36 6Recit X : histoire d’un covoiturage partie 1 CorrigĂ© et rĂ©sumĂ© par Dialogue69 le 10/04/2018PubliĂ© le 10/04/2018Bonsoir Ă tous et Ă toutesJe vais vous raconter une anecdote toute rĂ©cente, puisque je l’ai expĂ©rimentĂ© pas plus tard que la semaine dernière. Je me prĂ©sente d’abord, je m’appelle Lucas, j’ai 27 ans et je suis en master de droit Ă Perpignan. Je vais Ă la facultĂ© quasiment chaque jour pour prĂ©parer mon mĂ©moire et comme beaucoup d’étudiants, j’utilise le train pour me rendre Ă ma fac ; qui se trouve Ă 10 kilomètres de ma rĂ©sidence. Donc vous l’avez compris. Ce beau matin lĂ , j’avais prĂ©vu de partir lĂ©gèrement plus tĂ´t (une petite demie heure) pour parvenir Ă prendre un train avec les mouvements de grèves qui Ă©maillent le pays en ce moment. Bilan. Me voilĂ englouti dans la marĂ©e humaine dès que je dĂ©barque dans la gare, avec des gens qui gesticulent, qui crient, qui vocifèrent après les agents en gilet rouge, chargĂ©s de rassurer ou tout simplement d’informer la clientèle en furie.
Je m’apprête donc à essayer de prendre mon train, mais je vois bien que cela est impossible. Avec les annulations, le quai est bondé et je n’arriverai jamais à réussir à monter dans le prochain, malgré mes efforts, je suis quasiment chassé du quai et me retrouve à l’entrée de la gare, à mon point de départ. Devant tant de bruits, de hurlements, et avec le stress de ma soutenance qui approche à grands pas, j’avoue que je craque un peu nerveusement et me voilà devant la gare, les mains sur la tête, essayant de trouver une solution pour me rendre à l’université….
« hé tu vas où, on peut te filer un coup de main ? »
Je lève les yeux et je croise le regard de deux nanas, debout devant moi. La première est brune aux cheveux cours, et la deuxième une rousse coupé carré. Toutes deux vêtues de manière assez loufoque, très 70ties ; jean à fleurs, chemises colorées.
Je réponds que je voulais me rendre à la fac ; et elles me répondent qu’elles sont étudiantes ; en arts plastiques (j’aurais pu deviner ) et elles me proposent un covoiturage. Sympas !
J’accepte bien volontiers et je me lève, les suis jusqu’à la voiture de Coralie. Elle était venue chercher Victoire à la gare, en prévision des grèves, et me voyant comme ça elles n’avaient pas hésité à venir me parler. C’est presque trop beau cette histoire, et je trouve ce geste citoyen adorable. Je les remercie une dizaine de fois et je propose à Coralie de payer l’essence, ce qu’elle accepte bien volontiers.
Nous voilà donc dans la voiture en direction de la fac, avec bien entendu des embouteillages, qui nous permettent néanmoins de faire connaissance ; elles me racontent leurs parcours, tout en fumant leur petit pétard traditionnel et nous échangeons de tout et de rien, dans une ambiance détendue et bienveillante. Victoire est même assez délurée, puisqu’elle entrouvre sa chemise, dévoilant un peu ses seins, elle ne porte pas de soutien gorge et elle se plaint de la chaleur, ce qui n’est pas pour me déplaire, même si physiquement je préfère largement la conductrice Coralie, aux formes plus généreuses et au visage plus angélique. Nous arrivons aux facultés et une fois devant, elles me proposent de me ramener ce soir, ce que j’accepte, et Coralie m’indique un lieu où elles ont cours de pratique, un atelier plus ou moins expatrié de la zone universitaire. Marcher 10 minutes à pied c’est toujours mieux que rentrer sans voiture, et j’ai en plus envie de les revoir. J’accepte.
La journée se passe bien et j’ai quand même hâte de revoir Coralie le soir, je me dis que j’ai peut-être une chance de la séduire, après tout pourquoi pas ? je marche jusqu’à cet atelier, vraiment perdu dans les rues et quand enfin je le trouve, il n’y a personne pour m’attendre dehors. N’ayant pas le téléphone de Coralie ou Victoire, je décide d’entrer voir si elles ne sont pas à l’intérieur. J’entre dans cette semi pénombre ; c’est un couloir qui mène à de petites pièces où sont entreposés divers matériel de dessin ; et, en passant devant une d’elle ; je vois Victoire, assise sur le sol, attendant je ne sais quoi. J’entre dans la pièce et elle ne se relève même pas et m’invite à m’asseoir, car Coralie aura un petit peu de retard. Je m’exécute et je la regarde, avec sa chemise trop grande qu’elle a bien trop ouverte encore ; elle a retiré son pantalon et porte un petit short couvert de peinture, et je vois que ses jambes sont vraiment pas mal. C’est alors qu’entre deux mots de conversation banales, elle pose sa main sur ma cuisse. Je n’ose pas la retirer mais elle continue, en la caressant de haut en bas. Je comprends vite où elle veut en venir, et même si je préfère Coralie, je n’ai pas envie de refuser des avances. Je me penche donc vers elle soudain pour l’embrasser et comme prévu elle ne se défile pas et me rend mon baiser, sa langue cherche la mienne et elle se colle contre moi, passant sa main de ma cuisse à mon entrejambe sans attendre.
« désolé mais tu me plais, j’ai envie de faire l’amour là tout de suite »
Je ne dis pas non ! Je retire sa chemise et dévoile sa minuscule poitrine, d’adolescente, et je la caresse quand même, me penchant pour lécher ses tétons l’un après l’autre. Elle défait alors mon pantalon et le fait glisser assez pour dévoiler mon boxer, puis elle sort ma bite et commence à la caresser doucement, la branlant assez légèrement pour éveiller mon désir et à faire durcir. Puis, elle se penche sur moi et commence à me sucer tout simplement, posant ma main sur ses cheveux afin que je la tienne un peu pendant qu’elle me tire une pipe ; je sens ses lèvres sur mon gland, qui l’aspire lentement et je me laisse faire totalement. Quand la porte d’entrée s’ouvre A SUIVRE
Merci d’avoir votĂ©. n’oublie pas de laisser un petit commentaire Ă Lucas.
