68 17Recit sexe : histoire d’une étroite surveillance Corrigé et résumé par Dialogue69 le 23/06/2019Publié le 23/06/2019Salut Je m’appelle Tom et j’ai 21 ans ; j’habite dans le nord de la France. Depuis la fin de mes études, j’ai fait plusieurs petits boulots, dont de la surveillance dans les écoles, un pion quoi. Vous êtes peut être au courant qu’un mouvement de grève des profs a été mis en place pour les examens du bac, et un beau matin, le bahut m’a téléphoné pour me signifier que je devais faire un remplacement et surveiller une classe de terminale à la place d’un collègue, n’ayant pas trop le choix j’ai accepté, et je me suis donc habillé en vitesse pour me rendre dans le lycée, j’arrivai dix minutes avant le début de l’épreuve, en sueur, et je laissai entrer les élèves stressés pour le bac. J’étais accompagné d’un autre pion que je connaissais à peine et qui s’était installé au fond de la salle. C’est là que j’ai vu une nana s’asseoir la table juste devant la mienne. Une apparition. Un fantasme. Brune cheveux frisés, les yeux marrons. Habillé. Je savais pas qu’on pouvait venir ainsi pour un examen : un croptop, ce qui veut dire un petit haut qui dévoilait à la fois son ventre plat et musclé, mais aussi sa poitrine généreuse pour son âge. Et en bas une jupe bien courte, au dessus du genoux et des sandales. Elle me regarda en me souriant, me demandant si c’était là sa place et je repondis que si elle s’appelait Mathilde F, c’était bien ça… quelle chance j’avais eu d’être convoqué ce jour. Elle s’asseyait en face de moi, j’avais vue sur ses jambes ou sur ses nichons, au choix. A la lecture du sujet, j’ai vu qu’elle était stressée, donc j’essayais de la rassurer, par des sourires ou des regards.
Mais rapidement, j’ai vu qu’elle me regardait de plus en plus ; elle mordillait son stylo de manière plus qu’érotique, passant sa langue sur le bout sans que quelqu’un d’autre ne la voit, mis à part moi ; moi en face d’elle qui voyait pleinement son jeu de jambes, se décroisant et se croisant, passant ses mains sur ses jambes voir sur ses cuisses de manière langoureuse. Et chaque fois, avant de plonger dans sa copie et d’écrire ses tartines de lignes, elle vérifiait, d’un regard, que je matais parfaitement son corps, elle avait l’habitude de plaire, et qu’on la remarque. Et moi, ben j’avais la queue bien dure à l’idée de ce que sa bouche, ses seins ou sa chatte pourraient me faire, et j’étais sûr que j’allais lui parler une fois cette épreuve de 4 heures terminées. Mais je n’eus pas à attendre jusque-là, puisqu’au bout d’une heure trente, elle demanda qu’on l’accompagne aux toilettes. Bien entendu, je m’y collais, et, les toilettes se trouvant à l’autre côté du lycée, on put discuter, elle me dit qu’elle avait du mal avec le sujet et qu’elle avait peur de rater son épreuve, j’essayais de la rassurer et quand je lui parlais, elle se collait à moi, je sentais sa jupe se frotter contre moi, c’était wahou.
Je sentais qu’elle me draguait de plus en plus, m’effleurant la main, puis on arriva aux toilettes, elle entra chez celle des filles, j’attendais dehors bien entendu, mais trois secondes plus tard, la porte s’entrouvrait et je voyais une main en sortir, qui m’invitait à entrer, je poussai la porte et Mathilde la refermait, avant de me plaquer contre cette même porte, appuyant ses seins contre moi et m’embrassant à pleine bouche, l’ouvrant pour la fouiller avec sa langue tandis que sa main venait se poser sur ma queue, commençant à la caresser au travers de mon pantalon, elle devient dure tout de suite et Mathilde, la sentant, se mit à la frotter plus intensément, me faisant bander bien dur.
Puis elle s’arrêta et me fit sortir de la pièce, repartant vers la salle…mais se tournant vers moi, elle me dit
« écoute, tu me plais vraiment, et j’aimerais que tu m’aides, si tu es gentil et que tu fais une recherche pour moi sur ton tel pour mon épreuve, je serai très gentille avec toi… qu’en penses-tu ? »
Sa main effleura encore ma queue. La maligne me proposait un marché, je ne savais pas quoi répondre et avant de revenir en salle, je lui dis que j’allais réfléchir. J’avais quoi à perdre ? Mon poste de pion !? pour une simple réponse à deux trois questions… ça valait la peine de céder… je la regardais et lui faisais oui de la tête, avant de chercher dans le portable les fameuses réponses. Une heure passa et elle demanda encore d’aller aux toilettes ; ça ne dérangeait personne et nous nous levions tout deux avant de sortir de la salle. Sauf que cette fois, je tournais directement à gauche pour ouvrir une salle que je savais inoccupée. Et une fois à l’intérieur, je donnais les trois réponses à Mathilde, comme promis. Elle aurait pu ressortir, mais elle ne le fit pas, elle se mit à genoux, remontant son croptop et me dévoilant sa jolie poitrine, du 90C, et elle me baissa mon pantalon, puis mon boxer, sortant ma queue tendue, prête à être engloutie. Et après l’avoir tapotée contre ses tétons, bien frottée sur sa poitrine, elle suça mon gland, avant de commencer à me tirer une pipe que je ne suis pas prêt d’oublier, elle savait qu’on était pressé, environ une dizaine de minutes alors elle fit tout son possible pour m’exciter et me combler : gorges profondes, langue parcourant mon pénis et mes couilles, elle crachait sur mon méat avant de le suçoter, me branlant de plus en plus vite en me bouffant la queue. Bien entendu, je ne mis pas longtemps à gicler, et elle avala mon foutre tranquillement, comme si c’était du petit lait, n’en laissant pas une miette hors de sa gorge. Wahou. Puis elle se rhabilla et fila en classe finir son examen, je revenais, lessivé et je la regardais finir, avant qu’elle me rende sa copie et qu’elle ne parte comme elle était venue, comme une reine.
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