia pour mon attention. Puis nous nous rhabillions, elle arrangeait sa tenue, et nous sortions tous sourire remercier les enfants. Elle sortit, non sans me remercier encore, et elle s’en alla.
VoilĂ un souvenir d’halloween, soyez sur vos gardes la semaine prochaine ! Merci d’avoir votĂ©. n’oublie pas de laisser un petit commentaire Ă Fabrice.
