20 6Histoire porno : Linda sexe-trotteuse ! Pour de la baise toujours plus crade Corrigé et résumé par Dialogue69 le 27/03/2022Publié le 27/03/2022J’incite et je suscite, je suis belle…
Tu me désires, suis-moi dans les rues sombres de Bruxelles. Aaaah bébé, c’est bon, je suis prise de plaisir, il me plaque contre un tas de cartons derrière un restaurant chinois fermé. Il est 3h du matin. On entend que ma voix dans cette ruelle sombre et crasseuse. Au bout de 7 minutes, de levrette intense, je baisse ma jupe, et boutonne mon chemisier.
Il se propose de m’accompagner, je refuse.
Mon fantasme me l’interdit. Et oui, mon dĂ©lire : me faire baiser dans les coins les plus bizarres possibles par des inconnus. Je ne cherche pas d’argent, mais je recherche du sexe ! Je suis une sexe-trotter et je veux goĂ»ter Ă tout.
Moi c’est Linda, j’ai 24 ans Ă©tudiante en informatique. Le jour Ă©tudiante, en couple et sexe-trotter la nuit. Comme le globe-trotter, je parcoure les rues Ă la recherche de nouvelles expĂ©riences sexuelles dĂ©calĂ©es. Chaque nuit je m’habille, le plus indĂ©cemment possible et j’arpente les rues de Bruxelles pour attirer des hommes sans scrupules. La nuit passĂ©e je me suis faite baiser par un sans-abri sĂ©nĂ©galais derrière un restaurant chinois. Et ce n’est pas ce genre d’expĂ©riences sexuelles qui manquent. J’écris mot pour mots, le rĂ©cit de mes aventures nocturnes. Tout a commencĂ© un soir de NoĂ«l, alors que je rentrais d’une fĂŞte Ă©tudiante bien arrosĂ©e.
RĂ©cit 1 : je dĂ©cidais de faire le chemin Ă pied, je vivais Ă quelques pâtĂ©s de maison de lĂ . ArrivĂ©e dans une petite ruelle qui donne sur une aire de jeux connue pour ĂŞtre mal frĂ©quentĂ©e le soir venu. Je croise, un monsieur d’une cinquantaine d’annĂ©es. Il avait l’air d’être, un sans-abri ou en tous cas pas du tout le genre de type que l’on inviterait chez soi. Il me salut de la main, je lui rĂ©ponds, en lui souhaitant un joyeux NoĂ«l et je trĂ©buche, tombe devant lui. Il me rattrape de justesse, je suis frĂ´le je ne sais quoi ? Si finalement, c’est son sexe Ă travers son pantalon que je viens de sentir… Il me regarde, il est très surpris et gĂŞnĂ© mais inversement c’est comme un dĂ©clic en moi, je perds pied, je ne me maitrise plus. Et lĂ je me lâche, je le retouche une deuxième fois, de manière très soutenue et lĂ je sens son pĂ©nis durcir, il rentrait en Ă©rection. S’engage une conversation qui va rompre le silence et le regard gĂŞnĂ© qu’il y avait entre nous deux :
Moi : baise-moi
Lui : vous êtes sûr ?
Moi : oui, je suis sûre.
Lui : vous avez caché une caméra où je rêve ?
Moi : non, je vois. Tu n’as pas envie.
Je me lève et fait mine de partir, il m’attrape par la main et m’entraĂ®ne dans le buisson. J’avais peur, mais pas plus que lui puisque je sentais qu’il tremblait. Ces mains tremblaient et il Ă©tait surpris qu’une si belle blonde aux yeux bleu, aux fesses bien galbĂ©es et aux seins volumineux se donne si facilement Ă un inconnu.
ArrivĂ©s derrière le buisson, il m’arrache mon manteau. Il dĂ©chire mon chemisier, et lĂ il englouti mon sein gauche dans sa bouche. Et il tire tellement fort sur mes seins que j’en ai mal. Il reste Ă tĂ©ter pendant au moins 5 minutes, j’ai l’impression qu’il veut me dĂ©vorer… Je ne m’attendais pas Ă cela, j’étais loin d’imaginer qu’une telle situation puisse m’arriver. J’étais fatiguĂ©e, et n’avais au dĂ©part qu’une envie : rentrer me reposer chez moi ! Et lĂ il sort un prĂ©servatif, et l’enfile. Il cherche Ă m’embrasser, je lui fais comprendre pas de baiser sur la bouche. Il avait une très mauvaise haleine, alors j’évitais tout contact buccal. D’un mouvement brusque, il me plaque contre un arbre. Il se colle Ă moi et frotte son sexe entre mes fesses. Le risque d’être surprise et le froid, font augmenter en moi le plaisir. Il frotte son gland sur mon vagin, et d’un geste brusque il me pĂ©nètre. Il commence par des mouvements un peu timides puis il augmente l’intensitĂ©, et je sens une chaleur m’envahir. Mes tĂ©tons durcissent, j’ai des frissons qui parcourent tout mon corps, ce n’ai pas le froid mais bel et bien l’excitation qui m’envahis totalement. Je gĂ©mis « mon Dieu ». « C’est bon, oh c’est trop bon » .Il s’agrippe Ă moi par les seins et continue Ă me ramoner Ă coup de reins de plus en plus intenses, de nouveau, d’un mouvement brusque, il me jette au sol et suis Ă quatre pattes. Il m’enfile son pĂ©nis, et lĂ les coups de reins se font très intenses. Dans le silence de la nuit, on pouvait juste distinguer le bruit de claquement de ses couilles sur mes fesses, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac. Au bout de quelques secondes, le monsieur Ă©jacule, et de son accent je comprends qu’il est arabe. Il me dit : « Moi, c’est Ziad «
Moi : Enchanté, Ziad.
Lui : on peut se revoir.
Moi : oui pas de problème
Lui : donne-moi ton numéro, moi je n’ai pas de téléphone.
Moi : oki
Je lui passe alors un numéro, qui n’est pas le mien. Je me lève, boutonne ma chemise et reprends ma route comme si de rien n’était. Je ressentais un plaisir que je n’ai jamais ressenti avec un autre homme. Je me suis dite que le sexe conventionnel n’était pas fait pour moi. Plus c’est bizarre, plus j’adore. Je ne savais pas ce qui m’avait animé cette nuit. Mais j’étais déterminée à continuer et tout être chercher à se découvrir. Je m’identifie dans ce genre de relations torrides et bien peu conventionnelles.
J’étais dans une relation sĂ©rieuse, avec un homme adorable mais je m’ennuyais, et mon conjoint n’était responsable en rien. C’est juste mon corps qui Ă©tait attirĂ© par tous ce qui est peu conventionnel. Les interdits m’attirent plus, les risques et l’étrangetĂ© de mes partenaires lors d’une relation sexuelle sont ce qui excite le plus. Et de surcroĂ®t, le faire dans des endroits un peu crades ne font qu’augmenter cette excitation qui ne fait que bouillonner en moi Ă chacune de mes sorties « plan cul ». Je minimise le danger, et je laisse mon instinct de prĂ©datrice me guider. Je suis la prĂ©datrice, et s’est Ă moi de choisir ma future proie…
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